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Vendredi 22 septembre - - As-​tu vu comme Achab s’est humilié en entendant la condamnation que j’ai prononcée contre lui ? (1 Rois 21:29).

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Yves
papy
Mikael
golias
8 participants

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golias

golias

Vendredi 22 septembre


As-​tu vu comme Achab s’est humilié en entendant la condamnation que j’ai prononcée contre lui ? ().

Même si Achab s’est humilié devant Jéhovah, la façon dont il s’est comporté par la suite indique qu’il n’était pas sincèrement repentant. En effet, il n’a pas cherché à faire disparaître le culte de Baal de son royaume. Il n’a rien fait non plus pour favoriser le culte de Jéhovah. Après la mort d’Achab, Jéhovah a révélé ce qu’il pensait de lui. Le prophète Jéhu a parlé de lui comme d’un homme « méchant » (). Réfléchissons : si Achab s’était repenti sincèrement, Jéhu ne l’aurait pas qualifié d’homme méchant qui haïssait Jéhovah. Achab avait exprimé des regrets, c’est vrai, mais il ne s’était jamais repenti sincèrement de ses péchés. Que nous apprend son exemple ? Au départ, quand Élie lui a annoncé les malheurs qui allaient frapper sa famille, Achab s’est humilié. C’était un bon début. Mais le comportement qu’il a eu par la suite a démontré qu’il n’était pas vraiment repentant. Se repentir, ce n’est donc pas simplement dire qu’on regrette ce qu’on a fait. 

w21.10 3 § 4-5, 7-8.
-

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Le repentir et les bonnes actions sont les boucliers qui nous préservent de la colère du ciel.
Proverbe juif.

golias

golias

Jéhovah prête-​t-​il attention à la tristesse qu’Ahab manifeste en public ? Il dit à Éliya : « As-​tu vu comme Ahab s’est humilié à cause de moi ? Parce qu’il s’est humilié à cause de moi, je ne ferai pas venir le malheur en ses jours. Aux jours de son fils je ferai venir le malheur sur sa maison » (). Jéhovah pardonne-​t-​il à Ahab ? Non, seule une vraie repentance aurait entraîné le pardon de Dieu (). Par contre, il lui manifeste une pitié proportionnelle au regret que montre Ahab. Il lui épargne la douleur de voir toute sa famille anéantie.


Néanmoins, ce que Jéhovah a décidé en rapport avec Ahab lui-​même ne change pas. Il consulte ses anges pour décider du meilleur moyen d’amener Ahab à participer à la bataille qui lui coûtera la vie. Peu après, le jugement de Jéhovah s’exécute. Blessé au combat, Ahab se vide de son sang dans son char. Le récit ajoute ce détail sinistre : au moment où on lave le char du roi, des chiens viennent lécher son sang. Ce que Jéhovah a annoncé à Ahab par Éliya se réalise ainsi publiquement : « À l’endroit où les chiens ont lapé le sang de Naboth, les chiens laperont ton sang, oui le tien » (1 Rois 21:19 ; 22:19-22, 34-38).

papy

papy

Pour Éliya, Élisha et tous les autres adorateurs fidèles de Jéhovah, la fin d’Ahab est un rappel rassurant : Jéhovah n’a pas oublié le courage et la foi de Naboth. Tôt ou tard, le Dieu de justice punit les individus mauvais ; il manifeste également de la pitié dans son jugement chaque fois qu’il a des raisons de le faire (Nombres 14:18). Quelle leçon puissante pour Éliya, qui a enduré pendant des dizaines d’années sous le règne d’un roi méchant ! Avez-vous déjà été victime d’une injustice ? Êtes-vous impatient de voir Dieu redresser les choses ? Alors imitez la foi d’Éliya. Avec son fidèle ami Élisha, il a continué de proclamer les messages de Dieu, endurant face à l’injustice !

Yves



Achab est devenu roi non pas parcequ’il l’a mérité, mais par héritage.
Cer homme puissant par le pouvoir qu’il avait, était faible devant sa femme phénicienne adoratrice de faux Dieu.
Elle voulait imposer à son mari ses valeurs.
Et lui par faiblesse n’à pas su dire non.
Il aurait pu peut être en tenant ferme changer le destin de celle qu’il aimé plus que son devoir.
Aimer c’est dire non parfois.
Parfois ne pas dire non suffisamment tôt, c’est dire oui toujours.
Achab à su voir les bornes qu’il avait dépassé.
Dans la vie il y a une porte de sortie qui s'en trouvre si elle n’est pas prise il y en aura peut-être pas d’autre. Ou ce qui est possible parfois dans la facilité le devient défois dans les larmes.
La faiblesse tout comme le trop de rigidité n’est pas bonne pour sois, et ceux qui nous côtoie.

Invité


Invité

Un vrai repentir sais se faire reconnaître
On se rappelle ceux qui utilisait les arts magique AVANT de servir Jehovah?
Ils ont mis en tas leurs livres et les ont brûlé en publique, ils était vraiment repentant.
C’est cela le vrai repentir, pas seulement dire, « Ha je regrette ma vie passé »
Ça prend des actions qui vont avec les paroles …

papy

papy

repentir
Dans la Bible, ce mot désigne le changement d’état d’esprit de quelqu’un qui est sincèrement désolé du mode de vie qu’il avait auparavant et de ses mauvaises actions passées, ou qui regrette de ne pas avoir fait ce qu’il aurait dû. Quelqu’un qui se repent vraiment le montre par des actes ; il corrige sa conduite (Mt 3:8 ; Ac 3:19 ; 2P 3:9).

chico.

chico.

Repentir Dictionnaire Biblique Westphal
La notion de repentance suppose la connaissance de la volonté de Dieu, la conscience d’avoir désobéi à cette volonté et la résolution de ne plus la transgresser. La notion de repentir, beaucoup plus générale, concerne tous les cas où l’on regrette d’avoir fait ce qu’on a fait : qu’il s’agisse d’une faute, d’un acte qui a été la conséquence d’une erreur, ou même d’une bonne action qui a été pour d’autres l’occasion de mal faire. On peut se repentir d’avoir donné une autorisation, en elle-même irréprochable, mais qui a donné lieu, par un concours de circonstances imprévisibles ou par la malice d’autrui, à des désordres et même à des crimes. Ainsi, dans certains cas, se repentir signifie simplement avoir du déplaisir de ce qu’on a fait et changer de résolution. C’est dans ce dernier sens que l’Ancien Testament nous donne.

Yves



Il est dit: certains abandonneront la foi pour s’attacher au des doctrines de Démons. Et celui qui perseverera jusqu'à la fin sera sauvé.
La foi s’est l’assurance d’être aimé de Dieu. Parfois les pressions liés à des exigences que l’on impose, ou que l’on s'impose peuvent avoir l’effet inverse de celui recherché. L’exemple de Jacob qui marcha à la vitesse des enfants et du troupeau est la sage décision pour ne pas l’essoufflé. Parfois au contraire il faut saisir l’opportunité et ne pas manquer le bon train. Ce qu’il en est d’Achab est difficile de savoir en tout cas quand un progrès peut être aperçu chez nous ou quelqu'un, il est bien d’en prendre soit et pas trop le charger car ont ne sais jamais c’est peut-être l’opportunité.

Invité


Invité

Yves a écrit:Il est dit: certains abandonneront la foi pour s’attacher au des doctrines de Démons.

Dieu a déjà exterminé 2 villes qui « Sodome » ça te fait tu penser a quelque chose?

Dieu a fait venir un déluge sur les gens qui ne voulais PAS changer …

Les gens ont écouter Satan qui leur a dit « mais non mes chéries, vous ne mourrez PAS en mangeant de ce fruit … »

Les Demons veulent nous faire croire que c’est BON de désobéir à Dieu, qu’il n’interviendra PAS et que on peut faire tout ce qui nous plait …

En lisant les écritures nous savons quel conduite à adopter pour obtenir la « vie éternelle »
Mais bien sûr que Si on ne crois PAS en Dieu ni en cette « vie éternelle » alors on fera du n’importe quoi dans la vie …

Ils se disent « Pas grave même si je pèche contre Dieu, il ne peut rien faire contre moi … »

chico.

chico.

Certains pas tous.
L’apôtre Paul fournit d’autres renseignements sur Hyménée et révèle ce qu’on lui reprochait. Il écrivit dans une lettre ultérieure adressée à Timothée : “Évite les discours vides qui violent ce qui est saint ; car ils avanceront de plus en plus dans l’impiété, et leur parole s’étendra comme la gangrène. Hyménée et Philète sont de ce nombre. Ces hommes ont dévié de la vérité, disant que la résurrection a déjà eu lieu ; et ils renversent la foi de quelques-uns. Cependant, le solide fondement de Dieu demeure, portant ce sceau : ‘Jéhovah connaît ceux qui lui appartiennent’ et ‘Que tous ceux qui nomment le nom de Jéhovah renoncent à l’injustice’.” — II Tim. 2:16-19, 

Yves



Pour Chicago juste une précision sur la traduction.
Cette traduction peut prêter à confusion il est bien de signaler que le mot Jéhovah n’existe pas encore en ce temps. Ceci permet de ne pas réduire ceux qui nomme le nom du kurios.
A savoir également que se ne sont pas ceux qui disent Mat 7.21 Jéhovah Jéhovah qui entreront tous dans le royaumeme des cieux mais seulement veux qui par sa grâce seront en accord avec sa volonté et la pratiqueront.
Je m’étonne de l’étonnante s’élection de certains versets pour y introduire certains mots. Ou plutôt ce qui m’étonne c’est que certains ne soient pas étonné.
Réponse à Patrice.
Tu as le choix de considérer qu’ils y a des méchants qui sont prédestiné à être brûlé.
Ou des personnes qui ne pourront pas changer et accéder au salut.
Je n’ai pas ces conception.
Tout le monde est inscrit dans le livre de vie et à la possibilité de demander son effacement.
C’est à celui qui se décourage comme Juda l’à fait où le propre juste qui pense qu’il faut s’inscrire.
Notre mission est de rétablir la relation que le serpent a cassé en Éden.
Concernant Sodome le déluge etc..
La parole est donnée parfois en fonction de la dureté du cœur, ou la capacité de partir de moins loin. A un sdf ont va pas lui demander trop de choses d’un coup, mais l’essentiel pour limiter les dégâts.
La crainte de la sanction est un moyen de le faire mais elle n’est pas l’arme absolue elle réduit les conséquences.
Si tu entre tard d’avec tes copains ta femme va t’engueuler est différent de j’aime ma femme je m’empressé de renter.
La peur de se faire engueuler est donc un moyen de rentrer gentiment à la maison.
Et je suis persuadé que Dieu un bon nombre de fois dans la bible et dans nos vie accepté des situations pour limiter les dégâts mais qui ne consionne pas en lui même.
Tout comme nous sanctionner par représailles un enfant qui prend un chemin dangereux.
En conclusion l’obéissance de peur des sanctions limite les conséquences mais ne sauve pas. Au même titre que la désobéissance avec ces conséquences.
Ce qui nous sauve de deux manières c’est la relation rétabli avec Dieu qui produit un changement de comportement extérieur et un amour sincère envers Dieu. Ceci peut être le fruit d’un cheminement où à l’occasion d’un événement comme devant la mort exemple le larrons sur le poteau. C’est une bonne nouvelle car seul Dieu est jugé et notre enfant Achab qui tourne mal et qui en meurt ce n’est à personne de savoir si il a accepté l’écriture où pas.
Si vous le souhaitez nous pouvons continuer à échanger.

chico.

chico.

Ne détourne pas le sujet
Présentement nous parlons sur qui et sur quoi ?

Yves



Je vois en relisant mon message qu’au lieu de Chico le moteur de recherche à écrit Chicago désolé.
Je veux simplement signaler l’erreur de traduction de ta bible qui peut dénaturer le message que Dieu a à dire.
Ce qui est important en soit c’est l’exemple d’Achab dans nos vie en passant éventuellement par une déclaration de Paul à Timothy comme tu as su le faire. Pour autant ce n’est pas parceque tu ne parle pas d’achab dans ton dernier message que tu veux intentionnellement détourner le sujet.
Je vois que tu as la gâchette facile et ce n’est pas la première foi, mais même Al Capone à fini un jour d’être hors la loi.
Il vaut mieux être sage et travailler ensemble à chercher la vérité dans la parole de Dieu et même si cela nous dérange quand des vérités s'imposent.

Josué

Josué
Administrateur

Pour Ives petit rappel
relie ce qu'il dit ici.
https://meilleurforum-net.1fr1.net/t317-texte-quotidien

samuel

samuel
Administrateur

Je recentre le sujet sur ce fameux roi .
Achab suite à son humiliation devant Dieu , ne connut pas le malheur qui avait-il été annoncé ( 19), Jah retarda son accomplissement jusqu'au règne de Joram son fils.

Elqana



En épousant Jézabel, fille du roi de Tyr Ethbaal, Achab s’assurait l’alliance de la principale puissance phénicienne contre les redoutables ennemis héréditaires d’Israël, les Araméens de Damas. Il put, de la sorte, obtenir quelques succès ; en outre, sous son règne, les hostilités subirent des temps d’arrêt. Ben-Hadad, roi de Damas, menacé à son tour par Salmanasar III d’Assyrie, lui opposa une coalition de douze princes parmi lesquels figure Achab, et que soutenait l’Égypte. La bataille de Karkar, près de l’Oronte, dont Salmanasar, dans une inscription, s’attribue le gain mais qui en réalité ne lui procura aucun avantage, fournit la première date entièrement certaine de l’histoire israélite : 854. Le danger assyrien conjuré pour l’heure, Araméens et Israélites redevinrent ennemis. Pour récupérer Ramoth ou Rama, au delà du Jourdain, Achab appela à son aide le roi de Juda ; et cette alliance aussi fut cimentée par le mariage de la fille du roi, Athalie, avec le prince héritier judéen Joram, fils de Josaphat. Achab, mortellement frappé devant Ramoth, expire tandis que son armée se débande. Il avait, pendant un temps seulement, maintenu en vasselage ses voisins Moabites (Mésa), et Ammonites aussi semble-t-il.
Sa fin ne fut pas glorieuse.

samuel

samuel
Administrateur

Cette femme ne fut pas une bonne conseillère pour le roi, loin s'en faut.

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