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Faut-il faire croire aux enfants que le Père Noël existe

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BenFis
Voyageur
samuel
philippe83
Josué
9 participants

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Josué

Josué
Administrateur

[size=44]Faut-il faire croire aux enfants que le Père Noël existe ?[/size]
Faut-il faire croire aux enfants que le Père Noël existe  Web-santa-claus-believe-in-skeeze-pixabay-pd
Skeeze - PD

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Edifa | 11 décembre 2019

Comme chaque année à l’approche de Noël, la figure du Père Noël est omniprésente : dans les magasins, dans la publicité, dans les conversations de cours d’école et bien sûr dans les livres et les dessins animés. Mais devons-nous laisser nos enfants croire à son existence ?


Noël, nous le savons bien, ce n’est pas le Père Noël. Et ce personnage plutôt sympathique devient encombrant et redoutable lorsqu’il masque la réalité du mystère de Noël. Les parents chrétiens se posent donc bien des questions au sujet du Père Noël : quelle place lui donner au sein de la famille ? D’une manière générale, disons qu’on ne doit jamais mentir à un enfant. Il y a une grande différence entre le laisser croire à une légende en « jouant le jeu » et s’empêtrer dans des mensonges quand l’enfant commence à avoir des soupçons.

Autrement dit, un enfant peut très bien se raconter des histoires — à propos du Père Noël ou de toute autre chose (un ami imaginaire par exemple) — et aimer en parler avec ses parents comme si c’était vrai, tout en sachant au fond de lui que c’est un jeu. Mais quand il pose une question directe parce qu’il veut savoir la vérité, il mérite de la connaître. Sinon, le jour où il la découvrira, il comprendra en même temps que ses parents lui mentaient et qu’il ne peut pas leur faire confiance.
En ce qui concerne Noël, si on cherche à démontrer l’existence du Père Noël en échafaudant mille mensonges, le jour où l’enfant comprendra la vérité, il risque de rejeter, en même temps que le Père Noël, tout le reste : l’Enfant de la crèche et la Bonne Nouvelle qu’il vient nous apporter. Si on parle du Père Noël et de Jésus avec la même force de persuasion, pourquoi l’enfant, ne croyant plus en l’un, croirait-il encore en l’autre ?


Ne jamais oublier le vrai sens de Noël


Si sympathique et amusant que soit le Père Noël, il ne doit en aucun cas occulter ou amoindrir la vérité de Noël. Il est donc capital de toujours recentrer les enfants sur la crèche : Noël, c’est là que ça se passe. Tout ce que nous vivons à Noël, y compris les cadeaux, n’a de sens que par la crèche. C’est parce que Dieu s’est fait homme que nous sommes heureux, c’est parce qu’Il est venu nous appeler à aimer que nous échangeons des cadeaux, signes de cet amour partagé. Il faut le dire et le redire aux enfants.

Faut-il faire croire aux enfants que le Père Noël existe  Christmas-crib-figures-1060016_1920-2Alexas_Fotos - Pixabay

Il faut qu’ils puissent le vivre très concrètement en préparant des cadeaux, en allant rendre visite à une personne isolée pour partager avec elle la joie de Noël, en envoyant des cartes de Noël pour apporter la chaleur de leur affection à ceux qui sont loin, en choisissant quelques-uns de leurs jouets pour donner à des enfants démunis, en se préparant spirituellement — par la prière, l’esprit de pauvreté et de partage — à accueillir Jésus.

Ne jamais parler sur le même registre du Père Noël et de Jésus


« Supprimer le Père Noël ? Pas question ! Ce serait supprimer une part de rêve essentielle pour nos enfants », objectent certains parents. D’autres ajoutent : « Ne pas les faire croire au Père Noël, ce serait les marginaliser car ils en entendent parler partout, notamment à l’école. » Ce dernier argument est plus que contestable : il prend le problème à l’envers. Ce serait un comble, en effet, que ce soit la légende qui prenne le pas sur la réalité, sous prétexte que la majorité adhère à l’une plutôt qu’à l’autre. Il nous appartient, à nous chrétiens, de renverser les choses pour que partout, ce soit la crèche qui soit au centre de la fête de Noël. Que l’on soit chrétien ou non, on ne peut nier le fait historique de la naissance de Jésus ni la signification première de Noël.

Quant à l’argument de la part de rêve si importante pour les enfants, il est tellement vrai que bien des enfants, dont les parents ont toujours nié l’existence du Père Noël, jouent à y croire et en parlent « comme si » c’était vrai. On peut très bien entrer dans leur jeu, à la seule condition de veiller à ne jamais parler sur le même registre du Père Noël et de Jésus. Car l’Évangile, ce n’est pas un jeu, ce n’est pas « comme si ». L’histoire vraie de l’amour de Dieu pour nous n’est-elle pas infiniment plus belle que toutes les légendes ?
Christine Ponsard

philippe83


MODERATEUR
MODERATEUR

Et on rajoute un autre mensonge...dans l'article: "Dieu s'est fait homme" et çà aussi pour les enfants c'est un gros mensonge. C'est vraiment la période des mensonges à cette époque de l'année.

samuel

samuel
Administrateur

C'est le même cas de figure que l'histoire de la petite souris , c'est un mensonge fait aux enfants.

Voyageur

Voyageur

Il y a aussi des mensonges pour adultes, comme la théorie de l'évolution par exemple.

Voyageur.

BenFis

BenFis

Je vois qu'on mélange allègrement le vrai et le faux ici. Le Père noël et la nativité de Jésus. La petite souris, et la théorie de l'évolution. Smile

Voyageur

Voyageur

Devons-nous en déduire que vous croyez en l'évolution, BenFis ?

Voyageur.

BenFis

BenFis

Voyageur a écrit:Devons-nous en déduire que vous croyez en l'évolution, BenFis ?

Voyageur.
Sur ce point, ce n'est même pas une croyance, mais une certitude.
Et je ne vois pas pourquoi enlever à Dieu cette méthode pour parvenir à ses fins ?

Voyageur

Voyageur

BenFis a écrit:
Voyageur a écrit:Devons-nous en déduire que vous croyez en l'évolution, BenFis ?
Sur ce point, ce n'est même pas une croyance, mais une certitude.
Merci pour votre honnêteté. Je ne lirai plus vos interventions avec le même regard désormais, mais ce n'est pas grave. Fin de la parenthèse en ce qui me concerne.

Voyageur.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

C'est comme pour l'histoire de la petite souris.
Car ce sont des traditions qui n'ont pas de sources chrétiennes.

Josué

Josué
Administrateur

[size=44]Mentir à ses enfants, c’est finalement manquer de foi[/size]
Faut-il faire croire aux enfants que le Père Noël existe  Web3-mother-daughter-child-scold-no-explain-shutterstock_1109516771
Shutterstock

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Edifa | 16 décembre 2019

Il nous paraît relativement simple de dire la vérité à nos enfants en ce qui concerne des choses « normales », mais quand elles sont douloureuses, telles que la maladie, la mort, la perte d’un travail… nous sommes tentés de leur cacher le mal à tout prix. Faut-il tout dire à ses enfants ? Toute vérité est-elle bonne à dire ?

Il n’est pas permis de faire le mal pour qu’il en résulte un bien. Une intention bonne (par exemple : aider le prochain) ne rend ni bon ni juste un comportement en lui-même désordonné (comme le mensonge). C’est clair : on ne peut pas mentir, même pour protéger un enfant. Le mensonge nous détourne de Dieu, il ferme notre cœur et notre intelligence à sa lumière. Or, la seule arme véritable dont nous disposons pour lutter contre le mal, la seule protection efficace que nous pouvons offrir à nos enfants, c’est Dieu lui-même. 

Mentir parce que nous estimons qu’il n’y a pas d’autre solution, c’est, finalement, manquer de foi, d’une certaine manière, c’est dire à Dieu : « Tu me demandes une chose impossible. Je sais ce qui est le meilleur ». Quand il est de notre devoir de dire la vérité, faisons confiance à l’Esprit saint : Il ne nous fera jamais défaut.

Dire la vérité, mais pas n’importe comment

Il faut dire la vérité, mais pas forcément toute la vérité. Dans bien des cas, on a le droit et même le devoir de se taire. C’est vrai dans de nombreux domaines et pas seulement en ce qui concerne des réalités pénibles ou malsaines. Et ce n’est pas manquer d’honnêteté que de cacher certaines choses à ses enfants. Cela relève, au contraire, du respect et de la pudeur. C’est exercer sur eux une véritable violence que de leur livrer des confidences ou de leur révéler des secrets qu’ils ne sont pas capables de porter.

Faut-il faire croire aux enfants que le Père Noël existe  Web3-mother-son-talking-de-marina-dyakonova-i-shutterstock Lire aussi : Faut-il mentir aux enfants ?
Il n’est pas toujours possible de se taire, en particulier lorsqu’on suppose que l’enfant a découvert la vérité ou du moins la pressent. Dans ce cas, il n’y a pas le choix : il faut parler, mais pas n’importe comment. Avant de parler, il faut écouter, c’est-à-dire être profondément attentif à l’enfant que l’on a en face de soi. Plus une vérité concerne une situation délicate, plus il est important de ne pas la révéler n’importe comment. Ainsi, il est souvent très souhaitable de parler avec chaque enfant, un par un, car chacun réagira à sa manière et ils n’ont pas tous besoin d’entendre les mêmes choses. Même lorsqu’on a été conduit à leur parler à tous en même temps, on peut essayer d’en reparler avec chacun, quitte à provoquer les occasions de tête à tête. Soulignons qu’un tête à tête suppose, comme son nom l’indique, deux interlocuteurs seulement : un enfant sera souvent plus à l’aise avec un seul de ses deux parents, plutôt qu’avec les deux en même temps.

Pour dire la vérité, les mots simples sont toujours les meilleurs

Il faut appeler un chat un chat et le mal par son nom. Dans un monde où toutes les déviances sont admises et banalisées, il est plus que jamais capital de donner aux enfants des repères clairs. Les parents doivent leur apprendre à juger les actes, à dire : « C’est bien, c’est mal ». 
Et, en même temps, à ne jamais juger les personnes, à parler de tout homme comme d’un fils de Dieu, infiniment aimé de son Père, car on ne dit jamais bien la vérité si on ne la dit pas avec amour et par amour. Il n’y a que l’amour qui guérira l’enfant des blessures que peuvent lui infliger certaines révélations. Il n’y a que lui qui peut mettre sur nos lèvres les mots justes pour conduire nos enfants vers la vérité tout entière.
Christine Ponsard

Lechercheur



Et la fée Carabosse elle existe aussi ?

Rene philippe

Rene philippe

BenFis a écrit:
Voyageur a écrit:Devons-nous en déduire que vous croyez en l'évolution, BenFis ?

Voyageur.
Sur ce point, ce n'est même pas une croyance, mais une certitude.
Et je ne vois pas pourquoi enlever à Dieu cette méthode pour parvenir à ses fins ?
Ta réponse est intéressante BenFis. Ça ouvre une porte. Après, le cartésien que je suis se pose la question : pourquoi Jéhovah aurait-il "créée" l'évolution, avec des millénaires de "transition" et d'un autre côté, il aurait déclaré dans la Bible qu'il a CRÉÉ Adam, puis Ève ? c'est soit l'un soit l'autre non ? Alors, à quoi bon l'évolution ? sans parler bien sûr de la logique complètement farfelue de croire que l'humain descend d'un animal ?

BenFis

BenFis

Rene philippe a écrit:
BenFis a écrit:Sur ce point, ce n'est même pas une croyance, mais une certitude.
Et je ne vois pas pourquoi enlever à Dieu cette méthode pour parvenir à ses fins ?
Ta réponse est intéressante BenFis. Ça ouvre une porte. Après, le cartésien que je suis se pose la question : pourquoi Jéhovah aurait-il "créée" l'évolution, avec des millénaires de "transition" et d'un autre côté, il aurait déclaré dans la Bible qu'il a CRÉÉ Adam, puis Ève ? c'est soit l'un soit l'autre non ? Alors, à quoi bon l'évolution ? sans parler bien sûr de la logique complètement farfelue de croire que l'humain descend d'un animal ?

Lorsque la Bible affirme que Dieu a créé la terre, faut-il comprendre qu'il l'a fait apparaître instantanément, ou via une longue évolution de notre univers ?
Si tu choisis la 2ème option, alors c’est qu’on peut considérer que le terme CRÉER  n’indique pas la méthode de création et que cette action créatrice peut s’étendre sur une très longue période de temps.
Il est donc possible d’appliquer ce raisonnement à la création de l’homme.

Je trouve personnellement plus farfelu une création instantanée que graduelle. Cette dernière a l'avantage de s'inscrire dans la chronologie scientifique.

Josué

Josué
Administrateur

[size=31]Parmi les symboles de Noël les plus répandus, il y a le fameux sapin de Noël. Et qui dit sapin de Noël, dit immanquablement boules de Noël. Mais n'est-ce pas une drôle d'idée que de décorer un sapin avec des boules ? D'où vient cette tradition ?[/size]

Pour toucher du doigt l'origine de la tradition du sapin de Noël -- et de ses décorations --, il ne faut pas chercher bien loin. « Quand, par l'hiver, bois et guérets sont dépouillés de leurs attraits, mon beau sapin, roi des forêts, tu gardes ta parure », nous rappelle la chanson. Et c'est avant tout ce que représente le sapin, dans la tradition, la promesse que la nature se réveillera au printemps.
Au Moyen Âge, on voit également apparaître des sapins sur les parvis des églises, comme des substituts à l'arbre du paradis perdu. Au cœur de l'hiver, il est en effet difficile de trouver d'authentiques pommiers portant feuilles et pommes. Les sapins sont alors assez naturellement décorés de pommes, d'hosties ou de pâtisseries rondes. Et l'on entrevoit déjà le lien avec nos boules de Noël.

  • [size=39]Des pommes aux boules de Noël[/size]

Même si l'on trouve des traces écrites des débuts de l'instauration véritable du sapin comme symbole de Noël bien avant, il faudra attendre le XIXe siècle pour que la France commence à s'en saisir. Il reste cependant réservé à l'aristocratie et à la bourgeoisie. Et les décorations prennent la forme de rubans, de petits objets ou encore de friandises que l'on accroche aux branches.
Lorsque la population s'empare de la tradition, les pommes font leur grand retour comme principal objet de décoration des sapins. Le fruit en effet reste de saison et bon marché. Mais en 1858, la météo se fait rude et une importante sécheresse prive les Vosges de pommes. Alors, pour éviter que les sapins de Noël ne se retrouvent sans décoration, un souffleur de verre de la verrerie de Goetzenbruck fabriqua quelques boules de verre. Des boules colorées de rouge pour rappeler à la fois la forme et la couleur de la pomme. Très vite, la tradition s'installe et la production explose. Aujourd'hui, le plastique a largement remplacé le verre, mais il se produit encore plusieurs dizaines de milliers de boules de Noël en verre dans la région des Vosges qui les a vues naître.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Il n'y a rien de chrétien dans ses traditions.

BenFis

BenFis

Il y a pas mal de traditions liées à Noël qui ont été empruntées au paganisme, lorsqu'elles ne sont pas suggérées par les grandes entreprises commerciales.

Il reste quand même que la nativité - celle de Jésus - peut faire l'objet de réjouissances chez les chrétiens.

Josué

Josué
Administrateur

Traditions qui n'ont rien a voir avec la bible.

philippe83


MODERATEUR
MODERATEUR

BenFis,
Un tel évènement aurait du alors se perpétrer avec réjouissance chaque année mais comment se fait-il que l'Evangile ne parle jamais de l'anniversaire de naissance de Jésus le 25 décembre et ni des réjouissances qui auraient du aller avec? Et après sa mort pourquoi pendant des siècles cette "fête" n'est pas observé NON PLUS par les chrétiens mais par contre par des populations païennes?

BenFis

BenFis

philippe83 a écrit:BenFis,
Un tel évènement aurait du alors se perpétrer avec réjouissance chaque année mais comment se fait-il que l'Evangile ne parle jamais de l'anniversaire de naissance de Jésus le 25 décembre et ni des réjouissances qui auraient du aller avec? Et après sa mort pourquoi pendant des siècles cette "fête" n'est pas observé NON PLUS par les chrétiens mais par contre par des populations païennes?
Ce sont en effet les chrétiens qui ont décidé de célébrer la nativité. Nul besoin d'une injonction divine pour cela.
C'est comme certains qui dans un autre registre, décident de fêter les 250 ans de la naissance de Beethoven. Nul besoin d'une injonction du compositeur pour cela non plus.

De plus, se réjouir de la la naissance du Sauveur est biblique:
« Alors l’ange leur dit : " Ne craignez pas, car voici que je vous annonce une bonne nouvelle, qui sera une grande joie pour tout le peuple : Aujourd’hui, dans la ville de David, vous est né un Sauveur qui est le Christ, le Seigneur. Et voici le signe qui vous est donné : vous trouverez un nouveau-né emmailloté et couché dans une mangeoire. " Et soudain, il y eut avec l’ange une troupe céleste innombrable, qui louait Dieu en disant : "Gloire à Dieu au plus haut des cieux, et paix sur la terre aux hommes, qu’Il aime." » (Luc 2:10-14)

papy

papy

Comparaison n'est pas raison.
Et a partir de quel date les chrétiens ont institué cette fête ?

philippe83


MODERATEUR
MODERATEUR

BenFis tu fête chaque année les 250 ans de Beethoven? Maintenant en Luc 2:10-14 je ne vois RIEN qui ressemble à Noel.

papy

papy

philippe83 a écrit:BenFis tu fête chaque année les 250 ans de Beethoven? Maintenant en Luc 2:10-14 je ne vois RIEN qui ressemble à Noel.
Moi non plus.
Mais depuis que BenFis et sur le forum son esprit de contradiction et légendaire. Kdo
 Les premiers chrétiens n'observaient pas cette fête.
la preuve.
Aussi au IV e siècle, la date du 25 décembre a été choisie comme date pour la fête de Noël, principalement dans le but de la substituer aux fêtes païennes qui étaient d'usage à l'époque, comme la fête de la renaissance du Soleil Invaincu (Sol Invictus), le solstice d'hiver et les Saturnales romaines qui avaient toutes ...

[size=20]Noël — Wikipédia

[/size]

philippe83


MODERATEUR
MODERATEUR

Merci Papy pour cette nouvelle précision.
Je possède de mon côté une information d'un journal local qu'un ami m'avais remis il y a quelques années ou le curé de la paroisse reconnait en écrivant à ses paroissiens que Noel est une fête païenne. C'est fort de café. D'autant plus que depuis rien à changé l'arbre de Noel et la 'crêche' font toujours partie intégrante de la paroisse et y compris au Vatican et dans les églises.
C'est comme çà les traditions sont dures a ne pas suivre...Voir Marc 7:6-9.
A+ monkey

Invité


Invité

Y a des religions qui mentent a leur enfants mais pas chez les TJ, nous leur disons la vérité  ...

BenFis

BenFis

papy a écrit:
philippe83 a écrit:BenFis tu fête chaque année les 250 ans de Beethoven? Maintenant en Luc 2:10-14 je ne vois RIEN qui ressemble à Noel.
Moi non plus.
Mais depuis que BenFis et sur le forum son esprit de contradiction et légendaire. Kdo
 Les premiers chrétiens n'observaient pas cette fête.
la preuve.
Aussi au IV e siècle, la date du 25 décembre a été choisie comme date pour la fête de Noël, principalement dans le but de la substituer aux fêtes païennes qui étaient d'usage à l'époque, comme la fête de la renaissance du Soleil Invaincu (Sol Invictus), le solstice d'hiver et les Saturnales romaines qui avaient toutes ...


Noël — Wikipédia






Je n'ai pas dit le contraire puisque j'ai écrit : "Ce sont en effet les chrétiens qui ont décidé de célébrer la nativité.".

Je souhaite cependant faire une distinction entre la fête de Noël basée sur le Père Noël et celle de la nativité, car bien souvent, les 2 sont confondues.

Josué

Josué
Administrateur

Mais ces chrétiens étaient chrétiens que de nom et ne suivaient plus vraiment les principes de la bible et ils voulaient faire plus d'adeptes et ont 'christianiser' une fête païenne.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Et malheureusement il n'y a pas que cette fête qui a été christianisé, il y aussi Pâques.

Josué

Josué
Administrateur

Petit parenthèse sur la naissance de Jésus, car j'ai trouvé ce commentaire.






C'était probablement une grotte
Puisqu'il n'y a pas de place pour eux dans la salle commune, ils trouvent un endroit discret pour l'accouchement. Dans le village de Bethléem, situé en haut d’une petite montagne à la géologie calcaire :mountain:, de nombreuses grottes, parfois en réseaux, servaient d'étable. C'est là que serait né le Christ.
Faut-il faire croire aux enfants que le Père Noël existe  1x1 C’est en tout cas ce que nous dit la tradition la plus ancienne. Ainsi, Justin le Martyr — père de l’Église ayant vécu en Palestine et mort à Rome en 165 — écrit :
« L’enfant étant né à Bethléem, comme Joseph n’avait pas où loger dans ce village, il logea dans une grotte voisine du village. Et alors, comme ils étaient là, Marie enfanta le Christ et le plaça dans une crèche »
Mais que disent exactement les évangiles ?

Invité


Invité

Patrice1633 a écrit:Y a des religions qui mentent a leur enfants mais pas chez les TJ, nous leur disons la vérité  ...
Déjà  si ta religion demande de mentir a tes enfant en bas ages, bien entendu, quand ils sauront la VÉRITÉ  il ne croiras plus a la vérité  du tout ...

Rene philippe

Rene philippe

BenFis a écrit:Je n'ai pas dit le contraire puisque j'ai écrit : "Ce sont en effet les chrétiens qui ont décidé de célébrer la nativité.".
Les VRAIS chrétiens ? heu


Je souhaite cependant faire une distinction entre la fête de Noël basée sur le Père Noël et celle de la nativité, car bien souvent, les 2 sont confondues.
Et pour cause, le commerce et la religion font bon ménage cat

Invité


Invité

Dans mon pays la plupart des habitant du Quebec savent tres bien que jesus n'est pas né cette date la, ca c'est un FAIT,
La plupart des Quebecois savent que cest une FÊTES  PAYENNE, Un autre  FAIT REEL, je vie dans ce pays la.

Mais pour eux vue que tout le monde le fait il ne peuvent pas empecher les "TRADITION" aller par dessus la LOGIQUE, parce que fiston vas lleurer si il n'as pas son camion de pompiers  ...

Alors, voila tout le monde savent la VÉRITÉ  en gros dans mon pays  mais personne  ne change de version  ...

BenFis

BenFis

Rene philippe a écrit:
BenFis a écrit:Je n'ai pas dit le contraire puisque j'ai écrit : "Ce sont en effet les chrétiens qui ont décidé de célébrer la nativité.".
Les VRAIS chrétiens ?  heu
Oui, les vrais chrétiens. Décider de commémorer la naissance du Christ n'est certainement pas l'oeuvre des païens.


Et pour cause, le commerce et la religion font bon ménage cat
Exact.
Lorsque je parle de chrétiens, je ne vise pas une religion en particulier.

On peut dire de Pâques ce qu'on dit de Noël, le commerce à vampirisé ces commémorations. Cependant, dans un cas comme dans l'autre, il est possible de fêter respectueusement ces évènements.
Il ne faut pas jeter le bébé avec l'eau du bain. Laughing

papy

papy

Jésus ne recommande pas du tout de fêter sa naissance.
La seul fête qu'il recommande c'est la commémoration de sa mort.
(Luc 22:19) 19 Il prit aussi un pain, dit une prière de remerciement, le rompit et le leur donna, en disant : « Ceci représente mon corps, qui va être donné pour vous. Continuez à faire cela en souvenir de moi. »

BenFis

BenFis

papy a écrit:Jésus ne recommande pas du tout de fêter sa naissance.
La seul fête qu'il recommande c'est la commémoration de sa mort.
(Luc 22:19) 19 Il prit aussi un pain, dit une prière de remerciement, le rompit et le leur donna, en disant : « Ceci représente mon corps, qui va être donné pour vous. Continuez à faire cela en souvenir de moi. »
C'est vrai, mais il faut essayer de faire la part des choses; une recommandation de commémoration n'implique pas qu'une non-recommandation soit pénalisante.

Ainsi Yhwh n'a pas recommandé de commémorer l’inauguration de son temple. C'est pourtant ce que faisait son peuple, et il se trouve que même Jésus n' a pas demandé d'abolir cette fête.
De plus, J-C n'a pas interdit de commémorer sa naissance.

Je ne vois donc aucune contrainte biblique particulière empêchant d'imiter les anges acclamant la naissance du Sauveur.
A ne pas mélanger avec la question du sujet qui concerne le Père Noël, un personnage inventé justement pour détourner l'intérêt des chrétiens des choses spirituelles au profit des choses mercantiles.

papy

papy

Il n'y a rien à essayer Noël n'a pas de racine chrétienne mais païenne.

Josué

Josué
Administrateur

Faut-il faire croire aux enfants que le Père Noël existe  502013124_univ_lsr_lg



[ltr]
[size=41]Quand Jésus est-​il né ?[/size]
[/ltr]
[ltr]

[size=34]Réponse de la Bible[/size]



La Bible ne donne pas la date de naissance de Jésus Christ. Ces citations le confirment :
[/ltr]


  • « Personne ne sait exactement quand Jésus de Nazareth est né » (Le nouveau Théo. L’encyclopédie catholique pour tous).
  • « Aucun document ne nous indique la date de la naissance de Jésus * » (Les fêtes chrétiennes en Occident).


[ltr]
La Bible ne répond donc pas directement à la question « quand Jésus est-​il né ? » Par contre, elle mentionne deux détails relatifs à l’époque de sa naissance qui en amènent beaucoup à conclure qu’il n’est pas né un 25 décembre.

Pas en hiver *


[/ltr]

[list="padding-left: 40px; margin: 1em 0px;"]
[*] Le recensement. Peu avant la naissance de Jésus, César Auguste a émis un décret ordonnant « que toute la terre habitée se fasse enregistrer ». Tout le monde devait se faire recenser « dans sa propre ville », ce qui pouvait représenter un trajet d’une semaine, voire plus (Luc 2:1-3). Quel était le but de ce recensement ? Probablement de lever des impôts et de recruter des hommes pour l’armée. Cette mesure risquait déjà d’être impopulaire à n’importe quel moment de l’année. Auguste n’a donc sûrement pas ajouté au mécontentement de ses sujets en en forçant beaucoup à faire un long voyage dans un froid hivernal.
[*] Les brebis. Les bergers « vivaient en plein air et [...], la nuit, surveillaient leurs troupeaux » (Luc 2:8). Le livre La vie quotidienne en Palestine au temps de Jésus indique que, de « la semaine avant la Pâque » (fin mars) à « la mi-​novembre », les troupeaux étaient dehors. Il ajoute : « Ils passaient l’hiver dans des bergeries, et ce détail suffit à prouver que la date traditionnelle de Noël en hiver a peu de chances d’être exacte, puisque l’Évangile nous dit que les bergers étaient aux champs *. »
[/list]

[ltr]

Au début de l’automne *



On peut déterminer quand Jésus est né en partant de la date de sa mort, à la Pâque 33 de notre ère (le 14 Nisan). C’était au printemps (Jean 19:14-16). Or, Jésus avait à peu près 30 ans quand il a commencé son ministère, qui a duré trois ans et demi. Il est donc né au début de l’automne de l’an 2 avant notre ère (Luc 3:23).

[size=34]Pourquoi fête-​t-​on Noël le 25 décembre ?[/size]



Puisque rien ne prouve que Jésus soit né un 25 décembre, pourquoi fête-​t-​on Noël à cette date ? On lit dans Les fêtes chrétiennes en Occident que ce jour a été choisi « pour concurrencer ou christianiser la vieille fête romaine du soleil invaincu, célébrée au cœur de l’hiver * », lors du solstice. Un autre ouvrage explique que l’on « chercha à donner une fête qui reprenne des éléments païens pour les christianiser et attirer plus facilement les foules * » vers le christianisme (Petit lexique des fêtes religieuses et laïques).[/ltr]

philippe83


MODERATEUR
MODERATEUR

Faut-il faire croire aux enfants que le Père Noël existe  Img23910

philippe83


MODERATEUR
MODERATEUR

Eux même le savent... Et pourtant la "tradition" et tout ce qui tourne autour l'emporte sur la réalité. Marc 7:6-8 est vraiment d'actualité avec cette "fête".
A+

papy

papy

Sous le soleil de  Mithra.
https://l-express.ca/sous-le-soleil-de-mithra/

Rene philippe

Rene philippe

philippe83 a écrit:Faut-il faire croire aux enfants que le Père Noël existe  Img23910

Intéressant merci. Tu as le lien de ce truc s’il te plaît ? Merci

Josué

Josué
Administrateur

CHRISTIANISME



[size=32]Comprendre les origines de la crèche de Noël[/size]


Propos recueillis par Youness Bousenna - publié le 23/12/2019
Dans son dernier livre, Noël. Aux origines de la crèche (Seuil), le philologue italien Maurizo Bettini sonde avec érudition et pédagogie les sources à partir desquelles s’est élaborée, depuis un texte évangélique lacunaire, la tradition de la crèche.
Faut-il faire croire aux enfants que le Père Noël existe  8390_creche-mdr
GettyImages

Que disent les Évangiles au sujet de la crèche ?
La crèche est un syncrétisme car, comme Noël, elle se situe à la confluence des traditions anciennes. Les Évangiles, de Matthieu comme de Luc, ne disent presque rien du lieu et de l’ambiance de cet événement. Mais, à un moment, on décide pourtant que la naissance du Christ se produit dans une grotte, à la manière de nombreux dieux de l’Antiquité qui y sont nés – Mithra, Hermès, Dionysos… Cela symbolise une naissance sous le sceau de la menace et de la violence, comme celle de Jésus menacé par Hérode. Aussi, on évoque une mangeoire et non un berceau, ce qui donne là aussi un caractère d’urgence. Cette mangeoire est explicitement évoquée par Luc comme un signe du Seigneur. Tous ces éléments puisent donc dans la symbolique antique pour annoncer qu’une chose nouvelle va advenir, et ainsi faire saisir la rupture que la naissance du Christ va opérer.
Vous montrez que cette tradition syncrétique s’élabore par une relecture de l’héritage païen qui se déroule sur plusieurs siècles. Quelles sont ces étapes ?
Le cas du bœuf et de l’âne est particulièrement caractéristique de cette relecture. Les gens sont toujours surpris d’apprendre qu’ils ne sont pas dans l’Évangile ! Leur première apparition remonte au Ve siècle à Milan, avec une image montrant un enfant veillé par ces deux animaux. Cela commence donc par une allégorie. Il faut toujours avoir à l’esprit que les Pères de l’Église ne pensaient pas comme nous et faire de l’anthropologie historique pour saisir leur mentalité. Ces gens n'étaient pas philologues, ni bloqués par la lettre du texte. Ils réfléchissaient par résonances, c’est-à-dire qu’ils étaient convaincu d’avoir compris l’écriture sacrée lorsqu’ils trouvaient des résonances scripturaires avec elle.
Ainsi, Origène va trouver chez le prophète Isaïe une mention du bœuf et de l’âne en connexion avec la mangeoire. Pour lui, c’est le signe que Jésus est le vrai Messie, puisque la mangeoire est au centre de la narration évangélique. Et alors, puisqu’il y a une mangeoire, le bœuf et l’âne entrent à leur tour dans l’histoire de la Nativité. Initialement, le bœuf est pur et a donc été rattaché aux juifs, alors que l’âne impur représenterait les non-juifs. Avec le temps, cette histoire encore augmentée par d’autres deviendra donc une narration. Elle touche aussi à une mémoire culturelle, issue du mythe selon lequel des personnalités qui vont changer les choses sont veillées par des animaux, comme Romulus et Rémus nourris par la louve. C’est le signe d'un changement important à venir, d’une rupture, avec l’idée que les forces de la nature saisissent le caractère divin avant les hommes.
En quoi la crèche doit-elle rappeler l’unicité du Dieu chrétien, puisque vous soulignez qu’elle en a la fonction ?
La crèche rappelle l’universalité à travers les rois mages car leur prosternation devant le Christ prouve sa divinité. Ces mages sont évoqués de façon très vague dans l’Évangile ; nous n’arriverons jamais à comprendre pourquoi ils ont été placés dans cette histoire. Plus tard, des interprétations verront un parallèle entre ces rois mages et la prophétie du mage Balaam dans le Livre des Nombres, évoquant le surgissement d’une étoile d’Orient comme l’annonce de la venue du messie. Cette lecture pourrait être à la racine des rois mages qui, venant d’un Orient où sont nées les traditions spirituelles, montrent que ces religions antérieures reconnaissent désormais l’universalité du Christ.
Alors que le texte biblique est très fragmentaire, comment expliquer l’apparition d’un mage noir et de leurs trois prénoms – Gaspard, Melchior et Balthazar ?
Des parallèles ont été trouvés à travers des résonances scripturaires. Ils ont permis de voir comment ces « mages » sont progressivement devenus des rois alors que le texte évangélique les rapprochait plutôt des magiciens et thaumaturges omniprésents à cette époque, la magie étant alors prise très au sérieux. La dimension royale va peu à peu prendre le pas, et l’un d’entre eux est identifié comme venant d’Afrique. Tertullien fait notamment appel à une prophétie des Psaumes qui évoque un roi d’Éthiopie. L’un des mages a donc été représenté comme étant Noir.
Le nom de Balthazar lui est généralement attribué. Mais, là encore, c’est totalement arbitraire ! Comme ceux de Melchior et Gaspard, et même leur nombre de trois : ils auraient très bien pu être douze. On relève une première origine dans un fragment écrit autour du VIe siècle. Cette traduction en très mauvais latin évoque trois noms semblables à ceux que nous connaissons : Bithizarea, Melchior et Gathaspa. Un à deux siècles plus tard, une autre traduction du grec écrite en mauvais latin et attribuée de façon certainement erronée au moine anglais Bède le Vénérable, montre un tournant car elle donne une description très détaillée de ces mages, qui contribue à fixer le récit en mentionnant notamment leurs trois offrandes – l’or, la myrrhe et l’encens. C’est ce chemin scripturaire qui m’intéresse.
La crèche abrite toute une foule de personnages non religieux sur lesquels vous vous attardez aussi. Quelle est leur fonction ?
La crèche est un dispositif compliqué et très riche en dépit de son aspect à première vue enfantin. Cette complexité tient au fait qu’elle contient deux facettes fondamentales. Il y a le niveau des acteurs principaux – la Sainte Famille, l’âne, le bœuf, les mages – et, en parallèle, celui des spectateurs dont les figures quotidiennes représentent tout le monde. Ces derniers assistent au spectacle tout en en faisant partie. Il est difficile de connaître leur contexte temporel. Ces personnages semblent parfois sortis du XIXe siècle mais ont aussi l’air d’être des contemporains. Cela conduit à une absence de temporalité, une achronie, qui mêle du temps différent. Il y a donc plusieurs plans d’organisation au sein de la crèche, mais aussi deux niveaux de spectateurs : internes, avec ces figures, et externes – nous-mêmes. Ces spectateurs internes sont donc très intéressants car ils forment un intermédiaire entre la scène sacrée et nous, ils représentent un « nous » dans une forme adaptée à la scène tandis que leur présence nous introduit dans la crèche.
Pour tout savoir sur les traditions de Noël, voir notre numéro : « Noël, comment une fête païenne est devenue chrétienne. Et inversement. »


http://www.lemondedesreligions.fr

samuel

samuel
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Jusqu'à la Sainte-Lucie, il y a quelques jours, la durée du jour diminuait pour laisser plus de temps à la nuit. Depuis, le jour regagne peu à peu du terrain... C'est cette période de l'année que les Pères de l’Église ont choisie pour célébrer la Nativité, reprenant la date d'une antique fête païenne de la lumière. Ils voient dans la Nativité du Christ le lever du Soleil véritable :

philippe83


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Salut RenéPhilippe.
Non pas besoin de lien c'est un imprimé d'une lettre reproduite que j'ai scanné. Tu prend la page et il y a tout d'écrit dessus. L'origine, la date, la signature et le journal aux fidèles de cette ville à l'époque et le résumé du curé sur Noël
a+

Josué

Josué
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Le Père Noël : de Saint-Nicolas à Santa Claus

Le Père Noël n’a pas toujours été nommé ni représenté ainsi. Au fil des siècles et des croyances régionales, le vieil homme a connu d’importantes mutations avant de devenir le Père Noël que nous connaissons aujourd’hui.
A lire aussi : "Trêve des confiseurs" : connaissez-vous l'origine de cette expression ?
L’un des personnages chrétiens qui a inspiré le personnage du Père Noël est Saint Nicolas, que l’on célèbre le 6 décembre dans les pays germaniques. En effet, le saint Patron des enfants est traditionnellement chargé de récompenser les enfants sages en leur distribuant des cadeaux dans la nuit du 5 au 6 décembre. Saint Nicolas, qui fût aussi évêque au IVe siècle, est très souvent représenté vêtu d’un habit ecclésiastique de couleur rouge, d’une mitre et d’une crosse. A défaut d’avoir des rennes, Saint Nicolas voyage sur le dos d’un âne.

Cette tradition s’est très vite répandue en Europe du Nord et de l’Est avant de gagner l’Amérique au XIXe siècle avec la migration des Hollandais. Le saint Patron, nommé "Sinteclaes" par le peuple Hollandais est alors devenu, par déformation, "Santa Claus". L’année 1823 a principalement contribué à la création du mythe du Père Noël avec la publication d’un poème, "The night before Christmas", dans un journal américain. On y découvre la venue de Saint Nicolas, qui descend du ciel dans un traineau tiré par huit rennes dans la nuit du 24 au 25 décembre.
Au fil des décennies, l’image de Santa Claus a été repensée par les illustrateurs. En 1931, la marque de soda Coca-Cola s’est orientée vers ce personnage afin d’en faire une mascotte pour leurs publicités. L’image d’un vieil homme jovial à la barbe blanche, vêtu de rouge et de blanc a dès lors été choisie : notre Père Noël actuel est né ! Cette représentation s’est ensuite développée en Europe au sortir de la Seconde Guerre mondiale.

Mikael

Mikael
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font fi des conventions et snobent le réveillon. De quoi sortir des sentiers battus et affirmer sa singularité.

C'est un moment de gaieté imposé, de réjouissances inévitables: le Nouvel An clôt en fanfare la période des Fêtes. Avec fébrilité, on attend minuit tapante pour échanger voeux et embrassades. 
Une tradition, ou plutôt un carcan pour Sonia, 28 ans. Depuis plusieurs années déjà, elle refuse toutes les invitations ce soir-là. Une décision pourtant prise à la suite d'un malheureux concours de circonstances. "Je devais partir à la campagne pour une soirée avec des amis mais je suis tombée malade la veille. Une horrible grippe m'a clouée au lit. Résultat, j'ai été contrainte de rester chez moi. Sur le coup, je l'ai très mal vécu."  
Pour beaucoup, ne rien faire au Nouvel An revient à être exclu du groupe, porteur du soupçon le plus infamant: celui de n'avoir été invité nulle part, de ne pas "en être". Une mise à l'écart que la jeune femme a pourtant mise à profit.  

LIRE AUSSI >> Pourquoi ressent-on le besoin de prendre de bonnes résolutions? 

"Une injonction à la bonne humeur qui m'agace" 


Au lieu de s'apitoyer sur son sort, elle a pris le temps de repenser son rapport à cette institution. "Plutôt que de me dire que j'avais été mise au banc des festivités, j'ai décidé de faire contre mauvaise fortune bon coeur. J'ai réfléchi honnêtement à ce que représentait pour moi le Nouvel An. Je me suis rendue compte que je trouvais cette soirée un peu triste. Rien n'y est naturel. On ne se retrouve pas pour le plaisir de se voir mais par contrainte", souligne-t-elle. 
"J'associe la soirée du Nouvel An à une sorte d'obligation sociale où rien ne doit être laissé au hasard et qui manque de spontanéité. Il y a une injonction à la bonne humeur qui m'agace", renchérit Caroline, 32 ans. 

Des constatations qui ont poussé Sonia et Caroline à prendre une décision radicale: ne plus sortir le 31 décembre. Loin de se voir comme des parias, elles estiment s'affranchir du regard des autres, en faisant de leur choix un petit snobisme. "Quand je décline leurs invitations, je vois dans les yeux de mes amis une curiosité matinée d'admiration. On m'a même déjà dit que c'était 'courageux'", s'amuse Sonia.  

"Ces soirées étaient décevantes" 

Dans un quotidien bien rempli, reprendre le contrôle de son emploi du temps, en refusant de se soumettre aux diktats de ses amis et de sa famille, c'est affirmer sa liberté face aux conventions. "Cela reste quelque chose de plus facile à faire au Nouvel An qu'à Noël, reconnaît Sonia. Noël porte encore plus l'empreinte de l'obligation, nous ramène à la place que l'on occupe dans notre famille: celle d'une fille, d'une compagne ou d'une nièce. Le Nouvel An, c'est la fête des amis. On est moins tenus de faire quelque chose à tout prix." 
"Je suis déjà allée jusqu'à me forcer à sortir et trouver une soirée où faire la fête, chez des gens que je ne connaissais pas pour faire comme tout le monde... Et dans mon cas, dans leurs grandes majorités, il s'est avéré que ces soirées étaient décevantes, confirme Caroline. Je me suis parfois ennuyée, mais pas question de montrer des signes d'ennui et de fatigue le soir du 31! Et puis j'en ai eu assez de faire semblant d'aimer cette date, de faire la bise et souhaiter une bonne année à des gens dont je me fichais !" 

LIRE AUSSI >> "A Noël, impossible d'être partout et de satisfaire aux exigences de chacun" 

"S'interroger sur ce que l'on veut vraiment"

Les motivations profondes de ce besoin impérieux de "faire quelque chose" pour le Nouvel An témoignent souvent d'une peur du vide, d'une angoisse de ne pas "profiter" de la vie pleinement. "Mais profiter cela peut être plein de choses !, lance Dominique, 56 ans, qui passe le Nouvel An en tête-à-tête avec son compagnon depuis cinq ans. Il n'y a pas de définition figée de l'amusement. Je pense qu'il est bien plus intéressant de prendre de la distance avec la norme et de s'interroger sur ce que l'on veut vraiment." 
Mais cette affirmation de soi ne signifie pas forcément jouer les Cassandre, les rabat-joie, couchés à 22h, boules Quies vissées dans les oreilles pour ne pas avoir à supporter les fêtes des voisins. On peut même trouver du plaisir dans la simplicité d'une soirée à deux.  

"Un vrai luxe: faire ce qui me fait le plus plaisir"

"Avec mon conjoint, nous allons faire des courses l'après-midi. On se fait un menu de rêve, avec tout ce que l'on aime, s'anime Dominique. On déguste notre repas tous les deux, en buvant du champagne. Puis on regarde un de nos films préférés avant de se souhaiter bonne année. Je vis cette soirée comme un vrai luxe: celui de prendre le droit de faire ce qui me fait le plus plaisir." 

Josué

Josué
Administrateur

Les gens se plaignent qu'ils n'ont pas d'argent mais dépensent des centaines d'euros pendant les fêtes.

Josué

Josué
Administrateur

L’hiver à Bethléem


Il est impossible que Jésus soit né en décembre, car, de novembre à mars, le temps est généralement froid et pluvieux à Bethléem. L’hiver, il peut même neiger dans cette région. À cette époque de l’année, les bergers ne vivaient pas en plein air et ne restaient donc pas dans les pâturages la nuit pour surveiller leurs troupeaux (Lc 2:Cool. Bethléem s’élève à 780 m au-dessus du niveau de la mer, sur les hauteurs de Judée.

Verset(s) concerné(s)


Mt 2​:​1 ; Lc 2​:​4
4 sur 108

Faut-il faire croire aux enfants que le Père Noël existe  1001072004_univ_cnt_1_xl
Source bible d'étude de Matthieu.
https://www.jw.org/fr/bibliothèque/bible/bible-d-etude/livres/matthieu/

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