Témoins de JEHOVAH VERITE actif


Rejoignez le forum, c’est rapide et facile

Témoins de JEHOVAH VERITE actif
Témoins de JEHOVAH VERITE actif
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Témoins de JEHOVAH VERITE actif

forum des discussions sur la bible ouvert a tous.

Le deal à ne pas rater :
LEGO Icons 10331 – Le martin-pêcheur
35 €
Voir le deal

Vous n'êtes pas connecté. Connectez-vous ou enregistrez-vous

Dormir 8 heures n'est pas naturel

+6
olya
chico.
VENT
Josué
Mikael
Yirmeyah Jérémie
10 participants

Aller à la page : Précédent  1, 2, 3

Aller en bas  Message [Page 3 sur 3]

1Dormir 8 heures n'est pas naturel - Page 3 Empty Dormir 8 heures n'est pas naturel Mar 28 Fév - 16:52

Yirmeyah Jérémie

Yirmeyah Jérémie

Rappel du premier message :

http://fr-ca.etre.yahoo.com/dormir-huit-heures-ne-serait-pas-naturel--.html

Une enquête scientifique, relayée par GMA News, a livré la conclusion suivante : dormir pendant huit heures d’affilée ne serait pas quelque chose de naturel.
Deux chercheurs, Craig Koslofsky et Russell Foster, qui collaborent avec la BBC, se sont intéressés à des études antérieures menées sur le sujet. Et plusieurs de ces dernières révèlent un constat implacable : le vrai sommeil naturel correspond à quatre heures puis réveil de deux heures pour finir avec un autre dodo de quatre heures.

Au début des années 1990, selon la même source, un psychiatre a placé des personnes 14 heures par jour dans un noir total pendant un mois. Résultat, tous ces individus ont régulé de manière identique leur cycle de sommeil : ils dorment quatre heures, se réveillent durant deux heures pour se recoucher ensuite pendant encore quatre heures.
L'historien Roger Ekirch de Virginia Tech a publié aussi, en 2001, un article fondamental sur la base de 16 années de recherche, montrant des preuves historiques que l’on dormait les siècles derniers de cette manière, avec cette interruption de deux heures.

On dort huit heures en continu à cause de la société industrielle
Mais que faisait-on durant ces deux heures ? Selon Ekirch, citée par la même source, on priait, méditait, fumait, allait aux toilettes ou rendre visite aux voisins. On avait aussi évidemment des relations sexuelles et ces deux heures étaient même considérées comme le moment propice.
Mais d’où vient alors cette règle de la nuit complète de huit heures que l'on croyait intangible.
Ce cycle continu, sans interruption, est né tout simplement avec l’apparition de la lumière artificielle et du développement de la société industrielle qui a imposé des horaires de travail strictes au XIXe siècle à la majorité de la population.

Le problème est qu'un nombre incalculable de personnes ont subi, et subissent encore aujourd’hui, ce changement de rythme : apparition des phénomènes d’anxiété nocturne, des maladies d’insomnies avec l’envahissement des anxiolytiques en accessoire.

http://communautetjfrancoph.forum-canada.com/

Josué

Josué
Administrateur

Bien souvent, ce sont le stress, les angoisses, les ruminations... qui perturbent l'équilibre veille/sommeil. "En prévention, la valériane est l'une des plantes qui a le mieux démontré son efficacité pour calmer l'anxiété et améliorer la qualité du sommeil", précise le Dr Adrien. Elle peut aider à diminuer les réveils nocturnes, sous forme de tisanes ou, encore plus efficaces, de gélules d'extraits secs (2 gélules dosées à 200 mg d'extrait sec vers 19/20h puis 3 au moment du coucher).
En savoir plus sur http://www.medisite.fr/fatigue-insomnies-8-astuces-pour-ne-plus-se-reveiller-en-pleine-nuit.997049.63.html?xtor=EPR-26-1037588[Medisite-A-la-Une]-20160318#DafShlvsBIjiRXIO.99

Josué

Josué
Administrateur

SIESTE : LA BONNE DURÉE POUR NE PAS METTRE VOTRE COEUR EN DANGER

Les adeptes de la sieste doivent se contenter d'un court repos s'ils ne veulent pas augmenter leur risque de maladies cardiaques, estiment des chercheurs.
Si une bonne sieste demeure toujours appréciée, il serait dangereux de trop en abuser. Une étude réalisée par des chercheurs de l'université de Tokyo montre que la durée pendant laquelle nous rejoignons les bras de Morphée durant la journée impacte de près notre métabolisme. Plus précisément, une sieste de 40 minutes ou plus serait associée à un risque de développer un syndrome métabolique, une accumulation de troubles comme l'hypertension artérielle, un excès de graisse abdominale et un important taux de sucre dans le sang.

Un risque doublé pour une sieste d'une heure et demie

Autant de problèmes de santé qui accroissent fortement le risque de maladies cardiaques notamment. Ces conclusions reposent sur 21 études impliquant 307 237 personnes. Les résultats ont montré qu'une sieste de 90 minutes augmentait le risque de syndrome métabolique de 50%, tout comme le fait de ressentir une fatigue excessive durant la journée. A l'inverse, ceux qui dormaient moins de 30 minutes ne connaissaient pas ce risque.
"Le sommeil est un élément important de notre mode de vie sain, ainsi que le régime alimentaire et l'exercice, a déclaré Tomohide Yamada, diabétologue et auteur de l'étude. Les siestes courtes pourraient avoir un effet bénéfique sur notre santé, mais nous ne savons pas encore la force de cet effet ou le mécanisme par lequel cela fonctionne." L'agence américaine du sommeil (National Sleep Foundation) recommande des siestes de 20 à 30 minutes pour améliorer la vigilance, mais sans ressentir l'effet "groggy" du réveil.
L'étude a été publiée sur le site de l'American College of Cardiology


En savoir plus sur http://www.medisite.fr//a-la-une-sieste-la-bonne-duree-pour-ne-pas-mettre-en-danger-votre-coeur.1043315.2035.html?xtor=EPR-26-1037457[Medisite-A-la-Une]-20160329#fzFhyy28zKuLVTx4.99

samuel

samuel
Administrateur

15,6 c'est en milliards que cumulent les Francais par an.
Résultat :sur une journée de travail , on estime en moyenne qu'ils sont efficaces entre cinq et six heures .
La solution ?
La sieste ,pardi!

Josué

Josué
Administrateur

La passiflore et la valériane sont deux plantes dont les vertus apaisantes et relaxantes sont reconnues, notamment par l'Agence européenne du médicament (EMA). Parce qu'elles aident à calmer l'anxiété modérée et la tension nerveuse, elles sont particulièrement recommandées en tisane pour trouver le sommeil, seuls ou ensemble.
Mode d'emploi : Verser l'équivalent d'une tasse d'eau bouillante sur une cuillérée à café de la plante séchée. Laisser infuser environ dix minutes. Boire deux à trois tasses par jour.

En savoir plus sur http://www.medisite.fr/stress-5-astuces-naturelles-pour-faire-retomber-la-pression.1050922.295402.html#aoYssdfKCad4K13H.99

Josué

Josué
Administrateur

Je dors plus pour éviter d'être enrhumé.
Dormir moins de six heures par nuit nous rend en l'espace d'une semaine quatre fois plus sensible au virus du rhume que ceux ayant dormi plus de sept heures.
L'expérience menée à l'hôpital de Pittsburgh sur plus de 124 volontaires le montre clairement , notre sommeil a un impact sur notre immunité.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

12.11.2016
Trop peu de sommeil augmente la consommation de boissons gazeuses et sucrées
La science liait récemment le manque de sommeil à l’augmentation de l’appétit. Cette fois-ci, une étude de chercheurs de l’université de Californie (Etats-Unis) suspecte son impact sur la consommation de boissons sucrées et gazeuses. Dormir moins de 5 heures par nuit pourrait ainsi augmenter d’un cinquième la consommation de caféine et de 11% celles de boissons sucrées, ont-il établi. Et cela pourrait favoriser le risque d'un diabète de type 2 selon eux .
Les chercheurs ont suivi 18 779 participants, leur posant des questions sur le temps et la qualité de leur sommeil habituel (pendant la semaine de travail) ainsi que sur leur consommation de boissons diverses, de thé, de café ou d’eau...
Aucune explication n’a pu encore être donnée pour comprendre le lien entre sommeil et consommation de boissons.

En savoir plus sur http://www.medisite.fr/a-la-une-la-maladie-que-vous-risquez-si-vous-ne-dormez-pas-assez-la-nuit.1221847.2035.html?xtor=EPR-56%5BMedisite-Info-Sante%5D-20161112#Li63dWg0LDCeILex.99

Invité


Invité

Oui, c'est vraiment vrai,
Je suis un grand consommateur de boissons gazeuse et de café, je dois faire bien attention pour lutter contre ces probleme la, j'ai toujours eu un grand probleme de sommeil, je me souvient pas quand j'ai dormis au mois 7H dans une nuit,
Oui, fatiguer quand je me lève, alors je prend boissons gazeuse et Cafe oour me tenir debout, j'ai longtemps pris 6 litres de Pepsi (Coke son rival) par jours pour me maintenir debout, c'est le truc que je prenais, vl'a ne veux pas dire qu'il était bon, mais c'était selon mon avis une aide pour rester réveiller ...

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Vous recevez cet email car vous avez accepté de recevoir les offres partenaires de Deal Plus.
Pour visualiser correctement ce message, accédez à la version en ligne.
Pour être sur de recevoir nos messages merci d'ajouter l'adresse newsletter@dealplus-8.com à votre liste de contact.




Olliscience Laboratoires

Olliscience

Pour être en bonne santé… DORMEZ !

Si vous souffrez de stress chronique, de surmenage ou vivez actuellement une situation difficile (séparation, deuil, difficultés familiales, professionnelles ou financières), vous risquez d’enchaîner les mauvaises nuits avec :

des difficultés à trouver le sommeil au moment du coucher ;

des réveils nocturnes avec des difficultés pour vous rendormir rapidement ;

des difficultés à dormir plus de 3 ou 4 heures d’affilée ;

un sommeil léger ou agité ;

un réveil matinal vers 4h du matin ;

des cauchemars ou des idées noires ;

une sensation de ne pas être suffisamment reposé au réveil ;

des coups de barre en journée à cause d’un sommeil non réparateur.

Avec l’âge, vous pouvez rencontrer ces problèmes plus régulièrement car le rythme du sommeil se modifie.

Quand les mauvaises nuits se répètent, vous finissez par développer un sentiment d’angoisse à l’idée de passer encore une mauvaise nuit et d’en subir les conséquences. Cette peur de l'insomnie rend votre sommeil encore plus difficile à trouver et peut vous entraîner dans un cycle infernal qui met votre santé en péril.

Pour vous aider à mieux dormir, les Laboratoires Olliscience ont créé pour vous SOMNICALM, un complément alimentaire à base de 3 actifs exclusifs :

De la mélatonine pour réduire le temps d’endormissement, augmenter la durée totale du sommeil sur une nuit entière et améliorer la qualité de votre sommeil,

Du tryptophane pour prolonger l’action de la mélatonine au cours de la nuit et vous permettre de dormir d’un sommeil profond, plus longtemps.

De la mélisse pour favoriser la relaxation et lutter contre les troubles du sommeil liés au stress, à l’anxiété ou à un état dépressif.

Grâce à son action 100% naturelle, sans effet nocif et sans accoutumance, vous bénéficiez rapidement de tous les bienfaits d’un sommeil rapide et profond.

Que vous souffriez d’insomnies passagères ou chroniques, l’innovation des Laboratoires Olliscience peut vous aider à retrouver rapidement des nuits paisibles et à rester en bonne santé.

Pour en savoir plus et recevoir GRATUITEMENT et sans engagement notre dossier inédit sur les solutions naturelles contre les troubles du sommeil, il vous suffit de cliquer sur le lien ci-dessous.

En vous inscrivant à la newsletter des Laboratoires Olliscience, vous découvrirez comment vous pouvez gagner des années de vie en bonne santé, sans le moindre effort.




Invité


Invité

Melatonie jai déjà essayer comme plusieurs autres traitements bien sur, mais dans mon cas là prémiere journée c'est bien, je dort normalement un peu plus, mais ça m'irrite ce medicaments, j'ai la tête pris dans un étaux, tout m'irrite, ce médicament n'as pas de bon effets sur moi, aucun

De la mélasse oui, au lieu de prendre tisane et autre qui ne me relaxe pas plus, la mélasse prise comme une tisane m'aide à régulariser tout le système, mais il ne faut pas prendre en quantité industrielle sinon ce n'est pas mieux

Josué

Josué
Administrateur

Comment le sommeil intervient-il dans la mémorisation ?
Par Gérarldine Rauchs Mis à jour le 14/11/2016 à 17:23 Publié le 14/11/2016 à 17:23
AVIS D’EXPERT - Géraldine Rauchs est chargée de recherche à l’unité Unité Inserm 1077 « Neuropsychologie et neuroanatomie fonctionnelle de la mémoire humaine », responsable du groupe « Sommeil, cerveau et mémoire ».

Constamment sollicitée, la mémoire enregistre la multitude d’informations que nous percevons durant la journée. Pour consolider les souvenirs, le cerveau doit effectuer un tri de ces informations en stockant les éléments importants tout en oubliant les détails (la couleur de la chemise du chauffeur de bus par exemple). Mes projets de recherche, axés sur le lien entre sommeil et mémoire, ont exploré le rôle du sommeil dans ce processus de tri des souvenirs.
L’expérience a été menée chez des étudiants qui se sont prêtés à des exercices de mémorisation. Nous leur avons présenté des mots (pendant 1 seconde) suivis d’une consigne: «à retenir» ou «à oublier». Les participants ont ensuite été séparés en 2 groupes: l’un a pu dormir normalement la nuit qui a suivi cette phase d’apprentissage, tandis que l’autre a été privé de sommeil. Trois jours après, les deux groupes ont été réunis pour participer à un test de mémoire. Alors que les sujets privés de sommeil ont retrouvé autant de mots «à retenir» que ceux qui avaient dormi, ils se sont aussi souvenus de plus de mots «à oublier».
L’hippocampe, structure clé de la mémoire

Chez ces étudiants, le processus de consolidation des souvenirs n’est donc pas bloqué par la privation de sommeil. Par contre, en plus d’avoir appris des éléments importants, ils ont retenu des tonnes d’informations parasites, rendant plus difficile la restitution d’un message pertinent. Cela confirme que les nuits blanches de révision seraient une mauvaise idée en cas d’examen.
En examinant avec l’IRM fonctionnelle le cerveau des participants lors de l’apprentissage, nous avons observé que les mots qu’il fallait retenir activaient plus une région cérébrale particulière, localisée dans le lobe temporal: l’hippocampe. L’hippocampe est une structure clé de la mémoire, qui signalerait, parmi toutes les informations reçues, celles qui doivent être consolidées au cours du sommeil.
Toutefois, ce n’est pas dans l’hippocampe que les souvenirs sont stockés. Comme l’illustre la «madeleine de Proust», le souvenir est associé à une diversité d’émotions, liées à l’image, à l’odeur, à la saveur… Ces éléments sont éparpillés dans différentes régions spécialisées du cortex cérébral: les images au niveau des aires visuelles, les odeurs dans le cortex olfactif... Il y a donc une multitude de sites de stockage, et l’hippocampe sert en quelque sorte de table des matières stockant le chemin d’accès aux différents éléments du souvenir.
Plaques amyloïdes

De nombreuses études ont montré que, pendant le sommeil, l’hippocampe rejoue la partition des choses apprises dans la journée. Les informations sont transférées au cortex pour une mémorisation pérenne et intégrées aux souvenirs et connaissances préexistantes.
Un autre aspect de nos recherches s’intéresse au vieillissement et à la maladie d’Alzheimer, qui est associée à un déclin de la mémoire sévère. Chez les patients, les troubles du sommeil sont également très fréquents.
Notre équipe Inserm étudie le sommeil de sujets âgés de 40 à 85 ans, sains ou ayant des troubles cognitifs légers. L’objectif est de comprendre le lien entre la qualité du sommeil et la formation des plaques amyloïdes, qui sont une des lésions caractéristiques de la maladie d’Alzheimer. Le sommeil est analysé au moyen de questionnaires et d’enregistrements du sommeil, et les plaques amyloïdes visualisées grâce à l’imagerie cérébrale. Nous faisons l’hypothèse que les troubles de la mémoire et les lésions cérébrales seront plus importants chez les sujets ayant un sommeil de mauvaise qualité.
En établissant un lien entre le sommeil et les plaques amyloïdes aux stades précoces de la maladie d’Alzheimer, nous pourrons montrer qu’il est nécessaire de prendre en charge les troubles du sommeil de la personne âgée et des personnes à risque (notamment par des approches non médicamenteuses telles que la luminothérapie, l’activité sportive, la méditation…) afin de freiner la progression de la maladie.
http://sante.lefigaro.fr/article/comment-le-sommeil-intervient-il-dans-la-memorisation-

Josué

Josué
Administrateur

Méthode pour bien dormir.
http://www.jedorspaisiblement.fr/vslsom123.php?s=mwCPCupofMediaH-som_CPpaisH_20161201

Invité


Invité

Oui ca m'intéresse mais je suis rendu a 7 min 27 et la il parlent de Hupnoterapeute, jai arreter, on ne dois pas faire affaire avec ceux qui font de l'hypnose il me semble ...

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

C'est hypnotherapeute.
L'hypnothérapie est l'utilisation de l'hypnose pour faire de la thérapie, c'est-à-dire l'introduction de ... Définition des objectifs; Apprentissage de l'hypnose; Exploration; Renforcement de l'égo; Changement en ...

Invité


Invité

Oui, mais un Chretien n'accepte pas l'Hypnose ...

samuel

samuel
Administrateur

Tu sais maintenant dans certains hôpitaux ont opèrent sous hypnose.
Mais il faut faire attention quand même.

jc21



Justement, comme ça passe par la médecine, on pourrait se dire c'est pas la même hypnose, c'est médical, donc il n'y a pas de danger. Ca serait une grosse erreur de penser ainsi et de prendre le risque de perdre notre amitié avec Jéhovah et nous mettre sous la coupe des démons. L'hypnose est dangereux qu'il soit pratiqué par des hypnotiseurs ou des médecins, c'est le même principe et on connaît qui se cache derrière tout ça.

Pour ceux qui en doute, voici un article dans le Réveillez vous du 8/07/03 :

D’après la Bible...
L’hypnose est-elle pour les chrétiens ?
“ Il ne se trouvera chez toi personne qui [...] lie autrui par quelque sortilège. ” — DEUTÉRONOME 18:10, 11.

L’HYPNOSE fait l’objet de nombreuses polémiques*. Même les spécialistes ont du mal à la définir. Elle est généralement assimilée à un état de conscience modifié ou à la transe. Cela dit, la plupart des gens s’intéressent davantage à ses effets qu’à ce qu’elle est réellement.

Depuis quelques années, dans certains pays, de plus en plus de médecins préconisent l’hypnose. Témoin cette déclaration de la revue Psychology Today : “ L’hypnothérapie peut soigner les migraines, atténuer les douleurs de l’accouchement, aider à arrêter de fumer, remplacer l’anesthésie et améliorer les habitudes d’étude — sans aucun effet secondaire. ” Toutefois, beaucoup associent l’hypnose au spiritisme et à l’occultisme.

Que dit la Bible à ce sujet ? Il est vrai que la Parole de Dieu n’est pas un guide médical et qu’elle ne parle pas explicitement de l’hypnose. Mais les principes qu’elle renferme nous permettent de déterminer le point de vue de Dieu sur la question.

L’hypnose est-elle liée à l’occultisme ?

L’affirmation selon laquelle l’hypnose a un rapport avec l’occultisme est-elle une fable ? Bien que ce soit l’idée que veulent faire passer les films ou les romans fantastiques, hypnose et spiritisme sont bel et bien liés. Au sujet de l’hypnose, l’Encyclopédie de l’occultisme et de la parapsychologie (angl.) déclare : “ Son histoire est étroitement liée à l’occultisme. ” Les transes mystiques, qui depuis toujours font partie de la sorcellerie et de la magie, sont généralement considérées comme une forme d’hypnose. En outre, lorsqu’ils tentaient de guérir des maladies au nom de leurs faux dieux, les prêtres de l’Égypte et de la Grèce antiques plongeaient leurs patients dans une sorte d’état hypnotique.

L’encyclopédie poursuit : “ Même aujourd’hui de nombreux phénomènes hypnotiques sont qualifiés de ‘ spirites ’. ” Bien qu’il soit difficile de déterminer dans quelle mesure les différentes formes d’hypnose sont liées à l’occultisme, le fait est que Dieu condamne ouvertement tout ce qui a trait au spiritisme (Deutéronome 18:9-12 ; Révélation 21:Cool. Les chrétiens ne peuvent donc fermer les yeux sur cette évidence : l’hypnose est contraire à la Bible.

Effets sur le comportement

Quels sont les effets de l’hypnose sur l’esprit et le comportement ? Présente-t-elle des risques ? On est en droit de le penser. En effet, une personne hypnotisée a peu de contrôle sur elle-même. Sur scène, les hypnotiseurs en profitent pour inciter les volontaires à faire des choses qu’ils ne feraient pas en temps normal, allant jusqu’à les faire paraître ivres.

À propos de ces numéros d’hypnose, l’Encyclopedia Americana fait remarquer : “ Le sujet hypnotisé est facilement réceptif aux suggestions, même indirectes ; ses pulsions inconscientes habituellement refoulées peuvent resurgir ; et il a le sentiment d’être libéré de toutes ses inhibitions et des pressions sociales. ” Une autre encyclopédie (Collier’s Encyclopedia) précise : “ Le sujet hypnotisé jouit d’une concentration optimale de ses facultés, ce qui le rend très attentif aux suggestions de l’hypnotiseur et particulièrement coopératif. ”

Cela vous semble-t-il inoffensif ? Serait-il sage qu’un vrai chrétien laisse d’autres personnes influencer son esprit au moyen de suggestions hypnotiques ? Ce serait contraire à cet avertissement de l’apôtre Paul : ‘ Présentez vos corps comme un sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu : un service sacré avec votre raison. Et cessez de vous conformer à ce système de choses-ci, mais transformez-vous en renouvelant votre intelligence, pour pouvoir éprouver personnellement ce qu’est la volonté de Dieu, bonne, agréable et parfaite. ’ — Romains 12:1, 2.

Un chrétien pourrait-il ‘ avoir une bonne conscience ’ s’il se mettait dans une situation qui l’empêcherait de maîtriser pleinement ses pensées, ses désirs, voire ses actions (1 Pierre 3:16) ? La Bible fait ce rappel : “ Que chacun de vous sache se rendre maître de son propre vase dans la sanctification et l’honneur. ” (1 Thessaloniciens 4:4). Il est évident que nous ne pourrions pas suivre ce conseil sous l’effet de l’hypnose.

L’espoir d’une santé parfaite

Conformément aux principes bibliques mentionnés ci-dessus, les Témoins de Jéhovah rejettent les techniques qui recourent à l’hypnose ou à l’auto-hypnose. Ils tiennent compte de ce commandement consigné en Deutéronome 18:10, 11 : “ Il ne se trouvera chez toi personne qui [...] lie autrui par quelque sortilège. ” Pour ceux qui ont des ennuis de santé, il existe beaucoup d’autres traitements qui ne les exposent pas aux dangers de l’occultisme ou à la manipulation mentale.

En restant éloignés des pratiques contraires aux principes de la Bible, les chrétiens peuvent espérer vivre éternellement dans le monde nouveau et juste de Dieu. Les humains jouiront alors d’une santé physique et mentale parfaite, sans recourir à l’hypnotisme. — Révélation 21:3, 4.

[Note]

On définit l’hypnose comme un état voisin du sommeil, généralement provoqué par une autre personne. Le sujet peut se remémorer des souvenirs oubliés ou refoulés, avoir des hallucinations et être particulièrement suggestible.

Invité


Invité

Oui, c'est bien ce que je pensait, faut pas toucher à  l'hypnose, je n'ai pas regarde la video quand j'ai vue que la solution etait l'hypnose

Josué

Josué
Administrateur

Mesuré par IRM, le volume du cerveau de 177 élèves de 14 ans semble réduit dans certaines zones.

Anaïs et Annette ont 14 ans, mais pas le même profil de sommeil. En semaine, elles se couchent toutes les deux aux alentours de 22 heures et se lèvent vers 7 h 30, mais le week-end, si Annette garde ce rythme de couchage en s’accordant deux heures de plus de sommeil, Anaïs, elle, s’endort plus tard, vers 23 h 30, et se lève autour de 10 h 30. Un danger pour son cerveau en formation?
À lire les résultats du «Scientific reports» de Nature publié ce 8 mars, Anaïs risque d’avoir un cerveau plus petit que celui d’Annette. Même si, contrairement à ce qu’ont observé les chercheurs de l’unité Neuro-imagerie et psychiatrie de l’Inserm à l’origine de ce travail, ses résultats scolaires n’en pâtissent pas.
En étudiant par imagerie le cerveau d’adolescents de 14 ans, Jean-Luc Martinot et ses collègues se sont aperçus qu’il existait une relation entre les habitudes de sommeil, la structure du cerveau et les résultats scolaires. «Nous avons utilisé la morphométrie par IRM pour mesurer la volumétrie de différentes zones du cerveau de 177 adolescents, d’une même classe d’âge, à qui nous avons également fait remplir des questionnaires portant notamment sur les habitudes de sommeil», explique Jean-Luc Martinot.
Impact sur les performances scolaires

«Tout d’abord, on observe un décalage entre les heures de coucher et de lever dans la semaine (22 h 30-7 h 06 en moyenne) et le week-end (23 h 30- 9 h 45)», souligne le chercheur. Un lever tôt en semaine et un coucher tardif le week-end. Mais surtout ce décalage pourrait avoir des conséquences sur l’anatomie même du cerveau. «Nous avons été surpris de voir que ce décalage dans les heures de lever s’accompagnait d’une diminution du volume de plusieurs régions du cerveau, notamment frontales et cingulaires, qui jouent un rôle important pour l’attention, la concentration et la régulation des émotions .»
Plus troublant encore dans cette étude, près de la moitié de l’impact sur les performances scolaires est liée aux variations de volume cérébral dues au heures de coucher tardives du week-end. Ajouté aux rythmes scolaires qui obligent les ados à se lever tôt en semaine alors que leur rythme biologique les inclinerait à se lever plus tard, voilà qui pèse sur les performances. «Certains ados sont à l’école mais leur cerveau est resté sur l’oreiller», déplore Jean-Luc Martinot.
Une étude à confirmer

Est-ce une simple association ou existe-t-il un lien de causalité? «Il est impossible de trancher à partir d’un échantillon comme celui-ci», explique Clifford Saper, professeur de neurologie et de neurosciences à la Harvard Medical School (États-Unis). «Par exemple, les enfants qui ont eu moins de sommeil et des réductions de certaines régions cérébrales prennent-ils des drogues ou boivent-ils plus d’alcool que les autres (l’alcool en particulier peut temporairement réduire le tissu cérébral)?», glisse le Pr Saper. «Nous avons enlevé de l’analyse les adolescents qui avaient des consommations élevées d’alcool ou autres toxiques, répond Jean-Luc Martinot, et pour les autres nous avons observé, après avoir quantifié leur consommation, que les résultats obtenus étaient quasiment identiques».
Le Pr Saper s’interroge aussi que la question du sens de la relation éventuelle: «Est-ce le manque de sommeil qui a causé la perte du volume cérébral dans ces régions? Ou le manque de développement de ces zones conduit-il à des choix de vie moins sains, y compris moins de sommeil (et peut-être prendre des drogues ou de l’alcool)?» En attendant, Jean-Luc Martinot conseille aux parents de veiller sur le sommeil de leurs ados: «À 14 ans, le cerveau est clairement encore en train de se développer et il est très sensible aux influences extérieures .»
«Ce travail nécessitera un suivi attentif car des études utilisant la morphométrie basée sur le voxel (petit volume cubique, NDLR) n’ont pas toujours été reproduites avec succès », tempère le Pr Saper. Or, pouvoir répéter une étude est l’un des fondements de la validation scientifique. «Ainsi, on voudrait voir un deuxième échantillon indépendant de cas qui montrent les mêmes caractéristiques pour être sûrs que les résultats étaient valides.»
Un risque cardio-vasculaire accru
Les troubles du sommeil ne sont pas l’apanage des adultes. En 2012, une étude canadienne portant sur plus de 4100 adolescents en retrouvait 19 % qui dormaient mal en semaine et 10 % le week-end. On comptait même 6 % qui prenaient des médicaments pour mieux dormir.
Mais le plus étonnant, pour une population aussi jeune, était l’impact déjà visible des troubles du sommeil sur les facteurs de risque cardio-vasculaire. Un effet persistant même après avoir tenu compte des paramètres susceptibles d’influer sur le risque cardio-vasculaire.
Notamment le manque d’activité physique, l’alimentation déséquilibrée et les antécédents familiaux de maladies cardio-vasculaires prématurés (par exemple un parent ayant fait un infarctus du myocarde à un âge jeune). Résultat, les adolescents qui dormaient mal avaient un risque d’hypertension artérielle accru de 44 % et une majoration de 28 % de la probabilité de présenter un taux élevé de cholestérol.
Il est dommage que les auteurs n’aient pas tenu compte d’éventuels syndromes d’apnée du sommeil, qui, on le sait désormais, sont possibles aussi chez les enfants.
Heureusement la plupart des maladies cardio-vasculaires liées à une mauvaise hygiène de vie mettent des années à se développer, mais les mauvaises habitudes, hélas, se prennent souvent très jeune.
http://sante.lefigaro.fr/article/le-manque-de-sommeil-pourrait-modifier-le-cerveau-des-adolescents

samuel

samuel
Administrateur

Journée du sommeil : pour bien dormir, dormez seul (et sans chat)
À l’occasion de la 17e journée du sommeil, une enquête réalisée par l’Institut national du sommeil et de la vigilance établit que dormir avec un enfant ou un animal a des conséquences néfastes sur notre sommeil.

Un tiers des Français qui ont un animal avouent le laisser accéder à leur lit

Bruno Rougier
Radio France
Mis à jour le 17/03/2017 | 06:28

Nous la préparons pour vous chaque matin
Alors que la qualité du sommeil est primordiale pour préserver sa santé, dormir avec un enfant ou un animal a des conséquences qui sont loin d'être négligeables : c'est ce qui ressort d'une enquête réalisée par l'Institut national du sommeil et de la vigilance à l'occasion de la 17° journée du sommeil qui se tient ce vendredi 17 mars. Dans un couple, le plus souvent, le sommeil à deux est la règle. Pourtant, lorsque l’autre ronfle ou se retourne intempestivement, le choix du lit séparé est la solution trouvée par 40% des personnes en couple interrogées dans le cadre de l'enquête.

Ne pas dormir avec son enfant

25 % des Français qui ont un enfant concèdent dormir occasionnellement avec lui, tandis que 7 % des parents dorment pratiquement toutes les nuits avec leur enfant. Pour différentes raisons, énonce le professeur Brigitte Fauroux, pneumo-pédiatre à l'hôpital Necker : "C’est premièrement à la demande de l’enfant : il est allé dans le lit des parents une première fois et il a trouvé cela très bien et donc… il recommence."

Arrivent ensuite la peur ou les cauchemars. Ou l’absence du conjoint : l’enfant remplace alors le parent absent. Cela peut résulter, enfin, de raisons médicales : l’enfant, malade, passe quelques nuits dans le lit de ses parents. "Je ne pense pas que ce soit une bonne chose, prévient la pneumo-pédiatre. Tant pour préserver la bonne qualité du sommeil des enfants que celle des parents, il faut que chacun dorme dans son lit et dans sa chambre. Dormir avec les parents doit rester l’exception."

Dormir avec son chat est une mauvaise idée

Autre compagnon indésirable la nuit, l'animal à quatre pattes. Un tiers des Français qui ont un animal le laissent accéder à leur lit. Une présence qui est néfaste pour plusieurs raisons explique le docteur Marc Blumen, spécialiste du sommeil. "Les animaux, notamment les chats, viennent dormir sur les personnes et bougent, induisant des micro-réveils et donc une mauvaise qualité du sommeil.", explique-t-il.

"Par ailleurs, prévient Marc Blumen, si les personnes sont allergiques, elles peuvent s’exposer à des crises de rhinite, d’obstruction nasale, de mauvaise qualité du sommeil, voire d’asthme." "Malheureusement, déplore le praticien, les gens qui viennent nous voir en consultation préfèrent subir les conséquences du manque de sommeil que de dire non à leurs animaux." L’enquête révèle d'ailleurs que 13 % des personnes jugent que dormir avec leur chien ou leur chat améliore leur sommeil.

samuel

samuel
Administrateur

Nombreuses sont les sociétés à commercialiser des pilules ou gélules contenant des extraits de racines d’ashwagandha. Des chercheurs ont voulu savoir si la plante avait réellement un principe actif favorisant le sommeil.

Ce n’est pas pour rien qu’elle s’appelle Withania somnifera. L’ashwagandha («la force du cheval» en sanskrit) est une herbe indienne (solanacée) qui fait partie de l’ayurvéda, forme de médecine traditionnelle originaire de l’Inde, fort à la mode un peu partout. Entre autres vertus, elle est réputée aider à l’endormissement. Présentée comme le ginseng indien, cette plante énergisante est traditionnellement utilisée pour traiter les problèmes liés au vieillissement, l’impuissance et la fatigue intellectuelle. Proposée comme un antistress naturel qui aide à l’apaisement, à la relaxation et à la détente, l’ashwagandha est également utilisée pour lutter contre l’insomnie et les états d’anxiété.
Testé sur des souris

Nombreuses sont les sociétés à commercialiser des pilules ou gélules contenant des extraits de racines d’ashwagandha et à vanter les mérites des withanolides, des molécules de la famille des stéroïdes spécifiques à la plante. Las, ils vont tomber de haut suite à une étude pharmacologique japonaise. Un groupe de chercheurs d’un institut spécialisé dans le sommeil, à l’université de Tsukuba, a voulu savoir si la plante avait réellement un principe actif favorisant le sommeil et, si oui, quel était-il. Ils ont donc testé sur des souris différents extraits de la plante. Des électroencéphalogrammes (activité du cerveau) et des électromyogrammes (activité des muscles) étaient réalisés pendant le sommeil des muridés.
Plusieurs surprises attendaient les chercheurs. La première était qu’il y avait bien un principe actif somnifère. Qui induisait chez les cobayes un sommeil en tout point semblable au naturel, avec une absence de mouvements oculaires en sommeil profond et des mouvements rapides des yeux en sommeil paradoxal. Seconde surprise, l’extrait avec les withanolides n’a montré aucun effet sur le sommeil. C’est celui avec du triéthylène glycol (TEG) qui s’est avéré efficace! Et les extraits étaient tirés des feuilles de la plante. Des essais menés avec des extraits de même concentration de TEG commercial se sont aussi révélés somnifères. Mais les auteurs soulignent que l’utilisation éventuelle du TEG, une molécule utilisée dans l’industrie comme plastifiant et déshydratant, sur l’homme devra attendre des essais cliniques indispensables.
La rédaction vous conseille
Le stress, principale cause du mauvais sommeil des Français
Ces plantes pour aller mieux .
Le Figaro santé.

Marmhonie

Marmhonie
MODERATEUR
MODERATEUR

Quand les feuilles d'un arbre sont jaunies, on peut traiter les feuilles, il y a des angrais, des traitements. Ils traitent les effets.

Vous dormez mal, et vous croyez qu'en masquant les effets, vous solutionnez le problème ?

Il y a des cas où l'insomnie peut être d'une exceptionnelle gravité.

C'est aux causes qu'il faut aller, aux racines et non aux feuilles.

C'est fondamental.

Maintenant, c'est vous que cela regarde.

http://forummarmhonie.forumotion.asia/forum

Josué

Josué
Administrateur

Comment prendre soin de son sommeil ?
Par Raphaëlle Bartet Mis à jour le 15/03/2017 à 10:50 Publié le 03/03/2017 à 15:43
Dormir reste le meilleur remède à la fatigue, à condition que les nuits soient de qualité ! Détenir les clés d’un sommeil récupérateur permet de repérer d’éventuels troubles.

Le sommeil a une double action: recouvrer les besoins physiques de l’organisme et les facultés psychologiques ou de bien-être. C’est ce qui nous permet de récupérer et c’est la seule fonction en mesure de le faire», expose le Dr Eric Mullens, médecin généraliste, chef de service du Laboratoire du sommeil de la Fondation Bon Sauveur d’Alby, dans le Tarn.
Son rôle est essentiel dans le bon fonctionnement du corps et de l’esprit. Tout d’abord, «il assure une température constante tout au long de la nuit pour un bon équilibre», explique le Pr Damien Léger, vice-président de la Société française de recherche et médecine du sommeil, et responsable du Centre du sommeil et de la vigilance de l’Hôtel-Dieu, à Paris. Pendant que nous dormons, le corps sécrète une hormone de croissance qui, chez l’adulte, contribue notamment à la régulation des graisses.
De plus, le sommeil permet la mise au repos du système cardiovasculaire. «Pendant la nuit, le cœur ralentit son rythme de 15 à 20 %, permettant une économie du système. Au cours de ce relâchement, beaucoup de réparations périphériques se mettent en œuvre, avec la régénération cellulaire des différents organes», souligne le Pr Léger. Son effet est également observé sur la relaxation des muscles. L’inactivité des cellules musculaires leur permet de se régénérer et les aide à reconstituer leur stock énergétique.
«Pendant la nuit, le cœur ralentit son rythme de 15 à 20 %, permettant une économie du système»
Pr Damien Léger, responsable du Centre du sommeil et de la vigilance de l’Hôtel-Dieu, à Paris
Sur le plan cognitif aussi, le sommeil assure un rôle majeur. «Durant le sommeil paradoxal, un classement des informations et des émotions s’effectuent et ces dernières s’organisent, contribuant à la mémoire», précise le Pr Léger. Le sommeil lent profond aide, lui, à éliminer toxines et déchets du cerveau accumulés pendant la période de veille. Ce mécanisme récemment découvert par le chercheur américain Dr Maiken Nedergaard et son équipe est essentiel au bon fonctionnement cérébral. Rien de tel que cet ingénieux système d’auto-nettoyage pour avoir les idées claires le lendemain!
Etre à l’écoute de ses besoins est un préalable pour bien récupérer

Mais pour cela, il faut une quantité, une qualité et un rythme adapté de sommeil (faites le test: dormez vous suffisamment?) . «On peut dormir suffisamment, mais mal, en raison de la prise de substances qui modifient la structure du sommeil et altèrent sa qualité; comme la nicotine ou le café qui stimulent l’éveil, l’alcool, certains médicaments et le bruit», explique le Dr Mullens. Dans ce cas, même si vous dormez tout votre soûl, votre sommeil sera moins récupérateur.
Pour y remédier, être à l’écoute de ses besoins est un préalable. Connaître ses rythmes, en respecter la régularité et la cohérence. Car le prix à payer est lourd si on passe outre: les quelques 30 % de travailleurs postés ou en horaires décalés savent bien que bouleverser les créneaux horaires altère le rythme du sommeil. Travailler la nuit ou se lever très tôt le matin expose également à une dette de fatigue et soumet l’organisme à un sommeil non récupérateur, malgré les siestes en journée.
S’imposer une routine

Il est important de s’imposer une routine. «Le sommeil est un mécanisme complexe qu’on ne peut pas obtenir en se couchant un jour à 22 heures, un autre à minuit… il a besoin que l’on respecte les signaux clairs donnés par l’horloge», souligne le Pr Léger.
Un environnement de qualité fait aussi toute la différence. Halte au bruit et à toute source de lumière pendant la nuit! Une température fraîche, une bonne literie et des appareils électroniques gardés loin de la chambre préserveront le sommeil. La pratique d’une activité physique régulière deux à trois fois par semaine, mais pas juste avant de dormir, est également recommandée. Enfin, une nutrition équilibrée et des dîners privilégiant les sucres lents sont utiles.
Quand le sommeil fatigue

Si, malgré une bonne hygiène de sommeil et des nuits correctes, vous vous levez épuisé, êtes constamment fatigué et somnolent en journée ou faites face à des troubles de la concentration et de la mémoire, peut-être souffrez-vous d’un syndrome d’apnées du sommeil (SAS). «Ce trouble, assez courant, touche 5 à 6 % de la population, plutôt les hommes. Il est plus fréquent au fur et à mesure que l’on vieillit et que l’on est en surpoids», détaille le Pr Léger. En raison d’un rétrécissement du pharynx lié à un relâchement musculaire, la circulation de l’air est plus difficile. Les personnes qui y sont sujettes ronflent et font de courtes mais récurrentes pauses respiratoires durant la nuit, ce qui fait baisser leur niveau d’oxygène. La reprise de la respiration crée de micro-éveils qui perturbent la qualité du sommeil.
«Le syndrome d’apnées du sommeil touche 5 à 6% de la population»
Pr Damien Léger
Une sensation de sommeil non récupérateur durable doit vous amener à consulter un médecin. Le diagnostic est posé à l’issue d’un examen spécialisé, la polysomnographie. La Pression positive continue est généralement le traitement de première intention proposé. Un masque facial relié à une machine à turbine fournit l’air ambiant sous pression. L’orthèse d’avancée mandibulaire est une alternative également utilisée. Ce dispositif médical sur mesure semblable à un appareil dentaire en deux parties permet de maintenir la mâchoire avancée pour libérer le passage de l’air au niveau des voies aériennes supérieures. «Beaucoup de pathologies, dont les maladies chroniques, le diabète, les allergies, les troubles respiratoires et les jambes sans repos peuvent jouer sur la qualité du sommeil et expliquer pourquoi le sommeil n’est pas récupérateur», estime le Pr Léger.
Les hypersomnies peuvent également être à l’origine d’une fatigue chronique. Ces maladies, beaucoup plus rares, affectent moins de 1 % de la population. Affections neurologiques, elles se caractérisent par un besoin de sommeil excessif et non comblé par des nuits habituelles. Elles entraînent parfois des endormissements impératifs en journée. Toujours selon le Pr Léger, «elles s’associent à des épisodes de faiblesse musculaire dans les jambes ou le visage dans le cadre de la narcolepsie». Deux centres de référence, à l’Hôtel-Dieu de Paris et à Montpellier, peuvent en faire le diagnostic, ainsi qu’une quinzaine de centres de compétence en France.
Selon l’Institut national du sommeil et de la vigilance (INSV), un Français sur cinq souffre aujourd’hui de troubles du sommeil et 30 % de la population active dort moins de sept heures par nuit.
Raphaëlle Bartet
http://sante.lefigaro.fr/article/comment-prendre-soin-de-son-sommeil-

Josué

Josué
Administrateur

Insomnie : n’attendez pas de tomber gravement malade


Pour être en bonne santé… DORMEZ !

Une étude américaine a montré qu’une seule mauvaise nuit de sommeil provoque autant de dégâts sur votre santé que 6 mois d’alimentation trop grasse1 !

C’est cher payé si vous surveillez quotidiennement votre alimentation.

Il est donc aussi important de soigner votre sommeil que votre alimentation.

Car si votre sommeil n’est pas suffisamment réparateur, les gènes qui contrôlent votre réaction au stress et aux maladies se détériorent. Et votre état de santé global se dégrade.

Au début, les perturbations provoquées par un sommeil agité passent inaperçues. Ce n’est que sur le long terme que vous en ressentez les conséquences.

Des chercheurs scientifiques ont découvert récemment qu’au fil des années, un mauvais sommeil augmente les risques de :

cancer du sein de 200%,
maladies cardiaques de 100%,
obésité de 50%,
tumeur du côlon de 50%2,3,4.
Et même si vous ne manquez que de quelques minutes de sommeil par nuit, cela cause des dégâts importants sur votre santé.

Profiter chaque nuit d’un sommeil réparateur est fondamental pour démarrer votre journée du bon pied et rester en bonne santé.

Si vous souffrez d’insomnies passagères voire d’insomnies sévères, vous avez donc tout intérêt à réagir.

Pour vous aider à mieux dormir, les Laboratoires Olliscience ont créé pour vous SOMNICALM, un complément alimentaire à base de mélatonine, de tryptophane et de mélisse.



De quel type d’insomnies souffrez-vous ?
Il y a de nombreuses causes à l’origine d’un mauvais sommeil.

Les insomnies de type transitoires durent moins de trois semaines et sont souvent causées par des événements de vie stressants, la consommation de substances excitantes, la prise de certains médicaments ou par des changements environnementaux (travail, déménagement, décalage horaire ou changement d’heure qui détraquent notre horloge biologique).

Si vous souffrez de stress chronique, de surmenage ou vivez actuellement une situation difficile (séparation, deuil, difficultés familiales, professionnelles ou financières), vous risquez d’enchaîner les mauvaises nuits avec :

des difficultés à trouver le sommeil au moment du coucher ;
des réveils nocturnes avec des difficultés pour vous rendormir rapidement ;
des difficultés à dormir plus de 3 ou 4 heures d’affilée ;
un sommeil léger ou agité ;
un réveil matinal vers 4h du matin ;
des cauchemars ou des idées noires ;
une sensation de ne pas être suffisamment reposé au réveil ;
des coups de fatigue en journée à cause d’un sommeil non réparateur.
Après 50 ans, vous pouvez rencontrer ces problèmes plus régulièrement car le rythme du sommeil change avec l’âge.

Votre cerveau ne sécrète plus suffisamment de mélatonine, l’hormone qui favorise le sommeil. Par conséquent, vous avez plus de mal à vous endormir, vous vous réveillez plus fréquemment durant la nuit et vos phases de sommeil profond diminuent. Vous êtes plus fatigué en journée et avez souvent besoin de faire la sieste.

Quand les mauvaises nuits se répètent, vous finissez par développer un sentiment d’angoisse à l’idée de passer encore une mauvaise nuit et d’en subir les conséquences. Cette peur de l’insomnie rend votre sommeil encore plus difficile et peut vous entraîner dans un cycle infernal. Les actifs contenus dans SOMNICALM peuvent briser ce cercle vicieux.



Un meilleur sommeil a des bienfaits immédiats sur votre santé
Grâce à son action 100% naturelle, sans effet nocif et sans accoutumance, vous bénéficiez rapidement de tous les bienfaits d’un sommeil rapide et profond.

checkEffet immédiat n°1 : vous perdez du poids

Après une bonne nuit, vous avez tendance à manger moins et à privilégier des aliments moins riches en sucres ou en sel. Votre corps vous réclame moins de calories car il n’a plus besoin de compenser le manque de sommeil. Vous n’aurez plus à lutter contre ces viennoiseries en consolation de votre nuit difficile !

En évitant plus facilement les aliments trop riches ou trop gras, vous avez plus d’énergie, votre digestion est plus facile et vous évitez le coup de barre de l’après-midi.

checkEffet immédiat n°2 : vous êtes de meilleure humeur

Une étude de l’Institut Médical de Stockholm a démontré que les gens qui se disent épuisés sont plus difficiles d’approche5.

A l’inverse, un meilleur sommeil vous permet de vous lever chaque matin avec plus d’entrain et d’énergie. Les personnes autour de vous le remarquent. Votre conjoint, vos enfants, vos amis et vos collègues trouvent que vous avez bonne mine.

Après une bonne nuit de sommeil, vous gérez également plus facilement vos émotions. Vous êtes moins irritable, moins stressé, moins déprimé.

checkEffet immédiat n°3 : vous avez l’air plus jeune

Les bienfaits d’une bonne nuit de sommeil se lisent d’abord sur votre visage : vos cernes sont moins visibles, vos traits sont moins tirés et vos rides sont moins marquées. Votre teint retrouve de son éclat naturel.

Une étude a démontré que les personnes en manque de sommeil étaient moins attirantes physiquement et se disaient plus tristes6. Des chercheurs ont également établi un lien direct entre le manque de sommeil et le vieillissement prématuré de la peau7.

checkEffet immédiat n°4 : vous êtes plus en forme

Vous avez plus d’énergie pour accomplir vos tâches quotidiennes. Votre tonus musculaire augmente.

Au travail, vous participez activement aux réunions, vous commettez moins d’erreurs d’inattention, vous êtes à 100% dans ce que vous faites.

Chaque geste du quotidien vous apparaît plus facile.

checkEffet immédiat n°5 : votre libido et votre fertilité augmentent

Le manque de sommeil entraîne un déséquilibre hormonal qui affecte non seulement votre humeur, votre état de santé physique et psychique mais également votre libido.

En 2015, une étude québécoise a révélé que les femmes qui dorment le plus ont une vie sexuelle plus active que celles qui ne dorment pas suffisamment. Une heure de sommeil supplémentaire accroît de 14% les chances pour une femme de faire l’amour avec son partenaire8.

Pour les hommes qui dorment moins de 6 heures par nuit, l’appétit sexuel chute en raison d’une baisse significative du taux de testostérone. Un sommeil de mauvaise qualité réduit également le nombre de spermatozoïdes de près de 30%9 !

Plus votre sommeil est réparateur, plus votre vie intime sera épanouissante.

checkEffet immédiat n°6 : vous tombez moins souvent malade

Le sommeil est essentiel pour soutenir vos défenses naturelles et mieux résister aux maladies.

Les études montrent que les personnes qui manquent de sommeil ont plus de risques d’attraper des virus ou des bactéries pathogènes parce qu’elles produisent moins de cytokines, des molécules du système immunitaire indispensables pour vous protéger des maladies10.

Une autre étude menée à la Carnegie Mellon University a démontré que le fait de dormir moins de sept heures par nuit était associé à un risque trois fois plus élevé d’attraper un rhume11.

Vous êtes aussi plus susceptible de souffrir de maux de tête après une nuit écourtée.

A l’inverse, lorsque vous profitez chaque nuit d’un sommeil réparateur, votre risque de vous enrhumer, d’attraper la grippe ou une gastro diminue.



Bien dormir chaque nuit vous fait gagner des années de vie en bonne santé
Si vous dormez mieux de façon régulière, vous vous protégez des maladies et vous augmentez votre espérance de vie.

checkBienfait n°1 : vous vieillissez en meilleure santé

Nous passons un tiers de notre vie dans notre lit.

Si vous avez plus de 45 ans, vous avez donc passé au moins 15 ans à dormir. Sur ces 15 années, combien en avez-vous passées à mal dormir ?

Une étude effectuée sur 1 741 hommes et femmes sur une période de 10 à 14 ans a montré que les personnes qui dorment moins de six heures par nuit présentent un risque significativement plus élevé de mortalité12.

Quand vous dormez suffisamment, vous gagnez donc des années de vie sans faire le moindre effort !

checkBienfait n°2 : vous diminuez vos risques d’AVC, de crise cardiaque et de cancer

La tendance moderne à se coucher tard et à se lever très tôt est une bombe à retardement pour votre santé.

Selon un rapport de la prestigieuse université de Harvard, le manque de sommeil est associé à l’hypertension artérielle, à l’athérosclérose (des artères bouchées par le cholestérol), aux insuffisances cardiaques et aux infarctus13.

D’après ce rapport, si vous dormez entre sept et huit heures par nuit, vous avez quatre fois moins de risque de faire un AVC. Vous divisez également par deux votre risque de mourir d’une maladie cardiaque.

Si vous êtes une femme, vous serez moins exposée au risque de cancer du sein.

En dormant mieux et plus, vous avez donc moins de risque de succomber à une maladie grave.

checkBienfait n°3: vous restez mince plus facilement et vous évitez le diabète

De nombreuses études démontrent que le manque de sommeil chronique est lié à des changements hormonaux eux-mêmes associés au surpoids ainsi qu’à une sensibilité réduite à l’insuline, un facteur de risque de diabète14.

Si vous dormez moins de six heures par nuit, vos niveaux de ghréline et de leptine, les hormones qui régulent votre appétit, vont se modifier. A l’inverse, quand vous dormez bien et suffisamment, vous contrôlez mieux votre appétit.

En dormant mieux pendant cinq nuits consécutives seulement, vous pouvez perdre jusqu’à un kilo !

Imaginez tous les kilos en moins sur votre balance lorsque chaque nuit vous apporte un sommeil rapide et profond pendant des semaines, des mois ou des années.

checkBienfait n°4 : vous êtes plus tonique

Un sommeil réparateur améliore vos réflexes et votre coordination œil-volant.

Quand vous dormez suffisamment, vous diminuez votre risque de blessures et d’accidents liés à l’utilisation de machines. Vous êtes plus adroit dans tout ce que vous faites.

Vous divisez également par trois votre risque d’accident au volant, puisque l’insomnie est la première cause d’accident de la route devant la consommation d’alcool.



L’hormone du sommeil est vitale à votre organisme
Une des conditions pour bénéficier chaque nuit d’un sommeil réparateur est d’avoir suffisamment de mélatonine, « l’hormone du sommeil ». C’est elle qui envoie à chaque cellule de votre corps le message de repos et surtout de réparation. Son rôle est donc capital.

Des études ont montré que la mélatonine aide à améliorer le sommeil paradoxal qui est particulièrement important pour renforcer le métabolisme et le système immunitaire15. La sécrétion de mélatonine est stable d’un jour sur l’autre chez les personnes en bonne santé ayant un rythme de vie constant. Elle peut cependant être troublée par des facteurs environnementaux (changement d’heure, décalage horaire, travail de nuit) mais aussi par l’âge ou certaines pathologies.

Si vous avez du mal à vous endormir ou si vous multipliez les réveils nocturnes, un apport complémentaire en mélatonine peut combler votre sécrétion insuffisante et vous aider à mieux dormir.

Une étude clinique contre placebo réalisée sur 15 volontaires âgés de 41 à 67 ans a montré qu’une prise d’1 mg de mélatonine le soir permet de réduire le temps d’endormissement, d’augmenter la durée totale du sommeil sur une nuit entière et d’augmenter la qualité du sommeil16 .
Une étude menée chez 26 personnes insomniaques ayant reçu pendant 2 mois, 1 ou 2 mg de mélatonine 2 heures avant le coucher pour combler leur manque de mélatonine, a montré un temps d’endormissement plus faible et un assoupissement prolongé. Après l’arrêt de la supplémentation, la qualité du sommeil s’est à nouveau dégradée17.
Si vous avez plus de 50 ans, une étude a mis en évidence qu’une dose de 0,3 mg de mélatonine prise 30 minutes avant le coucher favorise l’endormissement18.

Si vous voyagez loin, la mélatonine est un bon moyen d’atténuer les symptômes du décalage horaire19. Elle vous permet de vous endormir plus rapidement une fois sur place et d’adapter votre rythme biologique à l’heure locale. En réglant votre horloge interne, la mélatonine réduit de moitié le nombre de jours durant lesquels vous souffrez habituellement du décalage horaire.

La mélatonine a une action rapide et peut induire le sommeil en quelques minutes seulement.

En plus de la mélatonine, il existe un acide aminé capable de favoriser la détente et le sommeil.



L’acide aminé qui vous détend
Le tryptophane est un acide aminé essentiel qui est apporté par l’alimentation.

On en trouve principalement dans les aliments riches en protéines comme l’œuf, le soja, la viande, le poisson et les produits laitiers.

Une fois qu’il est ingéré, notre organisme le convertit partiellement en mélatonine et en sérotonine, « l’hormone du bonheur ».

Le problème est que l’alimentation classique ne vous garantit pas un apport suffisant en tryptophane, ce qui peut vous exposer à des troubles du sommeil, un état anxieux et une tendance dépressive.

De nombreuses études ont montré qu’un apport en tryptophane pouvait avoir un effet bénéfique à la fois sur le sommeil, l’humeur mais aussi sur les fonctions cognitives (mémoire, attention, fonctions psychomotrices)20.

Quand il est pris en complément de la mélatonine, il prolonge l’action de l’hormone du sommeil au cours de la nuit. Vous dormez d’un sommeil profond plus longtemps.

Vous pouvez ressentir les bienfaits de SOMNICALM dès la première nuit car la mélatonine et le tryptophane ont été dosés pour être efficaces immédiatement.

Ils agissent en parfaite synergie dans le respect des équilibres de votre corps, sans effet secondaire ni effet d’accoutumance.



L’effet relaxant de la mélisse
La mélisse est une plante traditionnelle originaire d’Asie mineure dont les vertus médicinales sont reconnues depuis l’Antiquité.

Paracelse, un grand médecin suisse du XVIe siècle initiateur de la médecine moderne, l’utilisait comme « élixir de vie » et lui attribuait la faculté de revitaliser le corps de ceux qui sont malades, fatigués ou âgés.

Aujourd’hui, la mélisse est réputée pour calmer les nerfs et détendre les personnes stressées ou angoissées. Ainsi, elle est utile après une journée stressante pour favoriser la relaxation et le sommeil.

Plusieurs études cliniques ont montré que la mélisse a un effet bénéfique sur le stress et l’anxiété, qui sont les causes principales de l’insomnie21,22.

L’extrait choisi pour la formulation SOMNICALM est réalisé uniquement à partir des feuilles de mélisse grâce à un procédé traditionnel.

Cet extrait de mélisse est breveté sous l’appellation Cyracos® et est produit en France, ce qui vous garantit un actif d’une qualité exceptionnelle.

En 2011, une étude menée sur 20 volontaires en bonne santé mais souffrant d’anxiété et de troubles du sommeil a montré qu’après seulement 2 semaines de supplémentation de mélisse Cyracos® à raison de 600 mg par jour, les volontaires ont vu23 :

une réduction de 42% de leurs insomnies ;
une baisse de 18% des signes de l’anxiété (tension, agitation) ;
une réduction de 15% de leurs symptômes associés au stress (instabilité émotionnelle, obsessions, troubles relationnels).
Grâce à l’activité apaisante de la mélisse et au tryptophane, SOMNICALM est idéal pour lutter contre les troubles du sommeil lié au stress, à l’anxiété ou à un état dépressif.



Somnicalm vous aide à bien dormir, naturellement
Dès la première prise de SOMNICALM, vous ressentez les bienfaits des actifs sur votre sommeil :

vous vous endormez plus rapidement ;
vous dormez d’une traite, sans réveil nocturne ;
vous dormez plus profondément et plus longtemps ;
vous avez un sommeil apaisant et relaxant ;
vous vous sentez reposé au réveil grâce à un sommeil plus réparateur ;
vous êtes dans les meilleures dispositions pour passer une bonne journée.
Avec SOMNICALM, vous évitez en plus tous les effets pervers des somnifères chimiques.

Je ne vous parle pas seulement de l’effet « brouillard » du matin, celui qui vous empêche de sortir de votre état de somnolence.

Les médicaments hypnotiques qu’on appelle couramment somnifères créent en plus chez vous une dépendance et détraquent votre horloge biologique.

Pire encore, ils augmentent de manière spectaculaire votre risque de cancer et de mort prématurée, même lorsqu’ils sont pris occasionnellement (à peine plus d’une fois par mois).

Une étude américaine menée sur plus de 30 000 volontaires âgés en moyenne de 54 ans et publiée dans le British Medical Journal Open a montré qu’à partir de 18 prises par an de médicaments hypnotiques, le risque de décès des personnes est multiplié par 3,524.

Si vous en prenez jusqu’à 3 fois par semaine, votre risque de mort prématurée est multiplié par 5 !

Remplacez donc vos somnifères par la mélatonine, le tryptophane et la mélisse. Ensemble, ils vous aideront à retrouver un sommeil plus profond et réparateur, sans aucun risque.

La mélatonine n’entraîne pas de dépendance, ni d’insomnie rebond à l’arrêt du traitement. Les études cliniques réalisées sur le tryptophane et la mélisse n’ont pas mis en évidence d’effet secondaire.



Votre sommeil est doublement garanti
check Vous êtes protégé par notre engagement Qualité.

SOMNICALM a reçu le label Qualité Olliscience qui vous garantit un produit nutritionnel d’exception.

Notre label Qualité encadre toutes nos activités depuis la sélection des matières premières jusqu’à notre service client.

Vous êtes ainsi certain de recevoir un produit SOMNICALM de grande qualité, avec une traçabilité parfaite des ingrédients, un dosage efficace et respectueux des équilibres de votre corps.

En prenant SOMNICALM, vous mettez toutes les chances de votre côté pour retrouver un sommeil profond et réparateur qui préserve votre santé et votre bien-être.

check Vous êtes protégé par notre engagement Satisfaction.

Si après quelques nuits avec SOMNICALM, vous ne voyez pas d’améliorations sur votre sommeil, vous disposez de 365 jours pour nous le renvoyer.

Nous vous rembourserons intégralement toutes vos boîtes restantes non consommées, quelle que soit la raison de votre insatisfaction.

Nous prendrons même en charge vos frais de réexpédition depuis la France métropolitaine, grâce au bordereau de retour pré-timbré joint à votre colis.

Vous pouvez ainsi essayer SOMNICALM sans aucun risque.



Essayez Somnicalm en toute sérénité
Que vous ayez du mal à dormir de manière ponctuelle ou souffriez d’insomnie chronique, SOMNICALM peut vous aider à retrouver rapidement des nuits paisibles.

Dès la première prise, vous pourrez ressentir les bienfaits immédiats sur votre état du lendemain. Vous serez en pleine forme, optimiste et de bonne humeur.

Sur le long terme, vous retrouvez un sommeil de qualité et plus réparateur. Vous maîtrisez plus facilement votre poids, vous avez plus de tonus, votre esprit est plus vif et vous entretenez de meilleures relations avec votre entourage. Vous vous protégez des maladies et vous gagnez des années de vie en bonne santé.

Je vous invite à commencer SOMNICALM au plus vite pour profiter de tous les bienfaits d’un sommeil de qualité.

Portez-vous bien et à bientôt,
Laure Chevallier

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Halte au (jet l'agence social)! Selon une étude américaine,rattraper ses heures de sommeil en fin de semaine augmenterait,outre l'irritabilité, le risque cardiaque +11%.
Notre cœur aime la régularité, pas la grasse matinée !
Source: conférence sleep 2017.

Invité


Invité

Moi il vas falloir que je trouve un moyens pour dormir un peu plus car la ca vas plus trop bien de ce coté la, je dort quoi, Meme pas 4H par jours, je manque terriblement de sommeil

Josué

Josué
Administrateur


Apnée du sommeil : quand le corps s'arrête de respirer la nuit
Par Le figaro.fr Publié le 08/10/2017 à 08:00
Apnée du sommeil : quand le corps s'arrête de respirer la nuit
VIDÉOS - Invité de l'émission «Toc Toc Docteur» consacrée à l'apnée du sommeil, le pneumologue Frédéric Le Guillou rappelle quels sont les signes qui doivent alerter.

L'apnée du sommeil est un syndrome caractérisé par la survenue d'épisodes anormalement fréquents d'interruptions (apnées) ou de réductions (hypopnées) de la respiration durant le sommeil. Ces pauses de respiration durent de 10 à 30 secondes, voire plus, et peuvent se répéter une centaine de fois par nuit. Elles sont dues à des obstructions répétées complètes ou partielles des conduits respiratoires de l'arrière-gorge survenant au cours du sommeil.
Cette réduction ou interruption de la ventilation pendant le sommeil entraîne un manque en oxygène. Le cerveau réagit, réveillant ainsi le dormeur pour qu'il reprenne sa respiration. Ces éveils de courte durée provoquent un sommeil saccadé, de mauvaise qualité et accompagné de ronflements.
L'importance de l'apnée du sommeil se mesure au nombre d'apnées/hypopnées par heure de sommeil. Entre 5 et 15, l'apnée du sommeil est considérée comme légère ; Entre 16 et 30, elle est modérée ; Si le nombre d'apnées est supérieur à 30, le syndrome est jugé sévère.

Comment reconnaître une apnée du sommeil?

Les ronflements, les pauses respiratoires, une fragmentation du sommeil avec des éveils ou des micro-éveils, des sueurs, voire une agitation doivent alerter. Cependant, les ronflements ne sont pas systématiquement un signe d'apnée du sommeil. Environ 40% des ronfleurs font des apnées du sommeil. Par contre, 90% des personnes qui ont ce symptôme ronflent.
La première cause d'apnée du sommeil est le surpoids et l'obésité. En France, 15% de la population est obèse. Toutes les personnes en surpoids ne font cependant pas d'apnée du sommeil. Il existe également d'autres facteurs de risque, tels que des anomalies anatomiques faciales ou oto-rhino-laryngologies, le sexe (les hommes sont plus touchés) ou encore le mode de vie (alcool, tabac...).

La fatigue, un signe qui doit alerter?

La fatigue n'est pas normale et peut résulter d'un syndrome d'apnées du sommeil. Chez ces patients, la fatigue s'accompagne souvent de somnolence. Ceux-ci doivent alors faire la sieste.
D'autres signes d'un sommeil non-réparateurs apparaissent dans la journée: troubles de la concentration et de la mémoire, irritabilité mais aussi troubles de la libido, plus rarement rapportés par les patients.

Quel diagnostic?

L'examen qui permet de confirmer le diagnostic est la «polygraphie ventilatoire nocturne». Elle permet d'enregistrer les troubles ventilatoires du sommeil. En cas de doute, le médecin peut également réaliser une polysomnographie où, en plus des capteurs respiratoires, des capteurs neurologiques sont utilisés pour enregistrer les phases de sommeil.

Que valent les applis d'auto-diagnostic?

Entre applications mobiles et capteurs connectés (bracelets...), ces dernières années ont vu fleurir des solutions «connectées» qui tentent de venir en aide aux patients. Que valent-elles réellement? Le principe de ces outils est de capter les sons émis par le dormeur pendant son sommeil. Arrêts et irrégularités respiratoires sont ainsi enregistrés.
D'autres solutions existent, comme les oxymètres de pouls. Ces appareils se fixent au bout d'un doigt ou peuvent être intégrés à un bracelet connecté. Ils mesurent le taux de saturation en oxygène au niveau des capillaires sanguins.
Cependant ces objets connectés sont loin d'être de bons outils diagnostic. D'ailleurs, aucun n'est validé scientifiquement. En effet, les capteurs sont trop peu précis et les applications peinent à distinguer les ronflements du dormeur de ceux du conjoint. Néanmoins ces outils peuvent être utiles pour les personnes dormant seules, en les permettant de savoir si elles ronflent ou non.

«Toc Toc Docteur» est la nouvelle émission Santé de Figaro Live, animée par les journalistes du service Santé du Figaro.
» Pohttp://info.sante.lefigaro.fr/article/apnee-du-sommeil-quand-le-corps-s-arrete-de-respirer-la-nuit/?utm_source=AM2&utm_medium=email&utm_campaign=Santeur en savoir plus, consulter notre fiche sur l'apnée du sommeil

Josué

Josué
Administrateur

Avez-vous une bonne hygiène de sommeil ?

La qualité de vos nuits dépend, entre autres, de votre hygiène de sommeil, comprenez rythme de vie, activité physique, ou encore habitudes alimentaires. Testez le tout afin de savoir si vous préparez correctement votre nuit.
http://info.madame.lefigaro.fr/bien-etre/faites-le-test-avez-vous-une-bonne-hygiene-de-sommeil-041017-134630?utm_source=AM2&utm_medium=email&utm_campaign=MadameTV

Josué

Josué
Administrateur

Le sommeil, un enjeu de santé méconnu
Par    Cyrille Vanlerberghe   Mis à jour le 24/11/2017 à 19:23  Publié le 24/11/2017 à 19:10
Le sommeil, un enjeu de santé méconnu
Le Pr Pierre Philip présente dimanche au Forum du CNRS à Paris les dernières connaissances sur le repos, et son importance cruciale pour le bon fonctionnement de notre organisme.

Votre médecin généraliste vous a-t-il déjà prescrit de bonnes nuits, avec au moins huit heures de sommeil? À l’heure où les campagnes de santé publique insistent autant sur l’importance d’une bonne hygiène de vie, avec une alimentation équilibrée («au moins 5 fruits et légumes par jour») et une activité physique régulière («au moins 10.000 pas par jour»), le sommeil mériterait d’avoir aussi sa place dans les politiques publiques de prévention.
Car les recherches modernes en neurobiologie sur le sommeil montrent son importance, pour le bon fonctionnement de notre cerveau, mais aussi pour celui du reste du corps. «On se rend compte depuis quelques années à quel point le sommeil a un rôle crucial pour de nombreuses fonctions biologiques de l’organisme, jusqu’à jouer sur l’efficacité du système immunitaire», explique le Pr Pierre Philip, directeur de l’unité de recherche sommeil, addiction et neuropsychiatrie à Bordeaux (CNRS/Université de Bordeaux*). Les effets du repos pour notre cerveau, et notamment pour l’apprentissage et la mémorisation, sont désormais des phénomènes bien connus. «Le sommeil lent profond consolide les souvenirs d’actions récentes, comme ce que j’ai fait cette semaine, alors que le sommeil paradoxal est plus lié aux émotions et consolidera plutôt le souvenir que j’ai du baiser de ma première fiancée», rappelle le Pr Philip. Des phénomènes parfaitement identifiés et localisés dans le cerveau en temps réel grâce notamment aux techniques d’IRM fonctionnelles.
De nombreux problèmes de santé

Les effets de la phase de repos nocturne sur le fonctionnement du corps sont complexes, mais il est désormais incontestable qu’elle a un rôle protecteur contre l’inflammation, qui peut être à l’origine de nombreux problèmes de santé. Pendant la nuit, la mise en veille de notre cerveau active des processus biologiques qui aident à faire le ménage dans les cellules de l’organisme, notamment en permettant d’éliminer des protéines qui sont à l’origine de l’inflammation, un phénomène de réponse de l’organisme qui peut être lié à des risques accrus d’obésité, de maladies cardio-vasculaires ou de maladies auto-immunes. En cas de déficit de sommeil, le «nettoyage» des cellules est moins efficace, et les risques pour la santé peuvent devenir réels.
«Le sommeil doit clairement devenir un enjeu de santé publique pour les autorités»
Pr Pierre Philip, directeur de l’unité de recherche sommeil, addiction et neuropsychiatrie à Bordeaux
De manière assez logique, les troubles du sommeil peuvent aussi avoir des effets néfastes sur le cerveau lui-même. «On remarque des atteintes spécifiques du sommeil chez des patients souffrant de troubles cognitifs légers, la phase qui précède des démences plus sévères», explique le Pr Philip.
«Le sommeil doit clairement devenir un enjeu de santé publique pour les autorités, plaide le spécialiste bordelais. Et c’est un enjeu d’autant plus important qu’on voit dans nos études que les Français dorment de moins en moins longtemps.» À cause des écrans et autres distractions, la durée du sommeil a diminué en moyenne de 1 heure et 15 minutes en quinze ans dans notre pays. Une dette qui n’est pas sans conséquence pour l’état de santé.
* Le Pr Philip fera le point sur les connaissances sur le sommeil au Forum du CNRS, dimanche 26 novembre à la Cité universitaire, à Paris. Une manifestation dont Le Figaro est partenaire.

Josué

Josué
Administrateur


Le fait d’infliger à votre corps moins de six heures de sommeil chaque nuit pendant plusieurs années d’affilées affecte t-il une personne ? D’après des études, il semblerait que oui.

Contenu sponsorisé



Revenir en haut  Message [Page 3 sur 3]

Aller à la page : Précédent  1, 2, 3

Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum