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Ce que nous pouvons tous apprendre de la mort des Moines

2 participants

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Marmhonie

Marmhonie
MODERATEUR
MODERATEUR

Ce que nous pouvons tous apprendre de la mort des Moines


Pour un moine, la mort doit être offerte. Elle est le dernier acte de la vie et le premier pas dans l’aventure de l’éternité. L’offrande ne peut être que consciente. Dans cette perspective, Fontgombault considère que la sédation profonde et continue telle qu’elle est proposée par la loi Léonetti-Claeys est inacceptable et immorale. Pour la communauté, s’il est légitime de pratiquer chez les personnes en phase terminale une sédation brève qui a pour effet de passer un cap, de calmer les angoisses presque insupportables comme celles d’un malade qui présente des difficultés respiratoires, une sédation profonde et continue associée à l’arrêt de l’alimentation et de l’hydratation, comme le préconise la loi, ne l’est pas : il s’agit d’une forme d’euthanasie que l’artifice de la formulation ne parvient pas à dissimuler.

En 2000, un frère de quatre-vingt-quatre ans a eu un cancer de l’estomac. Après l’opération, qui visait à ôter la tumeur cancéreuse, il est tombé dans le coma. Le moine était sous respirateur artificiel, mais il réagissait à certaines sollicitations de ses frères. Il reconnaissait parfaitement ses visiteurs. Un anesthésiste a pourtant décidé d’arrêter la machine sans prévenir dom Thevenin. Le religieux est mort. Les moines avaient précisé qu’ils souhaitaient être présents au moment de son départ. À l’évidence, il s’agissait de se débarrasser d’un cas perdu d’avance qui surchargeait le service. Le chirurgien n’avait pas non plus été informé de la décision. Fontgombault a exprimé sa colère et sa tristesse. Désormais, les moines sont vigilants. Ils apportent un soin particulier à la rédaction des « directives anticipées » que les établissements hospitaliers proposent de remplir.

Dom Thevenin a accompagné vers la mort une vingtaine de moines. Il n’a jamais été témoin d’agonies spectaculaires. Les moines étaient sereins et apaisés. On peut parler d’étapes progressives. Ils s’abandonnent peu à peu, par paliers, soutenus par la prière de leurs frères. Dans une situation de dépendance, le seuil de tolérance évolue. Le moine accepte des choses qui semblaient impossibles quelques semaines auparavant.

Si la conscience immédiate peut s’affaiblir, dom Forgeot est convaincu à l’inverse que « le sens de la prière demeure jusqu’à la dernière minute. La prière est une remise entre les mains de Dieu. Comment pourrait-elle cesser au moment même où la rencontre approche ? Un malade atteint d’une tumeur au cerveau ne peut plus réciter un chapelet. Mais l’intention de l’acte qui consiste à vouloir être avec Marie ne peut changer. Les formes de la méditation et de la contemplation changent, le fond reste identique. Le moine comateux vit toujours avec Dieu. Le mystère de la mort et de la résurrection est au centre de sa vie ».

Bien sûr, un père infirmier s’attache au malade. Les liens peuvent être forts. Il doit savoir se protéger.

Parfois, il faut se montrer ferme, comme lorsqu’un moine malade refuse de prendre ses médicaments : « Saint Benoît réclame des soignants de la générosité et une grande patience. Il en donne le motif surnaturel : l’infirmier doit voir le Christ dans ses frères malades et les servir en conséquence. En retour, les malades savent qu’ils sont servis en l’honneur de Dieu. Ils ne peuvent contrister les infirmiers par des exigences superficielles. Le moine en charge des soins n’est pas un domestique. La force de la prière d’un moine tout au long de sa vie aura une influence sur sa manière d’aborder la vieillesse et la mort », témoigne dom Thevenin..

Ce que nous pouvons tous apprendre de la mort des Moines Img_0436-53f4c18

http://forummarmhonie.forumotion.asia/forum

Josué

Josué
Administrateur


Incohérences dans la mort des moines de Tibhirine : "La version officielle ne tient pas"

Ils auraient été tués plusieurs semaines avant la date annoncée par les autorités algériennes.


  • Par Claire Tervé


Ce que nous pouvons tous apprendre de la mort des Moines Http%3A%2F%2Fo.aolcdn
[size=7]DIDIER CONTANT VIA GETTY IMAGES

Moines de Tibhirine: des incohérences autour de leur assassinat par le GIA en 1996.



ALGÉRIE - Le mystère s'épaissit autour de la mort des moines de Tibhirine. En 1996, les sept religieux ont été enlevés dans leur monastère de l'Atlas algérienpar le GIA (groupe armé islamiste), puis assassinés plusieurs semaines plus tard, le 21 mai. Une version confirmée par les autorités algériennes. Mais ce jeudi 29 mars, Radio France révèle que le dossier comporte de nombreuses incohérences. D'ailleurs, selon l'avocat des familles des victimes, la version officielle servie par les autorités algériennes "ne tient pas".

Revenons sur les fait: dans la nuit de 26 au 27 mars, les sept moines sont enlevés par une vingtaine d'hommes armés et l'attaque est revendiquée le jour même par Djamel Zitouni, le chef du Groupe armé islamique (GIA). Celui-ci menace de les égorger. Le 23 mai, le groupe revendique l'assassinat le 21 mai des religieux séquestrés. Le 30 mai, sept têtes sont découvertes sur une route de Médéa, sans les corps.

Ce jeudi 29 mars, Radio France et sa cellule d'investigation ont pu se procurer les conclusions des dernières expertises concernant la mort des sept moines trappistes. Et ce qui en ressort est assez troublant:


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  • D'une part, les victimes ont vraisemblablement été assassinées plusieurs semaines avant la découverte officielle des sept tête, et non pas le 21 mai, comme annoncé. "L'hypothèse de décès survenus entre le 25 et le 27 avril [1996] reste plausible compte tenu de l'état de décomposition des têtes au moment de leur découverte", précise l'enquête.





  • D'autre part, les corps ont été décapités post mortem et ne comportaient aucune trace de balles. "L'analyse au micro-scanner n'a pas révélé de particules métalliques sur les sept prélèvements osseux"est-il écrit dans le rapport. "Un constat qui affaiblit la thèse d'une bavure d'un hélicoptère de l'armée algérienne, comme l'indique un témoin dans le dossier judiciaire", précise le média.




  • Enfin, les têtes ont été inhumées une première fois avant leur découverte. Elles ont donc été enterrées puis déterrées avant d'être laissées sur le bord de la route.


"Il s'agit d'une avancée extrêmement importante dans le dossier, déclare l'avocat des familles des moines, Patrick Baudouin, cité par Radio France. À la lumière de ces expertises, nous pensons que la version officielle des autorités algériennes, à savoir un enlèvement et une exécution par le GIA, cette version simpliste ne tient pas. Il y a trop d'éléments remis en cause par ce rapport, en particulier le fait que la mort des moines est très vraisemblablement bien antérieure à ce qui a été avalisé par les autorités algériennes."
Interversions dans l'identification
Autre fait troublant: selon le média "si l'expertise génétique confirme que les sept crânes examinés 'sont bien ceux des sept moines', en revanche, 'les identités associées aux scellés ne correspondent pas aux identités réelles' des religieux". Ce qui veut dire que les crânes présentés par les autorités lors des analyses ne correspondent pas aux bonnes personnes. "Il y a manifestement eu des interversions dans l'identification, que les analyses ADN permettent de rétablir", précise Radio France.
En 2014, des experts et juges français avaient voulu faire des prélèvement sur les tête exhumées, mais les autorités algériennes s'étaient opposés à ce que les échantillons soient ramenés en France. Ce n'est qu'en 2016 que les experts on été autorisés à rapatrier les prélèvements.

"Il faut que les magistrats instructeurs poursuivent leurs investigations. Le problème principal dans cette affaire, c'est la chape de plomb qui pèse toujours sur la recherche de la vérité. Ceux qui savent des choses sont encore au pouvoir en Algérie", pointe du doigt l'avocat des familles des victimes.

À voir également sur Le HuffPost:

Josué

Josué
Administrateur

[size=38]Gérald Darmanin rencontre les catholiques sous le regard du père Hamel[/size]

Reportage 

Le ministre de l’intérieur s’est rendu à Saint-Étienne-du-Rouvray, dimanche 26 juillet, pour commémorer l’assassinat du père Jacques Hamel, quatre ans plus tôt. Pour cette première rencontre officielle avec les catholiques, à forte valeur symbolique, des sujets brûlants, comme la révision des lois de bioéthique, n’ont pas été esquivés.



  • Arnaud Bevilacqua (à Saint-Étienne-du-Rouvray, Seine-Maritime), 
  • le 26/07/2020 à 17:05 
  • Modifié le 26/07/2020 à 21:56



Ce que nous pouvons tous apprendre de la mort des Moines Mgr-Moulins-Beaufort-Mgr-Dominique-Lebrun-Gerald-Darmanin-26-juillet-Saint-Etienne-Rouvray-Rouen_0_729_486



Mgr de Moulins-Beaufort, Mgr Dominique Lebrun et Gérald Darmanin (de g. à d.), le 26 juillet à  Saint-Etienne-du-Rouvray près de Rouen.[size=12]SAMEER AL-DOUM
[/size]
Pour sa première rencontre avec les catholiques, dimanche 26 juillet, Gérald Darmanin, le nouveau ministre de l’intérieur, a choisi Saint-Étienne-du-Rouvray, la ville populaire de la banlieue rouennaise, où a été assassiné, il y a quatre ans, le père Jacques Hamel. Un choix fort qui n’a évidemment pas laissé insensible Mgr Dominique Lebrun, archevêque de Rouen.
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