Le Coran est un texte qui surprend par son absence totale de complément circonstanciel de temps et de lieu
L'absence quasitotale de nom propre complique et rend caduque toute historicité
En effet, la seule évocation évanescente de figures bibliques schématiques, espèces de prototypes désincarnés et marionnettes du système islamique, ne conduit qu'à des conjectures très variées voire diamétralement opposées selon les méthodes et paradigmes postulés.
b]Le Coran est un texte abscons, obscur, un texte en souffrance[/b]
Le Livre nous tombe vite des mains. Pourquoi ? Pour comprendre cette chute incongrue des objets pourtant saints, il faut parler brièvement de la genèse de ce texte. Une annexe plus détaillée est adjointe à la fin de cette étude. Il a existé bien des Codex. Campbell dans son étude approfondie des codex du Coran nous éclaire sur sa genèse.
Sami Adeeb a récemment recensé les raisons de ces obscurités
Il relève les fréquentes fautes d'orthographe et de grammaire, l'absence de la ponctuation et le mélange permanent des pronoms personnels attribués au seul locuteur qui serait Allah. « Ceci confère au texte une impression d'extême instabilité psychologique d'autant plus que le texte contient de très nombreux passages répétitifs ou changeant de sujet très abruptement...qui ressemblent à des passages intercalés, des interpolations ».
Sami Aldeeb signale également des expressions ambigües, inconnues pour 25% de l'ensemble. Il souligne des termes erronés tels des faux amis et des contradictions internes et enfin de nombreuses lacunes (15% du texte manque). Tous ces points sombres s'éclairent par la nature de son origine floue.
Qu'est-ce ?
Si on ne peut nier une certaine proximité entre l'ensemble des textes bibliques et le Coran, il ne faut pas faire de contresens. L'écrit arabe serait en fait un recueil d'enseignements et de prédications fondé sur des textes bibliques auxquels il renvoie sans cesse sans les nommer. N'est-il pas comme le catéchisme développé d'une Nième hérésie orientale qui abandonne tous les éléments de discorde dogmatique pour fédérer tous ceux qui se réclament du « Livre », Juifs et Chrétiens, autour d'une attente millénariste et apocalyptique d'un Christ qui n'a plus rien à voir avec l'homme-Dieu compatissant pour les pécheurs ? C'est pour cela que la Bible apparaît en filigrane mais sous un jour différent que celui de l'enseignement chrétien.
L'absence quasitotale de nom propre complique et rend caduque toute historicité
En effet, la seule évocation évanescente de figures bibliques schématiques, espèces de prototypes désincarnés et marionnettes du système islamique, ne conduit qu'à des conjectures très variées voire diamétralement opposées selon les méthodes et paradigmes postulés.
b]Le Coran est un texte abscons, obscur, un texte en souffrance[/b]
Le Livre nous tombe vite des mains. Pourquoi ? Pour comprendre cette chute incongrue des objets pourtant saints, il faut parler brièvement de la genèse de ce texte. Une annexe plus détaillée est adjointe à la fin de cette étude. Il a existé bien des Codex. Campbell dans son étude approfondie des codex du Coran nous éclaire sur sa genèse.
Sami Adeeb a récemment recensé les raisons de ces obscurités
Il relève les fréquentes fautes d'orthographe et de grammaire, l'absence de la ponctuation et le mélange permanent des pronoms personnels attribués au seul locuteur qui serait Allah. « Ceci confère au texte une impression d'extême instabilité psychologique d'autant plus que le texte contient de très nombreux passages répétitifs ou changeant de sujet très abruptement...qui ressemblent à des passages intercalés, des interpolations ».
Sami Aldeeb signale également des expressions ambigües, inconnues pour 25% de l'ensemble. Il souligne des termes erronés tels des faux amis et des contradictions internes et enfin de nombreuses lacunes (15% du texte manque). Tous ces points sombres s'éclairent par la nature de son origine floue.
Qu'est-ce ?
Si on ne peut nier une certaine proximité entre l'ensemble des textes bibliques et le Coran, il ne faut pas faire de contresens. L'écrit arabe serait en fait un recueil d'enseignements et de prédications fondé sur des textes bibliques auxquels il renvoie sans cesse sans les nommer. N'est-il pas comme le catéchisme développé d'une Nième hérésie orientale qui abandonne tous les éléments de discorde dogmatique pour fédérer tous ceux qui se réclament du « Livre », Juifs et Chrétiens, autour d'une attente millénariste et apocalyptique d'un Christ qui n'a plus rien à voir avec l'homme-Dieu compatissant pour les pécheurs ? C'est pour cela que la Bible apparaît en filigrane mais sous un jour différent que celui de l'enseignement chrétien.