Rappel du premier message :
Au nom d’Allah, L'Infiniment Miséricordieux, Le Très Miséricordieux. Que le salut et bénédictions soient sur son messager, Mohammad, le dernier maillon de la chaîne prophétique. Amine
Le terme « Fils de Dieu » en Islam :
La formule "fils de Dieu" peut signifier 2 choses :
Premier sens : – sens israélite du terme qui signifie : "qui est proche de Dieu" : "qui aime Dieu" / "qui est aimé par Dieu" ;
Deuxième sens : – sens pagano-chrétien du terme qui signifie : "qui est une partie de Dieu" / "qui a une unité de nature avec Dieu". Donc : "en qui il y a une parcelle de divinité" / "à qui on peut, ou on doit rendre un culte" ; en tous cas : "qui est divin", dans un des sens du terme.
Comme l'ont écrit al-Ghazâlî, Ibn Taymiyya et Shâh Waliyyullâh, il est tout à fait possible que cette formule "fils de Dieu" ait été utilisée par Dieu ou par certains de Ses prophètes dans des Révélations antérieures au Coran (cf. respectivement Ar-Radd ul-jamîl, p. 25, Al-Jawâb us-sahîh, 2/56, 3/131, 159, Al-Fawz ul-kabîr, p. 35).
Mais, comme l'ont aussi souligné ces trois grands savants de l'islam, il faut bien comprendre que c'est avec le sens israélite du terme que les Écritures antérieures au Coran et révélées aux fils d'Israël employaient cette expression.
Or c'est un sens issue du paganisme que les chrétiens trinitaires donnent à cette expression à propos de Jésus.
Et c'est ce sens trinitaire qui est concerné par les versets du Coran qui disent que Dieu n'a pas de fils.)
Au nom d’Allah, L'Infiniment Miséricordieux, Le Très Miséricordieux. Que le salut et bénédictions soient sur son messager, Mohammad, le dernier maillon de la chaîne prophétique. Amine
Le terme « Fils de Dieu » en Islam :
La formule "fils de Dieu" peut signifier 2 choses :
Premier sens : – sens israélite du terme qui signifie : "qui est proche de Dieu" : "qui aime Dieu" / "qui est aimé par Dieu" ;
Deuxième sens : – sens pagano-chrétien du terme qui signifie : "qui est une partie de Dieu" / "qui a une unité de nature avec Dieu". Donc : "en qui il y a une parcelle de divinité" / "à qui on peut, ou on doit rendre un culte" ; en tous cas : "qui est divin", dans un des sens du terme.
Comme l'ont écrit al-Ghazâlî, Ibn Taymiyya et Shâh Waliyyullâh, il est tout à fait possible que cette formule "fils de Dieu" ait été utilisée par Dieu ou par certains de Ses prophètes dans des Révélations antérieures au Coran (cf. respectivement Ar-Radd ul-jamîl, p. 25, Al-Jawâb us-sahîh, 2/56, 3/131, 159, Al-Fawz ul-kabîr, p. 35).
Mais, comme l'ont aussi souligné ces trois grands savants de l'islam, il faut bien comprendre que c'est avec le sens israélite du terme que les Écritures antérieures au Coran et révélées aux fils d'Israël employaient cette expression.
Or c'est un sens issue du paganisme que les chrétiens trinitaires donnent à cette expression à propos de Jésus.
Et c'est ce sens trinitaire qui est concerné par les versets du Coran qui disent que Dieu n'a pas de fils.)