Jésus se souciait de tout cœur du bien-être d’autrui. C’est ce sentiment qui l’animait dans son ministère. Ainsi, quand il s’est rendu compte de la pauvreté spirituelle des Juifs, ‘ il en a eu pitié ’. Il a fait remarquer à ses disciples : “ La moisson est grande [...]. Priez donc le Maître de la moisson d’envoyer des ouvriers dans sa moisson. ” (Mat. 9:36-38). Force est de reconnaître que tous ne sont pas devenus ses disciples (Mat. 23:37). Certains l’ont suivi pendant un temps puis ont trouvé à redire à ses enseignements et ‘ n’ont plus voulu marcher avec lui ’. (Jean 6:66.) Néanmoins, Jésus n’en a pas déduit que son message n’avait aucune valeur. Bien qu’une grande partie de ce qu’il a semé n’ait rien produit, il s’est concentré sur le bien qu’il accomplissait. Il a vu que les champs étaient blancs pour la moisson et a retiré beaucoup de joie à y participer (Jean 4:35, 36). Pouvons-nous, comme Jésus, nous focaliser sur ce qu’il est possible de récolter dans le territoire qui nous est attribué ? w09 15/1 2:7, 9.
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