Celui-ci est mon fils, le bien aimé.

Vendredi 6 octobre
Celui-ci est mon Fils, le bien-aimé, que j’ai agréé (Mat. 3:17).
Les frères qui sont formés dans la congrégation devraient apprendre à se laisser guider par les principes bibliques plutôt que par des règles. Suppose qu’un ancien demande à un frère de veiller à ce que l’entrée de la Salle du Royaume soit propre, accueillante et sûre. Il pourrait lui montrer Tite 2:10 et lui expliquer comment ce que ce frère fera pour mettre en valeur la Salle du Royaume contribuera à « parer l’enseignement de notre Sauveur, Dieu ». L’ancien pourrait également lui demander de penser aux bienfaits que les personnes âgées de la congrégation tireront de son travail. Dans le cadre d’une formation, ce genre de conversations aidera l’apprenant à se concentrer davantage sur l’être humain que sur la règle. Il éprouvera ainsi la joie de voir les frères et sœurs de la congrégation tirer profit du service dont il s’acquitte. Par ailleurs, l’ancien félicitera l’apprenant pour les efforts qu’il fait afin de mettre les suggestions en pratique. Les félicitations sincères sont à l’apprenant ce que l’eau est à la plante : elles favorisent sa croissance. w15 15/4 2:7, 8.

‘ Celui-ci est mon Fils, le bien-aimé, que j’ai agréé. ’ ” (Matthieu 3:16, 17). Ces paroles pleines de tendresse, prononcées par Jéhovah lui-même, nous en apprennent beaucoup sur le genre de Père qu’il est. Relevons trois expressions qu’il a utilisées quand il s’est adressé à son Fils.

Il faut savoir félicité les jeunes qui veulent servir Jéhovah mais aussi les membres de la congrégation.