*** Texte pour le samedi 12 février 2011 ***
Samedi 12 février
Nous avons pris de la hardiesse [...] pour vous dire la bonne nouvelle. — 1 Thess. 2:2.
Qui n’est pas heureux de recevoir une bonne nouvelle ? La meilleure de toutes les nouvelles a trait au Royaume de Dieu. Elle nous garantit la fin des souffrances, des maladies, du chagrin et de la mort. Elle nous offre la perspective de la vie éternelle, nous révèle le dessein divin et nous montre comment nouer une relation pleine d’amour avec Dieu. Logiquement, tout le monde devrait accueillir avec joie cette nouvelle que Jésus a transmise aux humains. Malheureusement, ce n’est pas le cas. Jésus a déclaré à ses disciples : “ Ne pensez pas que je sois venu mettre la paix sur la terre ; je suis venu mettre, non pas la paix, mais l’épée. [...] Oui, les ennemis de l’homme seront les gens de sa propre maisonnée. ” (Mat. 10:34-36). Au lieu d’accepter avec joie la bonne nouvelle, la plupart des gens la rejettent. Certains se font les ennemis de ceux qui la proclament, même s’il s’agit de membres de leur famille proche. w09 15/7 4:1, 2.
Samedi 12 février
Nous avons pris de la hardiesse [...] pour vous dire la bonne nouvelle. — 1 Thess. 2:2.
Qui n’est pas heureux de recevoir une bonne nouvelle ? La meilleure de toutes les nouvelles a trait au Royaume de Dieu. Elle nous garantit la fin des souffrances, des maladies, du chagrin et de la mort. Elle nous offre la perspective de la vie éternelle, nous révèle le dessein divin et nous montre comment nouer une relation pleine d’amour avec Dieu. Logiquement, tout le monde devrait accueillir avec joie cette nouvelle que Jésus a transmise aux humains. Malheureusement, ce n’est pas le cas. Jésus a déclaré à ses disciples : “ Ne pensez pas que je sois venu mettre la paix sur la terre ; je suis venu mettre, non pas la paix, mais l’épée. [...] Oui, les ennemis de l’homme seront les gens de sa propre maisonnée. ” (Mat. 10:34-36). Au lieu d’accepter avec joie la bonne nouvelle, la plupart des gens la rejettent. Certains se font les ennemis de ceux qui la proclament, même s’il s’agit de membres de leur famille proche. w09 15/7 4:1, 2.