Lundi 9 janvier La foi est […] la preuve évidente de réalités invisibles (Héb. 11:1).

Dieu ‘ met en ordre ’ les “ systèmes de choses ”. On lit en Hébreux 11:3 : “ Par la foi, nous comprenons que les systèmes de choses [pluriel d’aïôn] ont été mis en ordre par la parole de Dieu, de sorte que ce qu’on voit est venu de choses qui ne paraissent pas. ” Beaucoup considèrent que le texte d’Hébreux 1:2 utilise parallèlement le pluriel d’aïôn ; il dit que Jéhovah a parlé par le moyen de son Fils, Jésus Christ, “ qu’il a établi héritier de toutes choses, et par l’intermédiaire duquel il a fait les systèmes de choses ”. Le sens particulier du mot grec aïôn dans ces deux versets est compris de diverses façons.

Cette attente est si ferme qu’elle détermine nos priorités dans la vie.

Donc rien à voir avec la foi du charbonnier.

Si nous ne voulons pas risquer de regarder en arrière, il nous faut cultiver une foi toujours plus grande dans l’espérance qui nous est proposée. Hébreux 11:1 définit la foi comme “la ferme attente de choses qu’on espère, la claire démonstration de réalités que pourtant l’on ne voit pas”. C’est une assurance ou une garantie, comme un titre de propriété, que nous recevrons ce que Dieu a promis. La foi est fondée sur des preuves puissantes, si bien que nous avons des raisons solides de croire à des réalités futures que nous ne voyons pas encore. Cela ne signifie pas que nous sommes crédules, prêts à croire une chose tout simplement parce qu’elle nous paraît bonne. Pour posséder la foi véritable, nous devons nous intéresser suffisamment aux faits qui en constituent le fondement afin de bien les connaître. Il nous faut aussi réfléchir sérieusement à l’influence que les choses apprises ont sur notre vie et en être sincèrement reconnaissants.

Le point principal  de la foi consterné à croire en la personne de Dieu, il est qu'il dit être.