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"Cérémonies et coutumes qui s'observent aujourd'hui parmi les juifs".

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Yacoub
Lechercheur
Mikael
papy
samuel
chico.
Josué
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Josué

Josué
Administrateur

Rappel du premier message :

Une première traduction de l'ouvrage du rabbin Léon de Modène parut en 1674 et s'intitule "Cérémonies et coutumes qui s'observent aujourd'hui parmi les juifs".
En 1689 parut son Histoire critique du texte du Nouveau Testament, qui comprenait trente-trois chapitres où étaient discutés l’origine et le caractère des différents livres, en tenant compte des objections portées contre eux par les juifs et par d’autres, les citations de l’Ancien Testament dans le Nouveau, l’inspiration du Nouveau Testament (il réfutait l’opinion de Spinoza), le dialecte grec dans lequel les livres étaient écrits (il combattait cette fois C. Salmasius), les manuscrits grecs alors connus, en particulier le codex D (Cantabrigiensis), etc.
Suivit, en 1690, son Histoire critique des versions du Nouveau Testament, où il faisait un exposé des diverses traductions, aussi bien anciennes que modernes, et discutait sur la manière dont beaucoup de passages difficiles du Nouveau Testament avaient été rendus dans les diverses versions.
En 1693, fut édité ce qui à certains égards est ce qui a le plus de valeur dans tout ce qu’il a écrit, à savoir son Histoire critique des principaux commentateurs du Nouveau Testament depuis le commencement du Christianisme jusques a notre temps. Ce travail montre toute l’étendue de ses lectures, et les renseignements qu’on y trouve gardent toujours leur valeur pour l’étudiant. Le dernier travail de Simon qu’il nous faut mentionner est ses Nouvelles Observations sur le texte et les versions du Nouveau Testament (Paris, 1695), qui contient des remarques supplémentaires sur le texte et les traductions du Nouveau Testament.
En tant que controversiste, Simon faisait preuve d’une aigreur qui ne pouvait qu’aggraver la polémique. Voué entièrement aux choses de l’esprit, dépourvu de toute sentimentalité, il disposait d’un talent indiscutable pour les sarcasmes et la satire. Il mourut à Dieppe le 11 avril 1712 à l'âge de 74 ans. richard Simon
[img] "Cérémonies et coutumes qui s'observent aujourd'hui parmi les juifs". - Page 2 220px-10[/img]


BenFis

BenFis

Rene philippe a écrit:
BenFis a écrit:Pour bien faire il conviendrait de faire respecter la loi sans faire d'exceptions.
Selon l'article 16-3 du code civil "Il ne peut être porté atteinte à l'intégrité du corps humain qu'en cas de nécessité médicale pour la personne ou à titre exceptionnel dans l'intérêt thérapeutique d'autrui".

Et donc, en toute logique, la circoncision ne devrait être réalisée sur un enfant qu'en cas d'anomalie physique, d'accident ou de maladie ; et être pratiquée dans ce cas par un chirurgien. Et en aucun cas pour une simple raison religieuse.

Tu crois que les tribunaux n’ont que ça à faire ? Ils ont déjà du mal à faire respecter le code pénal en termes de crimes et délits sans se préoccuper du code civil, du code de l’urbanisme ou du code des assurances. Tu as conscience de l’état de délabrement de la société et des institutions ? Tu mélanges les théories et la vraie vie Benfis.

Vouloir faire respecter la loi est une question de volonté et de moyens, c'est avant tout une affaire de gouvernement (et donc in fine des citoyens qui n'en ont pas choisi un autre).
Or celui que nous avons en ce moment, n'a ni l'un, ni l'autre. Mais je ne vais pas lui jeter la pierre car il a hérité d'une situation qui était déjà catastrophique lorsqu'il est arrivé aux manettes.

Rene philippe

Rene philippe

BenFis a écrit:
Rene philippe a écrit:
BenFis a écrit:Pour bien faire il conviendrait de faire respecter la loi sans faire d'exceptions.
Selon l'article 16-3 du code civil "Il ne peut être porté atteinte à l'intégrité du corps humain qu'en cas de nécessité médicale pour la personne ou à titre exceptionnel dans l'intérêt thérapeutique d'autrui".

Et donc, en toute logique, la circoncision ne devrait être réalisée sur un enfant qu'en cas d'anomalie physique, d'accident ou de maladie ; et être pratiquée dans ce cas par un chirurgien. Et en aucun cas pour une simple raison religieuse.

Tu crois que les tribunaux n’ont que ça à faire ? Ils ont déjà du mal à faire respecter le code pénal en termes de crimes et délits sans se préoccuper du code civil, du code de l’urbanisme ou du code des assurances. Tu as conscience de l’état de délabrement de la société et des institutions ? Tu mélanges les théories et la vraie vie Benfis.

Vouloir faire respecter la loi est une question de volonté et de moyens, c'est avant tout une affaire de gouvernement (et donc in fine des citoyens qui n'en ont pas choisi un autre).
Or celui que nous avons en ce moment, n'a ni l'un, ni l'autre. Mais je ne vais pas lui jeter la pierre car il a hérité d'une situation qui était déjà catastrophique lorsqu'il est arrivé aux manettes.

Enfin voilà le fond de ta pensée cher Benfis. Voilà la différence entre toi et les Témoins de Jéhovah. Tu parles de gouvernement, de moyens, de volonté, de situation catastrophique, de gouvernement actuel, et même de manettes. Tu entres dans le cadre banal et satanique d’attendre, d’espérer une amélioration quelconque du côté des hommes, des institutions en place. Tu es comme des milliards d’individus esclave du système de choses de satan. Je me doute que tu ne l’admettras pas mais le Royaume de Dieu n’est pas dans ton cœur la SEULE SOLUTION. Quel dommage Benfis.

Jean 8:32 : et vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous libérera. » Tu es esclave mon brave.

Sois assuré que je prie pour toi.

BenFis

BenFis

Rene philippe a écrit:Enfin voilà le fond de ta pensée cher Benfis. Voilà la différence entre toi et les Témoins de Jéhovah. Tu parles de gouvernement, de moyens, de volonté, de situation catastrophique, de gouvernement actuel, et même de manettes. Tu entres dans le cadre banal et satanique d’attendre, d’espérer une amélioration quelconque du côté des hommes, des institutions en place. Tu es comme des milliards d’individus esclave du système de choses de satan. Je me doute que tu ne l’admettras pas mais le Royaume de Dieu n’est pas dans ton cœur la SEULE SOLUTION. Quel dommage Benfis.

Jean 8:32 : et vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous libérera. » Tu es esclave mon brave.

Sois assuré que je prie pour toi.
J'adore ce verset. Mais tu peux t'épargner de prier pour moi. Je ne crois pas un instant à ce que ce genre de prière soit exaucé par Dieu.

En attendant la venue du dit Royaume de Dieu, il faut bien continuer à vivre ici-bas et trouver des solutions alternatives.
Cela ne veut nullement dire que le Royaume de Dieu n'est pas la seule solution. Où aurais-je raté un épisode ?

Et tu parles bien de tribunaux et donc des gouvernements qui leurs donnent les lois et les moyens de juger.

Je ne suis pas plus esclave que toi, mon bon ami.

Rene philippe

Rene philippe

BenFis a écrit:J'adore ce verset. Mais tu peux t'épargner de prier pour moi. Je ne crois pas un instant à ce que ce genre de prière soit exaucé par Dieu.
Pourquoi Benfis ?

En attendant la venue du dit Royaume de Dieu, il faut bien continuer à vivre ici-bas et trouver des solutions alternatives.
Ça fait des millénaires que certains s’investissent pour non trouver des solutions « alternatives » mais mettre des pansements sur une jambe de bois. Ce faisant la majorité des gens se détournent de la seule solution que tu connais. Tu oublies le commencement du problème : l’affirmation du diable que les humains peuvent se libérer de la domination divine. En bricolant des solutions « alternatives et provisoires » ça donne de l’espoir et donc détournent les gens à chaque fois provisoirement de Jéhovah.

Cela ne veut nullement dire que le Royaume de Dieu n'est pas la seule solution. Où aurais-je raté un épisode ?
Oui en détournant le seul espoir en solutions alternatives.

Et tu parles bien de tribunaux et donc des gouvernements qui leurs donnent les lois et les moyens de juger.
Mal, injustement, illusoirement

Je ne suis pas plus esclave que toi, mon bon ami.
Merci pour le bon ami mais on est tous esclave du péché, et du système satanique, mais dans nos têtes on est libre car appartenant à Jéhovah et à Jésus.

BenFis

BenFis

Rene philippe a écrit:
BenFis a écrit:J'adore ce verset. Mais tu peux t'épargner de prier pour moi. Je ne crois pas un instant à ce que ce genre de prière soit exaucé par Dieu.
Pourquoi Benfis ?
C'est ce qui m'apparaît clairement lorsque j'examine le résultat de l'aide que Dieu a fournie aux Juifs qui lui demandaient une aide personnelle dans les camps nazi.
Donc personnellement, je ne prie jamais Dieu de m'aider ou d'aider quelqu'un. C'est peine perdue.
Mais bon, si tu y tiens, ça ne peut pas faire de mal.


Ça fait des millénaires que certains s’investissent pour non trouver des solutions « alternatives » mais mettre des pansements sur une jambe de bois. Ce faisant la majorité des gens se détournent de la seule solution que tu connais. Tu oublies le commencement du problème : l’affirmation du diable que les humains peuvent se libérer de la domination divine. En bricolant des solutions « alternatives et provisoires » ça donne de l’espoir et donc détournent les gens à chaque fois provisoirement de Jéhovah.
Connaître la solution ne veut pas dire qu'il faille l'attendre sans rien faire. D'autant qu'il n'y a aucune domination divine tangible sur le monde pour l'instant.


Oui en détournant le seul espoir en solutions alternatives.
Je ne vois pas du tout le problème sous cet angle puisqu'une solution alternative n'a pas pour but de remplacer le Royaume de Dieu mais de palier à son absence. Dès lors qu'il sera effectif, les solutions alternatives n'auront plus de raison d'être.


Mal, injustement, illusoirement;
On ne peut pas laisser les bandits et les meurtriers faire la loi dans le pays sinon chacun va devoir défendre lui-même sa famille par tout moyen à sa disposition. Enlevons la police et la justice et on basculera dans l'anarchie dans moins de temps qu'il le faut pour le dire.

Merci pour le bon ami mais on est tous esclave du péché, et du système satanique, mais dans nos têtes on est libre car appartenant à Jéhovah et à Jésus.
Tant mieux pour toi si tu le penses vraiment. Je ne voudrais pas t'en dissuader.

Josué

Josué
Administrateur

[size=38]Tisha Beav, « le jour le plus triste » de la tradition juive Abonnés[/size]

Explication
 

Institué par les prophètes après la chute du premier temple de Jérusalem, ce jour de célébration, qui a débuté cette année dans la soirée du samedi 17 juillet, commémore plusieurs grands drames historiques vécus par le peuple juif.



  • Malo Tresca, 
  • le 18/07/2021 à 10:51 
  • Modifié le 18/07/2021 à 12:39


 "Cérémonies et coutumes qui s'observent aujourd'hui parmi les juifs". - Page 2 Juifs-pratiquants-celebrent-Tisha-Beavun-jeune-lectures_0



Les juifs pratiquants célèbrent Tisha Beav avec un jeûne et des lectures.[size=12]LIMOR EDREY/A
[/size]



► Que commémore, dans la tradition juive, le jour de Tisha Beav ?


À l’origine, Tisha Beav – le jour du 9 Av dans le calendrier hébraïque – est une célébration qui commémore simultanément les destructions à une date très proche du premier puis du second temple de Jérusalem, respectivement en – 587 et en 70. La tradition juive lui a ensuite associé toutes sortes d’événements dramatiques : la signature par le roi Édouard Ier de l’édit bannissant tous les Juifs d’Angleterre, leur expulsion d’Espagne en 1492…
→ À LIRE : Philippe Haddad, un « interlocuteur privilégié » du dialogue judéo-chrétien
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+

« Certains de ces événements ont réellement eu lieu le jour de Tisha Beav mais lui sont rattachés pour des raisons plus symboliques » explique le rabbin massorti (1) Yeshaya Dalsace, de la communauté parisienne Dor Vador. « Considéré comme le jour plus triste du calendrier juif, il a toujours été associé, assez naturellement, à toutes sortes de malheurs vécus par les différentes communautés juives », poursuit-il.
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 "Cérémonies et coutumes qui s'observent aujourd'hui parmi les juifs". - Page 2 Envelope-newsletter-icon-single.cb04caec
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► Quels rites et coutumes lui sont associés ?


Certains fidèles peuvent, dès la semaine précédant le9 Av, décider en signe de piété de s’abstenir de boire du vin ou de manger de la viande. Mais le jeûne officiel ne débute qu’au coucher du soleil, la veille, pour s’achever avec un repas sobre le lendemain soir, à la tombée de la nuit. Pendant ces 24 heures, le jeûne observé est alors le plus strict de la tradition juive : il ne faut pas boire, ni manger, et s’abstenir de toute distraction ou activité joyeuse. « Assez observé en France par les juifs pratiquants, ce jeûne se double lors deTisha Beav d’une liturgie très forte, avec la lecture des Lamentations du livre de Jérémie mais aussi de kinot, des poèmes tristes [portant notamment sur la destruction d’Israël], à la synagogue », ajoute le rabbin Yeshaya Dalsace.
La journée du 9 Av, si elle commémore de sinistres épisodes, se teinte aussi de l’espoir de la rédemption pour le peuple d’Israël. L’une de ses coutumes, moins pratiquée aujourd’hui, invite en ce sens les fidèles à secouer dehors leurs tapis dans l’attente de la venue possible du Messie.

► Quelle est aujourd’hui encore sa portée symbolique ?


« Dans la tradition juive, Tisha Beav marque, d’un point de vue théologique, l’idée qu’il existe un jour prédestiné pour que Dieu punisse les juifs des fautes qu’ils ont commises, poursuit le rabbin Dalsace. Le peuple juif impute donc son malheur à ses fautes ou ses manquements, et se repent. »
« Cela ouvre la question, déjà posée par Abraham et reprise dans le livre de Job, de savoir si la justice divine est absolue ou non, et de comprendre pourquoi le juste peut souffrir et s’il mérite ce qui lui arrive, souligne le rabbin. Et la tradition juive répond que non, toute souffrance n’est pas méritée. » Autour de la Shoah,– qui a ses propres dates officielles de commémoration – « cette question, très délicate et ambiguë, demeure ouverte, mais semble largement dépasser Tisha Beav et sa symbolique ».
Pour le rabbin du Massachusetts David Seidenberg, interrogé sur le site du Times of Israël, Tisha Beav ne doit pas uniquement être interprété comme un jour de deuil et de contrition, mais comme une occasion aussi de se rapprocher des réfugiés actuels. « Il existe deux façons d’aborder l’expérience du 9 Av : l’une consiste à faire preuve d’empathie à l’égard de la nation, de manière particulariste, explique-t-il. L’autre manière serait d’être en empathie avec les réfugiés, dans les zones en guerre : cela nous inciterait à faire preuve de compréhension vis-à-vis de beaucoup de gens qui ne sont pas juifs, et qui souffrent dans le monde en ce moment. »


(1) Le judaïsme massorti (appelé Conservative Judaism aux États-Unis, où il est très implanté) est né au XIXe siècle, et s’efforce de conjuguer fidélité à la Tradition et ouverture sur la modernité.

Rene philippe

Rene philippe

Bien et inutilement compliqué tout ça. Trop intellectuel pour être honnête. Trop de traditions qui se mêlent et divisent inutilement les gens. La règle d’or donnée par Jésus est bien plus simple et efficace.

Josué

Josué
Administrateur

Que veux tu Dieu a fait les hommes droit mais eux ils ont cherché beaucoup de détours.

Josué

Josué
Administrateur

Nos ancêtres araméens
Le nom d’Aram, אֲרָם, ARM, renvoie aux origines géographiques et généalogiques de la famille d’Abram, אַבְ-רָם, AB-RM, Père-Haut.

Lorsqu’il s’était agi de trouver une épouse à Isaac, Abraham avait demandé à son serviteur Eliezer de partir la lui choisir : « Tu iras dans mon pays et dans mon lieu natal » (Genèse 24, 4) ; il est bien entendu que l’élue devra donner son consentement. Eliezer prévoit de désigner, une fois arrivé, celle qui lui donnera à boire, à lui d’abord, puis à ses chameaux ; celle qui satisfait à ces exigences se trouve être…
Genèse 25, 20
אֶת־רִבְקָה בַּת־בְּתוּאֵל הָאֲרַמִּי מִפַּדַּן אֲרָם אֲחוֹת לָבָן הָאֲרַמִּי
AT-RBQH BT-BTWAL HARMY MFDN ARM AEWT LBNHARMY
Ète-Rivkah Bat-Betouél HaAramy MiPaddane-Arame A’hot Lavane HaAramy
…Rébecca, רִבְקָה, RBQH, fille de Bethuel l’Araméen, de Paddan-Aram, sœur de Laban l’Araméen.
פַּדַּן אֲרָם, Paddan-Aram est un lieu vague, la “plaine d’Aram”, plutôt quelque chose comme “le Haut-Plateau”.

LBN, Lavane, c’est “blanc“. Cela peut se lire aussi L-BN, “pour fils”. Pour que naisse un fils, il faut un père et une mère, et deux grands-pères. Chacun de nous a deux parents, quatre grands-parents dont deux grands-pères… et ainsi de suite. Sauf mariages entre cousins, nous avons, à la septième génération, 128 ancêtres des deux sexes, et à la huitième 128 ancêtres masculins. Mais un seul de ces ancêtres est notre AB-RM, notre père “en haut” de l’arbre généalogique, le père du père du père … en lignée “agnatique”, dont nous portons le nom.

Les 127 autres, à la même génération, sont aussi nos ancêtres “d’en haut” de l’arbre, nos ancêtres “araméens”, mais entre eux et nous, il y a une ou plusieurs femmes, une ou plusieurs mères. De cette foule, de cette multitude d’ancêtres, nous recevons une part de patrimoine génétique, mais nous perdons leurs noms. Plutôt que par “blanc“, le nom de LBN se traduit ici par “transparent“.

Josué

Josué
Administrateur

[size=38]Fêtes juives : Gérald Darmanin demande « un maximum » de policiers devant les synagogues[/size]

Les faits
 

Le ministre de l’intérieur Gérald Darmanin a demandé, mercredi 1er septembre, aux préfets d’assurer « un maximum de présence policière » devant les synagogues alors que débute lundi 6 septembre le mois de Tichri, jalonné de plusieurs grandes fêtes juives.



  • La Croix (avec AFP), 
  • le 02/09/2021 à 11:06 
  • Modifié le 02/09/2021 à 12:18




 "Cérémonies et coutumes qui s'observent aujourd'hui parmi les juifs". - Page 2 Militaires-francais-1er-regiment-Spahis-Valence-montent-garde-synagogue-cadre-renfort-operation-Sentinelle-3-novembre-2020_0



Des militaires français du 1er régiment de Spahis de Valence, montent la garde près de la synagogue dans le cadre d'un renfort de l'opération Sentinelle, le 3 novembre 2020.[size=12]CHRISTOPHE
[/size]



À l’occasion des fêtes juives qui débutent le 6 septembre (mois de Tichri), le ministre de l’intérieur Gérald Darmanin s’assure de la sécurité de la communauté juive de France.
→ RELIRE. Fêtes de Tichri, une tradition sous le regard de Dieu
iPourquoi lire La Croix ?
La Croix choisit dans le flot de l’actualité des pépites à mettre en lumière, en privilégiant le recul et l'analyse.

En raison du « niveau très élevé de la menace terroriste », il invite les préfets à prendre des mesures pour « renforcer la sécurité des lieux de rassemblements et de culte juifs », a-t-il déclaré dans un télégramme. « Merci d’assurer un maximum de présence policière physique devant les lieux de culte », a-t-il ajouté, à la main, à la fin de sa missive.
Newsletters La CroixiEdition L'Hebdo



Il est notamment recommandé aux préfets de limiter le nombre d’accès aux lieux de culte, de réaliser des « contrôles visuels » parmi les flux de fidèles, d’interdire si besoin la circulation et le stationnement à proximité et d’assurer à la fois « une présence statique visible » et des patrouilles « dynamiques » aux heures des célébrations. Les militaires de l’opération Sentinelle pourront également être déployés autour des « lieux et édifices les plus sensibles ou les plus emblématiques ».
À lire aussi

Que fêtent les juifs le jour de Yom Kippour ?

 "Cérémonies et coutumes qui s'observent aujourd'hui parmi les juifs". - Page 2 Rosh-Hashana-Yom-Kippour-principales-fetes-judaisme_0


À partir du lundi 6 septembre se succéderont les fêtes de Roch Hachana, le nouvel an juif, de Yom Kippour, ou « Grand Pardon », jour de jeûne, de prière et de confession des fautes (15 au 16 septembre), de Souccot, la fête des cabanes, qui rappelle le temps où les Hébreux vivaient sous la tente après leur sortie d’Égypte (20 au 29 septembre) et, enfin, la Sim’hat Torah (28-29).

Josué

Josué
Administrateur

[size=38]Tichri, un mois pour revenir à Dieu Abonnés[/size]

Explication
 

Les fêtes du mois juif de Tichri – Roch Hachana, Yom Kippour et Soukkot –, à partir du lundi 6 septembre, offrent un temps propice pour accomplir un chemin de repentir.



  • Héloïse de Neuville, 
  • le 06/09/2021 à 07:54 
  • Modifié le 06/09/2021 à 08:33



 "Cérémonies et coutumes qui s'observent aujourd'hui parmi les juifs". - Page 2 Roch-Hachana-deroule-jours-empreint-recueillement_0



Roch Hachana, qui se déroule sur deux jours, est empreint de recueillement.[size=12]P DELISS / GODONG/PICTURE-ALLIANCE / GODONG
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► Qu’est-ce que la fête de Roch Hachana, Jour du jugement de l’humanité ?


La première fête qui ouvre le mois juif de Tichri est celle de Roch Hachana (cette année, du lundi 6 au mercredi 8 septembre), considérée par la tradition juive comme Jour du jugement de l’humanité. Mais, loin d’être une condamnation définitive, ce jugement divin est en réalité un point de départ, qui ouvre à la possibilité d’une renaissance. « En ce jour, Dieu nous appelle à visiter notre vie et enclencher notre repentir, précise le rabbin Philippe Haddad. Notre créateur nous demande de nous interroger sur la manière

Lechercheur



A l'approche de Yom Kipour (Lundi 28 septembre) redécouvrez le sens du jour le plus important du calendrier juif.
L'occasion de réfléchir aux notions de pardon, de réconciliation, de jeûne et de prière.
Gmar 'Hatima Tova !

papy

papy

Que célèbrent les juifs les jours de la fête de Hanoukka ?
Vidéo Le tour de la question. La fête de Hanoukka commence cette année dans la soirée du dimanche 28 novembre 2021 jusqu’au lundi 6 décembre. Quel est le sens de cette fête juive ?
Clémence Houdaille, le 14/12/2017 à 15:32 Modifié le 28/11/2021 à 16:21


La fête de Hanoukka débute le 25 du mois de Kislev, selon le calendrier juif basé sur le cycle lunaire, soit entre début novembre et fin décembre. Elle marque le solstice d’hiver.

Hanoukka (« inauguration » en hébreu) commémore l’inauguration du second Temple de Jérusalem, en 165 avant Jésus-Christ, après sa profanation par les armées du roi syrien Antiochus IV.

Cette fête rappelle ainsi la victoire de la famille juive des Maccabées sur ce roi qui voulait helléniser la Judée et interdisait aux juifs de pratiquer leur culte.

Ce qui compte vraiment dans l'actualité

Participez aux débats dans le respect des convictions de chacun et en disposant des meilleures sources d’information.

Je découvre
→ À LIRE. Les différents courants du judaïsme en France

Après leur victoire, les Maccabées se rendirent dans le Temple de Jérusalem pour le purifier et allumèrent un chandelier à neuf branches (la ménorah).

Au lieu de durer 24 heures, la fiole d’huile a gardé le chandelier allumé pendant huit jours, le temps de fabriquer une nouvelle huile sacrée. Un miracle, pour les maîtres juifs, qui ont alors placé cet événement sous le signe de la lumière.

Ainsi, pendant huit jours, chaque soir de Hanoukka, une nouvelle bougie est allumée sur le chandelier à neuf branches. Pendant une demi-heure, les juifs restent près des flammes, en chantant des louanges à Dieu et en dégustant des beignets.

Pour inciter les enfants à rester là, il est de coutume de jouer avec une toupie à quatre faces.

Josué

Josué
Administrateur

Pourquoi y a-t-il des lois alimentaires différentes pour Pâque?
Tout produit qui est fermenté ou qui peut provoquer une fermentation, ne peut être consommé à Pâque mais le peut durant le courant de l'année.

Josué

Josué
Administrateur

Le culte des anges.
https://fr.timesofisrael.com/les-anges-dans-lantiquite-la-relation-du-judaisme-avec-les-auxiliaires-du-ciel/

papy

papy

[size=38]Ashkénazes, Séfarades : deux cultures, un même judaïsme [/size]

[size=38]Comprendre

 Explication 
Ces deux termes renvoient à des identités culturelles différentes d’un même judaïsme. En France, où se trouve la communauté juive la plus importante d’Europe aujourd’hui, la distinction entre les deux cultures s’est progressivement atténuée, à travers une acculturation réciproque.

[/size]
  • Juliette Paquier, 
  • le 05/10/2022 à 11:44 


 "Cérémonies et coutumes qui s'observent aujourd'hui parmi les juifs". - Page 2 Maxnewsspecial622460_0

:copyright:PHOTOPQR/VOIX DU NORD/PLM ; 06/07/2020 ; Lille 23 01 2022 Inauguration de la fin des travaux de la synagogue de Lille, en présence de Martine Aubry, le Grand Rabbin de France et Gérald Darmanin en sa qualité de minstre des cultes. PHOTO PIERRE LE MASSON LA VOIX DU NORD (MaxPPP TagID: maxnewsspecial622460.jpg) [Photo via MaxPPP]PIERRE LE MASSON/VOIX DU NORD/

Que signifient ces deux termes ?
À l’origine, « ashkénaze » désignait les juifs d’Allemagne et par extension les juifs d’Europe de l’Est. Le terme « séfarade » concernait, au Moyen Âge, les juifs présents en Espagne jusqu’à leur expulsion en 1492. Après leur départ vers des pays du Maghreb, le terme séfarade s’est progressivement élargi pour désigner les juifs et descendants de juifs originaires d’Afrique du Nord.
À lire aussiLes différents courants du judaïsme en France
« Il ne faut pas oublier les juifs orientaux, les Mizrahim, c’est-à-dire ceux qui étaient présents au

Josué

Josué
Administrateur

https://www.lemonde.fr/le-monde-des-religions/article/2023/05/25/quatre-questions-pour-comprendre-chavouot-la-pentecote-juive_6174835_6038514.html?xtor=EPR-33281134-[religions]-20230525-[comprendre_titre_1]&M_BT=113977059162465

Quatre questions pour comprendre Chavouot, la Pentecôte juive
Chavouot, que les juifs appellent également Pentecôte, débute cette année jeudi 25 mai au soir pour s’achever dans la soirée de samedi. Mal connue, cette fête est l’une des trois grandes fêtes de pèlerinage que compte la religion juive. Quel est son sens ? Comment est-elle célébrée ? Décryptage.

Par Macha Fogel
Publié le 25 mai 2023 à 17h00 
Temps deLecture 3 min.

Des Samaritains prient au sommet du mont Gerizim près de la ville de Naplouse, dans le nord de la Cisjordanie, pour célébrer la fête de Chavouot à l’aube du 28 juin 2020. JAAFAR ASHTIYEH / AFP
Chavouot, aussi appelée Pentecôte, plonge aux sources même de l’histoire du peuple juif, puisqu’elle commémore le don de la Torah au mont Sinaï, tout en gardant le souvenir de très anciennes cérémonies agricoles des Hébreux de l’Antiquité. Origine, significations, calendrier, célébrations… Voici quatre questions pour comprendre cette fête majeure du judaïsme.

Quelle est l’origine de Chavouot ?
Chavouot est l’une des trois grandes fêtes de pèlerinage que compte la religion juive, avec Pessah – la Pâque – et Soukkot – la fête des Cabanes. Avant que le Temple de Jérusalem ne soit détruit par les Romains en l’an 70, les juifs de Judée et d’ailleurs avaient pour coutume de se rendre trois fois par an dans la ville pour effectuer des offrandes à leur Dieu.

Ces trois dates festives s’inscrivaient dans un calendrier agraire : la Pâque correspond au début du printemps et aux toutes premières moissons de l’orge, la Pentecôte à celles du blé nouveau et des prémices (les premiers fruits), tandis que la fête des Cabanes annonce le temps des grandes récoltes d’automne. Après la destruction du Temple suivie de l’exil hors de Judée, le lien du peuple juif avec ses coutumes paysannes se distendit dans les faits, tout en persistant dans ses textes.

Quel est le (double) sens de Chavouot ?
Dans l’Antiquité, une controverse opposait les rabbins pharisiens aux sadducéens (et plus tard aux Samaritains et aux karaïtes), lesquels refusaient les interprétations et les lois du Talmud et se limitaient à une observance simple des préceptes bibliques.

Les sadducéens considéraient Chavouot comme une seule fête agricole, tandis que les pharisiens la liaient au don de la Torah. Le judaïsme actuel étant entièrement issu du courant rabbinique (et donc d’inspiration pharisienne), la fête commémore avant tout la transmission divine de la Loi sur le mont Sinaï, sans oublier les origines agricoles de Chavouot.

Josué

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[size=38]Que célèbrent les juifs les jours de la fête de Hanoukka ?[/size]

Le tour de la question. La fête de Hanoukka commence cette année dans la soirée du jeudi 7 décembre jusqu’au vendredi 15 décembre 2023. Quel est le sens de cette fête juive ?


  • Clémence Houdaille, 
  • le 14/12/2017 à 15:32 
  • Modifié le 07/12/2023 à 07:50

La fête de Hanoukka débute le 25 du mois de Kislev, selon le calendrier juif basé sur le cycle lunaire, soit entre début novembre et fin décembre. Elle marque le solstice d’hiver.

Hanoukka (« inauguration » en hébreu) commémore l’inauguration du second Temple de Jérusalem, en 165 avant Jésus-Christ, après sa profanation par les armées du roi syrien Antiochus IV.
S’informer avec calme, recul et confiance est plus que jamais nécessaire
La Croix Numérique


Cette fête rappelle ainsi la victoire de la famille juive des Maccabées sur ce roi qui voulait helléniser la Judée et interdisait aux juifs de pratiquer leur culte.

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[size=38]Judaïsme : qu’est-ce que la ménorah, ce chandelier allumé lors de la fête de Hanoukka ?[/size]

Un député d’extrême droite polonais a vidé un extincteur sur une ménorah de Hanoukka, mardi 12 décembre, au Parlement polonais. Ce chandelier à sept ou neuf branches, dont les bougies sont allumées pendant la fête juive de Hanoukka, est le symbole le plus ancien du judaïsme.


  • Juliette Paquier, 
  • le 13/12/2023 à 15:36



Le chandelier à sept ou neuf branches, dont les bougies sont allumées pendant la fête juive de Hanoukka, est le symbole le plus ancien du judaïsme.RAFAEL BEN-ARI / AVALON/MAXPPP
Un député d’extrême droite polonais, Grzegorz Braun, a vidé mardi 12 décembre au Parlement à Varsovie un extincteur sur une hanoukkia. Ce chandelier à neuf branches, inspiré de la ménorah, avait été allumé au Parlement à l’occasion des célébrations de la fête juive de Hanoukka (Fête des lumières), en présence de personnalités juives.

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[size=38]Juifs orthodoxes : qu’est-ce que le « sheitel », la perruque portée par certaines femmes ?[/size]
Explication 
Une juive orthodoxe habitant à Créteil a porté plainte jeudi dernier pour violences à caractère sexiste et antisémite, affirmant qu’un des policiers lui a arraché sa perruque. Ce couvre-chef qui existe depuis le Moyen Âge rencontre un succès grandissant auprès des femmes juives orthodoxes en Occident.


  • Emmanuelle Ndoudi, 
  • le 06/02/2024 à 19:32




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 "Cérémonies et coutumes qui s'observent aujourd'hui parmi les juifs". - Page 2 1290669-apparues-au-xvie-siecle-les-perruques-ou-sheitel-p



Apparues au XVIe siècle, les perruques (ou sheitel) peuvent se vendre plusieurs milliers d’euros (Illustration).FINIST_4
  • [url=https://twitter.com/intent/tweet?&text=Juifs orthodoxes%C2%A0: qu%E2%80%99est-ce que le %C2%AB%C2%A0sheitel%C2%A0%C2%BB, la perruque port%C3%A9e par certaines][/url]



Cette sexagénaire dit avoir vécu « une humiliation ». Une juive orthodoxe vivant à Créteil a récemment porté plainte pour violences à caractère sexiste et antisémite. Elle dénonce le fait que des policiers lui auraient retiré sa perruque. « Je suis juive, je veux qu’on me rende ma perruque », peut-on l’entendre protester sur les images dévoilées par Mediapart.
« C’est une part de son intimité qui a été violée », dénonce le rabbin lillois Elie Dahan. De fait, la perruque, aussi appelée « sheitel » en yiddish, est l’un des couvre-chefs revêtu par certaines femmes juives orthodoxes après leur mariage, pour dissimuler leur chevelure, en signe de pudeur. Dans certaines branches ultra-orthodoxes, il arrive que des femmes se rasent le crâne sous leur sheitel mais cette coutume reste rare.

Tradition remontant au Moyen Âge


Le sheitel est la modernisation d’une pratique mêlant la tradition talmudique et les normes sociétales des temps bibliques. « Il n’y a aucune mention explicite dans le Pentateuque (les cinq premiers livres de la Bible, aussi appelés Torah, NDLR) ordonnant aux femmes de se voiler, mais le Talmud le déduit de certains passages », explique Michaël Azoulay, rabbin à Neuilly-sur-Seine et chargée des affaires sociétales auprès du Grand rabbin de France.

Selon la Halakha (la loi juive), les femmes juives mariées doivent se couvrir les cheveux en présence d’hommes extérieurs à leur cercle familial restreint, composé du mari, du père, des fils ou du grand-père. « Les cheveux sont un objet de séduction et le port d’un couvre-chef est une façon de réserver sa féminité à son mari », développe le rabbin Azoulay.
Le port de la perruque comme couvre-chef religieux est officialisé « à partir du Moyen Âge », rappelle-t-il. Mais la pratique connaît une véritable expansion, particulièrement dans les pays occidentaux, ces dernières décennies.

La perruque favorise « l’intégration » des femmes juives en Occident


La perruque se démocratise par souci d’intégration, constatent certains spécialistes. « Une femme qui irait tous les jours travailler avec un foulard, cela peut sembler curieux alors que la perruque favorise l’intégration », assure le rabbin Elie Dahan. Elle permet de « marquer son appartenance à une pratique stricte du judaïsme » tout en réservant sa foi au domaine de l’intime, continue le rabbin lillois.

Michaël Azoulay fait le même constat. D’après lui, le sheitel « permet à de nombreuses femmes pratiquantes d’avoir une vraie vie sociale ou professionnelle et d’éviter la stigmatisation », assure-t-il. Rachel Freier, célèbre juge américaine issue de la communauté juive hassidique, compte parmi les femmes juives connues portant le sheitel.
Mais l’avènement de la perruque fait débat dans le monde juif. « De nombreux rabbins, surtout venant d’Afrique du Nord sont très critiques vis-à-vis du sheitel », confie le rabbin des Hauts-de-Seine. Pour ses détracteurs, l’excellente qualité et l’esthétisme de certains produits détournent la perruque de son objectif premier : la pudeur.

Josué

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Ces juifs qui renouent avec leur religion depuis le choc du 7 octobre
Témoignages Depuis le 7 octobre, ils rejoignent des synagogues, lisent la Torah chez eux, retrouvent des groupes militants, ou remontent l’histoire de leurs familles. Touchés par les attaques du Hamas et les actes antisémites qui se sont ensuivis, certains juifs ont renoué, à leur manière, avec une identité religieuse enfouie ou méconnue. Indénombrables, ces formes de « retour » au judaïsme et à la judéité sont discrètes et singulières.
Alix Champlon, le 22/04/2024 à 19:52
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Ces juifs qui renouent avec leur religion depuis le choc du 7 octobre
Lecture de la Haggada qui fournit la procédure à suivre pour la la fête de Pessah, la Pâque juive, et dégustation du harosset mélange de noix, dattes, raisin et vin.
WILLIAM ALIX / CIRIC

Pour le grand ménage de Pessah, qui demande de se débarrasser de tout ce qui peut contenir des traces de levain, Valentine a jeté « la moitié de (son) frigo et de (ses) placards ! ». La jeune médecin psychiatre de 32 ans se réjouit de célébrer cette année la Pâque juive. L’an dernier, Pessah tombait à la même date que la fête catholique de Pâques et la jeune femme, qui avait été élevée dans la tradition catholique et commençait à s’interroger sur ses origines juives, s’était sentie tiraillée, « fragmentée » même, en allant à la messe. Les attaques du 7 octobre en Israël, où elle rendait visite à un ami, ont tout précipité. Elle-même a vécu alors recluse, pendant toute une semaine, avec la famille israélienne à qui elle rendait visite. « Je me suis sentie appartenir au peuple d’Israël, témoigne-t-elle. De retour en France, mon sentiment de judéité était évident, irréversible. »

« Le jour où je me suis réveillée juive »
Comme Valentine, le 7 octobre a amorcé, chez des juifs...

chico.

chico.

Suivant le calendrier julien, les chrétiens orthodoxes ont célébré leur Pâque ce dimanche 5 mai, symbole d’espoir et de joie de la résurrection. Aussi bien en Ukraine et qu’en Russie, c’est la troisième année que cette fête est célébrée sous un régime de guerre.

Clémence Houdaille, le 05/05/2024 à 14:47

Josué

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Jour de Chavouot : que fêtent les juifs 50 jours après Pessah ?
Analyse En 2024, les communautés juives fêtent Chavouot, la Pentecôte juive, mercredi 12 et jeudi 13 juin, pour marquer le don de la Torah. Elle est l’une des trois grandes fêtes célébrées dans le judaïsme.
Georges Millimono, le 11/06/2024 à 16:04
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Jour de Chavouot : que fêtent les juifs 50 jours après Pessah ?
Des membres de la communauté samaritaine se rassemblent au sommet du Mont Gerizim tôt le matin pour prier pendant les célébrations de Chavouot, près de la ville de Naplouse en Cisjordanie, en juin 2023.
AYMAN NOBANI / DPA/PICTURE-ALLIANCE

Avec Pessah (Pâque juive) et Soukkot (Fête des cabanes), Chavouot forme le trio des « fêtes de pèlerinage » que compte le judaïsme. En 2024, les communautés juives fêtent Chavouot les mercredi 12 et jeudi 13 juin, pour commémorer le don de la Torah.

Plus concrètement. Dans la Bible hébraïque, le peuple hébreu, au pied du mont Sinaï, reçoit les Dix Commandements de Dieu cinquante jours après la sortie d’Égypte. Cet événement fondateur du judaïsme est fêté tous les ans lors de la fête de Chavouot, appelé parfois « Pentecôte » en français qui signifie « cinquantième ». Elle correspond à sept semaines après l’Exode, d’où le mot shavou’ot qui veut dire « semaines » en hébreu. Chavouot est aussi considéré par les juifs comme le couronnement de la Pessah. Dans le Talmud, la fête est connue aussi sous le nom d’Atséreth, qui signifie « conclusion » ou « clôture ». Les deux événements sont très liés : la marche de la liberté des Hébreux trouve son accomplissement avec le don de la Loi.

Dans la tradition juive, Chavouot a aussi une symbolique agraire inscrite dans la Torah au livre de l’Exode (chapitre 23, verset 16) : « Tu observeras la fête de la moisson, des prémices de ton travail, de ce que tu auras semé dans les champs ; et la fête de la récolte, à la fin de l’année, quand tu recueilleras des champs le fruit de ton travail. » Elle célèbre donc le début de la saison de la moisson du blé. Les juifs à l’occasion font une offrande à base de blé, d’où ses autres appellations : Fête de la moisson et Fête des prémices, en lien avec cette vie agricole du pays hébreu.

Comment fête-t-on Chavouot ?
À l’époque du Temple (jusqu’en 70 après Jésus-Christ), on offrait deux pains de blé. C’était le début des offrandes des « bikourim » (prémices) décrites dans la tradition comme une festivité solennelle et de grande importance.

Aujourd’hui la fête de Chavouot est célébrée comme un jour de fête avec pour rituel de demeurer éveillé la première nuit de la fête pour étudier la Torah. Hommes et femmes doivent se couper les cheveux et les ongles avant de se purifier au mikvé, bain utilisé pour l’ablution familiale. Une bénédiction particulière est insérée dans la Birkat HaMazon (bénédiction de Celui qui nourrit).

Au second jour de la fête, pendant l’office du matin, on récite la prière de Yizkor en souvenir des parents disparus : « Puisse Dieu se souvenir de l’âme de mon père et maître [le fidèle mentionne ici son prénom hébraïque et celui de sa mère] qui s’en est allé dans son monde, car je vais – sans m’y obliger par une promesse – donner la charité pour son mérite. En conséquence de cela, que son âme soit attachée dans un lien de vie avec les âmes d’Abraham, Isaac et Jacob, Sarah, Rebecca, Rachel et Léa ainsi que tous les autres Justes qui sont dans le jardin d’Éden, et disons amen. »

Chavouot est aussi l’occasion dans les familles juives de consommer des produits lactés, accompagné d’un repas de viande traditionnel. Les maisons sont quant à elles décorées avec des fleurs et des plantes vertes placées la veille dans le but de respecter la sainteté du jour.

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13 août, jour de jeûne, « symbole des malheurs du peuple juif »
Lundi 12 août au soir, le 9 du mois d’Av dans le calendrier hébraïque, a débuté un jour de jeûne qui s’étendra sur toute la journée du 13. C’est le plus strict des jeûnes, et le plus triste des jours du calendrier liturgique juif. Quelle est son origine et que commémore-t-il ?

Christel Juquois, le 13/08/2024 à 06:50
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13 août, jour de jeûne, « symbole des malheurs du peuple juif »
Un homme ultra-orthodoxe prie dans la vieille ville de Jérusalem le 9 Av, jour de deuil juif commémorant la destruction des anciens temples juifs, le jeudi 27 juillet 2023.
MAHMOUD ILLEAN / AP

Le neuvième jour du mois d’Av (ou le dixième si le 9 tombe un jour de shabbat) marque l’anniversaire de plusieurs catastrophes majeures dans l’histoire du peuple juif. Ce jour de jeûne, cette année le 13 août, prend son origine dans un verset du prophète Zacharie à propos de quatre jeûnes qui, après la venue du messie, « deviendront pour la maison de Juda allégresse, réjouissances et belles fêtes » (8, 19). En attendant ces temps bénis, le 9 Av est un jour de deuil ponctué par la lecture monocorde du livre des Lamentations

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Roch Hachana : origine, symboles et traditions… qu’est-ce que le Nouvel An juif qui commencera le 2 octobre ?
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Roch Hachana : origine, symboles et traditions... qu’est-ce que le Nouvel An juif qui commencera le 2 octobre ?
Sur la table des festivités de Roch Hachana se trouvent généralement des pommes trempées dans du miel, pour se souhaiter une année douce, ainsi que de la grenade, symbole d’abondance. © Crédit photo : illustration - cc - pxhere
Par SudOuest.fr
Publié le 29/09/2024 à 7h00.
Mercredi soir prochain marquera le début de Roch Hachana pour les treize millions de juifs à travers le monde. Que symbolisent ces festivités, associées à la nouvelle année ? Pourquoi leur date change-t-elle tous les ans et comment sont-elles célébrées par les croyants ?

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Cette année, Roch Hachana commencera le soir du mercredi 2 octobre et se terminera au coucher du soleil le vendredi 4 octobre. Cette fête solennelle, qui marque le début de la nouvelle année juive, est célébrée sur deux jours, durant lesquels les Juifs se rassemblent pour réfléchir sur l’année écoulée, prier et proclamer la royauté de Dieu. D’où tire-t-elle son origine ? Que symbolise-t-elle et comment est-elle célébrée aujourd’hui à travers le monde ?


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D’où vient la fête juive de Roch Hachana ?
Roch Hachana correspond au Nouvel An juif, l’une des fêtes les plus importantes du calendrier hébraïque. Le terme « Roch Hachana » signifie littéralement « tête de l’année » en hébreu. À l’origine, cette fête trouve ses racines dans la Torah, plus précisément dans le livre du Lévitique (23:24), où elle est désignée comme un « jour de la sonnerie » ou « jour du souvenir » (Yom Terouah), lors duquel les croyants sont incités à un « réveil » spirituel, à la repentance, à la célébration de l’alliance avec Dieu et à la proclamation de la souveraineté divine.


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Historiquement, Roch Hachana marque non seulement le début de l’année juive, mais aussi l’anniversaire symbolique de la création de l’Homme, c’est-à-dire d’Adam et Ève. Cette fête est donc l’occasion de célébrer le miracle de la vie et de l’existence, tout en renouvelant leur engagement envers la foi et ses valeurs.

Que symbolise Roch Hachana pour les croyants ?
Pour les croyants juifs, Roch Hachana symbolise davantage que le changement d’année. C’est une période où l’on réfléchit à la relation avec Dieu et où l’on entame un processus spirituel de repentance en vue du Yom Kippour (le Jour du Grand Pardon), dix jours plus tard. Durant cette période, les croyants estiment qu’ils seront jugés par Dieu sur leurs actions de l’année écoulée, et qu’ils seront inscrits ou non dans le Livre de la Vie (un registre symbolique) pour une année à venir pleine de bonheur et de santé.
Mais cette sentence n’est pas définitive : Roch Hachana marque le début des « Jours redoutables » ou « Jours de Pénitence », dix jours au cours desquels les croyants sont invités à se repentir (techouva) de leurs fautes et à se tourner vers Dieu avec sincérité. Ce moment de prise de conscience spirituelle invite chacun à faire un examen de conscience, à demander pardon à ceux qu’il aurait pu offenser, et à renforcer son engagement vers une vie plus juste et vertueuse.
Roch Hachana symbolise également l’intronisation de Dieu en tant que roi de l’univers. Pendant cette fête, les prières mettent l’accent sur la souveraineté de Dieu, son omnipotence et sa capacité à guider l’humanité. La sonnerie du chofar (corne de bélier) joue un rôle important dans ce contexte, car elle est considérée comme une proclamation de la royauté divine et un appel à réveiller les âmes, en les incitant à se rapprocher de Dieu.
Pourquoi la date de Roch Hachana change-t-elle tous les ans ?
La date de Roch Hachana varie chaque année en raison du calendrier hébraïque, qui est un calendrier lunaire (basé sur les cycles de la lune), contrairement au calendrier grégorien qui est solaire. Le calendrier juif ajuste les cycles lunaires avec les saisons en ajoutant un mois supplémentaire environ tous les trois ans (année embolismique), afin de maintenir les fêtes à la même période de l’année.

Dans les communautés juives orthodoxes et conservatrices à travers le monde, Roch Hachana est forcément célébré sur deux jours, que l’on soit en Israël ou en diaspora. Les festivités débutent donc le 1er Tichri et se terminent au coucher du soleil du 2 Tichri, soit environ 48 heures de célébration. Selon le calendrier grégorien, en 2024, cela correspond aux 2 et 3 octobre. En Israël et dans certains courants plus libéraux, les croyants célèbrent parfois Roch Hachana sur un seul jour, bien que le maintien de deux jours soit majoritaire.


Comment les juifs fêtent-ils Roch Hachana aujourd’hui ?
Pour les juifs, Roch Hachana est propice au renforcement des liens familiaux et sociaux, autour de grands repas festifs. Les croyants se souhaitent mutuellement une « Shana Tova » (Bonne année) et recherchent la réconciliation avec leurs proches. Les valeurs de solidarité, de pardon, et de bienveillance prennent une place centrale dans les traditions autour de la fête. Plusieurs traditions et rituels sont également régulièrement pratiqués

- La sonnerie du Chofar : une corne de bélier est soufflée dans les synagogues pendant Roch Hachana. La sonnerie du chofar est censée réveiller les âmes et inciter à la repentance. Différentes séquences sont jouées, chacune ayant une signification spirituelle spécifique.

- Les prières : les services religieux de Roch Hachana, tenus à la synagogue, incluent des prières spéciales telles que le Moussaf et le Zikhronot, qui évoquent la royauté divine, le souvenir des âmes, et la responsabilité individuelle. Les fidèles prient pour une année heureuse et pour être inscrits dans le Livre de la Vie.


- Le Tashlikh : autour du jour de Roch Hachana, les croyants peuvent pratiquer le Tashlikh, un rituel lors duquel ils se rendent au bord d’une rivière ou d’un plan d’eau pour jeter symboliquement leurs péchés à l’eau. Ce geste est un acte symbolique de purification et de renouveau spirituel.

Quels plats sont traditionnellement servis lors des repas de Roch Hachana ?
Comme de nombreuses fêtes juives, Roch Hachana est marqué par des repas festifs en famille, souvent riches en symboles. Voici quelques-uns des plats servis généralement sur les tables de fête :

- des pommes trempées dans du miel, pour se souhaiter une année douce

- de la grenade, symbole d’abondance, car elle est censée avoir 613 graines, en référence aux 613 commandements (mitzvot)


- du poisson ou de la tête de poisson, pour symboliser l’idée de « commencer l’année en étant à la tête et non à la queue », c’est-à-dire dans une position de leadership ou de prospérité

- des carottes, souvent coupées en rondelles pour rappeler des pièces de monnaie, et qui symbolisent la richesse et la prospérité

- du pain tressé (challah), façonné en rond pour symboliser le cycle éternel de la vie et des saisons

- des poireaux, betteraves et courges, consommés avec des bénédictions symboliques car chaque légume représente une prière pour se débarrasser des ennemis

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[size=38]Que fêtent les juifs le jour de Yom Kippour ?[/size]
Explication 
Dix jours après Rosh Hashana, les juifs fêtent Yom Kippour, bien connu sous le nom de grand pardon. Cette année, Yom Kippour a lieu du vendredi 11 octobre au soir au samedi 12 octobre. Quel est le sens de cette fête ?


  • Sophie de Villeneuve, 
  • le 29/09/2017 à 14:35 
  • Modifié le 11/10/2024 à 07:45

Yom Kippour est, avec Rosh Hashana, une des principales fêtes du judaïsme. Toutes les deux sont centrées sur le pardon et le repentir.

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