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Agissons ensemble contre le cyber harcèlement avec e-Enfance.

3 participants

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Josué

Josué
Administrateur

[size=34]Agissons ensemble contre le cyber harcèlement avec e-Enfance[/size]
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Mise à jour : 8 Novembre 2018
 
 

 
 
Selon e-Enfance, 90% des adolescents victimes de cyber-harcèlement n’en parlent pas à leurs parents.
 
Ce 08 novembre, à l’occasion de la journée nationale de lutte contre le harcèlement à l’école, Orange s’associe pour la 4e année consécutive à l’association e-Enfance pour aider les familles à mieux protéger leurs enfants dans le monde numérique.
 
Le cyber harcèlement, parlons-en :
 
Il s’agit en général de moqueries, d’insultes, de chantage, de menaces ou même de demandes d’argent à travers des blogs, messageries électroniques, SMS ou réseaux sociaux. C’est une agression visuelle - envoi d'images ou de vidéos choquantes et/ou inappropriées - ou écrite qui se poursuit hors de l’école. Bien que virtuels, ces messages constituent une agression bien réelle et sont punis par la loi.
 
Cette année, l’accent est mis sur les violences en ligne, liées à la diffusion d’images intimes à l’insu des victimes (« sexting non consenti » ou « revenge porn »).
 
« Le harcèlement, si on n'en parle pas, ça ne s’arrête pas » :
 
L’association e-Enfance, soutenue par le Ministère de l’Éducation Nationale et la Commission européenne, met à disposition un N° gratuit anonyme et confidentiel pour venir en aide aux victimes et assister les familles et les témoins en cas de cyber harcèlement :
 
 
Agissons ensemble contre le cyber harcèlement avec e-Enfance. Logo-e-enfance
 

Justine Atlan, Directrice générale de l’association e-Enfance, nous en dit plus dans nos Paroles d'experts :
 

Josué

Josué
Administrateur

[size=48]22% des jeunes ont déjà été harcelés en ligne
Par LEXPRESS.fr ,publié le 15/02/2019 à 08:08 , mis à jour à 11:43


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Agissons ensemble contre le cyber harcèlement avec e-Enfance. Facebook-cyberharcelement_6151454
Plusieurs témoignages de femmes et d'hommes qui disent avoir été harcelés par la Ligue du LOL essaiment sur les réseaux sociaux (image d'illustration).
 
REUTERS/Michael Dalder


Ce sondage survient dans le contexte très particulier des révélations autour de la ligue du LOL.


Alors que le gouvernement réfléchit à de nouvelles mesures contre le cyberharcèlement, un sondage Ifop pour France info révèle que 22% des jeunes en ont déjà été victimes. Des comportements qui s'imposent peu à peu dans la vie de ces internautes.  

Plus d'un quart déjà visé par des insultes


"Chez les 18-24 ans, la part des personnes cibles d'insultes ou de propos grossiers s'élève à 27% - soit plus d'un quart des jeunes", écrit France info. "On observe que les catégories de population les plus connectées (jeunes, CSP+) sont aussi celles qui subissent le plus la face sombre des réseaux sociaux : insultes quotidiennes, cyberharcèlement, etc.", explique au site Jean-Philippe Dubrulle, chef de groupe au pôle Opinion de l'Ifop.  

LIRE AUSSI >> "Ul-team-hate", la Ligue du LOL version école de journalisme 
Dans les autres franges de la population, chez les plus de 18 ans au sens large, les prises à partie sur internet sont moindres. "Seuls 12% des personnes interrogées déclarent avoir été la cible en ligne d'insultes ou de comportements grossiers, note France info. Et 8% déclarent avoir déjà été la cible de harcèlement en ligne." 

Le contexte "ligue du LOL"



Cette étude surgit dans un contexte particulier. Des témoignages sur internet ont fait émerger l'existence d'une ligue du LOL, un groupe Facebook, ou des journalistes, des graphistes et des communicants harcelaient des femmes et des hommes, multipliant les insultes sexistes, grossophobes, ou antisémites.  

LIRE NOTRE DOSSIER COMPLET

Le cyberharcèlement à l'heure de l'essor des réseaux sociaux



  • Ligue du lol: "Le phénomène de meute nourrit le harcèlement"
  • Plusieurs journalistes de la "ligue du LOL" mis à pied
  • Comment le gouvernement veut limiter la haine sur Internet



De son côté, le gouvernement a présenté jeudi un plan d'action contre le harcèlement en ligne. L'objectif est d'accélérer le retrait des contenus haineux qui circulent sur les plateformes, et responsabiliser ces dernières, qui pourraient être dotées d'un nouveau statut.  

Josué

Josué
Administrateur

[size=38]yber harcèlement, des vies détruites[/size]

Analyse 

Le harcèlement en ligne n’est plus un phénomène marginal : près d’un jeune Français sur cinq déclare avoir en avoir déjà fait les frais.
Face aux tout puissants réseaux sociaux, la justice reste, pour l’heure, impuissante.



     
  • Marie Boëton, 

  • le 20/05/2019 à 07:18 




Agissons ensemble contre le cyber harcèlement avec e-Enfance. 22-jeunes-adultes-cible-dattaques-ligne_0_729_485



22% des jeunes adultes ont été la cible d’attaques en ligne.[size=12]TEROVESALAINEN - STOCK.ADOBE.COM
[/size]
« Le cyberharcèlement ? On n’est qu’au début de l’histoire, prédit l’avocate Delphine Meillet, spécialisée en cybercriminalité. Je reçois de nouveaux dossiers tous les jours. Le harcèlement en ligne se pratique entre collègues de travail, entre ex-conjoints et, évidemment, entre ados. »
Un constat confirmé par un sondage Ifop (1) publié en février : 8 % de la population déclare « avoir été la cible d’attaques répétées en ligne ». Un chiffre qui monte à 22 % chez les 18-24 ans.

À lire aussi

Emmanuelle Piquet : « La culture du clash propre aux réseaux sociaux fait le lit du cyberharcèlement »

Agissons ensemble contre le cyber harcèlement avec e-Enfance. Selon-Emmanuelle-Piquet-lampleur-cyberharcelement-sexplique-partie-besoin-popularite-jeunes-generations_0_190_135




Remonter aux auteurs, une gageure


En théorie, les espaces virtuels n’échappent pas au Code pénal : un délit spécifique de « harcèlement en ligne », sanctionné de trois ans de prison, existe bien depuis 2014. En pratique, l’impunité reste de mise. Pour preuve, on ne recensait ainsi que 17condamnations en 2017. Et pour cause, les magistrats ont le plus grand mal à identifier les internautes s’exprimant sous pseudo. « Nous dépendons totalement des plates-formes pour obtenir leur adresse IP. Sans réponse de leur part, nos enquêtes s’enlisent », déplore la magistrate Lucille Rouet.
À défaut d’obtenir gain de cause en justice, les victimes peuvent signaler aux réseaux sociaux les messages illicites les visant afin qu’ils soient retirés. Mais, là encore, les géants du Net ne jouent pas tous le jeu se réfugiant souvent derrière le droit américain – et sa lecture très extensive de la liberté d’expression – pour ne pas donner suite.
« L’appel de Christchurch », lancé à Paris le 15 mai avec l’aval de Facebook, Twitter ou Google va, certes, dans le bon sens. Mais les GAFA ne se sont engagés que sur un point : le retrait des contenus « terroristes et extrémistes violents », laissant de côté tous les autres messages haineux. Pas de quoi, donc, changer quoi que ce soit au fléau du harcèlement.

Responsabiliser les plates-formes


Côté français, la proposition de loi de la députée LREM Laetitia Avia – qui doit être débattue avant l’été – répond en partie au défi posé. Le texte exige par exemple des réseaux sociaux qu’ils fournissent impérativement aux enquêteurs l’identité des internautes recherchés. Il oblige par ailleurs les plates-formes en ligne à retirer dans les 24 heures « tout contenu comportant manifestement une incitation à la haine ou une injure discriminatoire », et ce sous peine d’une amende dissuasive. Reste à savoir si le texte, accueilli froidement par les géants du Web, sera voté en l’état… et si ces derniers se plieront aux exigences des juges.
Par-delà les réponses juridiques, voire judiciaires, reste la question de la prévention. Pour Lucille Rouet, « elle est d’autant plus fondamentale que le harcèlement en ligne gagne vraiment du terrain chez les jeunes ». Samuel Comblez, directeur de E-Enfance – dont la plate-forme Net écoute gère plus de 10 000 appels par an – plaide en faveur d’une vaste campagne de sensibilisation : « Internet, c’est la vraie vie, assure-t-il. Ce qui se dit les réseaux sociaux ne flotte sur la Toile de manière éthérée, cela peut détruire des vies. » Les trois témoignages suivants en font état.

Josué

Josué
Administrateur

[size=33]Que faire si mon enfant se fait harceler ?[/size]


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Votre enfant vous dit qu’il se fait harceler à l’école. Que pouvez-​vous faire ? Exiger que l’établissement punisse le coupable ? Apprendre à votre enfant à se défendre ? Avant de décider, examinez les éléments suivants.

  •  Que faut-​il savoir sur le harcèlement ?
  •  Comment aider mon enfant ?

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[size=34] Que faut-​il savoir sur le harcèlement ?[/size]

Qu’est-​ce que le harcèlement ? Harceler quelqu’un, c’est lui faire subir des attaques physiques ou psychologiques incessantes et avec l’intention de nuire. Toute insulte ou tout comportement agressif n’est donc pas forcément du harcèlement.
Pourquoi cette précision est importante : Certaines personnes utilisent le terme « harcèlement » pour qualifier n’importe quels comportements pénibles, même les moins graves. Mais en intervenant au moindre incident, vous pourriez sans le vouloir laisser penser à votre enfant qu’il n’est pas capable de résoudre les conflits, aptitude dont il aura besoin tout au long de sa vie.
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Principe biblique : « Ne te vexe pas pour un rien » (Ecclésiaste 7:9).
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Conclusion : Même si certaines situations peuvent nécessiter votre intervention, d’autres peuvent donner l’occasion à votre enfant d’apprendre à surmonter les difficultés et à résoudre les conflits (Colossiens 3:13).
Mais que faire si votre enfant vous dit qu’il se fait bel et bien harceler ?

[size=34] Comment aider mon enfant ?[/size]

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  • Écoutez patiemment votre enfant. Essayez de chercher à savoir 1) ce qui se passe exactement et 2) pourquoi il est pris pour cible. Ne tirez pas de conclusions avant d’avoir tous les faits. Demandez-​vous : « Pourrait-​il y avoir des éléments qui me manquent ? » Pour avoir une vision complète de la situation, vous devrez peut-être discuter avec le professeur de votre enfant ou avec les parents de l’autre enfant impliqué.
    Principe biblique : « Quand quelqu’un se prononce sur une affaire avant d’entendre les faits, c’est stupide et humiliant » (Proverbes 18:13).

  • Si votre enfant est effectivement harcelé, aidez-​le à comprendre que la façon dont il réagit peut soit améliorer les choses, soit les aggraver. Par exemple, la Bible dit : « Une réponse douce fait retomber la fureur, mais une parole dure provoque la colère » (Proverbes 15:1). S’il se venge, cela peut se retourner contre lui, et il risque de se faire encore plus harceler.
    Principe biblique : « Ne rendez pas le mal pour le mal, ou l’insulte pour l’insulte » (1 Pierre 3:9).

  • Expliquez à votre enfant que refuser de se venger n’est pas un signe de faiblesse. Au contraire, cela montre qu’il est fort, car il refuse de se laisser manipuler par quelqu’un d’autre. C’est une façon de vaincre son harceleur sans en devenir un soi-​même.
    C’est particulièrement important que votre enfant garde cela à l’esprit s’il est victime de cyber-harcèlement. Le fait de se laisser entraîner dans un échange d’insultes en ligne ne fera que donner la possibilité au harceleur de continuer, et votre enfant risquera à son tour d’être accusé de harcèlement ! Pour ces raisons, parfois le mieux à faire, c’est de ne rien faire : cette méthode offre plus de chances de décourager le harceleur et de rendre votre enfant maître de la situation.
    Principe biblique : « Là où il n’y a pas de bois, le feu s’éteint » (Proverbes 26:20).

  • Dans certains cas, votre enfant peut éviter les personnes susceptibles de le harceler et les endroits à risques. Par exemple, s’il sait qu’il a de fortes chances de rencontrer ce genre de personnes à un certain endroit, il peut choisir de prendre un autre chemin pour s’éviter des ennuis.
    Principe biblique : « L’homme prudent voit le danger et se cache, mais l’homme naïf continue d’avancer et en subit les conséquences » (Proverbes 22:3).


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Agissons ensemble contre le cyber harcèlement avec e-Enfance. 502019350_univ_cnt_1_lg

Vous devrez peut-être discuter avec le professeur de votre enfant ou avec les parents de l’autre enfant impliqué.


ESSAYEZ CECI : Aidez votre enfant à réfléchir aux avantages et aux inconvénients des différentes solutions qu’il a. Par exemple :
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  • Que se passera-​t-​il s’il se contente d’ignorer le harceleur ?
  • Ou bien s’il lui demande avec assurance d’arrêter ?
  • Ou encore s’il en parle à un membre du personnel éducatif ?
  • Peut-​il « désarmer » le harceleur en faisant preuve de gentillesse ou d’humour ?

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Quelle que soit la forme du harcèlement, chaque situation est différente. Alors aidez votre enfant à trouver une solution qui fonctionne. Montrez-​lui que vous le soutenez dans cette épreuve.
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Principe biblique : « Un véritable ami témoigne son amour en tout temps, et c’est un frère qui est né pour les moments de détresse » (Proverbes 17:17).

fonewix

fonewix

Je trouve le conseil suivant particulièrement pertinent :

"Expliquez à votre enfant que refuser de se venger n’est pas un signe de faiblesse. Au contraire, cela montre qu’il est fort, car il refuse de se laisser manipuler par quelqu’un d’autre. C’est une façon de vaincre son harceleur sans en devenir un soi-​même."

La vengeance appartient à Dieu, nous dit la Bible.

Josué

Josué
Administrateur

[size=33]Le harcèlement sexuel[/size]

Cinq jeunes expliquent ce qu’est le harcèlement sexuel et pourquoi il ne faut pas le tolérer.
https://www.jw.org/fr/la-bible-et-vous/adolescents/ce-qu-ils-en-pensent/harcelement-sexuel/

Josué

Josué
Administrateur

[size=33]Mets un harceleur K.-O. sans utiliser les poings ![/size]

Pour quelles raisons on peut être harcelé ? Qu’est-ce que tu peux dire ou faire quand ça t’arrive ?
https://www.jw.org/fr/la-bible-et-vous/adolescents/tableau-s-anime/mets-un-harceleur-ko-sans-les-poings/

papy

papy

Les contenus explicites sont partout. Dans son livre Talk to Me First, Deborah Roffman écrit que « conversations, publicités, films, livres, paroles de chansons, émissions télévisées, écrits, jeux, affiches publicitaires et écrans d’ordinateurs et de téléphones [sont] tellement saturés d’images, de textes et d’allusions à caractère sexuel que beaucoup [d’adolescents, de préadolescents et même de jeunes enfants] doivent en conclure, au moins inconsciemment, que le sexe est [...] la chose la plus importante qui soit.

papy

papy

[size=42]Jeu suicide sur les réseaux sociaux : un Britannique est trouvé mort au Portugal[/size]

28 septembre 2023 17 h 32 min


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Le corps de la victime a été découvert dimanche par la police dans une forêt isolée, près de la ville de Pedrógão Grande. Une dispute aurait éclaté dans un groupe d’amis alors qu’ils jouaient au jeu suicide Blue Whale Challenge : un compatriote de 26 ans a été arrêté. Il y a cinq ans, sur RiTV, nous évoquions déjà ce jeu de la Baleine Bleue, qui avait à l’époque fait plus de cent-trente morts.
Comment le virtuel peut devenir mortel, comment l’on peut tuer à distance avec une jouissance sardonique et même satanique… Ces jeux sont l’exact reflet de la déliquescence intellectuelle et morale, permise par la Chine, mère de TikTok, matrice de ce réseau social qui diffuse ces jeux délétères. Elle cultive la pourriture occidentale et nous la ressert avec une satisfaction non dissimulée.
 

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Blue Whale Challenge : la mort d’un trentenaire

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La victime, dont l’identité n’a pas été révélée, avait 35 ans et aurait été agressée après qu’une dispute a éclaté dans son groupe d’amis alors même qu’ils jouaient à ce jeu notoire du Blue Whale Challenge. L’un d’entre eux, âgé de 26 ans, s’est rendu aux autorités portugaises et aurait avoué le crime : le couteau utilisé a été retrouvé sur les lieux.
Tous ces jeunes gens devaient rentrer au Royaume-Uni dans une semaine.
Blue Whale Challenge, né en Russie en 2015, qui visait plutôt, lors de sa création, les adolescents, touche donc désormais les jeunes adultes et les étudiants. Le confinement de 2020 a d’ailleurs multiplié le nombre de ses victimes, notamment en France et en Belgique. Il a déjà fait de nombreux morts dans le monde, en Ukraine, en Russie, en Inde, aux Etats-Unis…
 

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Le jeu… jusqu’au suicide

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Participer à 50 tâches sur 50 jours : c’est l’objectif de ce challenge ultra malsain. On commence par une série de défis pas trop nocifs pour attirer les jeunes avant de les orienter vers des tâches plus risquées, plus sinistres et plus traumatisantes. Du réveil à des heures étranges au visionnage de films d’horreur jusqu’à l’automutilation. Au dernier jour, les manipulateurs derrière ce jeu ordonneraient aux participants de se suicider. Le jeu est fortement lié au nom de Jonathan Galindo, un homme que l’on peut également voir avec le visage peint comme Mickey Mouse.
S’adressant à MailOnline, le Dr Mark Griffiths, professeur de dépendance comportementale à l’Université Nottingham Trent, a exhorté les parents à être attentifs aux changements d’humeur de leurs enfants, ou aux prises d’habitudes étranges.
En juillet 2020, un écolier britannique de 11 ans a été victime d’un chantage de la part d’un utilisateur anonyme d’Instagram via Blue Whale : il a fait trois entailles au bras droit de sa mère avec une aiguille après qu’on a menacé de la tuer s’il n’obtempérait pas… Son interlocuteur savait son nom, son âge et son adresse, et avait été capable de dire à sa victime quel était le modèle de son téléphone, son adresse IP, et même le nom de sa mère.
 

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Les réseaux sociaux, vecteurs d’éducation

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Rappelons que tous ces jeux profondément destructeurs – Blue Whale Challenge n’est pas le seul – abondent sur Tik Tok, la très populaire et très addictive application née en Chine et contrôlée par celle-ci. Une Chine communiste qui laisse le réseau social se remplir de toutes ces horreurs hors de ses frontières, tandis qu’elle limite de façon draconienne son contenu sur son propre territoire : la version chinoise, Douyin, reste décidément différente de la version dédiée aux Occidentaux.
« Sur leur version de TikTok, si vous avez moins de 14 ans, ils vous montrent des expériences scientifiques à reproduire chez vous, des visites de musées, des vidéos patriotiques ou éducatives. Ils ne diffusent pas cette version de TikTok au reste du monde. Ils savent que la technologie influence le développement des jeunes. Pour leur marché domestique, ils vendent une forme appauvrie tandis qu’ils exportent de l’opium au reste du monde » a déclaré récemment, sur CBS, un ancien employé haut placé de Google, Tristan Harris.
L’opium ? La pornographie, le genre, les jeux stupides ou mortels comme ces défis, la corruption ou la bêtise tous azimuts.
C’est acté : la Chine crétinise à distance son concurrent géopolitique et économique, l’Occident. « C’est l’un des outils du soft power exercé par la Chine, selon le chercheur universitaire spécialisé en sciences politiques et relations internationales, Tanguy Struye de Swielande. Avec l’espoir, notamment, que ces divertissements addictifs participeront à polariser nos démocraties libérales et à les affaiblir. »
La version chinoise de TikTok vient d’ailleurs de restreindre encore le temps quotidien de navigation en ligne : pas plus de 40 minutes pour les moins de 8 ans, une heure seulement pour les 8-16 ans et deux heures pour les adolescents de 16 à 18 ans. Et Internet n’est plus accessible pour les mineurs, entre 22 heures et 6 heures du matin, sur les téléphones, tablettes et même les montres connectées.
Quel parent occidental n’en rêverait pas ?
 

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Clémentine Jallais

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