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Que font les 1,7 million de Français équipés avec leur enceinte

4 participants

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Josué

Josué
Administrateur

[size=33]Que font les 1,7 million de Français équipés avec leur enceinte connectée ?[/size]

  • Par  Harold Grand 


Une étude de Médiamétrie dresse le profil type des utilisateurs et des usages de ces nouveaux appareils qui se font petit à petit une place dans les foyers français.
HomePod, Amazon Echo, Google Home sont des noms qui deviennent de plus en plus familiers chez les Français. Selon le cabinet Médiametrie, ils sont 1,7 million à utiliser au quotidien au moins une de ces enceintes connectées. La dernière étude du cabinet s'est aussi intéressée au profil type des acheteurs de ces objets permettant d'écouter de la musique mais aussi de s'informer ou de demander des infos pratiques seulement grâce à la voix. Âgé de 39 ans en moyenne, l'utilisateur d'enceintes connectées a aussi en majorité (53%) un profil de catégories socioprofessionnelles supérieures et vit dans un foyer d'au moins 3 personnes (55%).
Les contenus audio sont au cœur de ces nouveaux usages. Les Français utilisent principalement leurs enceintes connectées pour écouter de la musique, de la radio ou encore des podcasts. Ils s'en servent également pour se tenir au courant de la météo et pour s'informer. La radio en direct est ainsi la troisième requête la plus utilisée sur ces appareils. Médiametrie souligne par ailleurs qu'encore peu de Français se servent de leurs enceintes pour faire du shopping ou encore pour commander un taxi ou une pizza par exemple.

La marque reste primordiale


Au fil des mois, le développement du marché des enceintes connectées est devenu un enjeu majeur pour les marques. Monoprix avait par exemple annoncé un partenariat en mars dernier avec Amazon pour se développer sur son enceinte Echo et ouvrir un «supermarché virtuel». Carrefour lui avait emboîté le pas en se rapprochant de Google pour lui proposer des services spécifiques sur son enceinte Home. Orange, de son côté, a décidé de lancer sa propre enceinte connectée, Djingo, qui fonctionnera avec Alexa, l'assistant personnel intelligent d'Amazon. Même constat du côté des médias qui développent de leur côté toujours plus de contenus spécifiques aux enceintes connectées, notamment sous le format podcasts. Contrairement à ce qui avait pu être craint un temps, la marque reste primordiale. Selon l'institut, la moitié des utilisateurs d'enceinte à commande vocale précisent systématiquement la marque associée à leur recherche. S'ils veulent écouter la radio par exemple, plus de 50% d'entre eux vont préciser quelle radio ils souhaitent écouter.

Données personnelles


Malgré les nombreux scandales liés à l'exploitation des données personnelles qui ont dominé l'actualité ces derniers mois et la mise en place en mai du RGPD, les Français interrogés par Médiamétrie se disent prêts à partager des informations intimes avec leurs enceintes connectées comme leurs goûts, leur géolocalisation ou encore leurs coordonnées bancaires. L'année dernière, la CNIL (Commission nationale de l'informatique et des libertés) avait pourtant alerté sur la sécurité de ces objets parlant même de «monétisation de l'intime». «Chaque utilisateur doit ainsi intégrer que même si “la parole s'envole”, ses requêtes vocales sont enregistrées dans le cloud, de la même manière qu'elles le seraient s'il les tapait au clavier dans certains moteurs de recherche» avait ajouté le régulateur en conseillant les utilisateurs de vider leur historique de leur appareil.
Les enceintes connectées représentent aussi une proie pour les hackeurs. La société britannique MWR a par exemple prouvé qu'elle avait pu installer un malware (logiciel malveillant) au cœur du système d'une Amazon Echo pour en récupérer les flux audio et donc les conversations entre les utilisateurs et leurs objets connectés. Autant de problématiques à surveiller de près au moment où ce type de terminaux est en pleine démocratisation. Selon le cabinet américain Gartner, 75% des foyers américains posséderont une enceinte intelligente en 2020.

chico.

chico.

Personnellement je n'en vois pas vraiment l'utilité.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

affaire pose de nouveau la question de la protection des données personnelles sur ce type d'objets connectés, comme l'Amazon Echo ou le Google Home.
En 2018, le nombre de personnes utilisant Alexa - l'assistant personnel intelligent d'Amazon présent dans les enceintes connectées de la marque - a doublé. Malgré ce développement, l'entreprise américaine est au cœur d'une nouvelle polémique. D'après le magazine allemand c't , un client allemand d'Amazon, surnommé «Martin Schneider», a reçu par erreur 1700 fichiers sonores provenant d'un Amazon Echo, l'enceinte connectée de la marque. 
Depuis la mise en place du règlement européen de protection des données, RGPD, en mai, chaque citoyen européen a en effet la possibilité de demander un rapport sur les données personnelles qu'il partage avec une entreprise. Il peut ensuite les vérifier, les rectifier ou s'opposer à leur utilisation commerciale. C'est la démarche qu'avait décidé de faire cet Allemand à l'égard d'Amazon. Il a finalement reçu des enregistrements provenant d'un Amazon Echo. Or, Martin Schneider ne possède pas d'enceinte connectée, ou un autre appareil équipé d'Alexa. 

Amazon plaide l'«erreur humaine»

Ne parvenant pas à avoir de réponse de la société américaine, Martin Schneider est directement allé voir des journalistes pour partager son histoire. Ces derniers ont eu accès aux fichiers concernés et ont pu retrouver le propriétaire des messages vocaux qui ont fuité. «Nous avons eu accès à la vie privée d'une personne qui nous était totalement étrangère. Nous savons ce qu'il fait comme travail, quelles sont ses activités préférées ou ses goûts musicaux», rapportent les journalistes. Au menu des trouvailles: des listes de commandes vocales pour rechercher des musiques sur Spotify, des réglages liés au thermostat, ou aux alarmes installées dans la maison de la victime. «Nous avons même eu accès aux noms et aux prénoms de son cercle d'amis, ce qui nous a permis de le retrouver», complète le journaliste allemand, auteur de l'article. Un porte-parole d'Amazon a confirmé l'incident, parlant d'une simple «erreur humaine» et promettant qu'il s'agissait d'un «cas isolé». L'entreprise n'a pas fait savoir si elle avait contacté les régulateurs européens pour faire état de cette fuite de données. Selon le RGPD, elle doit le faire 72 heures maximum après la découverte d'une faille de sécurité. 
Déjà en mai dernier, une autre affaire avait montré les faiblesses en termes de sécurité de l'enceinte connectée d'Amazon. Une Américaine originaire de Portland avait constaté qu'une de ses conversations avec son conjoint avait été enregistrée par son Amazon Echo à son insu et envoyée à un de ses collègues. 
Ces affaires montrent une nouvelle fois les risques liés à l'utilisation de ce type d'objets. L'année dernière, la CNIL (Commission nationale de l'informatique et des libertés) avait déjà alerté sur la sécurité de ces terminaux connectés. «Chaque utilisateur doit ainsi intégrer que même si «la parole s'envole», ses requêtes vocales sont enregistrées dans le cloud, de la même manière qu'elles le seraient s'il les tapait au clavier dans certains moteurs de recherche», avait indiqué le régulateur. De son côté, Amazon justifie la conservation de données dans son cloud (ses serveurs) pour améliorer les performances de son assistant personnel Alexa. Grâce aux messages vocaux enregistrés, il peut s'améliorer et proposer une expérience toujours plus individualisée à son propriétaire. À condition de ne pas se tromper de personne.
Source Le Figaro.

Marmhonie

Marmhonie
MODERATEUR
MODERATEUR

Vraiment, je vous invite a ne jamais acheter ces objets connectés qui volent vos données personnelles et ces sociétés les revendent ensuite par lot de centaines de milliers d'identités avec toutes les données, leur profilage, aux sociétés de commerce par correspondance, aux publicitaires, autant qu'aux Impots ou ERDF qui peuvent s'en servir librement.
J'ai tant aidé des Témoins de Jéhovah PERSECUTES dans des forums, sur Facebook, menacés dans leur travail, pour avoir été négligents en croyant qu'il y avait une justice humaine en ce monde...
Votre vie privée est inestimable, ne la donnez pas !
Apocalypse XIII, 16 & 17 : "Par ses manoeuvres, tous, petits et grands, riches ou pauvres, libres et esclaves, se feront marquer sur la main droite ou sur le front, et nul ne pourra rien acheter ni vendre s'il n'est marqué au nom de la Bête ou au chiffre de son nom."

Voulez-vous vous faire tatouer le corps ? Le visage ? Voulez-vous porter le nombre de Satan ? Certes non, alors ne versez pas d'argent a la Bête, ne tombez pas dans ses filets invisibles de l'internet connecté. Jamais de "montre connecté", jamais de ces produits connectés qui vous espionnent comme ces maudits compteurs Linky. Jamais d'internet dans des réunions de chrétiens, nous lisons la Bible téléchargée hors connexion sur une tablette ou, mieux, en apportant notre traduction du monde nouveau. Parce que porter sur soi, avec soi, une Bible belle et juste comme celle des Témoins, c'est faire un effort envers Jéhovah, c'est Lui montrer que Jéhovah ne se connecte pas sur internet, mais dans vos coeurs.

Les médias (on dit de plus en plus "merdias", désolé tant ils sont corrompus et mentent) vous invitent aussi sans cesse a vous rester connectés sur leurs applications, comme BFM, France Info, etc. Pitié, ne faites jamais cela.

Qui vous aime vraiment ? Jéhovah.
Qui vous écoute toujours, partout ? Jéhovah.
Qui est votre Créateur ? Jéhovah.

Alors n'offensez pas Jéhovah en vous faisant marquer numériquement.
Apocalypse XIII,14-17 : "Par les signes qu’il lui est permis d’accomplir sous les yeux de la bête sauvage, elle égare les habitants de la terre, tout en leur disant de faire une image de la bête sauvage qui a reçu le coup d’épée mais qui a repris vie. Et il lui a été permis d’insuffler la vie à l’image de la bête sauvage, afin que l’image de la bête sauvage parle et fasse aussi tuer tous ceux qui refusent d’adorer l’image de la bête sauvage.
Elle oblige tous les gens — petits et grands, riches et pauvres, hommes libres et esclaves — à recevoir une marque sur la main droite ou sur le front, pour que personne ne puisse acheter ou vendre s’il n’a pas la marque, c’est-à-dire le nom de la bête sauvage ou le nombre correspondant à ce nom."
(TMN 2018)

http://forummarmhonie.forumotion.asia/forum

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

C'est impressionnant cette façon que à internet de nous espionner, les gens de ce fait peuvent savoir beaucoup de choses sur nous à notre insu.

Josué

Josué
Administrateur

[size=33]Google a caché un micro dans certains produits Nest pendant deux ans[/size]

  • Par  Elisa Braun 
     

  • Publié le 08/02/201


Les appareils de la gamme Nest Guard n'étaient pas censés contenir de microphone, mais Google a révélé lors d'une mise à jour que le capteur était en fait bien présent et activable par la voix.
Petit et discret. Un micro était intégré depuis deux ans dans les appareils Nest Guard, une gamme d'alarmes domestiques commercialisée aux États-Unis et appartenant à Google. C'est l'entreprise elle-même qui a révélé la présence du capteur lors d'une alerte de mise à jour des appareils, le 4 février dernier. La marque a en effet annoncé que le système de commande vocale de Google Assistant était désormais compatible avec les appareils de la gamme d'objets connectés. Une surprise, pour de nombreux utilisateurs, car les spécifications techniques ne faisaient pas état de cette capacité.
Certains utilisateurs se sont donc émus d'avoir fait entrer dans leur maison un microphone de Google sans même en être informés - ceux-ci pensaient en effet intégrer un simple système d'alarme connecté. La marque a tenu à les rassurer, expliquant que le microphone n'était pas activé par défaut et ne conservait que les commandes vocales activées par le sésame «OK Google» ou «Hey Goog
with features such as the Google Assistant i
[ltr][/ltr]

Le géant avait déjà suscité la polémique en octobre dernier au sujet des écoutes non désirées du Google Home mini. À quelques jours de sa sortie officielle, l'appareil avait été prêté à plusieurs journalistes pour une phase de test. L'un d'entre eux s'était rendu compte que le Google Mini était en fait à son écoute 24 heures sur 24 en raison d'un bug activant d'office l'assistant. Google avait blâmé un bug de l'appareil.
» LIRE AUSSI - L'enceinte connectée Google Home Mini espionnait ses utilisateurs
En décembre dernier, la Commission Nationale Informatique et Libertés avait tenu à alerter les consommateurs français au sujet des risques que pouvaient comporter les systèmes d'enceintes intelligentes et autres assistants vocaux. «Chaque utilisateur doit ainsi intégrer que même si “la parole s'envole”, ses requêtes vocales sont enregistrées dans le cloud, de la même manière qu'elles le seraient s'il les tapait au clavier dans certains moteurs de recherche», prévenait le régulateur. Il recommandait également d'éviter de relier ses serrures, volets ou alarmes connectés à un assistant vocal, notamment en raison des risques de piratage.

Josué

Josué
Administrateur

[size=48]L'Unesco accuse les assistants vocaux de véhiculer des "préjugés sexistes"
Par LEXPRESS.fr avec AFP ,publié le 17/05/2019 à 19:49

[/size]
Que font les 1,7 million de Français équipés avec leur enceinte  Prompts-on-how-to-use-amazon-s-alexa-personal-assistant-are-seen-in-an-amazon-experience-centre-in-vallejo_6170266
Les auteurs de l'étude constatent que la plupart des assistants vocaux sont dotés par défaut de noms et voix de femmes ainsi que d'une "personnalité docile" (image d'illustration).
 
REUTERS/Elijah Nouvelage


Les auteurs de l'étude constatent que la plupart des assistants vocaux sont dotés par défaut de noms et de voix de femmes, ainsi que d'une "personnalité docile".


Voix féminine par défaut, "personnalité docile"... Un rapport de l'Unesco publié ce vendredi reproche aux assistants vocaux numériques de véhiculer des "préjugés sexistes". "La soumission et la servilité exprimées par tant d'assistantes vocales" sont "une illustration du préjugé sexiste véhiculé par les produits faisant appel à l'intelligence artificielle", estime l'Unesco dans son étude.  
LIRE AUSSI >> L'assistant vocal, nouvel ami de la famille ? 

Ce rapport a été réalisé en collaboration avec le ministère allemand de la Coopération économique et la coalition Equals Skills, regroupement de gouvernements et d'organisations internationales promouvant l'équilibre entre les genres dans le secteur de la technologie. 

"Machines obéissantes et serviles"


Il porte notamment sur les assistants vocaux développés par Amazon (Alexa), Apple (Siri), Google (Google Assistant) et Microsoft (Cortana), qui représentent dans de nombreux pays environ "90 % du marché". Selon l'Unesco, le rapport I'd blush if I could (Je rougirais si je le pouvais) tire son titre de la réponse donnée pendant plusieurs années - mais rectifiée en avril dernier - par l'assistant vocal Siri, lorsque l'utilisateur lui adressait des insultes. 

Josué

Josué
Administrateur

[size=48]Assistants vocaux : on pourra bientôt demander à Alexa d'être amnésique
Par LEXPRESS.fr avec AFP ,publié le 30/05/2019 à 12:20 , mis à jour à 15:44

[/size]
Que font les 1,7 million de Français équipés avec leur enceinte  Alexaechoamazon_6069486
Alexa peut se familiariser aux différents tons de la voix et aux accents.
 
Amazon


Accusé de ne pas assez se soucier de la protection de la vie privée, Amazon va permettre à son assistant vocal d'effacer les enregistrements à la demande.


"Alexa, efface tout ce que j'ai dit aujourd'hui". Amazon va bientôt permettre à ses clients de demander directement à son assistant vocal d'effacer des enregistrements, a fait savoir le groupe mercredi.  
L'entreprise américaine a annoncé "de nouvelles façons plus faciles d'effacer ses enregistrements sur tous les appareils équipés d'Alexa. Dites simplement 'Alexa, efface tout ce que j'ai dit aujourd'hui' et les enregistrements en question seront effacés", a écrit Amazon à l'occasion du lancement d'Echo Show 5, son dernier modèle d'enceinte intelligente activée par l'assistant vocal.  

LIRE AUSSI >> Comment Amazon écoute ce que vous demandez à Alexa 
"Bientôt, les clients pourront aussi effacer leur dernière sollicitation en disant 'Alexa, efface ce que je viens de te dire'", a aussi promis le groupe. Il était déjà possible d'effacer des enregistrements, mais en passant manuellement par l'application sur son smartphone.  

Possibilité d'aveugler la caméra à la demande



Le dernier modèle d'Echo dévoilé mercredi dispose aussi d'un cache qui permet d'aveugler la caméra à la demande, est-il précisé, en plus du bouton déjà existant sur les appareils de la gamme Show pour éteindre micro et caméra.  

Josué

Josué
Administrateur

Vidéo par écrit : « Les appareils électroniques, qui contrôle qui ?
»


La plupart des gens se servent d’appareils électroniques pour faire leur devoir, faire des recherches, communiquer sur les réseaux sociaux, se détendre ou faire plein d’autres choses.

Mais si tu ne fais pas attention, tu pourrais devenir complètement accro à ces appareils ; et si tu ne les a plus avec toi, tu pourrais même être en manque. Cette dépendance pourrait te coûter ton travail, tu risquerais de perdre tes amis, et pire encore (avoir un accident). 

Es-tu accro à ces appareils ? La Bible dit : « Vérifie les choses les plus importantes » Philippiens 1 :10. 

Alors pose-toi ces questions : 

. Quand je ne peux pas utiliser mon portable, est-ce que je me sens anxieux ou énervé ?

. Est-ce que j’utilise mon portable ou ma tablette plus longtemps que prévu ?

. Est-ce que je perds le sommeil parce que je ne peux pas m’empêcher de regarder mes messages ?

. Est-ce que j’en viens à négliger ma famille ?

. Et qu’en pense ma famille ?

Si ta réponse est « oui » à plusieurs de ces questions, voire à toutes, ne baisse pas les bras. Ce n’est pas trop tard, tu peux reprendre le contrôle. 

Par exemple, fixe toi une heure limite et respecte cette heure. 

Au volant, met tes appareils hors de ta vue et de ta portée. 

Propose à ta famille, de jouer à la pile de portables au moment des repas. Le premier qui touche le sien, doit faire la vaisselle. 

Réserve-toi régulièrement des soirées sans appareil électronique et éteint tes appareils le soir. Tu dormiras bien mieux. 

La Bible dit que « deux valent mieux qu’un ». Ecclesiaste 4 :9. 

Alors demande à quelqu’un de ta famille en qui tu as confiance ou à un ami de t’aider de faire ces changements.

1 Corinthiens 9 :25, la Bible nous demande de « nous maîtriser en toute chose ».

Alors, rappelle-toi. Tu vis dans un monde hyper-connecté mais il n’a pas à prendre le contrôle sur toi.

Laisse tes appareils électroniques à leur place. Tu seras plus heureux et tu profiteras mieux de la vie. 



Pourquoi les appareils électroniques sont-ils utiles ? 

Que risque-t-il d’arriver si on est accro aux appareils électroniques ? 

Comment savoir si on est accro aux appareils électroniques ?

Comment faire pour « discerner quelles sont les choses les plus importantes » ? (Philippiens 1:10)
.



https://tv.jw.org/#fr/mediaitems/docid-502016296_1_VIDEO

Josué

Josué
Administrateur

[size=48]Google reconnaît que les enregistrements issus de son assistant vocal sont écoutés
Par LEXPRESS.fr avec AFP ,publié le 12/07/2019 à 13:33 , mis à jour à 14:04

[/size]
Que font les 1,7 million de Français équipés avec leur enceinte  L-assistant-vocal-google-photographie-a-san-francisco-le-28-mars-2019_6197988
L'assistant vocal Google, photographié à San Francisco, le 28 mars 2019.
 
REUTERS


En outre, l'entreprise admet qu'il peut enregistrer par erreur, même si l'Assistant Google est sensé ne s'activer que lorsque l'utilisateur l'interpelle.


Attention à ce que vous enregistrez dans votre Assistant Google vocal. Le géant américain du web a reconnu jeudi que ses employés ont accès aux enregistrements de l'assistant vocal, confirmant ainsi des révélations du média belge VRT. 
L'entreprise explique dans un communiqué que des spécialistes du langage écoutent les enregistrements d'utilisateurs de l'assistant vocal afin d'améliorer sa compréhension des différentes langues et des accents. Un travail "nécessaire à la création de produits comme l'Assistant Google", a-t-elle noté. 

LIRE AUSSI >> L'assistant vocal, nouvel ami de la famille ? 
Le média belge VRT a indiqué avoir pu écouter plus d'un millier d'enregistrements issus d'appareils situés en Belgique ou aux Pays-Bas, dont 153 captés accidentellement. Parmi ceux-ci, des utilisateurs discutant de leur vie amoureuse ou de leurs enfants, et fournissant des informations personnelles comme leur adresse. 

Google affirme que ses équipes enquêtent sur la fuite de données audio de la part d'un employé qui n'a "pas respecté [leur] politique de sécurité des données". 

Des enregistrements par erreur


"Nous procédons à un examen complet de nos dispositifs de sécurité afin d'éviter que cela se reproduise", promet l'entreprise. 
Elle indique que ses employés n'ont accès qu'à 0,2 % des enregistrements et que ces derniers ne sont "pas associés aux comptes des utilisateurs". Normalement, l'Assistant Google ne s'active que lorsque l'utilisateur l'interpelle, en appuyant sur un bouton ou en disant "OK Google". 
L'entreprise admet qu'il peut enregistrer par erreur, quand le logiciel interprète "du bruit ou des mots en arrière-plan" comme étant le mot-clé. Elle rappelle que les utilisateurs peuvent modifier leurs paramètres pour désactiver le stockage des données audio sur leur compte personnel Google, ou les supprimer automatiquement tous les 3 ou 18 mois. 

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Où en sont les assistants virtuels appelés aussi Chatter bots ou chatbots ? Quelles sont leurs limites ? Google, Facebook, Apple et même Microsoft s’y intéressent sérieusement tout comme Salesforce, le champion de la relation client. 
Les portails des grandes compagnies les ont déjà adoptés. Les premières formes sont apparues dès les années 1990. Aujourd’hui ils font irruption dans les réseaux sociaux et la relation commerciale. Les assistants virtuels, ou chatbots ou bots tout court se manifestent souvent comme des avatars dans une fenêtre ‘pop up’ lorsque vous surfez sur un site web. Depuis quelque temps, ils gagnent en crédibilité. Leurs améliorations sont directement liées aux avancées des technologies d’intelligence artificielle et du ‘deep learning’ (algorithmed’apprentissage par l’ordinateur). 
La phase de curiosité et de séduction est passée. L’heure est au développement de services concrets, aux retombées commercialement mesurables.


Expérimentations et corrections
Dès 2014, en Chine, Microsoft a lancé une large expérimentation avec son service Xiaoice, tourné vers le  grand public. Il s’agissait de permettre à des personnes esseulées de converser avec un interlocuteur qui simulait à s’y méprendre un humain. La bonne recette a été que le ‘chatbot’ savait se souvenir de détails des conversations précédentes. 
Mais tout n’est pas gagné. Ainsi, en mars 2016, le même Microsoft a dû rectifier le tir sur une autre expérimentation similaire, orienté vers  Tweeter : Tay. Ce dernier est capable là encore de tenir une conversation cohérente et relativement « intelligente » avec des internautes. Mais des petits malins ont compris que l’on pouvait influencer la discussion et manipuler ledit robot Tay jusqu’à lui faire écrire une phrase insupportable, du genre : « Je hais les féministes. Je pense qu’on devrait toutes les brûler en enfer ». Microsoft ne s’est aperçu de la scabreuse tournure de la conversation que 8 heures après !

Voilà qui explique à la fois le potentiel et les risques de dérapages ou de détournement des ‘chatbots’. Comme dans les traducteurs automatiques, on comprend que la validation nécessite un apprentissage et donc du temps – et un mode de contrôle et de validation.
Deux types de ‘chatbots’ 
L’intérêt premier d’un chatbot est qu’il peut remplacer des personnes chargées de renseigner des usagers d’un service public ou se substituer à des commerciaux chargés d’accueillir des clients. Il peut leur fournir des éléments d’information précis, les aiguiller vers le bon service.
Il en existe deux types principaux: certains assistants personnels, tels que Siri d’Apple, Now de Google ou Cortana de Microsoft, reposent sur de algorithmes d’intelligence artificielle. Ils souvent orientés vers les données disparates. Les autres sont plutôt dédiés à des objectifs précis, dans un cadre relationnel bien défini.
Il peut s’agir de formes d’avatars comme le Clippy de Microsoft Office : il propose son aide à utilisateur et se substitue, en langage naturel, au menu Aide. 
Les chatbots se présentent donc souvent comme des assistants virtuels, agents conversationnels, assistants numériques ou encore conseillers « intelligents ».

La technologie repose sur des « interpréteurs sémantiques »  qui formulent des requêtes recevables par  l’ordinateur et en cohérence avec ses bases de connaissances sans cesse mises à jour.
Certaines interfaces de questions-réponses sont disponibles sur des outils en open source comme Chatfuel.  La plateforme Recast.ai, créée par des français, permet de paramétrer un bot complet à partir de modules développés par la communauté.
Authentification vocale
Certains chatbots viennent prolonger des serveurs vocaux : ils apportent des réponses de plus en plus précises à mesure que les questions se font plus pertinentes, comme dans une conversation courante – et souvent sans le recours à un clavier : cette approche devient particulièrement pertinent dès lors que l’on utilise son smartphone pour la consultation en ligne: il suffit d’enchainer des questions avec des mots clés, et le serveur consulté répond à travers une fenêtre ‘pop-up’ où s’affiche une figurine animée ou non, qui fournit les informations demandées, parfois en donnant une réponse orale (‘text to speech’).  
Il existe deux états pour un ‘chatbot’ : il peut être « stateful » lorsqu’il garde toutes les opérations passées en mémoire, ou « stateless », moins sophistiqué, il repart à zéro pour chaque nouvelle sollicitation.
La reconnaissance de la voix de celui qui interroge présente aussi un intérêt : elle peut être authentifiée, car elle constitue un élément de contrôle biométrique. C’est une empreinte ou signature individuelle très sûre. Les banques mènent des expérimentations dans ce sens.
Incursion dans les messageries instantanées  
Non contents d’infiltrer les réseaux sociaux, les chatbots s’immiscent dans le marketing «relationnel »  ou « conversationnel ». Ils débarquent également dans les messageries instantanées, telles que Messenger, Skype, Slack, Telegram, WeChart, WhatsApp, WeChat…
Dans cette même perspective, Facebook a fait l’acquisition de la start-up française Wit.ai, conceptrice d’un interpréteur sémantique.
Sur la plupart des plateformes citées plus haut, les développements en cours s’orientent vers des systèmes fédérateurs de plusieurs ‘bots’. C’est par exemple le cas de Luka, dont l’un des fondateurs a travaillé pour une banque russe. Il permet de lancer, à partir d’un smartphone, des requêtes sur divers moteurs de recherche : actualités, météo, films, jeux vidéo, images, etc. – selon les centres d’intérêt de l’internaute. Dès que vous lui signifiez que vous avez un peu de temps libre, l’application interactive vous propose une liste d’activités ou de distractions.
En milieu professionnel aussi
Une autre tendance forte depuis quelques mois est la  création, par les marques, de leur propre chatbot. Un des avantages est la possibilité de cerner des attentes ou demandes de clients ou prospects.
L’idéal est de concevoir les scénarios et de suivre les cas d’usage. Il convient de répertorier toutes les sources d’informations possibles à la disposition de l’entreprise. 
Dans la relation avec le client, une fois que beaucoup de données pertinentes sont réunies, il ne faut pas être trop intrusif. Priorité doit être donné au conversationnel et à l’interactivité. L’humour et le fun sont fortement recommandés et permettent d’éviter bien des méprises, tout en donnant une personnalité à la marque. Le ton de la connivence est bienvenu pour susciter une relation de confiance.
Dans cet état d’esprit, on comprend que certaines entreprises envisagent de connecter un chatbot directement à leur application de relation client (ou CRM).

_ _ _
Sources
Tout comprendre des bots, ces nouveaux robots à tout-faire
https://www.maddyness.com/innovation/2016/05/09/technologies-les-bots/

chico.

chico.

[size=48]Assistants vocaux : Google renonce à écouter les conversations des utilisateurs en Europe
Par LEXPRESS.fr avec AFP ,publié le 02/08/2019 à 16:40
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Que font les 1,7 million de Français équipés avec leur enceinte  L-assistant-vocal-google-photographie-a-san-francisco-le-28-mars-2019_6197988
Google renonce à écouter les conversations des utilisateurs européens pendant au moins trois mois.
 
REUTERS


Le géant américain avait reconnu mi-juillet que ses employés écoutaient des fragments de conversation des utilisateurs enregistrés via les assistants vocaux.


Pendant trois mois au moins, dans toute l'Union européenne, vos conversations ne seront plus enregistrées par Google via vos assistants vocaux. Une autorité locale allemande a obtenu jeudi que l'entreprise américaine suspende cette pratique controversée, que Google avait justifiée par le perfectionnement de la compréhension des différentes langues et des accents sur les logiciels d'intelligence artificielle. 

"Un risque élevé pour la confidentialité et la vie privée"


L'office de la protection des données de Hambourg (HmbBfDI) a annoncé jeudi que Google s'était engagé auprès de lui à ce que "les transcriptions d'enregistrements vocaux ne soient plus utilisées pendant une période d'au moins trois mois à compter du 1er août 2019", et ce, pour l'ensemble de l'Union européenne.  

LIRE AUSSI >> Assistants vocaux : des voix pourraient discrètement contrôler vos appareils 
Le groupe américain cède à la pression de l'autorité hambourgeoise, qui venait d'ouvrir une procédure administrative interdisant à Google cette exploitation de données pendant trois mois, soit la durée maximale prévue par la réglementation européenne RGPD pour une telle mesure locale. "Les conversations enregistrées, dont certaines sont sensibles, étaient basées sur des informations personnelles issues de la sphère privée et personnelle des utilisateurs. De plus, une partie non négligeable des enregistrements sont liés au déclenchement involontaire de l'assistant", explique le HmbBfDI. 

Cette autorité estime aussi que les assistants en général, qu'ils soient commercialisés par Google, Amazon ou Apple présentent "un risque élevé pour la confidentialité et la protection de la vie privée des personnes concernées". 

Des centaines d'enregistrements "vulnérables"


Le média belge VRT a révélé en juillet avoir pu écouter plus d'un millier d'enregistrements issus d'appareils situés en Belgique ou aux Pays-Bas, dont 153 captés accidentellement. Parmi ceux-ci, des utilisateurs discutant de leur vie amoureuse ou de leurs enfants, et fournissant des informations personnelles comme leur adresse. 
"Nous procédons à un examen complet de nos dispositifs de sécurité afin d'éviter que cela se reproduise", avait répondu l'entreprise. Google indique que ses employés n'ont accès qu'à 0,2% des enregistrements et que ces derniers ne sont "pas associés aux comptes des utilisateurs". 


LIRE NOTRE DOSSIER COMPLET

Google, l'ogre du Net

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