13 août Lecture de la Bible : Ézékiel 28-31
Pendant environ dix-huit mois lunaires, Jérusalem résista au siège des “pires des nations”, puis elle succomba (II Rois 25:1-4). Alors, Jéhovah fit “cesser l’orgueil des forts”. Le roi oint Sédécias, de la maison royale de David, fut pris pendant qu’il essayait de s’enfuir (II Rois 25:4-7). Les chefs d’entre les prêtres de la famille d’Aaron, frère de Moïse, furent tués (II Rois 25:18-21). En outre, d’après la prophétie de Jéhovah, “leurs sanctuaires devront être profanés” par “les pires des nations”, sans excepter le temple magnifique que le sage roi Salomon avait construit à Jérusalem. — Ézéchiel 7:24; II Rois 25:8-17.
Mais quelle fut la situation à l’intérieur de Jérusalem pendant l’investissement de la ville par “les pires des nations”? Avec l’épée de la guerre punitive à l’extérieur et la famine et la peste faisant des ravages à l’intérieur, la ville assiégée a dû connaître des heures d’angoisse, comme Jéhovah l’avait prédit. Mais pourquoi Dieu déclara-t-il: “Assurément ils chercheront la paix, mais il n’y en aura pas.” C’est qu’ils ne cherchaient pas la paix de la manière que Jéhovah avait indiquée par le prophète Jérémie, à savoir se rendre sans condition aux Babyloniens (Jérémie 21:7-9; 38:1-3, 9-23). Quelle en fut la conséquence?
Il y eut “adversité sur adversité” et “nouvelle sur nouvelle”, mais aucune bonne nouvelle. Il était inutile de ‘chercher auprès du prophète une vision’, sauf auprès de Jérémie, le vrai prophète de Jéhovah, incarcéré dans la ville. La loi, telle qu’elle était expliquée par les prêtres opposés à Jérémie, n’était d’aucun secours; elle devait périr. Les conseils donnés par les hommes d’âge mûr étaient inapplicables et devaient périr eux aussi. Le roi obstiné Sédécias, qui craignait ses propres princes, n’avait d’autre solution que de ‘se mettre en deuil’. Les chefs ne pouvaient que déchirer leurs vêtements en signe de désespoir, et ‘revêtir la désolation’. Les chefs étant dans un tel état mental et spirituel, que pouvait faire le “peuple du pays”, sinon se troubler, les gens ne sachant que faire de leurs mains (Ézéchiel 7:25-27)? Ils ne pouvaient s’en prendre qu’à eux-mêmes
Pendant environ dix-huit mois lunaires, Jérusalem résista au siège des “pires des nations”, puis elle succomba (II Rois 25:1-4). Alors, Jéhovah fit “cesser l’orgueil des forts”. Le roi oint Sédécias, de la maison royale de David, fut pris pendant qu’il essayait de s’enfuir (II Rois 25:4-7). Les chefs d’entre les prêtres de la famille d’Aaron, frère de Moïse, furent tués (II Rois 25:18-21). En outre, d’après la prophétie de Jéhovah, “leurs sanctuaires devront être profanés” par “les pires des nations”, sans excepter le temple magnifique que le sage roi Salomon avait construit à Jérusalem. — Ézéchiel 7:24; II Rois 25:8-17.
Mais quelle fut la situation à l’intérieur de Jérusalem pendant l’investissement de la ville par “les pires des nations”? Avec l’épée de la guerre punitive à l’extérieur et la famine et la peste faisant des ravages à l’intérieur, la ville assiégée a dû connaître des heures d’angoisse, comme Jéhovah l’avait prédit. Mais pourquoi Dieu déclara-t-il: “Assurément ils chercheront la paix, mais il n’y en aura pas.” C’est qu’ils ne cherchaient pas la paix de la manière que Jéhovah avait indiquée par le prophète Jérémie, à savoir se rendre sans condition aux Babyloniens (Jérémie 21:7-9; 38:1-3, 9-23). Quelle en fut la conséquence?
Il y eut “adversité sur adversité” et “nouvelle sur nouvelle”, mais aucune bonne nouvelle. Il était inutile de ‘chercher auprès du prophète une vision’, sauf auprès de Jérémie, le vrai prophète de Jéhovah, incarcéré dans la ville. La loi, telle qu’elle était expliquée par les prêtres opposés à Jérémie, n’était d’aucun secours; elle devait périr. Les conseils donnés par les hommes d’âge mûr étaient inapplicables et devaient périr eux aussi. Le roi obstiné Sédécias, qui craignait ses propres princes, n’avait d’autre solution que de ‘se mettre en deuil’. Les chefs ne pouvaient que déchirer leurs vêtements en signe de désespoir, et ‘revêtir la désolation’. Les chefs étant dans un tel état mental et spirituel, que pouvait faire le “peuple du pays”, sinon se troubler, les gens ne sachant que faire de leurs mains (Ézéchiel 7:25-27)? Ils ne pouvaient s’en prendre qu’à eux-mêmes