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Daisaku Ikeda, dirigeant adulé et controversé

3 participants

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Josué

Josué
Administrateur

https://www.lemonde.fr/disparitions/article/2023/11/18/daisaku-ikeda-dirigeant-adule-et-controverse-de-l-organisation-bouddhiste-japonaise-soka-gakkai-est-mort_6200954_3382.html?lmd_medium=email&lmd_campaign=trf_newsletters_lmfr&lmd_creation=le_monde_des_religions&lmd_send_date=20231123&lmd_email_link=dans-l-actu_titre_4&M_BT=113977059162465

Daisaku Ikeda, dirigeant adulé et controversé de l’organisation bouddhiste japonaise Soka Gakkai, est mort
Il avait doté cette secte bouddhiste, la plus influente du Japon, d’un journal et d’un parti politique, mais lui avait aussi apporté son lot de scandales. Ce pacifiste autoproclamé avait disparu de la vie publique en 2010. Il est mort mercredi 15 novembre, à Tokyo, à l’âge de 95 ans.

Par Philippe Mesmer(Tokyo, correspondance)
Publié le 18 novembre 2023 à 14h55, modifié le 20 novembre 2023 à 09h08 

Daisaku Ikeda, président honoraire de la Soka Gakkai, lors d’une interview à Shinjuku Ward, Tokyo, le 30 juin 2001. KENTARO AOYAMA /THE YOMIURI SHI
Daisaku Ikeda, le charismatique – et controversé – dirigeant de la secte bouddhiste Soka Gakkai, dont il a fait une organisation internationale et un acteur politique majeur au Japon, est décédé à son domicile de Tokyo. Le « faiseur de paix, philosophe bouddhiste, éducateur, auteur et poète », tel que le présente son site, serait mort mercredi 15 novembre de vieillesse. Il était âgé de 95 ans. Le premier ministre, Fumio Kishida, a salué une personnalité qui a « joué un rôle important dans la promotion de la paix, de la culture et de l’éducation au Japon et à l’étranger, et a laissé une trace significative dans l’histoire ».

L’annonce du décès a été faite par la Soka Gakkai le samedi 18 novembre, soit le jour anniversaire de la création, en 1930, par des bouddhistes de la branche Nichiren, elle-même créée au XIIIe siècle par le moine éponyme (1222-1282).

Lechercheur



29 novembre, une vaste opération de police menée en région parisienne et sur la Côte d’Azur permettait de démanteler Misa, une secte internationale de « yoga tantrique » dirigée par Gregorian Bivolaru, gourou roumain qui chapeauterait un système d’exploitation sexuelle. Recherché par Interpol, cet individu sévissait en France depuis 2017. Enquête exclusive.
La nouvelle de son arrestation a fait le tour du monde. Logique : fondateur en 1989 du Mouvement pour l’intégration spirituelle dans l’absolu (Misa), Grigorian Bivolaru, ressortissant roumain de 71 ans, compte au moins 50 000 adeptes dans 34 pays. Le credo de ce plombier devenu « maître yogi » ? Accueillir, dans ses « centres de recherche, d’enseignement et de guérison », des initiées en quête de « transformation spirituelle », permise par des « relations sexuelles ouvertes » via le « yoga tantrique » ou « intégral », notamment avec le gourou… c’est-à-dire Bivolaru lui-même. D’où une spirale d’abus ayant déjà donné lieu à plusieurs condamnations en Roumanie.

L’intéressé, lui, n'y voyait que des représailles liées à sa « lutte contre une gigantesque conspiration satanique planétaire et franc-maçonnique ». En juillet 2023, l'ouverture d’une information judiciaire par le parquet de Paris pour abus de faiblesse, viols, traite d’êtres humains et séquestration en bande organisée permettait à plusieurs services de police – des stups à la BRI – de conjuguer leurs compétences pour mener une opération historique, le 29 novembre, soldée par l’arrestation de 41 personnes et la libération de 26 femmes, retenues dans de déplorables conditions d’hygiène. Selon un proche du dossier, « 200 à 400 auraient été victimes en plus de deux décennies ».

DEUX ANS POUR DÉMANTELER LE RÉSEAU
En cavale, Bivolaru, détenteur d’un passeport suédois sous le nom de Magnus Aurolsson, avait déjà été arrêté en 2016 sur notre sol, puis extradé dans son pays d’origine, où il allait purger, pour des faits d'actes sexuels sur mineurs, une peine d’un an de prison au lieu des six années détention auxquelles il avait été condamné. En 2017, il était placé en liberté conditionnelle, quelques heures avant l’émission d’un second mandat Interpol, cette fois à l’initiative de la Finlande, pour « traite de femmes » et « trafic aggravé d’êtres humains » et demeurait insaisissable. D’après les témoignages recueillis par Marianne, Bivolaru, fiché « rouge » par Interpol, était tout simplement revenu en



Choisissez l'éclairage Marianne

papy

papy



https://www.lemonde.fr/societe/article/2023/12/02/violences-sexuelles-dans-un-mouvement-de-yoga-accuse-de-derives-sectaires-quinze-personnes-mises-en-examen_6203578_3224.html?lmd_medium=email&lmd_campaign=trf_newsletters_lmfr&lmd_creation=le_monde_des_religions&lmd_send_date=20231207&lmd_email_link=dans-l-actu_titre_4&M_BT=113977059162465

Violences sexuelles dans un mouvement de yoga accusé de dérives sectaires : quinze personnes mises en examen
Sur les quinze suspects, six ont été écroués, dont le gourou : Gregorian Bivolaru, 71 ans, figure fondatrice du Mouvement pour l’intégration spirituelle vers l’absolu, rebaptisé Atman.

Le Monde avec AFP


Dans cette photo d’archives, Gregorian Bivolaru est escorté jusqu’à un véhicule à la sortie d’une audience au siège de la police roumaine, à Bucarest, le 24 août 2016. MARIAN ILIE / AP
Soupçonnés d’être impliqués dans des violences sexuelles à grande échelle au sein d’un mouvement international de yoga accusé de dérives sectaires, un gourou roumano-suédois et quatorze personnes ont été mis en examen vendredi soir à Paris, a fait savoir une source judiciaire à l’Agence France-Presse (AFP), samedi 2 décembre.

Sur les quinze suspects, six ont été écroués, dont le gourou : Gregorian Bivolaru, 71 ans, figure fondatrice du Mouvement pour l’intégration spirituelle dans l’absolu (Misa), rebaptisé Atman, qui se dit axé sur la pratique du yoga tantrique. Les arrestations ont eu lieu mardi en région parisienne et dans le sud-est de la France. Des pavillons – où de nombreuses femmes étaient logées – et des salles de yoga ayant pignon sur rue ont été perquisitionnés.

M. Bivolaru a été interpellé à son domicile, dans le Val-de-Marne. Déjà condamné à plusieurs reprises en Roumanie, il a dénoncé lors de sa garde à vue un « complot politique », selon une source policière à l’AFP. Il s’est défendu des accusations de viols, expliquant être « un maître spirituel » : après une étape dite de « consécration », des femmes « l’aimaient » à son domicile.

Vendredi, il a été mis en examen pour quatre infractions : viols aggravés (en concours avec plusieurs autres viols commis sur d’autres victimes), séquestration en bande organisée, traite d’êtres humains en bande organisée, abus de faiblesse par dirigeant d’un groupement poursuivant des activités créant, maintenant ou exploitant la sujétion psychologique ou physique des participants. Son avocat, Anis Harabi, a assuré à l’AFP que « son innocence » serait « établie ».

Lire aussi : Article réservé à nos abonnés En France, un maître du kundalini yoga en mauvaise posture

« Pavillons de femmes »
A l’instar de M. Bivolaru, le propriétaire de deux « pavillons de femmes » a été mis en examen pour abus de faiblesse, traite d’être humains et séquestration en bande organisée. Cet homme, accusé d’être le « bras droit » de M. Bivolaru, a aussi été mis en examen pour complicité de viols aggravés. Une Roumaine de 41 ans, doctorante en linguistique, a été mise en examen pour complicité de viols aggravés, traite d’êtres humains et séquestration en bande organisée.

De même pour un autre homme, arrêté chez M. Bivolaru en présence de deux jeunes femmes roumaines. Lors de sa garde à vue, il s’est présenté comme « un simple élève de yoga » et a nié avoir véhiculé ces femmes jusque chez le gourou, a rapporté la source policière à l’AFP. Enfin, deux autres femmes ont été écrouées, après avoir été mises en examen pour traite d’êtres humains et séquestration, le tout en bande organisée.

Du côté des personnes relâchées sous contrôle judiciaire figurent neuf suspects. Huit ont été mis en examen pour traite d’être humains et séquestration en bande organisée. Parmi eux, plusieurs chauffeurs présumés, accusés notamment d’avoir transporté des femmes de l’aéroport aux établissements du MISA. Le neuvième suspect est une femme, suivant des cours depuis sept ans, mise en examen pour les mêmes chefs et pour complicité de viols aggravés.

Selon la source policière, cette femme a expliqué, lors de sa garde à vue, être logée dans un appartement et percevoir de l’argent pour participer au montage d’un projet de films érotiques « avec des personnes urinant ». Toujours de même source, elle a reconnu certaines règles du MISA : ne pas sortir seule pour les femmes ou encore la confiscation de leurs téléphones.

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