Dystonies sévères : enfin un traitement !
10-08-2011
La stimulation cérébrale profonde permet de traiter les mouvements anormaux (maladie de Parkinson, dystonies généralisées, syndrome de Gilles de la Tourette), les troubles du comportement (TOC) et psychiatriques (dépression sévère, schizophrénie). Explications.
Des mouvements involontaires
Au cœur du cerveau se trouvent les noyaux gris centraux, responsables de la régulation des mouvements. Lorsque ces structures sont défaillantes, des mouvements anormaux (dyskinésie) peuvent apparaître, comme des tremblements, des contractions musculaires soutenues (dystonie), des contractions brèves (myoclonie), des grimaces et gesticulations (choréoathétose), etc. Un courant électrique continu peut modifier le fonctionnement de ces structures cérébrales et diminuer, voire faire disparaître, ces mouvements involontaires. C’est la neuromodulation ou stimulation cérébrale profonde.
Une solution pour qui ?
La stimulation cérébrale profonde permet de traiter les mouvements anormaux (maladie de Parkinson, dystonies généralisées, syndrome de Gilles de la Tourette), les troubles du comportement (TOC) et psychiatriques (dépression sévère, schizophrénie). Elle donne de bons résultats sur les dystonies primaires, d’origine génétique (DYT1, DYT11) ou idiopathiques (sans cause connue).
Comment se déroule l’opération ? Quels sont les résultats ? En quoi consiste le suivi ? Qui pratique l’intervention ? Retrouvez toutes nos réponses dans Déclic n°143 (septembre-octobre 2011
http://webmail22.orange.fr/webmail/fr_FR/read.html?FOLDER=SF_INBOX&IDMSG=126770&check=&SORTBY=1
10-08-2011
La stimulation cérébrale profonde permet de traiter les mouvements anormaux (maladie de Parkinson, dystonies généralisées, syndrome de Gilles de la Tourette), les troubles du comportement (TOC) et psychiatriques (dépression sévère, schizophrénie). Explications.
Des mouvements involontaires
Au cœur du cerveau se trouvent les noyaux gris centraux, responsables de la régulation des mouvements. Lorsque ces structures sont défaillantes, des mouvements anormaux (dyskinésie) peuvent apparaître, comme des tremblements, des contractions musculaires soutenues (dystonie), des contractions brèves (myoclonie), des grimaces et gesticulations (choréoathétose), etc. Un courant électrique continu peut modifier le fonctionnement de ces structures cérébrales et diminuer, voire faire disparaître, ces mouvements involontaires. C’est la neuromodulation ou stimulation cérébrale profonde.
Une solution pour qui ?
La stimulation cérébrale profonde permet de traiter les mouvements anormaux (maladie de Parkinson, dystonies généralisées, syndrome de Gilles de la Tourette), les troubles du comportement (TOC) et psychiatriques (dépression sévère, schizophrénie). Elle donne de bons résultats sur les dystonies primaires, d’origine génétique (DYT1, DYT11) ou idiopathiques (sans cause connue).
Comment se déroule l’opération ? Quels sont les résultats ? En quoi consiste le suivi ? Qui pratique l’intervention ? Retrouvez toutes nos réponses dans Déclic n°143 (septembre-octobre 2011
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