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La construction par l'Éthiopie d'un gigantesque barrage.

5 participants

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Josué

Josué
Administrateur

[size=33]Nicolas Baverez – La guerre du Nil aura-t-elle lieu ?[/size]


[size=33]ÉDITO. La construction par l'Éthiopie d'un gigantesque barrage en amont du fleuve avive les tensions nationalistes dans la région.[/size]


 Par Nicolas Baverez
Publié le 22/02/2020 à 08:00 | Le Point.fr


La construction par l'Éthiopie d'un gigantesque barrage. 20060782lpw-20064239-article-jpg_6927103_660x281

Le Grand barrage éthiopien de la Renaissance (GERD), en construction depuis 2011 sur le Nil bleu.
:copyright: EDUARDO SOTERAS/AFP



Les grands barrages, qui avaient été largement abandonnés depuis les années 1980, effectuent un retour en force dans les pays émergents, en Chine, en Inde, au Brésil, en Turquie, mais aussi en Afrique où moins de 5 % du potentiel hydroélectrique est exploité. Ils répondent à la demande croissante d'électricité qui accompagne le développement comme aux exigences de la lutte contre la pauvreté puisque près de 1 milliard d'hommes restent privés d'accès à cette même électricité. Ils s'inscrivent parfaitement dans la priorité qui doit être donnée à la lutte contre le réchauffement climatique, au...

chico.

chico.

La guerre de l'eau est partout.
https://www.franceculture.fr/emissions/grand-reportage/agriculture-la-guerre-de-leau-aura-t-elle-lieu

Josué

Josué
Administrateur

[size=38]« Renaissance », le méga-barrage de la discorde entre l’Egypte et l’Ethiopie[/size]

Enquête 

Alors que l’Éthiopie veut démarrer le remplissage de son gigantesque barrage sur le Nil en juillet, les relations s’enveniment avec ses voisins, le Soudan et surtout l’Égypte pour qui l’eau du fleuve est jugée vitale.
Le Caire réclame l’intervention du conseil de sécurité de l’ONU et, à sa demande, une réunion de la Ligue arabe se tient ce 23 juin.



  • Marie Verdier, 
  • le 23/06/2020 à 06:00 
  • Modifié le 23/06/2020 à 11:32


La construction par l'Éthiopie d'un gigantesque barrage. Vue-aerienne-barrage-Renaissance-28_0_730_479



Vue aérienne du barrage de la Renaissance le 28 mai. [size=12]MAXAR TECHNOLOG
[/size]


« Une question de vie ou de mort ». Le président égyptien Al Sissi n’avait pas mâché ses mots devant l’assemblée générale des Nations Uni es en septembre dernier en évoquant l’enjeu que représentent les eaux du Nil pour les cent millions d’Égyptiens.
C’est que le pays se retrouve au pied du mur. Bien loin du Caire, à 3 500 kilomètres plus au sud, l’Éthiopie achève le chantier de son gigantesque barrage de la Renaissance (Gerd) sur le Nil bleu et entend, coûte que coûte, profiter de l’actuelle saison des pluies pour démarrer le remplissage en eau du lac réservoir, dès ce mois de juillet.

Le futur grand barrage éthiopien inquiète l’Égypte
Le ton monte à mesure que l’échéance approche. Effrayée à l’idée de subir une baisse de débit du fleuve, l’Égypte a demandé le 19 juin l’intervention du conseil de sécurité de l’ONU pour garder sa ressource en eau. Et elle a mobilisé la Ligue arabe qui se réunit sur ce sujet ce mardi 23 juin.

« Nous ne voulons pas d’escalade »


« Nous ne voulons pas d’escalade. Les négociations sont la seule solution », a fait valoir dimanche 21 juin Yasser Abbas, le ministre soudanais de l’irrigation, alors que son pays _ où le Nil bleu rejoint le Nil blanc pour former le Nil_ est resté conciliant dans les négociations. Las, après les échecs des conférences tripartites, organisées avec la médiation de Washington, d’octobre à janvier dernier, une énième rencontre des ministres en charge de l’eau et de l’irrigation des trois pays, qui s’est tenue le 9 juin, a une nouvelle fois échoué à trouver un accord sur la vitesse de remplissage du réservoir.
Neuf ans de disputes autour du barrage sur le Nil
Cette mise en eau du barrage prendra plusieurs années. L’Éthiopie, qui s’est lourdement endettée pour ce méga projet, la veut rapide, sur quatre ans, afin d’exploiter au plus tôt sa centrale hydroélectrique. Alors que l’Égypte réclame qu’elle soit lissée dans le temps, sur douze ans, pour qu’elle impacte le moins possible le débit du fleuve.

« L’Égypte se rêve encore en leader du monde arabe »


Une solution de compensation financière qui pourrait être accordée par l’Égypte à l’Éthiopie pour l’aider à rembourser ses prêts et compenser le manque à gagner lié au recul de la vente d’électricité a, à peine, pu être esquissée. En plein bras de fer politique, le contentieux s’enkyste entre une Égypte « qui se rêve encore en leader du monde arabe » et une Éthiopie, dorénavant forte de 110 millions d’habitants, « qui veut s’afficher comme une puissance et fait du barrage un ferment de solidarité nationale », fait valoir Marc Lavergne, géopolitologue spécialiste du Moyen-Orient arabe et de la Corne de l’Afrique.
Pour l’Égypte, le Nil et le pays des Pharaons ne font qu’un depuis la nuit des temps. Or, comme l’écrivait il y a quelques années le géographe spécialiste en eau Habib Ayeb, « longtemps seule puissance dominante dans le bassin du Nil, l’Égypte a été peu à peu réduite au statut de simple État riverain du fleuve » (1). Mais le pays reste arc-bouté sur ses droits historiques scellés dans une succession d’accords depuis le XIXe siècle, lesquels ignoraient l’Éthiopie. Ainsi le traité de partage des eaux de 1959 entre l’Égypte et le Soudan, auquel se réfère Abdel Fattah Al Sissi, octroie à la première 55,5 milliards de mètres cubes d’eau et au second 18,5 milliards, sur un apport moyen annuel du fleuve estimé à 84 milliards de mètres cubes.
« Il ne faut pas exagérer cette confrontation, il n’y a pas péril en la demeure », estime toutefois Marc Lavergne. Selon lui, l’Égypte devrait pouvoir supporter une baisse de débit si elle adoptait un modèle de développement plus durable. « Le pays gaspille l’eau gratuite du Nil, il pratique toujours une irrigation par submersion des terres, les sols sont gorgés d’humidité, explique-t-il. Le problème c’est que l’Égypte se retrouve face à elle-même, face à son impuissance à régler ses problèmes d’environnement, de justice et de démographie ».
L’Égypte perd la maîtrise du Nil

André222



triple problème pour l'Ethiopie,
- Son développement économique dans un contexte politique difficile, avec ses voisins arabes,
- Un financement qui met le pays à la merci de son principal financier, soit la Chine.
- Des voisins en guerre qui ne savent pas vivre autrement (Somalie, sud Soudan).

papy

papy

André222 a écrit:triple problème pour l'Ethiopie,
- Son développement économique dans un contexte politique difficile, avec ses voisins arabes,
- Un financement qui met le pays à la merci de son principal financier, soit la Chine.
- Des voisins en guerre qui ne savent pas vivre autrement (Somalie, sud Soudan).
Bonjour.
Tu as bien résumé la situation de ce pays.

Invité


Invité

L'Afrique est peut etre sous le controle de la France
Mais la Chine a mis l'Afrique eb faillite pour en avoir le contrôle, maintenant l'Afrique appartient en RÉALITÉ a la Chine

André222



Grâce aux dettes que les pays Africains(et pays d'autres régions) ont contracté auprès de la Chine,

cette dernière fait pression pour placer ses pions = intérêts
sous le beau slogan de :
gagnant gagnant

Josué

Josué
Administrateur

De toute façon l'eau dans cette région sera un sujet de querelles qui pourra aller jusqu'a la guerre.

https://www.futura-sciences.com/planete/dossiers/developpement-durable-geopolitique-guerre-eau-622/page/5/#:~:text=La%20guerre%20de%20l%27eau,gestion%20de%20l%27or%20bleu.

André222



La moitié du monde est ou sera prochainement dans une situation de guerre, avec le manque d'eau !

Certains pays produisent des céréales en pompant l'eau à des centaines de mètres de profondeur, nappes d'eau qui ne se renouvelle pas !!!!
Il devront bien trouver une solution, économique, politique ou militaire!

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Changement climatique : l'eau, cet indicateur
Dans un rapport publié hier, l'ONU estime que "les effets du changement climatique sont souvent ressentis à travers l’eau" lors des sécheresses avec les pénuries et lors des inondations. L'organisation alerte sur les nombreux risques de plus en plus croissants liés à l'eau.

Le chiffre. 3,6 milliards de personnes ont un accès insuffisant à l’eau au moins un mois par an. Ce chiffre devrait monter à plus de 5 milliards d’ici à 2050. D'après l'ONU, 74% de l’ensemble des catastrophes naturelles étaient liées à l’eau entre 2001 et 2018.

💡 Pourquoi ça compte. En France, la problématique de l'accès à l'eau s'est plus que jamais posée cet été. Pour Franck Galland, chercheur associé à la Fondation pour la Recherche Stratégique, "il faut s'adapter, et cela suppose une vague d'investissements massifs (...) Tout le monde doit se retrousser les manches, Etat, collectivités et opérateurs".

André222



Il est quand même intéressant de noter que alors que l'Ethiopie remplissait son barrage,
provoquant la colère du Soudan et de l'Egypte qui se voyaient privés d'eau,

Il y avait des inondations au Soudan du Sud,
et au Soudan !!!!

Donc en aval du barrage qui retiendrait l'eau !

Allez comprendre.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

L'eau va être un très grand problème dans ce pays mais aussi dans d'autres.
Il question maintenant de la guerre de l'eau.

André222



La guerre de l'eau est un soucis mondial,

comme entre Israël et ses voisins,

de même entre la Turquie qui assoiffe la Syrie et l'Irak.

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