Mardi 27 février Écoute et apprends à craindre Jéhovah ton Dieu (Deut. 31:13).

Mardi 27 février


Écoute et apprends à craindre Jéhovah ton Dieu (Deut. 31:13).


Lorsqu’ils se sont implantés en Terre promise, les Israélites se sont retrouvés très dispersés. Le risque était que les Israélites d’une région en viennent à se désintéresser de ceux des autres régions. Mais Jéhovah avait prévu des évènements au cours desquels ses adorateurs se réunissaient pour écouter la lecture et l’explication de sa Parole écrite (Deut. 31:10-12 ; Néh. 8:2, 8, 18). Imagine ce que devait ressentir un Israélite en voyant à son arrivée à Jérusalem d’autres adorateurs de Dieu, peut-être des millions, venus des quatre coins du pays ! Grâce à ces évènements, Jéhovah a maintenu l’unité de son peuple. Plus tard, l’assemblée chrétienne a été formée. Elle se composait d’hommes et de femmes issus de milieux sociaux différents et parlant diverses langues. Mais ils étaient unis dans le culte du vrai Dieu. Et les personnes qui devenaient croyantes ne pouvaient comprendre la Parole de Dieu qu’avec l’aide de leurs coreligionnaires et en se réunissant avec eux (Actes 2:42 ; 8:30, 31).


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Nous ne voulons pas banaliser ce « beau don » qu’est la Parole de Dieu (Jacq. 1:17). C’est pourquoi continuons de manifester à Jéhovah notre reconnaissance pour ce don sacré. Comment ? En la lisant et en la méditant. Soyons convaincus que son immense Auteur bénira cette démarche en nous permettant de ‘trouver la connaissance de Dieu’ (Prov. 2:5).

Combien il importe que les parents passent du temps avec leurs enfants ! S’ils passent du temps ensemble, les rapports entre eux seront naturels et les parents connaîtront les pensées de leurs enfants. Un père peut faire beaucoup de bien à ses fils et à ses filles s’il leur demande de l’aider à bricoler à la maison. Lorsque les membres d’une famille travaillent et se distraient ensemble, ils apprennent à partager leurs joies, au lieu de s’occuper uniquement de leurs intérêts personnels.

Savoir écouter est tout un art,mais est des plus profitable pour tout le monde.

La loi devait être lue à tous le monde pour que tous puissent l'entendre,y compris les enfants.

Moïse, le prophète d’Israël, était un grand chef et l’organisateur d’une nation dont le Dieu se nommait Jéhovah. Mais il y a quelqu’un qui est plus grand que Moïse : “ Le Seigneur votre Dieu vous suscitera d’entre vos frères un prophète comme moi ; vous l’écouterez dans tout ce qu’il vous dira, et quiconque n’écoutera pas ce prophète sera exterminé du milieu du peuple. ” (Actes 3:22, 23). Ce prophète fut Jésus-Christ. Moïse avait conduit hors d’Égypte une organisation de millions d’hommes. Dieu avait préparé ce peuple. Il en avait fait une nation et avait désigné Moïse comme chef et médiateur. Mais quand Jésus vint sur la terre, il se mit à édifier une nouvelle organisation. Il fut envoyé vers les brebis perdues d’Israël. Il leur annonça que le royaume des cieux était proche. Auparavant, son précurseur, Jean-Baptiste, avait préparé pour Jéhovah “ un peuple bien disposé ”. (Luc 1:17.) Pour commencer l’édification d’une nouvelle organisation, Jésus-Christ devait conduire tous ces hommes. Quand il entreprit son ministère chrétien, il alla trouver Jean-Baptiste. Jean envoya ses disciples vers Jésus. Le Christ devait construire quelque chose de nouveau, car l’ancien n’était que la figure ou l’ombre du nouveau. Jésus devait édifier une maison spirituelle avec ceux qui avaient foi au vrai Dieu. C’était une tâche immense. La mènerait-il à terme ? Son succès dans cette entreprise signifiait la vie pour les hommes de foi.

19 L’étude requiert beaucoup d’efforts. Nous pouvons donc être reconnaissants à l’organisation de Jéhovah de l’aide précieuse qu’elle nous apporte. Ces dernières années, certains ont affirmé qu’on devrait laisser chacun interpréter lui-même la Bible. Mais l’eunuque éthiopien n’a-t-il pas reconnu ouvertement qu’il avait besoin d’une direction spirituelle? Pourtant, étant un prosélyte circoncis, il possédait déjà certainement une connaissance étendue de la Bible. C’est ce qu’indique le fait qu’il cherchait à comprendre une prophétie aussi profonde que celle d’Ésaïe 53. Or, quand Philippe lui a demandé s’il comprenait ce qu’il lisait, il a reconnu avoir besoin d’aide, en demandant: “Et comment le pourrais-je jamais si quelqu’un ne me guide?” — Actes 8:26-33.