Dans son ouvrage "LA TERRE CETTE INCONNUE", François Derrey, fait état du même phénomène et ajoute : "Les fosses de l'Alaska ne constituent pas un cas isolé. On a retrouvé de par le monde les traces de nombreux tas de cadavres de ce genre, où s'entassent les restes broyés de milliers d'animaux."
Dans l'océan Arctique, au large de la Sibérie, il y a des îles dont l'une, Liedkoff, semble être entièrement composée de défenses et d'ossements de grands mammifères. Elle est entourée de corniches sous-marines formées elles aussi d'ossements.
Dans les grottes et sur les collines d'Europe Centrale, des ossuaires de différentes espèces d'animaux (Rhinocéros, chevaux, lions, cerfs, horoxs, loups) tous massés ensemble, sont une preuve des plus convaincantes de la soudaineté du Déluge. Manuel Vélikovsky, nous décrit dans l'un de ses ouvrages ("MONDES EN COLLISION"), les effets de cette catastrophe dans le monde entier : "En de nombreux points de la terre, sur tous les continents, on a trouvé entremêlés les ossements d'animaux marins, d'animaux polaires et d'animaux tropicaux... . Sur les hautes montagnes et dans les mers profondes, nous trouvons d'innombrables signes d'un grand bouleversement ancien."
Dans presque toutes les traditions, Dieu ou une divinité particulière, voulait détruire la race humaine toute entière à l'exception de quelques individus et tout recommencer. Les péchés varient très peu d'une légende à l'autre. Les raisons données sont généralement que l'homme était devenu trop orgueilleux et n'obéissaient plus à la volonté divine, trop corrompus et trop violents, et que, selon les termes de la Bible, "son coeur ne formait que des mauvais desseins à longueur de journée".
Le récit biblique du Déluge est confirmé par les histoires de déluges des chinois, des grecs, des britanniques et des mexicains. Le récit appelé "l'épopée de Gilgamech" relatant un déluge très semblable à celui de la Genèse, raconte comment le héros du déluge, Upnapishtin (Noé), échappa à la destruction totale de l'humanité. On a trouvé aussi une autre histoire de Déluge écrite en sumérien, langue qui est antérieure à la fois à l'assyrien et au babylonien.
Sir James Frazer, anthropologue renommé, a recueilli des traditions sur le déluge dans les endroits les plus reculés et les plus variés, tels que les Iles-sous-le-Vent, le Bingual, la Chine et la Malésie.