[size=38]Révolte contre le harcèlement sexuel au Maroc[/size]
Analyse
Au Maroc, 17 % des élèves en fin de collège disent subir du harcèlement sexuel de la part d’autres élèves, 13 % de la part d’enseignants et 11 % de la part du personnel administratif. [size=12]MAXP[/size]
« Notre combat contre le mal ne s’arrête pas et ne doit en aucun cas s’arrêter là. » Au cri de #MeTooUniv et #Zéro_Tolérance, les étudiantes de l’école de commerce (ENCG) de l’université Mohammed-Ier de Oujda, dans le nord-est du Maroc, entendent battre le fer contre le harcèlement sexuel. Le 29 décembre, une affaire de chantage sexuel contre bonnes notes dans l’établissement a éclaté au grand jour, après qu’une étudiante a accusé un des enseignants en publiant des échanges de textos.
→ ANALYSE. Au Maroc, les enfants nés hors mariage restent des parias
Analyse
Une nouvelle affaire de chantage sexuel contre bonnes notes dans une école de commerce secoue le pays. La direction de l’établissement a été mise à pied, et le ministère de l’éducation a créé un numéro vert pour les victimes.
- Marie Verdier,
- le 03/01/2022 à 07:13
- Modifié le 03/01/2022 à 12:40
Au Maroc, 17 % des élèves en fin de collège disent subir du harcèlement sexuel de la part d’autres élèves, 13 % de la part d’enseignants et 11 % de la part du personnel administratif. [size=12]MAXP[/size]
« Notre combat contre le mal ne s’arrête pas et ne doit en aucun cas s’arrêter là. » Au cri de #MeTooUniv et #Zéro_Tolérance, les étudiantes de l’école de commerce (ENCG) de l’université Mohammed-Ier de Oujda, dans le nord-est du Maroc, entendent battre le fer contre le harcèlement sexuel. Le 29 décembre, une affaire de chantage sexuel contre bonnes notes dans l’établissement a éclaté au grand jour, après qu’une étudiante a accusé un des enseignants en publiant des échanges de textos.
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