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Le solide fondement de Dieu tient debout.

2 participants

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samuel

samuel
Administrateur

Dimanche 6 mars
Le solide fondement de Dieu tient debout (2 Tim. 2:19).
Qu’ont de particulier les termes qu’emploie Paul dans ce verset ? C’est la seule fois dans la Bible où il est question du « solide fondement de Dieu ». La Bible se sert des mots « fondement » ou « fondation » comme de métaphores pour désigner différentes choses, parmi lesquelles la Jérusalem littérale, quand elle était la capitale de l’Israël antique (Ps. 87:1, 2). Le rôle de Jésus dans le dessein de Jéhovah est, lui aussi, comparé à un fondement (1 Cor. 3:11 ; 1 Pierre 2:6). À quoi Paul pensait-il quand il a parlé du « solide fondement de Dieu » ? Dans le même verset, Paul fait un lien entre « le solide fondement de Dieu » et les paroles de Moïse, consignées en Nombres 16:5, au sujet de Qorah et de ses partisans. L’apôtre faisait, semble-t-il, allusion à ces évènements afin d’encourager Timothée et de lui rappeler que Jéhovah est capable de détecter et de neutraliser les actes de rébellion. Le dessein de Jéhovah n’allait pas davantage être entravé par des apostats présents dans la congrégation qu’il ne l’avait été par Qorah des siècles auparavant (Nomb. 16:35). w14 15/7 1:2, 4-6.

Josué

Josué
Administrateur

Dans les Écritures grecques chrétiennes, on rencontre deux mots couramment traduits par “ connaissance ” : gnôsis et épignôsis. Tous deux sont apparentés au verbe ginôskô qui signifie “ connaître, comprendre, se rendre compte ”. La façon dont ce verbe est employé dans la Bible montre toutefois qu’il peut avoir une connotation de relation de faveur entre la personne et celle qu’elle “ connaît ”. (1Co 8:3 ; 2Tm 2:19.) Les Écritures grecques chrétiennes présentent la connaissance (gnôsis) sous un jour très favorable. Cependant, il ne faut pas rechercher tout ce que les hommes appellent “ connaissance ”, car il existe des philosophies et des opinions “ que l’on appelle faussement ‘ la connaissance ’ ”. (1Tm 6:20.) La connaissance recommandée concerne Dieu et ses desseins (2P 1:5). Cela n’implique pas simplement d’avoir des faits, ce qu’ont beaucoup d’athées, mais de vouer un attachement personnel à Dieu et au Christ (Jn 17:3 ; 6:68, 69). Posséder de la connaissance (du savoir seul) peut donner un sentiment de supériorité ; par contre, connaître “ l’amour du Christ qui surpasse la connaissance ”, autrement dit connaître cet amour par expérience, parce qu’on imite personnellement les manières d’agir pleines d’amour du Christ, voilà qui apporte équilibre et direction salutaire à l’utilisation qu’on fait de tout savoir acquis. — Ép 3:19.

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