Après la révocation de l’édit de Nantes, 21 temples gessiens démolis
Les décisions prises par le roi au XVIIe siècle ont eu de lourdes conséquences pour les protestants, notamment dans le pays de Gex. Sur les 23 temples gessiens, 21 furent fermés, murés ou détruits sur ordre du conseil privé du roi et les fidèles chassés.
Gérard Dous - Hier à 11:44 | mis à jour hier à 12:21 - Temps de lecture : 2 min
|
Construit en 1870, le temple de Divonne, échappa à l’incendie ou à la démolition que connurent 21 temples du Pays de Gex. Une conséquence de la révocation de l’édit de Nantes et l’édit royal de 1685. Photo Le DL/G.D.
Construit en 1870, le temple de Divonne, échappa à l’incendie ou à la démolition que connurent 21 temples du Pays de Gex. Une conséquence de la révocation de l’édit de Nantes et l’édit royal de 1685. Photo Le DL/G.D.
Les conséquences de la révocation de l’édit de Nantes et l’édit royal de 1685 eurent des répercussions pour le gouvernement genevois et les habitants de Genève. En effet, la révocation fut expérimentée dans le Pays de Gex avant d’être étendue à la France. Cette disgrâce des protestants gessiens s’était accumulée depuis 1661, quand sur les 23 temples gessiens, 21 furent fermés, murés ou détruits sur ordre du conseil privé du roi.
Les temples de Moëns et de Russin purent être sauvés
Seuls subsistaient les...
Les décisions prises par le roi au XVIIe siècle ont eu de lourdes conséquences pour les protestants, notamment dans le pays de Gex. Sur les 23 temples gessiens, 21 furent fermés, murés ou détruits sur ordre du conseil privé du roi et les fidèles chassés.
Gérard Dous - Hier à 11:44 | mis à jour hier à 12:21 - Temps de lecture : 2 min
|
Construit en 1870, le temple de Divonne, échappa à l’incendie ou à la démolition que connurent 21 temples du Pays de Gex. Une conséquence de la révocation de l’édit de Nantes et l’édit royal de 1685. Photo Le DL/G.D.
Construit en 1870, le temple de Divonne, échappa à l’incendie ou à la démolition que connurent 21 temples du Pays de Gex. Une conséquence de la révocation de l’édit de Nantes et l’édit royal de 1685. Photo Le DL/G.D.
Les conséquences de la révocation de l’édit de Nantes et l’édit royal de 1685 eurent des répercussions pour le gouvernement genevois et les habitants de Genève. En effet, la révocation fut expérimentée dans le Pays de Gex avant d’être étendue à la France. Cette disgrâce des protestants gessiens s’était accumulée depuis 1661, quand sur les 23 temples gessiens, 21 furent fermés, murés ou détruits sur ordre du conseil privé du roi.
Les temples de Moëns et de Russin purent être sauvés
Seuls subsistaient les...