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Dormir 8 heures n'est pas naturel

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olya
chico.
VENT
Josué
Mikael
Yirmeyah Jérémie
10 participants

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1Dormir 8 heures n'est pas naturel - Page 2 Empty Dormir 8 heures n'est pas naturel Mar 28 Fév - 16:52

Yirmeyah Jérémie

Yirmeyah Jérémie

Rappel du premier message :

http://fr-ca.etre.yahoo.com/dormir-huit-heures-ne-serait-pas-naturel--.html

Une enquête scientifique, relayée par GMA News, a livré la conclusion suivante : dormir pendant huit heures d’affilée ne serait pas quelque chose de naturel.
Deux chercheurs, Craig Koslofsky et Russell Foster, qui collaborent avec la BBC, se sont intéressés à des études antérieures menées sur le sujet. Et plusieurs de ces dernières révèlent un constat implacable : le vrai sommeil naturel correspond à quatre heures puis réveil de deux heures pour finir avec un autre dodo de quatre heures.

Au début des années 1990, selon la même source, un psychiatre a placé des personnes 14 heures par jour dans un noir total pendant un mois. Résultat, tous ces individus ont régulé de manière identique leur cycle de sommeil : ils dorment quatre heures, se réveillent durant deux heures pour se recoucher ensuite pendant encore quatre heures.
L'historien Roger Ekirch de Virginia Tech a publié aussi, en 2001, un article fondamental sur la base de 16 années de recherche, montrant des preuves historiques que l’on dormait les siècles derniers de cette manière, avec cette interruption de deux heures.

On dort huit heures en continu à cause de la société industrielle
Mais que faisait-on durant ces deux heures ? Selon Ekirch, citée par la même source, on priait, méditait, fumait, allait aux toilettes ou rendre visite aux voisins. On avait aussi évidemment des relations sexuelles et ces deux heures étaient même considérées comme le moment propice.
Mais d’où vient alors cette règle de la nuit complète de huit heures que l'on croyait intangible.
Ce cycle continu, sans interruption, est né tout simplement avec l’apparition de la lumière artificielle et du développement de la société industrielle qui a imposé des horaires de travail strictes au XIXe siècle à la majorité de la population.

Le problème est qu'un nombre incalculable de personnes ont subi, et subissent encore aujourd’hui, ce changement de rythme : apparition des phénomènes d’anxiété nocturne, des maladies d’insomnies avec l’envahissement des anxiolytiques en accessoire.

http://communautetjfrancoph.forum-canada.com/

Josué

Josué
Administrateur

Sommeil : êtes-vous du matin ou du soir ?
Réagissez !
Le test de matinalité-vespéralité permet de connaître ses propres besoins en matière de sommeil. Créé en 1976, le questionnaire est désormais accessible sur internet.

© Konstantin Yuganov - Fotolia.com
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Plutôt du matin ou du soir ? Besoin d’une longue nuit de sommeil ou quelques heures vous suffisent ? Pour récupérer complètement ses facultés, il est important de dormir. Mais dans ce domaine, chacun possède son propre chronotype. Le sommeil ne se répartira pas de la même façon chez tous les individus.

Une vingtaine de questions pour déterminer son chronotype

Le chronotype peut être matinal (couche-tôt/lève-tôt), vespéral (couche-tard/lève-tard) ou neutre, avec des variations pour chaque. Afin de déterminer les besoins en sommeil de chacun, les chercheurs Jim Horne et Olof Östberg ont créé en 1976 un test de matinalité/vespéralité, constitué de 19 questions. Largement validé depuis, il était utilisé par la majorité des centres de recherches sur le sommeil, qui en avait fait leur référence. Depuis peu, il est accessible gratuitement sur Internet sur le site réseau-morphée.fr.

Horaires préférés pour dormir, moment le plus apprécié pour faire du sport, pour travailler ou pour passer un examen, sensation après le réveil, sensation de fatigue le soir,… autant de critères auquel vous devez répondre afin d’obtenir votre score de sommeil et de connaître votre chronotype.

chico.

chico.

Souffrez-vous d'ivresse du sommeil ?

Grande fatigue le matin, agressivité, paroles incohérentes... L'ivresse du sommeil est un vrai trouble qui touche 15% de la population. Et la plupart n'en sont même pas conscients, révèle une étude américaine.

Le matin vous n'arrivez pas à vous lever ? Vous êtes lent et vous confondez la cafetière avec la machine à laver ? Comme une personne sur sept, vous êtes peut-être victime d'ivresse du sommeil. C'est en tout cas ce que révèlent les chercheurs de l'université de Stanford (Etats-Unis) après avoir mené une enquête sur les habitudes de sommeil de 19 136 volontaires.

Comment on la détecte ?

L'ivresse du sommeil est un état confusionnel de quelques secondes voire minutes qui est dû à l'interruption forcée d'un sommeil lent et profond. L'esprit ne sait plus s'il est endormi ou éveillé et le sujet est désorienté au niveau spatial et temporel. Cela entraîne parfois des propos incohérents, des comportements agressifs ou des gestes inappropriés, que le patient oublie généralement après.

Qui est touché ?

Selon les chercheurs, "20% de ceux qui dorment moins de 6 heures par nuit et 15% de ceux qui dorment au moins 9 heures" risquent l'ivresse du sommeil. Même chose pour les sujets atteints d'apnée du sommeil. Les scientifiques poursuivent leurs travaux pour savoir à quels moments ces états confus arrivent et comment les traiter.

samuel

samuel
Administrateur

Une étude finlandaise publiée dans la revue médicale Sleep définit le temps idéal de sommeil pour être en bonne santé.
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© Jani Bryson - iStockPhoto
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[size]Dormir 8 heures n'est pas naturel - Page 2 0d15f302dbee4e4d9559d2ffeaa19b67[/size]
Rhume, grippe, fatigue permanente... Des chercheurs finlandais ont déterminé la durée idéale de sommeil pour être et rester en bonne santé. Pour une femme, elle serait de 7 heures et 36 minutes. Pour un homme, de 7 heures et 48 minutes.

Josué

Josué
Administrateur

[size=30]L'heure idéale pour aller vous coucher[/size]
Selon une équipe de chercheurs anglais, se coucher trop tôt ou trop tard peut déregler notre organisme. Voici leur solution pour être sûr d'aller se coucher au bon moment.
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Se coucher tard ou "aller dans son lit quand votre organisme préfère rester éveillé, c'est comme nager à contre courant !"  C'est ce que déclare, le docteur Rafael Palayo, spécialiste du sommeil. Pour respecter les cycles du sommeil, lui et son équipe de chercheurs expliquent dans leur étude que l'idéal est d'aller se coucher 15 minutes avant l'endormissement. Pour détecter cette phase les scientifiques suggèrent deux techniques:
Technique n° 1 : Savoir détecter les signes de l'endormissement 
L'équipe du docteur Palayo explique que la fatigue est contrôlée par la région du cerveau appelée hypothalamus. Cette dernière envoie des signaux aux organes, comme par exemple, un refroidissement de la température du corps dû à la sécrétion de mélatonine aussi appelée hormone du sommeil. Les yeux aussi peuvent devenir pus sensisbles à la lumière.
Technique n°2 : Définir l'heure de votre coucher
Si déterminer les signaux du cerveau paraît trop abstrait, il existe aussi un calcul simple. Il suffit de savoir à quelle heure on doit se lever, combien d'heures de sommeil il nous faut, y ajouter 15 minutes et on obtient l'heure de son coucher. "Si vous souhaitez vous lever à 7h30 et que vous estimez avoir besoin de dormir 7 heures et demi, vous devriez vous mettre dans votre lit vers 23h45", explique le Dr Rafael Palayo.
Les cycles du sommeil expliqués en vidéo : [/size][/size]

Josué

Josué
Administrateur

A 75 ans, nous aurons passé 25 années de notre vie à dormir. Nous passons environ un tiers de notre vie dans les bras de Morphée, estime en effet l'Institut national du sommeil et de la vigilance (INSV). Pourtant, nous avons tendance à peu nous préoccuper de notre sommeil et accumulons une dette de sommeil.

Mais pourquoi est-ce si important de dormir ? A quels problèmes nous exposons-nous quand nous ne dormons pas assez ? Que peut-on faire pour y remédier ? Francetv info répond aux questions que vous adorez vous poser sur votre sommeil.

1 Je dors six heures par nuit, est-ce suffisant ?
Un adulte dort en moyenne six heures et 55 minutes en semaine. C'est trop peu, estiment les spécialistes. Une quantité minimum de sommeil est difficile à déterminer, car nous sommes inégaux face à nos besoins de sommeil. Certains appartiennent à la famille des longs dormeurs et devront dormir entre neuf et 10 heures pour se sentir reposés. Les courts dormeurs pourront se contenter de six heures. Mais en règle générale, pour être en forme, un adulte doit dormir entre sept et huit heures.

Le sommeil varie aussi en fonction de l'âge. Un enfant a besoin de dormir 12 heures, un adolescent neuf heures. A partir de 40 ans, le sommeil change et on dort moins bien. Les réveils nocturnes se multiplient chez les personnes âgées.

samuel

samuel
Administrateur

[size=30]nuit [/size]
-20141116#comment-form][size=12]Réagissez !
Près d'un Français sur 5 peine à s’endormir ou reste de longues heures éveillé durant la nuit. Medisite vous donne ses astuces pour vous rendormir au plus vite.
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Ne tournez plus dans votre lit en pestant

Josué

Josué
Administrateur

5 astuces pour retrouver le sommeil en pleine nuit
Près d'un Français sur 5 peine à s’endormir ou reste de longues heures éveillé durant la nuit. Medisite vous donne ses astuces pour vous rendormir au plus vite.

Ne tournez plus dans votre lit en pestant

Inutile de se tourner et de se retourner dans son lit, cela ne ferait qu'aggraver la situation. Souvent, accepter le fait de se réveiller plusieurs fois, voire d'être éveillé(e) plusieurs heures dans la nuit est l'une des premières actions à tenter.
Pourquoi ça marche : "Les personnes qui se réveillent en pleine nuit ont tendance à se dire qu'il faut se rendormir vite sinon elles seront fatiguées au cours de la journée suivante. Et la journée suivante, elles se disent qu'elles ne vont pas arriver à dormir la nuit prochaine. Elles entrent dans un cercle vicieux, car ces idées ne font que renforcer la difficulté à se rendormir et entretiennent l'insomnie*.", explique le Dr Vecchierini.
Un plus : "Interdisez vous de regarder l'heure, car cela amplifie le phénomène en créant une angoisse supplémentaire."

* consultez si cela se répète et s'installe dans le temps.

Josué

Josué
Administrateur

Quel est le temps de sommeil recommandé pour votre âge ?
Une étude américaine révèle que le temps de sommeil recommandé pour être en bonne santé varie au fil du temps, de 0 à 65 ans. Découvrez quel est le vôtre.

Le nombre d'heures de sommeil dont nous avons besoin ne change pas seulement lors du passage de l'enfance à l'âge adulte. D'après des experts américains du sommeil qui ont analysé 312 études menées entre 2004 et 2014, les besoins en sommeil seraient déterminés en fonction de neuf tranches d'âge :

Nouveau née âgée entre 0 et 3 mois : 14h à 17h de sommeil
Bébé âgée de 4 à 11 mois : 12h à 15h heures de sommeil
Enfant âgé entre 1 et 2 ans : 11h à 14h de sommeil
Elève de maternelle âgé entre 3 et 5 ans : 10h à 13h de sommeil
Elève de primaires âgé entre 6 et 13 ans : 9h à 11h de sommeil
Adolescent âgé entre 14 et 17 ans : 8h à 10 h de sommeil
Jeune adulte âgé entre 18 et 25 ans : 7 à 9 h de sommeil
Adulte âgé entre 26 et 64 ans : 7h à 9h de sommeil
Senior âgé de plus de 65 ans : 7h à 8 h de sommeil

Selon les chercheurs, cette estimation serait un bon indicateur de troubles du sommeil cachés. Les personnes qui respectent le nombre d'heures recommandées pour leur âge ci-dessus, se réveillant grognons et restant épuisées toute la journée devraient consulter un médecin.

samuel

samuel
Administrateur

[size=30]Nuit trop courte : une sieste de 30 minutes et ça repart ![/size]
Baisse du niveau de stress, système immunitaire renforcé… Des chercheurs prouvent une nouvelle fois les bienfaits de la sieste quand la nuit a été trop courte. 
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Dormir 8 heures n'est pas naturel - Page 2 300x250_DependanceDormir 8 heures n'est pas naturel - Page 2 B8502523
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Après n’avoir dormi que deux heures, vous vous sentez stressé, épuisé et chaque seconde vous semble des heures ? Une nouvelle étude montre qu’une simple sieste de 30 minutes peut rétablir les niveaux d’hormones et de protéines de l’organisme, qui permettent de lutter contre le stress et renforcent les défenses immunitaires.

Le niveau d'hormones régulé après la sieste

Les chercheurs ont étudié le lien entre les hormones et le sommeil d’un groupe de onze hommes âgés de 25 à 32 ans, en bonne santé. Pour l’expérience, les participants ont dû dormir dans un laboratoire. Leur sommeil a été limité à deux heures la nuit, suivi d’une sieste de deux heures pour un groupe et de trente minutes pour l’autre. Les scientifiques ont ensuite analysé la salive et l’urine des participants après la nuit de deux heures et la sieste pour déterminer l’effet de la privation de sommeil sur leurs hormones.
Premier constat : après une nuit courte, les niveaux de noradrénaline, une hormone agissant sur le stress, ont été multipliés par 2,5 fois. Leur rythme cardiaque, leur tension artérielle et leur niveau de glycémie ont augmenté.
Deuxième constat : Les niveaux de noradrénaline sont redevenus normaux après une sieste, même de trente minutes.
Cette étude pourrait permettre d’élaborer des stratégies de récupération pour les personnes qui manquent de sommeil.
Les conclusions ont été publiées dans le Journal of Clinical Endoctrinology & Metabolism.
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Josué

Josué
Administrateur

Trente minutes de sieste pour effacer une mauvaise nuit
Mots clés : sommeil, sieste, fatigue
Par figaro iconJulie Carballo - le 17/02/2015
Une sieste, même brève, permettrait aux personnes les plus fatiguées de retrouver les niveaux habituels d'hormones et de protéines indispensables à la bonne marche de l'organisme.
Un nouvel argument pour justifier la sieste au bureau. Après une nuit trop courte, faire un somme de quelques minutes durant la journée permettrait de rétablir les niveaux d'hormones et de protéines nécessaires à l'organisme pour combattre le stress et restaurer le bon fonctionnement du système immunitaire, selon une étude parue mardi dernier dans le Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism.
Moins de stress, plus de résistance
Pour en arriver à cette conclusion, des chercheurs français et américains ont examiné les liens entre le fonctionnement hormonal et la durée de sommeil de onze hommes âgés de 25 à 32 ans, soumis à plusieurs sessions d'endormissement. Lors d'une de ces expériences, le temps de sommeil des participants a été limité à deux heures par nuit. Le lendemain, certains ont pu faire une sieste de deux heures, d'autres de 30 minutes. Leur urine et leur salive ont ensuite été analysées pour évaluer le niveau de leurs hormones à différents moments de l'expérience.
Après leurs courtes nuits de sommeil, les volontaires ont vu leur taux de noradrénaline multiplié par deux et demi en moyenne. Cette hormone régule principalement la gestion du stress par l'organisme mais également l'excitation, l'attention sélective, la vigilance, les émotions, l'apprentissage ou encore le renforcement de certains circuits de la mémoire. Présente en trop grande quantité, elle favorise l'augmentation de la fréquence cardiaque, de la tension et de la glycémie.
Le manque de sommeil a également affecté les niveaux d'interleukin-6 chez les participants, une protéine aux propriétés antivirales, contenue dans la salive. Les chercheurs ont cependant constaté que ces deux composants retrouvaient des concentrations normales après une simple sieste.
La France résiste
«Nos travaux suggèrent qu'une sieste de seulement 30 minutes peut inverser l'impact hormonal d'une mauvaise nuit», explique Brice Faraut, chercheur à l'Université Paris Descartes-Sorbonne, l'un des principaux auteurs. «Il s'agit de la première étude à mettre en évidence le fait que la sieste peut restaurer la santé du système neuroendocrinien et immunitaire. Nos résultats plaident pour l'élaboration de stratégies concrètes qui pourraient aider les personnes manquant de sommeil de façon chronique, comme celles travaillant la nuit», ajoute-t-il.
En France, plus d'un actif sur quatre serait victime de somnolence sur son lieu de travail et 32% d'entre eux feraient au moins une sieste par semaine, la plupart du temps dans les transports en commun, selon une enquête 2014 commandée par l'Institut national du sommeil et de la vigilance (InSv). Car à l'heure où Google aménage des espaces de relaxation pour ses salariés et où le repos de l'après-midi est devenu une pratique obligatoire dans de nombreuses entreprises japonaises, la France peine à faire émerger le principe de la sieste: dormir au travail garde une connotation négative, renvoyant une image de paresse et d'inefficacité, bien que de nombreuses études aient déjà prouvé ses effets bénéfiques sur la productivité des employés ou la capacité d'apprentissage.

Josué

Josué
Administrateur

Voilà pourquoi vous dormez si mal en ce moment !
Réagissez !
Des scientifiques britanniques ont lancé une étude afin de découvrir pourquoi les troubles du sommeil sont plus fréquents au mois de février.

En février il faut compter en moyenne 56 minutes pour s'endormir contre 48 minutes en Mars. D'après un sondage mené auprès de 21 0000 volontaires les experts rapportent que 68% des sondés ont déclaré avoir le plus de mal dormir au mois de février, selon le site britannique Dailymail,. "Ce sont les femmes  qui sont les plus affectées par cette baisse de qualité du sommeil en ce mois gris et froid", a déclaré le professeur Colin Espie, chef de l'étude.

Des chambres surchauffées et peu de luminosité

L'hiver serait en effet le grand responsable de ces troubles du sommeil. Au mois de février les températures sont plus glaçantes que les autres mois, du coup on augmente le chauffage. Or une pièce surchauffée favorise les difficultés d'endormissement. "Même si le printemps arrive le mois suivant, en février le soleil et la luminosité sont rares et cela impacte notre moral et notre qualité de sommeil", ajoute le scientifique. En mars, les journées vont commencer à rallonger et la lumière sera plus forte la journée que le soir. Un facteur qui aide le corps à comprendre quand il doit rester éveiller ou non.

samuel

samuel
Administrateur

K
[size=30]le sommeil en pleine nuit [/size]
-20150307#comment-form][size=12]Réagissez !
Près d'un Français sur 5 peine à s’endormir ou reste de longues heures éveillé durant la nuit. Medisite vous donne ses astuces pour vous rendormir au plus vite.
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Dormir 8 heures n'est pas naturel - Page 2 1887764-inline-310x206


Ne tournez plus dans vo

samuel

samuel
Administrateur

Buvez un verre de lait tiède
Si vous êtes sujet(te) à des réveils intempestifs dans la nuit, placez avant de vous coucher sur votre table de chevet un thermos contenant du lait tiède, que vous pourrez boire à tout moment dans la nuit.
Pourquoi ça marche : Le lait est riche en tryptophane, un acide aminé qui stimule la sérotonine et la mélatonine, deux hormones du bien-être et de l'endormissement.


En savoir plus sur http://www.medisite.fr/fatigue-insomnies-5-astuces-pour-retrouver-le-sommeil-en-pleine-nuit.728749.63.html?page=0%2C2#tHk8O2Xmv9w9pqOw.99

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Dormir 8 heures n'est pas naturel - Page 2 Sieste10


Faire la sieste, nous l’avons vu maintes et maintes fois, c’est comme redémarrer votre cerveau. Tout le monde aime faire une petite sieste de temps en temps, mais faire une sieste peut être aussi bien un art qu’une science. Le Wall Street Journal propose des recommandations pour la planification de sieste parfaite, y compris la durée de la sieste et à quel moment.


Les experts du sommeil disent dans l’article que si vous faire une petite sieste de 10 à 20 minutes vous en tirerez le meilleur profit, mais en fonction de la sieste que vous recherchez pour vous, d’autres durées peuvent être idéales. Pour un coup de pouce rapide de l’éveil/ concentration/ vigilance, les experts disent qu’une petite sieste de 10 à 20 minutes est suffisante pour se remettre au travail rapidement/en un clin d’œil/ en un claquement de doigt.

Pour le traitement de la mémoire cognitive, cependant, une sieste de 60 minutes peut vous faire plus de bien, a déclaré le Dr Mednick. Y compris le sommeil profond à onde lentes permet de se remémorer des souvenirs, des lieux et des visages. L’inconvénient : un peu de somnolence au réveil.

www.sante-nutrition.org/faire-sieste-augmenter-considerablement-lapprentissage-memoire-conscience

samuel

samuel
Administrateur

Moi j'aime bien faire une petite sieste d'une demi heure pas plus.

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Alors c'est bon Samuel.

Josué

Josué
Administrateur

l est indispensable de créer une frontière entre les activités de la journée et le rythme de la soirée qui annonce la nuit. "Pour bien s'endormir, il faut envoyer un signal clair au cerveau : celui que la journée est terminée et qu'on aborde la nuit. Le dîner est donc un moment charnière, après lequel il faut changer de rythme", explique le Dr Joëlle Adrien, directrice de recherche à l'Inserm, spécialiste du sommeil et auteur du livre Mieux dormir et vaincre l'insomnie (Larousse).
En clair : Il faut éviter au maximum de devoir travailler ou se concentrer après le dîner, et privilégier des activités légères qui ne demandent pas d'effort intellectuel ou physique, au moins 2 ou 3h avant le coucher.

Invité


Invité

D'éviter aussi les boissons ennivrantes, le café, le thé et aussi le chocolat ainsi que tout ce qui est sucré au moins 3 heures avant le sommeil. Dans mon cas ça réussi très bien.

Josué

Josué
Administrateur

Si vous vivez avec un ronfleur régulier, mieux vaut vous coucher et vous endormir avant lui. Cela vous permettra au moins d'éviter les difficultés à vous endormir.
Pourquoi : Cela n'enlève pas tout risque de se réveiller pendant la nuit. Mais être dans un sommeil profond rend moins sensible aux ronflements de son conjoint.

Josué

Josué
Administrateur

À l'occasion de la Journée du sommeil, l'Institut national du sommeil et de la vigilance livre les clés d'une nuit réussie.
Un bon réveil pour un bon sommeil

• Prendre le temps de se réveiller
Préparer sa nuit commence dès le matin. Une lumière forte, des exercices d'étirement, une douche et un petit déjeuner complet aident à être dynamique toute la jounée.
• Ne pas négliger les siestes
En cas de somnolence, il est recommandé de fermer les yeux et de reposer son corps de 5 à 20 minutes en début d'après-midi. Le sommeil viendra rapidement si le besoin est là et permettra de maintenir la vigilance jusqu'au coucher.
• Éviter les excitants après 15 heures
L'endormissement est retardé par le café, le thé, les colas et la vitamine C. Ces excitants favorisent aussi les réveils nocturnes.
• Pratiquer un exercice physique dans la journée
La qualité du sommeil est améliorée par un exercice physique régulier. Il faut par contre éviter le sport le soir, surtout avant de le coucher.
• Dîner légèrement au moins 2 heures avant le coucher
Les glucides lents, comme les pommes de terre, le riz ou les pâtes, ainsi que les produits laitiers sont à privilégier car ils permettent une meilleure régulation des apports tout au long de nuit. En revanche les fritures et les graissent cuites sont déconseillées. Il est important de ne pas faire l'impasse sur le repas du soir sous peine d'être tiré du sommeil par des fringales nocturnes.
• Éviter l'alcool et le tabac le soir
La nicotine est un stimulant: elle retarde l'endormissement, provoque des réveils nocturnes et rend le sommeil plus léger. L'alcool favorise peut-être le sommeil dans un premier temps mais le perturbe dans un second. Il est de plus un facteur aggravant des apnées du sommeil et des ronflements.
La lecture est une des activités qui préparent à l'endormissement.
La lecture est une des activités qui préparent à l'endormissement. Crédits photo :
• Faire des activités calmes, relaxantes, en fin de journée
Exit les efforts intellectuels, les lumières vives ou les jeux sur ordinateur qui rendent l'endormissement difficile. Au moins 30 minutes avant le coucher, il faut créer un petit rituel de passage vers le sommeil, comme lire quelques pages.
• Attendre les premiers signaux
Bâillements, paupières lourdes et clignements des yeux sont des signes révélateurs. Il est inutile de les anticiper mais il ne faut pas non plus trop attendre après les avoir ressentis.
• Aménager un environnement favorable
La chambre, temple du sommeil, doit réunir les conditions idéales. Il est plus agréable de dormir dans un espace aéré, d'une température moyenne de 18°C, et protégé des bruits extérieurs et intérieurs. L'obscurité doit être totale, et la literie régulièrement changée.
» INFOGRAPHIE - La chambre idéale pour une bonne nuit
• Éviter les prises régulières de somnifères
Sauf sur avis médical bien sûr.
• Ne pas se forcer à dormir
Si l'attente de Morphée est longue et pénible, il vaut mieux lire un livre plutôt que se forcer. Le besoin de sommeil reviendra après quelques dizaines de minutes.
• Avoir des horaires de sommeil aussi réguliers que possible
Il faut habituer le corps au rythme éveil/sommeil en essayant de se lever tous les jours à la même heure, week-end compris. Des heures de coucher et surtout de réveil trop variables perturbent à terme l'horloge interne.
• Enfin et dans la mesure du possible, il faut identifier son propre besoin de sommeil et adapter son rythme de vie en conséquence
Chaque individu a des besoins différents en termes de sommeil. Il est nécessaire d'apprendre à les connaitre puis de les respecter.
Le Figaro.

Josué

Josué
Administrateur

DORMIR – Ce vendredi 27 mars, c'est la journée nationale du sommeil. Metronews fait le point sur les meilleures stratégies pour passer une bonne nuit.
Le week-end, faites une grasse matinée light pour ne pas décaler votre horloge biologique.
Le week-end, faites une grasse matinée light pour ne pas décaler votre horloge biologique.
Près d'un Français sur deux entre 25 et 45 ans considère qu'il dort moins que ce dont il a besoin. Conséquence : la fatigue s'accumule et, en fin de semaine, vous vous réjouissez d'avance à la possibilité de faire une grasse matinée le samedi et de traîner au lit. À l'occasion de la quinzième journée nationale du sommeil, qui a lieu ce vendredi 27 mars, Joëlle Adrien, présidente du conseil scientifique de l'Institut national du sommeil et de la vigilance (INSV), fait le point sur les attitudes à éviter et les conseils pour avoir un sommeil de qualité.
► Si vous manquez de sommeil, récupérez le week-end sans trop vous décaler
"Si vous avez manqué de sommeil pendant la semaine, il est très important de récupérer le week-end", appuie la spécialiste. La dette de sommeil nuit en effet à votre santé : elle favorise l'obésité, les troubles cardiovasculaires, le diabète 2, les processus inflammatoires et amoindrit votre résistance aux maladies. Le problème, c'est que si vous dormez beaucoup plus tard que les jours de semaine, "vous déréglez votre horloge biologique". Il faut donc trouver un compromis.
Le conseil, c'est de ne pas aller au-delà des...
Lire la suite sur Metronews

Josué

Josué
Administrateur

Aller au lit trop tard, se réveiller trop tôt ou se lever la nuit accélèreraient le processus de vieillissement, selon une étude menée à Los Angeles.
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En plus de rendre les journées plus difficiles, faire une mauvaise nuit de sommeil nous ferait vieillir plus vite. Des chercheurs du Centre Cousins UCLA de psycho-neuro-immunologie à Los Angeles (Etats-Unis) ont constaté qu'une seule nuit de sommeil perturbée suffit à déclencher le processus de vieillissement. Ils ont sélectionné 29 volontaires, âgés de 61 à 86 ans dont 48% étaient des hommes.

Des dommages directs sur les cellules

Tous ont subi une privation partielle de sommeil pendant quatre nuits (nuit interrompue, sommeil restreint entre 3 et 7 heures, nuit sans interruption pour récupérer). Ils ont prélevé des échantillons de sang tous les matins pour analyser la capacité du système immunitaire à combattre l'infection. Résultat : seule une nuit réduite de sommeil suffit à augmenter les dommages qui empêchent ou perturbent le cycle cellulaire. En endommageant les cellules, un manque de sommeil dégrade les organes et accélère le vieillissement.

5 astuces pour retrouver le sommeil en pleine nuit
Retrouvez le sommeil sans médicaments
5 remèdes homéopathiques pour retrouver le sommeil
L'étude a été publiée dans un supplément de la revue Sleep, et relayée sur le site anglais Dailymail.

Josué

Josué
Administrateur

On ne le dira jamais assez : quand il fait chaud, il est important de boire encore plus que d'habitude pour éviter la déshydratation. En plus de boire de l'eau tout au long de la journée, pensez à prendre avec vous une bouteille d'eau que vous laissez à côté de votre lit. Comme ça, vous pourrez vous hydrater et trouverez plus facilement le sommeil (à condition d'avoir fait un petit passage aux toilettes avant !).

samuel

samuel
Administrateur

perdons-nous le sommeil ?
Mots clés : insomnie, maladie, sommeil
Par figaro iconPascaline Minet - le 07/08/2015
Un adulte sur cinq est concerné par l'insomnie en France. Mais ce trouble reste mal pris en charge, alors que des traitements efficaces existent.
Longtemps perçue comme le symptôme d'une pathologie physique ou psychique, l'insomnie est reconnue comme une maladie à part entière depuis une vingtaine d'années. Sont considérées comme souffrant d'insomnie les personnes qui ont un trouble du sommeil trois fois par semaine au minimum depuis au moins un mois. Il peut s'agir d'un assoupissement qui prend plus d'une demi-heure le soir; de réveils nocturnes avec des difficultés pour se rendormir; d'un éveil précoce le matin, une heure avant l'heure choisie... avec toujours la sensation d'un sommeil non récupérateur. Ces perturbations entraînent pour les insomniaques des difficultés à faire face à leur quotidien, ce qui les distingue des petits dormeurs, qui ne souffrent pas de leurs courtes nuits. Fatigue, irritabilité, problèmes de concentration...: différentes études ont montré que l'insomnie avait un impact sur la qualité de vie comparable à celui de pathologies comme la dépression ou le diabète. L'activité professionnelle de l'insomniaque en est affectée: augmentation du risque d'accidents et absentéisme deux fois plus élevé. Autant de données qui suggèrent que cette maladie a un coût pour la société, même s'il n'existe pas d'évaluations économiques récentes sur le sujet, alors que 20% des adultes sont concernés dans les pays industrialisés.
Des causes multiples
Parfois transitoires, liés à une étape de vie difficile, les troubles du sommeil ne durent alors que quelques semaines. Mais au delà de trois mois, on commence à parler d'insomnie chronique. On estime que la moitié des personnes insomniaques sont touchées par ce trouble depuis plus de dix ans. Tout le monde peut être concerné par l'insomnie. Mais elle progresse nettement avec l'âge et se révèle plus fréquente chez les femmes, surtout après 55 ans, lors des changements hormonaux liés à la ménopause. Certaines conditions de vie favorisent également les troubles du sommeil: le travail de nuit, un environnement bruyant, la présence de jeunes enfants perturbant le sommeil parental, un métier stressant... Il arrive aussi qu'ils soient liés à une pathologie, connue ou pas du patient: douleurs chroniques, problèmes respiratoires, cardiaques ou endocriniens, mais aussi diverses maladies neurologiques ou infectieuses. Certains médicaments, comme les corticoïdes ou les bêtabloquants, impactent aussi le sommeil. Enfin, dépression et anxiété sont retrouvées dans 50% des insomnies chroniques.
Renouer avec une bonne hygiène de vie
Une consultation dans un centre du sommeil, en service hospitalier, commence donc par un interrogatoire sur l'état de santé et sur les habitudes de vie du patient. Puis viennent différents examens. Une actimétrie permet d'enregistrer les périodes d'éveil et de sommeil, à l'aide d'une sorte de montre, pendant une dizaine de jours et de voir ainsi comment est régulée l'horloge biologique. Les enregistrements polysomnographiques sont effectués au cours d'une nuit à l'hôpital, au moyen d'électrodes posées sur le cuir chevelu et captant les rythmes électriques du cerveau. On obtient ainsi une évaluation qualitative de la composition du sommeil, en particulier le nombre et la durée des cycles. Quel que soit le diagnostic, pour enrayer l'insomnie, il faudra commencer par adopter certaines règles simples d'hygiène du sommeil: lever et coucher à la même heure chaque jour, ne pas passer plus de 8 heures au lit pour ne pas se réveiller au cours de la nuit suivante, éviter les excitants après 17 heures, pratiquer une activité physique régulière... Viennent ensuite des approches non médicamenteuses qui ont fait leurs preuves: la relaxation, les thérapies comportementales et la luminothérapie. Les médicaments du sommeil, hypnotiques ou psychotropes, peuvent enfin être utilisés en phase aiguë et sur une courte durée pour apporter un soulagement. Les approches médicamenteuses et non médicamenteuses ne doivent pas être opposées car c'est souvent en les combinant qu'on obtient les meilleurs résultats.

Marmhonie

Marmhonie
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Aucun problème de sommeil, je dors n'importe où, de suite, que ce soit de jour ou de nuit. C'est assurément une bénédiction que d'être toujours disponible ainsi.

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Josué

Josué
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bienvenue au club car moi aussi mais malheureusement ce n'est pas le cas pour tout le monde.

samuel

samuel
Administrateur

POURQUOI CERTAINS ONT MOINS BESOIN DE DORMIR QUE LES AUTRES ?

Certains sont en forme après une courte nuit alors que d'autres ont besoin de plus de huit heures de sommeil. Selon une étude américaine c'est une question d'anomalie génétique. Explications.


Vous n'avez pas besoin de dormir beaucoup pour être en forme? Vos gènes pourraient être la cause de ce phénomène. Selon une étude américaine publiée dans la revue médicale Sleep, le responsable d’une durée courte de sommeil serait la mutation du gène BHLHE41. Lorsqu’une de ses versions est présente dans notre corps, six heures de sommeil suffisent.

Pour arriver à cette conclusion, les chercheurs ont analysé le sommeil et l’activité électrique du cerveau de 200 jumeaux à leur domicile. Tous ont dû passer une trentaine d’heures sans dormir. Résultat ? Les sujets porteurs du gène muté ont necessité moins d’heures de récupération que les autres.

Un autre gène avec l'effet inverse

Un gène ayant l’effet inverse sur le sommeil a également été étudié par des scientifiques allemands. Selon leur recherche publiée en 2011 et relayée par le site du Figaro, la mutation du gène ABCC9 serait responsable de l’envie de prolonger le sommeil. L’ADN de 4 000 volontaires, venant de pays européens différents, a été analysé et comparé aux réponses d’un questionnaire concernant leurs habitudes nocturnes.

Marmhonie

Marmhonie
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On n'est pas tous pareils.

Dans la sieste, par exemple, je peux dormir 1/2 heure, 1/4 d'heure, ça me suffit, les piles sont rechargées.

Pourtant, je peux me laisser aller dans une sieste profonde où je réapparaît 3 ou 4 heures après. Je suis alors un peu KO, mais tous mes problèmes, un mal, un rhume, une fièvre, se sont envolés.

Je n'ai jamais cherché à comprendre, c'est ainsi.

Idem dans le sommeil, je peux dormir 6 heures, ou 14 heures si je n'ai pas de réveil, cela dépend. Je n'ai jamais compris pourquoi non plus.

Un autre truc, je ne rappelle JAMAIS d'avoir rêvé. Jamais. C'est uniquement parce qu'on dit que tout le monde rêve, que je l'accepte, mais si je ne le savais pas, je dirais immédiatement que je ne rêve pas quand je dors.

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Rene philippe

Rene philippe

Le sommeil est plus complexe qu'on pense je crois. Une chose est sûre, le repos est lié au sommeil et est indispensable. Pour ma part, à une époque, je me réveillais aussi fatigué qu'en me couchant. J'ai donc consulté, résultat, je faisais de l'apné du sommeil, en réalité, je ne dormais que la moitié de la nuit, je me réveillais comme un poisson hors de l'eau, je m'étouffais, la plus grande apnée durant plus d'une minute sans respirer. J'ai donc un masque pour respirer la nuit, et depuis, ça va mieux.

Marmhonie

Marmhonie
MODERATEUR
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Oui, votre témoignage est important. Nous sommes déjà si différents consciemment, alors dans le sommeil qui est le domaine royal de l'inconscient, qu'est-ce qui se passe, et pourquoi ?

Franchement, le terme de "naturel" est comme ce terme générique de "standard", il suffit de bricoler un peu pour se rendre compte que cela ne signifie rien.

Il y a des gens migraineux toute leur vie, c'est terrible. Cela vient du cerveau, c'est un grand mystère en 2015. Il y a des gens qui ronflent, d'autres non. Pourquoi ? Mon voisin avait été opéré parce qu'il ronflait trop fort. Il ronfle toujours aussi fort... Il a juste une grande cicatrice dans le cou.

Il y a des gens qui cherchent le sommeil, d'autres qui doivent s'y préparer en lisant par exemple. Pourquoi, n'importe quand, il me suffit de dire que je vais dormir, sans en avoir envie, pour que 5 mn plus tard, je dorme profondément ? Mystère.

Cette thèse de "dormir 8 heures n'est pas naturel" ne repose sur rien.

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samuel

samuel
Administrateur

Pourquoi perdons-nous le sommeil ?
Par figaro iconPascaline Minet - Le 07/08/2015
Mots clés : insomnie, maladie, sommeil
Un adulte sur cinq est concerné par l'insomnie en France. Mais ce trouble reste mal pris en charge, alors que des traitements efficaces existent.
Longtemps perçue comme le symptôme d'une pathologie physique ou psychique, l'insomnie est reconnue comme une maladie à part entière depuis une vingtaine d'années. Sont considérées comme souffrant d'insomnie les personnes qui ont un trouble du sommeil trois fois par semaine au minimum depuis au moins un mois. Il peut s'agir d'un assoupissement qui prend plus d'une demi-heure le soir; de réveils nocturnes avec des difficultés pour se rendormir; d'un éveil précoce le matin, une heure avant l'heure choisie... avec toujours la sensation d'un sommeil non récupérateur. Ces perturbations entraînent pour les insomniaques des difficultés à faire face à leur quotidien, ce qui les distingue des petits dormeurs, qui ne souffrent pas de leurs courtes nuits. Fatigue, irritabilité, problèmes de concentration...: différentes études ont montré que l'insomnie avait un impact sur la qualité de vie comparable à celui de pathologies comme la dépression ou le diabète. L'activité professionnelle de l'insomniaque en est affectée: augmentation du risque d'accidents et absentéisme deux fois plus élevé. Autant de données qui suggèrent que cette maladie a un coût pour la société, même s'il n'existe pas d'évaluations économiques récentes sur le sujet, alors que 20% des adultes sont concernés dans les pays industrialisés.
DES CAUSES MULTIPLES
Parfois transitoires, liés à une étape de vie difficile, les troubles du sommeil ne durent alors que quelques semaines. Mais au delà de trois mois, on commence à parler d'insomnie chronique. On estime que la moitié des personnes insomniaques sont touchées par ce trouble depuis plus de dix ans. Tout le monde peut être concerné par l'insomnie. Mais elle progresse nettement avec l'âge et se révèle plus fréquente chez les femmes, surtout après 55 ans, lors des changements hormonaux liés à la ménopause. Certaines conditions de vie favorisent également les troubles du sommeil: le travail de nuit, un environnement bruyant, la présence de jeunes enfants perturbant le sommeil parental, un métier stressant... Il arrive aussi qu'ils soient liés à une pathologie, connue ou pas du patient: douleurs chroniques, problèmes respiratoires, cardiaques ou endocriniens, mais aussi diverses maladies neurologiques ou infectieuses. Certains médicaments, comme les corticoïdes ou les bêtabloquants, impactent aussi le sommeil. Enfin, dépression et anxiété sont retrouvées dans 50% des insomnies chroniques.
RENOUER AVEC UNE BONNE HYGIÈNE DE VIE
Une consultation dans un centre du sommeil, en service hospitalier, commence donc par un interrogatoire sur l'état de santé et sur les habitudes de vie du patient. Puis viennent différents examens. Une actimétrie permet d'enregistrer les périodes d'éveil et de sommeil, à l'aide d'une sorte de montre, pendant une dizaine de jours et de voir ainsi comment est régulée l'horloge biologique. Les enregistrements polysomnographiques sont effectués au cours d'une nuit à l'hôpital, au moyen d'électrodes posées sur le cuir chevelu et captant les rythmes électriques du cerveau. On obtient ainsi une évaluation qualitative de la composition du sommeil, en particulier le nombre et la durée des cycles. Quel que soit le diagnostic, pour enrayer l'insomnie, il faudra commencer par adopter certaines règles simples d'hygiène du sommeil: lever et coucher à la même heure chaque jour, ne pas passer plus de 8 heures au lit pour ne pas se réveiller au cours de la nuit suivante, éviter les excitants après 17 heures, pratiquer une activité physique régulière... Viennent ensuite des approches non médicamenteuses qui ont fait leurs preuves: la relaxation, les thérapies comportementales et la luminothérapie. Les médicaments du sommeil, hypnotiques ou psychotropes, peuvent enfin être utilisés en phase aiguë et sur une courte durée pour apporter un soulagement. Les approches médicamenteuses et non médicamenteuses ne doivent pas être opposées car c'est souvent en les combinant qu'on obtient les meilleurs résultats.

Josué

Josué
Administrateur

L'insomnie couvre différents troubles du sommeil et pas uniquement le nombre d'heures de sommeil.
FICHES À CONSULTER
1. Qu’est-ce que c’est?
2. Comment évaluer ?
3. D'autres signes ?
4. Quels examens ?
5. Comment classer les insomnies ?
6. Insomnie transitoire ou chronique ?
7. Les insomnies primaires ?
8. Quelles conséquences ?
9. Conseils pour mieux dormir
10. Traitement médicamenteux
Plus
SANTÉ
Maladie
L’insomnie est une plainte subjective qui peut être définie comme un sommeil qui est difficile à obtenir, qui est insuffisant en terme de durée, dont la qualité est perturbée et qui est non récupérateur.
A ce titre il peut s'accompagner de fatigue et de somnolences anormales par rapport à l'activité pratiquée durant la journée.
L’insomnie c’est, au-delà du nombre d’heures de sommeil, la qualité de la récupération, la capacité à vivre normalement la journée sans risques sans oublier le vécu subjectif de la nuit sans sommeil qui vient de s’écouler.
Le sommeil peut être perturbé, soit en quantité de sommeil, soit en qualité de sommeil.
L’insomnie doit aussi être appréhendée en fonction de quel dormeur vous êtes. Un petit dormeur n’a pas les mêmes besoins qu’un gros dormeur et la perception qu’il a de l’insomnie sera différente.

Marmhonie

Marmhonie
MODERATEUR
MODERATEUR

L'insomnie peut avoir des causes profondes liées au cerveau et au psychisme.

On a montré scientifiquement, donc en double aveugle, que les rayonnements wifi et téléphonie portable sur des champs magnétiques forts d'exposition, conduisait à l'insomnie.

La France ne le reconnait pas officiellement, mais officieusement aucun hôpital n'en doute, tant les cas se multiplient.
Autrement dit, par prudence, il est désormais interdit en France, quand même, qu'une antenne Wifi de relai soit proche d'une école, ni qu'un enfant n'use librement de la téléphonie portable sans oreillettes.

Je dirais que c'est à prendre en compte si vous avez des insomnies. Posez-vous effectivement des questions de bon sens.

1) Est-ce que j'utilise un cable pour me connecter à Internet ou le wifi ?
2) Est-ce que j'utilise de la téléphonie mobile régulièrement, et surtout, est-ce qu'entre chaque appel, je laisse mon téléphone (qui n'en est plus un, mais un boitier tph) allumé ?
3) Est-ce que je note quand le dors bien ? Et quand le dors mal ? Ce qu'on a fait dans la journée, d'apparemment banal.

Cela pourra vous surprendre, pour certains, comme le recroisement des données avec le problème, peut être évident.

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samuel

samuel
Administrateur

Tu sais je connais des gens qui vivent à la campagne loin d'un relais de téléphonie et qui ne dorment pas beaucoup.

samuel

samuel
Administrateur

Un adulte sur cinq est concerné par l'insomnie en France. Mais ce trouble reste mal pris en charge, alors que des traitements efficaces existent.
Longtemps perçue comme le symptôme d'une pathologie physique ou psychique, l'insomnie est reconnue comme une maladie à part entière depuis une vingtaine d'années. Sont considérées comme souffrant d'insomnie les personnes qui ont un trouble du sommeil trois fois par semaine au minimum depuis au moins un mois. Il peut s'agir d'un assoupissement qui prend plus d'une demi-heure le soir; de réveils nocturnes avec des difficultés pour se rendormir; d'un éveil précoce le matin, une heure avant l'heure choisie... avec toujours la sensation d'un sommeil non récupérateur. Ces perturbations entraînent pour les insomniaques des difficultés à faire face à leur quotidien, ce qui les distingue des petits dormeurs, qui ne souffrent pas de leurs courtes nuits. Fatigue, irritabilité, problèmes de concentration...: différentes études ont montré que l'insomnie avait un impact sur la qualité de vie comparable à celui de pathologies comme la dépression ou le diabète. L'activité professionnelle de l'insomniaque en est affectée: augmentation du risque d'accidents et absentéisme deux fois plus élevé. Autant de données qui suggèrent que cette maladie a un coût pour la société, même s'il n'existe pas d'évaluations économiques récentes sur le sujet, alors que 20% des adultes sont concernés dans les pays industrialisés.
Des causes multiples
Parfois transitoires, liés à une étape de vie difficile, les troubles du sommeil ne durent alors que quelques semaines. Mais au delà de trois mois, on commence à parler d'insomnie chronique. On estime que la moitié des personnes insomniaques sont touchées par ce trouble depuis plus de dix ans. Tout le monde peut être concerné par l'insomnie. Mais elle progresse nettement avec l'âge et se révèle plus fréquente chez les femmes, surtout après 55 ans, lors des changements hormonaux liés à la ménopause. Certaines conditions de vie favorisent également les troubles du sommeil: le travail de nuit, un environnement bruyant, la présence de jeunes enfants perturbant le sommeil parental, un métier stressant... Il arrive aussi qu'ils soient liés à une pathologie, connue ou pas du patient: douleurs chroniques, problèmes respiratoires, cardiaques ou endocriniens, mais aussi diverses maladies neurologiques ou infectieuses. Certains médicaments, comme les corticoïdes ou les bêtabloquants, impactent aussi le sommeil. Enfin, dépression et anxiété sont retrouvées dans 50% des insomnies chroniques.
Renouer avec une bonne hygiène de vie
Une consultation dans un centre du sommeil, en service hospitalier, commence donc par un interrogatoire sur l'état de santé et sur les habitudes de vie du patient. Puis viennent différents examens. Une actimétrie permet d'enregistrer les périodes d'éveil et de sommeil, à l'aide d'une sorte de montre, pendant une dizaine de jours et de voir ainsi comment est régulée l'horloge biologique. Les enregistrements polysomnographiques sont effectués au cours d'une nuit à l'hôpital, au moyen d'électrodes posées sur le cuir chevelu et captant les rythmes électriques du cerveau. On obtient ainsi une évaluation qualitative de la composition du sommeil, en particulier le nombre et la durée des cycles. Quel que soit le diagnostic, pour enrayer l'insomnie, il faudra commencer par adopter certaines règles simples d'hygiène du sommeil: lever et coucher à la même heure chaque jour, ne pas passer plus de 8 heures au lit pour ne pas se réveiller au cours de la nuit suivante, éviter les excitants après 17 heures, pratiquer une activité physique régulière... Viennent ensuite des approches non médicamenteuses qui ont fait leurs preuves: la relaxation, les thérapies comportementales et la luminothérapie. Les médicaments du sommeil, hypnotiques ou psychotropes, peuvent enfin être utilisés en phase aiguë et sur une courte durée pour apporter un soulagement. Les approches médicamenteuses et non médicamenteuses ne doivent pas être opposées car c'est souvent en les combinant qu'on obtient les meilleurs résultats.

Josué

Josué
Administrateur

Selon une étude anglaise boire 500 millilitres d'eau avant chaque repas faciliterait la perte de poids. Explications.
Vous souhaitez perdre les quelques kilos accumulés pendant les vacances ? Boire 500 millilitres d'eau avant chaque repas pourrait peut-être vous aider. C'est en tout cas ce que pensent les chercheurs anglais de l'université de Birmingham. Pour en arriver à cette conclusion, ils ont séparé en deux groupes 84 personnes en surpoids.

4,3 kilos en 12 semaines

41 volontaires ont dû boire de l'eau une demi-heure avant le repas et les 43 autres ont dû se persuader que leur estomac était plein avant de manger. Résultat ? Ceux qui ont bu un verre d'eau ont perdu 1,3 kilos en 12 semaines et les autres rien. Après avoir retenté l'expérience en examinant les doses, l'étude rapporte que ceux ayant bu un demi-litre d'eau avant chaque repas ont perdu 4,3 kilos en 12 semaines contre 0,8 kilos pour ceux qui en ont bu moins. "Un geste simple à intégrer quotidiennement", selon les chercheurs.

samuel

samuel
Administrateur

dormir permet-il d'oublier ?
Mots clés : sommeil, mémoire, neurologie
Par figaro iconChristine Baudry - le 28/08/2015
Une hypothèse ancienne s'impose aujourd'hui : le sommeil permet de se débarrasser des informations inutiles pour mieux mémoriser celles qui comptent.
Même si ses mécanismes restent mal connus, l'impact du sommeil sur la consolidation des souvenirs fait aujourd'hui consensus dans la communauté des chercheurs en neurosciences. Au cours des cinq dernières années, une autre hypothèse, complémentaire, s'est vue confortée: le sommeil facilite aussi l'oubli des informations inutiles accumulées dans la journée. Cet oubli est notamment indispensable au bon fonctionnement de la mémoire à court terme, dite «mémoire de travail». Elle nous permet de manipuler des informations sur une courte durée: mémoriser une place de parking pendant quelques heures, retenir un numéro de téléphone quelques secondes pour pouvoir le noter sur un bout de papier... C'est aussi celle qui s'entraîne le plus facilement à l'aide de jeux et de petits exercices destinés à la «muscler». En revanche, elle est très sensible à la contamination par des souvenirs similaires - la place de parking de la veille, un autre numéro de téléphone - devenus inutiles. Pour être efficace, cette mémoire de travail doit donc être «nettoyée» régulièrement.
Eliminer les informations périmées
En 1983, Francis Crick, Prix Nobel de médecine et codécouvreur de l'ADN, et son collègue Graeme Mitchison, de l'université de Cambridge au Royaume-Uni, ont supposé que les informations périmées pouvaient être éliminées pendant le sommeil. En 2011, les travaux menés par Géraldine Rauchs, du groupement d'intérêt public Cyceron à Caen, en collaboration avec l'équipe de Pierre Maquet du Cyclotron de Liège en Belgique, sont venus conforter cette hypothèse. Des volontaires se voyaient présenter des listes de mots, dont certains devaient être retenus et d'autres oubliés. La nuit suivante, la moitié des sujets avait le droit de dormir, tandis que l'autre moitié était privée de sommeil. Trois jours plus tard, lors du test de mémoire, les sujets privés de sommeil se souvenaient bien mieux des mots qu'on leur avait demandé d'oublier. La privation de sommeil avait altéré chez eux la faculté d'effacer les informations inutiles.
Étiquetage des informations
Reste une énigme. Comment le cerveau fait-il le tri entre les informations à oublier et celles qu'il faut consolider? L'expérience dirigée par Géraldine Rauchs et Pierre Maquet lève le voile. En examinant à l'IRM fonctionnelle le cerveau des volontaires pendant l'apprentissage, ils ont constaté que l'activité de l'hippocampe, la zone où se situe la mémoire, était plus forte lorsque l'on essayait de retenir un mot que lorsque l'on essayait de l'oublier. L'hippocampe procéderait, lors de l'apprentissage, à une sorte d'étiquetage des groupes de neurones associés aux informations que l'on veut retenir. Les groupes ainsi marqués seraient réactivés au cours du sommeil pour consolider leur mémorisation. Ils échapperaient alors au processus de nettoyage synaptique des informations inutiles. Des études importantes au quotidien car elles suggèrent qu'en nous concentrant sur des informations avec la volonté de les retenir, nous les marquons et nous les faisons échapper ainsi aux processus d'oubli prévus par Morphée.

Marmhonie

Marmhonie
MODERATEUR
MODERATEUR

C'est un sujet pour insomniaques, car les gens qui dorment ne se posent pas de question sur leur sommeil : ils dorment.
Une prière donc pour toute les personnes qui ont des problèmes de sommeil et associés, somnolence, maladies...
La foi nous renforce dans les épreuves.

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samuel

samuel
Administrateur

Paroles de sages mais beaucoup de personnes ont des problèmes avec le sommeil.

samuel

samuel
Administrateur

Français sous ventilation à cause des apnées du sommeil
Mots clés : APNEE DU SOMMEIL
Par figaro icondamien Mascret - le 01/09/2015
Le nombre de malades appareillés devrait atteindre 1 million en 2016 et les coûts dépasser le milliard d'euros.
L'apnée du sommeil est de mieux en mieux dépistée et traitée. En 2014, ce sont 828.047 malades qui ont mis chaque nuit un masque respiratoire les reliant à une machine de ventilation en pression positive, soit 15 % de plus que l'année précédente d'après un rapport de l'Assurance-maladie. Ils étaient 550.000 en 2012 et deux fois moins en 2006.
«L'apnée du sommeil, autrement dit les pauses respiratoires prolongées (de plus de 10 secondes) pendant que l'on dort, concerne 5 % de la population, mais tous ne sont pas diagnostiqués», précise le Dr Frédéric Le Guillou, pneumologue à La Rochelle et président de l'Association BPCO (broncho-pneumopathie chronique obstructive). Avec des conséquences majeures pour la santé et la qualité de vie. Y compris celle des proches. Les chutes de l'oxygénation s'accompagnent de reprises inspiratoires très bruyantes, et ce sont bien souvent ces ronflements puissants qui réveillent les conjoints et motivent les consultations.
Mais l'impact du syndrome d'apnée du sommeil est surtout pour le malade. D'abord la fatigue et la somnolence diurne. Elles sont la conséquence directe d'un «mauvais sommeil» dû aux micro-éveils qui accompagnent l'asphyxie. Ensuite les troubles de la concentration et de la vigilance, qui peuvent entraîner des accidents, que ce soit au travail ou sur la route.
Changement spectaculaire
«La plupart des malades se recrutent parmi les ronfleurs, mais tous les ronfleurs n'ont pas d'apnée du sommeil», précise le Dr Yves Grillet, vice-président de la Fédération française de pneumologie.
Une fois le diagnostic confirmé par des examens spécifiques et le diagnostic de BPCO écarté, les malades qui l'acceptent (environ 85 %) peuvent être placés sous ventilation en pression positive (PPC). Dans les autres cas, à condition que l'apnée ne soit pas trop sévère et que l'état mandibulaire et dentaire le permette, une orthèse d'avancée mandibulaire (OAM) peut être proposée. Elle dégage le pharynx en avançant la mâchoire inférieure. Dans ses propositions pour 2016, l'Assurance-maladie espère aboutir à «un transfert progressif de 20 % des traitements par PPC vers un traitement par OAM (orthèse d'avancée mandibulaire)» en en remboursant la pose, s'il s'agit du premier traitement proposé, ce qui n'est pas le cas actuellement.
Reste que c'est d'abord la PPC qui a fait la preuve de son efficacité. «Le changement est spectaculaire, témoigne le Dr Grillet. En quelques jours, parfois dès la première nuit, les patients dorment bien, ils se réveillent frais et dispos.» De surcroît, les études ont prouvé que la PPC réduisait le risque d'accident cardio-vasculaire, nettement augmenté dans l'apnée du sommeil. Les cardiologues se sont même aperçus que certains hypertendus chez qui le traitement antihypertenseur ne marchait pas bien souffraient en réalité de ce syndrome.

Josué

Josué
Administrateur

Les français auraient une dette de sommeil de près de 16 milliards d’heures par année, selon une étude conduite par le cabinet d’étude et de conseil en communication Occurrence.
L’étude a été effectuée sur 1000 français représentatifs de la population métropolitaine et complétée par des réponses à un questionnaire.
Pour aboutir à leurs conclusions, les chercheurs ont calculé le déficit des participants à partir de la différence entre le temps de sommeil effectif de chacun et le besoin de sommeil ressenti.
Selon l’étude, un français moyen perd 6,1 heures de sommeil par semaine (57 minutes sur une journée type en semaine et 40 minutes pour le week-end), ce qui correspond au total à un déficit de 2 semaines par an.

1 français sur 6 fatigué tous les jours

C’est aux femmes françaises que revient la palme du manque de sommeil avec 342 heures de sommeil en moins/an, pour 289 heures pour les hommes : une différence de 20 % !

La fatigue pendant la journée est majoritairement perçue comme une gène selon les participants à l’étude, qui révèle qu’un français sur six se sent fatigué tous les jours de la semaine. Le manque de sommeil impacte la concentration, la productivité, l’agressivité, la créativité, l’anxiété ou le pessimisme, soulignent les chercheurs, qui précisent également que les personnes qui travaillent cumulent 50 heures de déficit supplémentaires par an par rapport aux non-actifs.
Verdict : dormir plus pour travailler mieux ?

Invité


Invité

Si on ne dort pas d'un bon sommeil la nuit alors on dort debout durant notre journée, cela nous empêche de nous concentrer, de chercher à penser sur ce que l'on fait, une grande fatigue augmente le rythme cardiaque, vous souvenez vous la dernière fois que vous n'avez pas dormis de la nuit? Une nuit blanche, le lendemain les yeux boursouffler, mal a la tête, on est pas interesser de sourir tellement on est inconfortable, le coeur qui bat tres vite, nos yeux qui force pour se refermer, pendant une seconde on sent notre corp qui part pour dormir debout ...

Ouff, c'est mieux dormir bien, un bonne nuit de sommeil ...

Josué

Josué
Administrateur

5 ASTUCES POUR RETROUVER LE SOMMEIL EN PLEINE NUIT
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Levez-vous quelques minutes
Comment : Si vous vous réveillez au cours de la nuit, ne restez pas au lit à penser à vos problèmes de la journée ou à penser au planning de la journée suivante. Levez-vous, changez de pièce, et faites autre chose, une activité tranquille qui reste reposante comme lire (pas de roman policier, en revanche!). Puis recouchez-vous dès que vous sentez que l'envie de dormir revient.
Pourquoi ça marche : Ressassez encourage l'éveil. Il est préférable de se lever et de pratiquer une activité tranquille et relaxante et de respecter ensuite ses cycles de sommeil. "Quand l'envie de dormir revient, n'attendez pas pour aller vous recoucher.", explique le Dr Vecchierini.
Sachez-le : "Le matin, levez-vous tous les jours à la même heure, car cela favorise l'endormissement pour la nuit suivante."

Josué

Josué
Administrateur

Pas de sédatifs nécessaires: Des scientifiques découvrent une nouvelle "noeud de sommeil" dans le cerveau

Un circuit favorisant le sommeil profond situé dans le tronc cérébral primitif a révélé comment nous tombons dans un profond sommeil. Découvert par des chercheurs de la Harvard School of Medicine et de l'Université de Buffalo School of Medicine et de sciences biomédicales, ceci est seulement le deuxième "noeud de sommeil" identifiés dans le cerveau des mammifères dont l'activité semble être à la fois nécessaire et suffisante pour produire le sommeil profond.

Publié en ligne en Août dans Nature Neuroscience, l'étude démontre que la moitié de l'ensemble de l'activité de promotion de sommeil du cerveau provient de la zone parafacial (PZ) dans le tronc cérébral. Le tronc cérébral est une partie primordiale du cerveau qui régule les fonctions de base nécessaires à la survie, comme la respiration, la pression artérielle, la fréquence cardiaque et la température corporelle.

"L'association étroite d'un centre du sommeil avec d'autres régions qui sont essentielles pour la vie met en lumière l'importance de l'évolution de sommeil dans le cerveau», explique Caroline E. Bass, professeur assistant de pharmacologie et de toxicologie à l'École UB de médecine et de sciences biomédicales et un co-auteur sur le papier.

Les chercheurs ont découvert qu'un type spécifique de neurone dans le PZ qui rend l'acide gamma-aminobutyrique neurotransmetteur (GABA) est responsable de sommeil profond. Ils ont utilisé un ensemble d'outils novateurs pour contrôler précisément ces neurones à distance, en substance leur donnant la capacité de transformer les neurones et descendre à volonté.

"Ces nouvelles approches moléculaires permettent un contrôle sans précédent sur la fonction du cerveau au niveau cellulaire», explique Christelle Ancelet, stagiaire postdoctoral à la Harvard School of Medicine. "Avant que ces outils ont été développés, nous avons souvent utilisé« stimulation électrique "pour activer une région, mais le problème est que cela stimule tout ce que les touches d'électrodes et même des régions avoisinantes qu'elle ne détenait pas. Il était une approche de marteau, quand ce que nous avions besoin était un scalpel ".

"Pour obtenir la précision requise pour ces expériences, nous avons introduit un virus dans le PZ qui exprime un récepteur 'design' sur les neurones GABA seulement, mais ne modifie pas autrement le fonctionnement du cerveau», explique Patrick Fuller, professeur assistant à Harvard et auteur principal le papier. "Quand nous sommes arrivés sur les neurones GABA dans le PZ, les animaux sont rapidement tombés dans un profond sommeil sans l'utilisation de sédatifs ou d'aides de sommeil."

Comment ces neurones interagissent dans le cerveau avec d'autres sommeil et réveil promotion des régions du cerveau doivent encore être étudiés, les chercheurs disent, mais finalement ces résultats peuvent se traduire par de nouveaux médicaments pour traiter les troubles du sommeil, notamment l'insomnie, et le développement de meilleures et plus sûres anesthésiques.

"Nous sommes à un point véritablement transformateur en neurosciences," dit Bass, "où l'utilisation de gènes de créateurs nous donne une capacité sans précédent pour contrôler le cerveau. Nous pouvons maintenant répondre aux questions fondamentales de la fonction cérébrale, qui ont toujours été hors de notre portée, y compris le «pourquoi» de sommeil, l'un des mystères les plus durables dans le domaine des neurosciences. "

- See more at: http://healthandmedicine.org/post/97737424674/no-sedative-necessary-scientists-discover-new#at_pco=smlwn-1.0&at_si=563c5eceb2387d8a&at_ab=per-4&at_pos=0&at_tot=1

samuel

samuel
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Une étude américaine révèle que le temps de sommeil recommandé pour être en bonne santé varie au fil du temps, de 0 à 65 ans. Découvrez quel est le vôtre.
Le nombre d'heures de sommeil dont nous avons besoin ne change pas seulement lors du passage de l'enfance à l'âge adulte. D'après des experts américains du sommeil qui ont analysé 312 études menées entre 2004 et 2014, les besoins en sommeil seraient déterminés en fonction de neuf tranches d'âge :
Nouveau née âgée entre 0 et 3 mois : 14h à 17h de sommeil
Bébé âgée de 4 à 11 mois : 12h à 15h heures de sommeil
Enfant âgé entre 1 et 2 ans : 11h à 14h de sommeil
Elève de maternelle âgé entre 3 et 5 ans : 10h à 13h de sommeil
Elève de primaires âgé entre 6 et 13 ans : 9h à 11h de sommeil
Adolescent âgé entre 14 et 17 ans : 8h à 10 h de sommeil
Jeune adulte âgé entre 18 et 25 ans : 7 à 9 h de sommeil
Adulte âgé entre 26 et 64 ans : 7h à 9h de sommeil
Senior âgé de plus de 65 ans : 7h à 8 h de sommeil
Selon les chercheurs, cette estimation serait un bon indicateur de troubles du sommeil cachés. Les personnes qui respectent le nombre d'heures recommandées pour leur âge ci-dessus, se réveillant grognons et restant épuisées toute la journée devraient consulter un médecin.

En savoir plus sur http://www.medisite.fr//a-la-une-quel-est-le-temps-de-sommeil-recommande-pour-votre-age.791701.2035.html?xtor=EPR-26-968028[Medisite-A-la-Une]-20151119#xMRLCrmO4IyTIYFl.99

Josué

Josué
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Selon un sondage du réseau de mutuelles étudiantes emeVia, les étudiants se disent en bonne santé, mais près de 60% d’entre eux ne dorment que 6 ou 7 heures, un volume bien inférieur aux recommandations.

Les étudiants français se disent en bonne santé. Sur les 8078 étudiants interrogés par emeVia, le réseau national des mutuelles étudiantes de proximité, 94,7% disent être en «bon» ou «plutôt bon» état de santé, en légère baisse par rapport aux résultats de la précédente enquête réalisée en 2013 (95,2%). En 2015, le taux de bonne santé s’affichait à 96,2% chez les moins de 21 ans et à 98,5% chez ceux qui pratiquent une activité sportive régulière. Mais près d’un quart d’entre eux avouent mal dormir, un déficit de sommeil qui pèse sur leur stress et leur mental. En revanche, la pratique d’une activité physique régulière favorise selon eux la confiance dans l’avenir.

Un manque de sommeil qui augmente le stress
Sur les étudiants interrogés, ils sont 22,5% à estimer «mal» ou «très mal» dormir. Parmi eux, près de 60% dorment entre 6 et 7 heures, dont 13,1% qui dorment moins de 6 heures par nuit (contre 11,2% selon l’enquête de 2013)... C’est un volume d’heures bien inférieur aux recommandations de la Fondation nationale du sommeil américaine, qui conseille 7 à 9 heures de sommeil pour les jeunes de 18 à 25 ans. Élément également alarmant, plus d’un sur 10 (12%) prend des médicaments ou «des produits» pour dormir.

Plus les étudiants dorment peu, plus ils ont du mal à gérer leur stress. Ainsi, deux-tiers des étudiants qui se disent très fatigués avouent mal gérer leur stress. Sur l’ensemble des étudiants interrogés, ils sont 39,4% à estimer mal contrôler leur stress, avec une différence significative selon le sexe: près d’une femme sur deux (49,4%) mais seulement un homme sur quatre (26,9%).

Près de 9% des étudiants disent avoir des pensées suicidaires
Avoir une activité physique régulière favorise la santé, le sommeil, la gestion du stress, l’appétit et... la confiance dans l’avenir. Ainsi, 18,1% des étudiants des étudiants actifs physiquement disent avoir «une vision très positive de l’avenir», soit trois points de plus que la moyenne (14,9%). 8,4% des personnes interrogées disent avoir eu des pensées suicidaires au cours des douze derniers mois, un taux en augmentation par rapport à 2013 (7,3%).

samuel

samuel
Administrateur


COMBIEN DE TEMPS DOIT DURER UNE SIESTE ?

Pour récupérer d'une dette de sommeil ou favoriser sa productivité, la sieste demeure le meilleur moyen. Mais attention à ne pas dépasser la durée adéquate selon les bénéfices recherchés
C'est la question que beaucoup d'adeptes de la sieste se posent : combien de temps peut-on rester dans les bras de Morphée. Le tout est de trouver la durée idéale pour se sentir requinqué sans pour autant ressentir l'effet "groggy" qui nous fait émerger difficilement. Dans un article, "Le Figaro" a répondu à cette question en précisant qu'il existe deux types de sieste : la sieste courte et la sieste longue, dont les effets escomptés sont différents.

Une sieste courte ne dépasse pas les 30 minutes et peut s'avérer utile à tout à chacun au quotidien. Ses bienfaits sont avant tout relaxants, car le cycle reste dans la phase "légère" du sommeil. Elle permet au cerveau de produire des ondes relaxantes et donc de récupérer sans pour autant tomber dans un sommeil lourd. Après une mauvaise nuit, elle est conseillée pour restaurer les capacités cérébrales, notamment la vigilance et la concentration et améliorer l'humeur.

La longue sieste, l'équivalent d'une nuit de sommeil

Dans certains cas, mieux vaut se tourner vers la longue sieste. Il faut s'y consacrer pendant au moins une heure et demie soit un cycle entier de sommeil, ou même trois heures donc deux cycles. Elle vise à se remettre d'une nuit blanche ou très courte car elle s'apparente à une nuit classique qui comprend trois cycles : sommeil léger, profond et paradoxal. Pour s'y adonner, mieux vaut pouvoir s'endormir confortablement dans un lit. "Ses bénéfices sont autant physiques que cérébraux", précise le journal.


Toutefois, cette dernière doit rester exceptionnelle car elle n'est pas recommandée à tout le monde. Selon le docteur Bertrand de la Giclais, elle est déconseillée aux insomniaques, des petits dormeurs dont la sieste ne ferait qu'empiéter sur leur nuit de sommeil déja courte. Quant aux personnes qui hésitent encore à s'y adonner, il faut rappeler que ses effets sur la santé sont connus et reconnus, comme abaisser le niveau des hormones liées au stress, améliorer la mémoire ou encore favoriser la récupération musculaire.

En savoir plus sur http://www.medisite.fr//a-la-une-combien-de-temps-doit-durer-une-sieste.992115.2035.html?xtor=EPR-56-988440[Medisite-Info-Sante]-20151230#KdtxiZBC5ucThGvp.99

samuel

samuel
Administrateur

Un bon environnement, c'est une bonne température, entre 15 et 20 degré selon la National Sleep Foundation, tout en évitant la lumière artificielle qui perturbe l’horloge interne du corps. Pensez à éteindre vos appareils électroniques (la lumière bleue provenant de l’écran supprime la mélatonine, l’hormone qui contrôle votre cycle de sommeil et garde votre cerveau alerte). Enfin assurez-vous que votre matelas soit bon. Rien de pire qu’un lit qui occasionne des problèmes de dos.
En savoir plus sur http://www.medisite.fr/a-la-une-diapo-6-astuces-pour-ne-plus-etre-fatigue-la-journee.947729.2035.html?xtor=EPR-56-988909%5BMedisite-Info-Sante%5D-20160104#WfivHaYEekvjuvAl.99

samuel

samuel
Administrateur

trouvé la meilleure combinaison entre la durée du sommeil et la pratique d'une activité physique pour réduire au mieux les risques d'accident vasculaire cérébral.
Pour réduire considérablement le risque d'AVC, un sommeil de qualité et une pratique physique régulière sont essentiels surtout passé 50 ans. P otentiellement mortels, ils se produisent lorsque l'approvisionnement en sang dans une partie du cerveau est coupé. S'il a déjà été prouvé que le sport doit se pratiquer plusieurs fois par semaine pour une meilleure prévention, le mystère demeure sur le nombre d'heures de sommeil efficaces. En effet, dormir pendant une période assez longue ou à l'inverse trop courte peut influer sur la sévérité de l'attaque.
Des chercheurs de l'École de médecine de l'Université de New-York (Etats-Unis) se sont penchés sur le sujet et ont présenté leurs conclusions lors de l'International Stroke Conference à Los Angeles (Etats-Unis). Ils ont créé une analyse informatisée d'après les réponses de 288 888 adultes interrogés entre 2004 et 2013 sur leur mode de vie, leur âge, leur origine ethnique, leur nombre d'heures de sommeil et de sport par jour.
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Les gros dormeurs seraient les plus à risque de 146%

Les résultats ont montré que les dormeurs moyens, ceux qui restaient au lit pendant 7 à 8 heures par nuit étaient 25 % moins susceptibles de subir un accident vasculaire cérébral. Plus surprenant, les gros dormeurs, ceux qui passaient plus de 8 heures par nuit dans les bras de Morphée étaient 146 % plus susceptibles de connaître un AVC.
image: http://ced.sascdn.com/diff/261/3338447/Ban_Diabete_v3_300x250.gif

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Enfin, les petits dormeurs (moins de six heures par nuit) étaient quant à eux 22 % plus susceptibles de déclarer avoir souffert d'une AVC. Les chercheurs en ont conclu qu'une durée de sommeil moyenne associée à une activité physique vigoureuse (30 minutes à 60 minutes) de trois à six fois par semaine était le meilleur moyen pour diminuer de manière significative le risque d'AVC.

En savoir plus sur http://www.medisite.fr//a-la-une-avc-la-bonne-quantite-de-sommeil-par-nuit.1024944.2035.html?xtor=EPR-56-1024947[Medisite-Info-Sante]-20160224#Xs2sSFlhKjXOFPJ8.99

Josué

Josué
Administrateur

C'EST PROUVÉ : QUAND ON DORT BIEN, ON PARAÎT PLUS INTELLIGENT !

Des chercheurs écossais ont trouvé l’astuce pour paraître plus intelligent : faire une bonne nuit de sommeil !
En plus de faire grimper votre sex-appeal en vous évitant "paupières tombantes et froncements de sourcils", une bonne nuit de sommeil vous donnerait l’air plus intelligent, ont révélé des chercheurs de l’université de Saint Andrew (Ecosse).

Pour arriver à cette conclusion, les scientifiques ont soumis 190 visages d’enfants et d’adultes à un panel de 200 personnes chargés d’évaluer leur attractivité et leur intelligence. Ils ont ensuite mesuré l’ouverture des paupières et la courbe des bouches à l’aide d’un logiciel spécialisé.
Résultat : les signes des visages fatigués : paupières fermées, sourcils froncés, ont fait percevoir moins intelligents les personnes qui les affichaient.

Paupières tombantes : un mauvais signe !

"Les gens généralisent leur jugement sur ceux qui ont les paupières tombantes et les sourcils froncés, les interprétant comme des signes de fatigue et une mauvaise humeur, et par conséquent de basses capacités cognitives", a confié le chercheur principal et étudiant Sean Talamas au DailyMail . "J’ai mené cette enquête pour savoir si l’on pouvait changer la manière dont on dégage un sentiment d’intelligence, indépendamment de l’attractivité."
Par ailleurs, les visages d’enfants qui avaient l’air plus intelligents ont souvent également été jugés plus attirants, le "halo attractif" se dégageant particulièrement des personnes à l’attitude positive. "Le sommeil est non seulement vecteur de performance, mais il affecte aussi la façon dont les autres nous voient" a déclaré le professeur de psychologie de l’université de St Andrews, David Perrett.

En savoir plus sur http://www.medisite.fr//a-la-une-quand-on-dort-bien-on-parait-plus-intelligent.1032836.2035.html?xtor=EPR-56-1028697[Medisite-Info-Sante]-20160308#XVouz2zRZ6Zi2SbI.99

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