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Brésil : la rupture d’un barrage fait de terribles dégâts

3 participants

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Josué

Josué
Administrateur

[size=33]Brésil : la rupture d’un barrage fait de terribles dégâts[/size]

Le vendredi 25 janvier 2019, un barrage minier a cédé à Brumadinho (une ville de l’État de Minas Gerais) libérant une coulée de boue meurtrière. Cette catastrophe a fait au moins 150 morts, et 182 personnes sont toujours portées disparues.
Il y a environ 180 Témoins dans les deux assemblées de Brumadinho ; parmi eux beaucoup travaillent pour la compagnie minière. Dix frères travaillaient sur le barrage au moment où il a cédé. Neuf sont sains et saufs, mais malheureusement un de nos frères (un ancien) est toujours porté disparu. Par ailleurs, au moins cinq familles de Témoins ont dû évacuer leur domicile, et une maison a été complètement détruite.
Un membre du Comité de la filiale du Brésil et les responsables des circonscriptions de la région ont visité ceux qui ont été touchés par cette tragédie pour les encourager à l’aide de la Bible et leur fournir une aide pratique. Nous prions notre Père céleste de continuer de leur apporter le réconfort nécessaire et d’aider toutes les victimes de ce drame (Romains 15:5).

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Cette catastrophe est dû à l'incurie humaine.

Josué

Josué
Administrateur

[size=33]Au Brésil, les dirigeants du groupe minier Vale démissionnent[/size]

  • Par  Charles Gautier 
     

  • Publié le 03/03/2019 à 23:32



Cette décision fait suite à la rupture du barrage de Brumadinho qui a fait 186 morts le 25 janvier dernier.
Le PDG du groupe minier brésilien Vale, Fabio Schvartsman, et trois autres dirigeants du groupe ont demandé à quitter «provisoirement» leurs fonctions. Cette décision est directement liée à la rupture du barrage de Brumadinho, dans l'État de Minais Gerais, dans le sud-est du pays. Cette catastrophe a fait 186 morts et 122 disparus le 25 janvier.
» LIRE AUSSI - Brésil: les images choc de la rupture du barrage de Brumadinho
Premier producteur mondial de minerai de fer et propriétaire du barrage de Brumadinho, Vale a immédiatement accepté ces démissions dites «temporaires». Le parquet et la police fédérale brésiliens avaient recommandé vendredi ces limogeages.

«Solidarité avec les victimes»


Dans une lettre adressée au conseil d'administration, Fabio Schvartsman a demandé à quitter ses fonctions en arguant de «l'intérêt de la continuité des activités de l'entreprise», mais aussi en signe de «solidarité avec les victimes et leurs familles».
La majorité des ouvriers - piégés par un torrent de boue dans la cantine à l'heure du déjeuner - travaillaient dans la mine Corrego do Feijão. Après ce drame, il est apparu que le groupe Vale savait que le barrage de résidus miniers qui a finalement rompu présentait un risque élevé de rupture. Selon l'agence Reuters, les inspecteurs se seraient sentis obligés de certifier la fiabilité du barrage.
Ce drame s'est produit un peu plus de trois ans après une autre tragédie qui avait endeuillé une autre mine, proche de la ville de Mariana, également dans l'État de Minais Gerais, et que Vale exploitait en partenariat avec l'australien BHP. Dix-neuf personnes avaient trouvé la mort et cette catastrophe environnementale a été la pire de l'histoire du Brésil.

samuel

samuel
Administrateur

Lui il pars avec une retraite dorée.

Josué

Josué
Administrateur

Au Brésil, les conséquences déjà flagrantes du dérèglement climatique. Inondations, températures historiquement basses, nombre record de départs de feu… Le pays est frappé ces dernières semaines par une succession de catastrophes naturelles, que les spécialistes attribuent au réchauffement climatique. «Depuis six mois, les catastrophes climatiques sont récurrentes au Brésil. Je ne me souviens d’aucune période de ce type dans l’histoire du pays», alerte ainsi le climatologue brésilien Carlos Nobre. Notre article à lire ici.

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