[size=34]FIN D'UNE EPOQUE - Reliques d’un temps où les smartphones n’existaient pas, les bonnes vieilles ligne de téléphone fixes ne passant pas par internet sont en passe de disparaître. Une bascule technologique qui n’est pas sans conséquences pour des millions de Français.[/size]
25 août 23:51 - La rédaction de TF1
Les téléphones portables avait déjà relégué les cabines téléphoniques aux oubliettes. C’est désormais au tour des lignes fixes de faire des frais de l'évolution technologique. Dans le cadre de la modernisation de son réseau, l’opérateur Orange a annoncé en début de semaine qu’il cesserait de vendre des abonnements dès le 15 novembre prochain, avant d’y mettre fin définitivement, de manière progressive, à partir de 2023.
Pourtant, un peu moins de 10 millions de Français utiliseraient encore leur combiné, sans passer par Internet, selon les derniers chiffres de l'Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (Arcep). "Des gens peu habitués aux nouvelles technologies, notamment les personnes âgées, vont se retrouver sans téléphone", s’alarme Olivier Gayraud, juriste à l’Association nationale de défense des consommateurs et usagers (CLCV), interrogé parLe Parisien.
25 août 23:51 - La rédaction de TF1
Les téléphones portables avait déjà relégué les cabines téléphoniques aux oubliettes. C’est désormais au tour des lignes fixes de faire des frais de l'évolution technologique. Dans le cadre de la modernisation de son réseau, l’opérateur Orange a annoncé en début de semaine qu’il cesserait de vendre des abonnements dès le 15 novembre prochain, avant d’y mettre fin définitivement, de manière progressive, à partir de 2023.
Pourtant, un peu moins de 10 millions de Français utiliseraient encore leur combiné, sans passer par Internet, selon les derniers chiffres de l'Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (Arcep). "Des gens peu habitués aux nouvelles technologies, notamment les personnes âgées, vont se retrouver sans téléphone", s’alarme Olivier Gayraud, juriste à l’Association nationale de défense des consommateurs et usagers (CLCV), interrogé parLe Parisien.