Mardi 10 février
Mais, ô homme, qui es-tu donc pour répliquer à Dieu ? (Rom. 9:20).
Imagine qu’un ami en qui tu as confiance fasse quelque chose d’inhabituel, ou que tu ne comprends pas sur le moment. Penseras-tu qu’il a eu tort ? Ou bien, comme tu le connais depuis des années, lui laisseras-tu le bénéfice du doute ? Tu agiras sans doute avec bonté envers ton ami, qui est imparfait. Et ton Père céleste, lui dont les pensées sont bien supérieures aux tiennes, est-ce qu’il ne mérite pas ta confiance ? En fait, il se peut que nous soyons nous-mêmes responsables de certaines de nos difficultés. Dans ce cas, reconnaissons-le (Gal. 6:7). De plus, tous nos problèmes ne viennent pas uniquement de nos erreurs ou d’actions mauvaises : « temps et évènement imprévu [nous] arrivent à tous » (Eccl. 9:11). D’autre part, c’est Satan le Diable qui est à l’origine de la méchanceté (1 Jean 5:19 ; Rév. 12:9). L’ennemi, c’est lui, pas Jéhovah ! (1 Pierre 5:8). w13 15/8 2:18-21.