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Pourquoi d'après Vatican I la messe devait-elle avoir lieu en latin ?

3 participants

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Psalmiste

Psalmiste

Pourquoi d'après Vatican I la messe devait-elle avoir lieu en latin ?

Josué

Josué
Administrateur

Psalmiste a écrit:Pourquoi d'après Vatican I la messe devait-elle avoir lieu en latin ?
Disons que c'était la langue la plus usité dans l'empire romain.mais qu'avec le temps c'était devenue la langue des savants.mais le peuple lui ne la comprenait plus.Je ne comprend l'obstination de l'église de s'enfermer dans une langue qui est devenue langue morte.

Psalmiste

Psalmiste

Puisque l'empire romain est tombé, et puisque le latin est 1 langue morte, pourquoi certaines églises catholiques traditionnalistes continuent de célébrer la messe dans cette langue ?

Est-ce pour laisser les catholiques dans l'ignorance ?

Josué

Josué
Administrateur

Psalmiste a écrit:Puisque l'empire romain est tombé, et puisque le latin est 1 langue morte, pourquoi certaines églises catholiques traditionnalistes continuent de célébrer la messe dans cette langue ?

Est-ce pour laisser les catholiques dans l'ignorance ?
étant donné que c'est un culte ritualisée et que les gens répondre en latin des phrases apprissent par coeur pourquoi changé?

Psalmiste

Psalmiste

Je me demande si les gens qui vont à ces offices comprennent le latin ou non ?

Car à quoi bon aller à 1 office, si c'est pour ne rien comprendre ?

C'est 1 peu comme si que j'irai dans 1 salle du royaume germanophone, alors que je ne parle pas 1 mot d'allemand... Quel en serait l'interet ?

Josué

Josué
Administrateur

Psalmiste a écrit:Je me demande si les gens qui vont à ces offices comprennent le latin ou non ?

Car à quoi bon aller à 1 office, si c'est pour ne rien comprendre ?

C'est 1 peu comme si que j'irai dans 1 salle du royaume germanophone, alors que je ne parle pas 1 mot d'allemand... Quel en serait l'interet ?

que veux maintenant c'est la traditions qui l'emporte.

Psalmiste

Psalmiste

Je peux comprendre que certaines personnes soient attaché à la tradition, mais à quoi ça sert si l'on ne comprend rien à ce qui se fait, ou à ce qui se dit ?

Josué

Josué
Administrateur

Psalmiste a écrit:Je peux comprendre que certaines personnes soient attaché à la tradition, mais à quoi ça sert si l'on ne comprend rien à ce qui se fait, ou à ce qui se dit ?
que veut c'est comme ça.
l'autre jour en prédication j'ai rencontré un catholique qui ma dit ( ma famille est catholique depuis toujours .je reste catholique)

Psalmiste

Psalmiste

La messe en latin me fait penser en quelque sorte au parler en langues.

Les catholiques traditionnalistes devraient lire et méditer les enseignements de Paul.

Josué

Josué
Administrateur

Le cardinal Robert Sarah encourage les célébrations dos à l'assemblée
AB, AVEC APIC
Spiritualité et Religion > Catholicisme
GUINÉE
Le cardinal Robert Sarah encourage les célébrations dos à l'assemblée
AB, AVEC APIC
CRÉÉ LE 26/05/2016 / MODIFIÉ LE 26/05/2016 À 08Hr
« La position du prêtre tourné vers le peuple » fait parfois de l’assemblée une « communauté refermée sur elle-même » et non plus « ouverte, ni vers le monde à venir, ni vers le Ciel », estime le cardinal guinéen, inquiet de voir le prêtre devenir « le centre, le protagoniste principal de la célébration eucharistique ».

Dans une interview dans l’hebdomadaire Famille chrétienne, le cardinal guinéen assure que « la liturgie est en danger ». Il juge nombre de liturgies juge trop centrées sur le prêtre et la communauté, au lieu d’être centrées sur Dieu.

Dans cette interview, le cardinal Sarah se dit très inquiet. « L’homme cherche à prendre la place de Dieu. La liturgie risque de devenir un simple jeu humain. (…) Beaucoup de nos liturgies deviennent des spectacles » où le prêtre ne célèbre plus « l’amour du Christ à travers son sacrifice », mais « une rencontre entre amis, un repas convivial, un moment fraternel », s’alarme-t-il.

« En cherchant à inventer des liturgies créatives ou festives, nous courons le risque d’un culte trop humain, à la hauteur de nos désirs et des modes du moment ». « Le péril est immense, car Dieu disparaît ». « J’ai la conviction, ajoute-t-il, que toute la crise que connaît l’Eglise (…) vient de ce que la présence de Dieu dans l’eucharistie n’est pas perçue, voire niée en pratique. »

Célébration "face au peuple"
Il en vient même à juger comme une dérive la pratique de la célébration « face au peuple ». « La position du prêtre tourné vers le peuple » fait parfois de l’assemblée une « communauté refermée sur elle-même » et non plus « ouverte, ni vers le monde à venir, ni vers le Ciel », estime-t-il, inquiet de voir le prêtre devenir « le centre, le protagoniste principal de la célébration eucharistique ». « Les fidèles ne sont pas venus pour parler au prêtre mais à Dieu », plaide-t-il.

Et de conseiller de retrouver la célébration face au maître-autel, afin, explique-t-il, de « replacer Dieu au centre de la liturgie ». Le problème, précise-t-il, n’est pas « de célébrer le dos tourné aux fidèles ou face à eux » mais « de se tourner ensemble vers l’abside qui symbolise l’Orient où trône la croix du Seigneur ressuscité ».

« Le Concile n’a jamais demandé de célébrer face au peuple ! Cette question n’est pas même abordée par la constitution Sacrosanctum concilium… Ainsi, célébrer face au peuple est devenu une possibilité, mais pas une obligation, plaide le cardinal. La liturgie de la Parole justifie le face-à-face du lecteur et des auditeurs, le dialogue et la pédagogie entre le prêtre et son peuple. Mais dès que nous arrivons au moment où l’on s’adresse à Dieu – à partir de l’offertoire –, il est essentiel que le prêtre et les fidèles se tournent ensemble vers l’Orient. Cela correspond tout à fait à ce qu’ont voulu les Pères conciliaires. »

S’il ne s’agit en effet pas d’une obligation, et que la constitution Sacramentum Concilium, de 1963, n’en fait pas mention, la pratique de la célébration « face au peuple » a cependant été explicitement permise dans l’instruction Inter Œcumenici de 1964, laquelle dispose ainsi : « Il est permis de célébrer la messe face au peuple, même s’il y a sur l’autel un tabernacle, petit sans doute, mais convenable » (art. 95). Elle traduit le souci de la « participation active » des fidèles exprimé dans la déclaration conciliaire Sacrosanctum Concilium : « Pour promouvoir la participation active, on favorisera les acclamations du peuple, les réponses, le chant des psaumes, les antiennes, les cantiques et aussi les actions ou gestes et les attitudes corporelles. On observera aussi en son temps un silence sacré. » (article 30)
http://www.lavie.fr/religion/catholicisme/le-cardinal-robert-sarah-encourage-les-celebrations-dos-a-l-assemblee-26-05-2016-73382_16.php

Marmhonie

Marmhonie
MODERATEUR
MODERATEUR

Psalmiste a écrit:Pourquoi d'après Vatican I la messe devait-elle avoir lieu en latin ?
Hors-sujet avec Vatican I.

Merci de ne pas raconter à la suite de cet incohérent sujet, des propos contre les catholiques.

Je rappelle qu'en 2016 sous Vatican II, le latin est la langue officielle du Vatican.
Sujet verrouillé puisque issu d'un mauvais état d'esprit.

http://forummarmhonie.forumotion.asia/forum

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