[size=38]Russie : entre le Kremlin et le patriarche, un « partenariat » ambivalent Abonnés[/size]
Reportage
Le président russe Vladimir Poutine et le patriarche Kirill, dans la cathédrale de l’Annonciation de Moscou en 2018.[size=12]ALEKSEY NIKOLSKYI/SPUTNIK VIA AFP[/size]
Cierges rouges étincelants, portes d’iconostase ouvertes, « Khristossé Voskressé » (« Christ ressuscité ! ») échangés entre fidèles, familles réunies autour du koulitch, une brioche ronde au glaçage coloré… En ces jours de fêtes pascales, la célèbre phrase de Séraphin de Sarov résonne dans les églises orthodoxes de Russie, loin de la politique. « Vis l’âme en paix et, autour de toi, tu en sauveras mille autres », conseillait le plus vénéré des saints russes.
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Reportage
En vingt ans de pouvoir sous Vladimir Poutine, l’Église orthodoxe est devenue une puissante institution. Cette volonté de renforcer son influence politique n’est pas forcément appréciée par l’ensemble des fidèles.
- Benjamin Quénelle (correspondant à Moscou),
- le 09/05/2021 à 13:52
- Modifié le 09/05/2021 à 18:45
Le président russe Vladimir Poutine et le patriarche Kirill, dans la cathédrale de l’Annonciation de Moscou en 2018.[size=12]ALEKSEY NIKOLSKYI/SPUTNIK VIA AFP[/size]
Cierges rouges étincelants, portes d’iconostase ouvertes, « Khristossé Voskressé » (« Christ ressuscité ! ») échangés entre fidèles, familles réunies autour du koulitch, une brioche ronde au glaçage coloré… En ces jours de fêtes pascales, la célèbre phrase de Séraphin de Sarov résonne dans les églises orthodoxes de Russie, loin de la politique. « Vis l’âme en paix et, autour de toi, tu en sauveras mille autres », conseillait le plus vénéré des saints russes.
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