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27 oct. Lecture de la Bible : Deutéronome 11-13

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Josué

Josué
Administrateur

27 oct.  Lecture de la Bible :  Deutéronome 11-13
Remarquons que des siècles avant notre ère Jéhovah Dieu avait averti les Israélites qu’ils ne connaîtraient pas la faim s’ils obéissaient à ses commandements. Il leur dit : “Si vous obéissez vraiment à mes commandements que je vous commande aujourd’hui, afin d’aimer Jéhovah, votre Dieu, et de le servir (...) tu mangeras et tu seras rassasié.” — Deut. 11:13-15.
L’histoire de l’ancien Israël confirme ces paroles. Par exemple, pendant le règne du roi Salomon, les Israélites connurent la prospérité et la sécurité parce qu’ils respectaient fidèlement la loi de Dieu. La Bible nous dit : “Juda et Israël continuèrent d’habiter en sécurité, chacun sous sa propre vigne et sous son propre figuier, depuis Dan jusqu’à Béer-Schéba, tous les jours de Salomon.” (I Rois 4:25). Le Psaume 72 qui, bien qu’étant antérieur au règne de Salomon, annonçait les conditions qui allaient exister durant celui-ci, s’est bel et bien accompli. Il disait entre autres choses : “Il y aura abondance de grain sur la terre ; sur le sommet des montagnes il y aura une profusion.” — Ps. 72:16.

Josué

Josué
Administrateur

Vous connaissez. Moïse s’adresse ici particulièrement, aux plus âgés du peuple actuel qui ont vu les scènes du départ d’Égypte et traversé la mer Rouge, faits que la jeune génération ne connaissait que par ouï-dire.

Josué

Josué
Administrateur

. Certains érudits pensent que l’expression ‘ irriguer le pays avec le pied ’ (Dt 11:10) est une allusion à l’usage d’une roue à puiser de l’eau, actionnée avec le pied.  Il se peut aussi qu’elle évoque l’usage du pied pour ouvrir et fermer des canaux où se déversait l’eau d’irrigation.
Lorsque la famine sévissait dans les pays voisins, souvent leurs habitants descendaient en Égypte, qui était fertile ; c’est ce que fit Abraham au début du IIe millénaire av. n. è. (Gn 12:10.) Avec le temps, l’Égypte devint le grenier d’une grande partie du bassin méditerranéen. Au Ier siècle de n. è., le bateau en provenance d’Alexandrie (Égypte) sur lequel l’apôtre Paul s’embarqua à Myre était un céréalier en route pour l’Italie.

Josué

Josué
Administrateur

Servir de toute son âme. Comme on l’a montré, l’“ âme ” désigne fondamentalement la personne tout entière. Pourtant, certains textes exhortent à rechercher, à aimer et à servir Dieu ‘ de tout son cœur et de toute son âme ’. (Dt 4:29 ; 11:13, 18.) Il est dit en Deutéronome 6:5 : “ Tu dois aimer Jéhovah ton Dieu de tout ton cœur, et de toute ton âme, et de toute ta force vitale. ” Jésus déclara qu’il faut servir de toute son âme, de toute sa force et aussi de ‘ toute sa pensée ’. (Mc 12:30 ; Lc 10:27.) On peut se demander pourquoi d’autres choses sont mentionnées en plus de l’âme si celle-ci les englobe toutes. Illustrons le sens probable de ces paroles : quelqu’un peut se vendre (vendre son âme) comme esclave et devenir ainsi la possession de son propriétaire et maître. Cependant, il ne servira pas forcément celui-ci de tout son cœur, uniquement motivé par le désir de lui plaire, et par conséquent il ne mettra pas forcément toute sa force ni toutes ses facultés mentales à servir les intérêts de son maître (voir Ép 6:5 ; Col 3:22). Ainsi, ces parties de l’âme sont sans doute mentionnées pour être mises en évidence, de sorte que le chrétien ne les oublie pas, mais les prenne en compte dans son service pour Dieu, à qui il appartient, et pour son Fils, dont la vie fut le prix de son rachat. Pour servir Dieu ‘ de toute son âme ’, il faut donc engager toute sa personne, sans oublier aucune partie de son corps, aucune de ses fonctions, aucune de ses capacités ni aucun de ses désirs. — Voir Mt 5:28-30 ; Lc 21:34-36 ; Ép 6:6-9 ; Ph 3:19 ; Col 3:23, 24.

Josué

Josué
Administrateur

Quand Jéhovah déverse sa bénédiction sur son peuple, il lui donne toujours ce qu’il y a de meilleur (Jacques 1:17). Par exemple, le lieu d’habitation que Jéhovah a attribué aux Israélites était “ un pays ruisselant de lait et de miel ”. Il est vrai que le pays d’Égypte avait été aussi qualifié de la sorte, mais le pays que Jéhovah donnait aux Israélites était différent sous un aspect essentiel au moins. C’était, comme l’avait dit Moïse à la nation, “ un pays dont Jéhovah ton Dieu prend soin ”. En d’autres termes, les Israélites prospéreraient parce que Jéhovah s’occuperait d’eux. Tant qu’ils sont restés fidèles à Jéhovah, ils ont été abondamment bénis par lui et ont bénéficié d’un mode de vie manifestement supérieur à celui de toutes les nations qui les entouraient. Oui, c’est vraiment la bénédiction de Jéhovah qui “ enrichit ” ! — Nombres 16:13 ; Deutéronome 4:5-8 ; 11:8-15.
 L’expression “ riche à l’égard de Dieu ” est également rendue par “ riche aux yeux de Dieu ”. (Bible en français courant.) En général, ceux qui sont riches sur le plan matériel sont soucieux du regard que les autres portent sur eux. Cela se voit dans leur façon de vivre. Ils veulent impressionner leur entourage avec ce que la Bible appelle “ l’orgueilleux étalage de ses moyens d’existence ”. (1 Jean 2:16.) À l’inverse, ceux qui sont riches à l’égard de Dieu jouissent de son approbation et de sa faveur imméritée, et entretiennent avec lui des relations personnelles et étroites. Cette précieuse intimité leur donne un sentiment de bien-être et de sécurité, bien plus que ne pourraient le leur donner des richesses matérielles (Isaïe 40:11). Mais une question demeure : que devons-nous faire pour être riches aux yeux de Dieu ?

Josué

Josué
Administrateur

● Pourquoi la Loi mosaïque interdisait-elle de manger la graisse ?
Sous la Loi donnée aux Israélites, le sang et la graisse étaient considérés comme appartenant exclusivement à Jéhovah Dieu. La Loi déclarait : “C’est ici une loi perpétuelle (jusqu’à des temps indéfinis, NW) pour vos descendants, dans tous les lieux où vous habiterez : vous ne mangerez ni graisse ni sang.” — Lév. 3:17.
Le sang représente la vie d’une personne ou d’un animal. C’est pourquoi la Bible parle de l’“âme” comme étant “dans le sang”. (Gen. 9:4 ; Lév. 17:11, 14.) Puisque seul Jéhovah Dieu peut donner la vie, la vie ou ce qui en est le symbole, autrement dit le sang, lui appartient à juste titre.
La graisse était considérée comme la meilleure partie de l’animal. Cela ressort des expressions figurées telles que la “graisse du pays”, le “meilleur [littéralement, la graisse] en huile”, et “le meilleur [littéralement, la graisse] en moût et en blé”. (Gen. 45:18 ; Nomb. 18:12.) Par conséquent, l’interdiction de manger la graisse servait évidemment à faire bien comprendre aux Israélites que ce qu’il y a de plus délicat dans la chair des animaux appartenait à Jéhovah et devait lui être offert en sacrifice. Manger la graisse reviendrait donc à s’approprier illégalement une chose consacrée à Jéhovah. Cela équivaudrait à usurper sur ses droits. Toutefois, la graisse d’une bête morte ou déchirée par une autre bête pouvait servir à un usage quelconque. — Lév. 7:23-25.
De nombreux commentateurs de la Bible pensent que le commandement relatif à la graisse ne concernait que les animaux acceptables pour les sacrifices. Mais certains faits indiquent que cette interdiction touchait la graisse de tous les animaux. En effet, ce commandement était lié à la prescription relative au sang. Or, il était formellement défendu de manger le sang des animaux, quels qu’ils soient (Lév. 17:13, 14 ; Deut. 12:15, 16). Il est donc raisonnable de penser que l’interdiction de manger de la graisse concernait également la graisse de tous les animaux.
D’autre part, il est à noter que le fait de saigner convenablement l’animal ne débarrassait pas sa chair de toutes les molécules de sang, et pourtant le sang qui restait ne rendait pas cette viande impropre à la consommation. De même, une viande qui portait quelques traces de graisse ne devenait pas impropre à la consommation, en raison de l’interdiction de manger de la graisse.
Évidemment, cette prohibition n’empêchait pas d’engraisser les moutons et les bœufs réservés pour la table. Les Écritures parlent même de “volailles engraissées”. (I Rois 4:23.) Étant donné la restriction apportée à l’utilisation de la graisse dans l’alimentation, l’engraissement n’avait évidemment pas pour but de produire des bêtes très grasses, mais plutôt des animaux bien en chair et non squelettiques.
Dans Deutéronome 32:14, l’allusion faite à la “graisse des agneaux” donnée aux Israélites est symbolique. Elle désigne le meilleur du troupeau (semblable à l’expression française “la fleur”). C’est pourquoi la Bible de Jérusalem (angl.) dit “la nourriture substantielle des pâturages”. Les paroles suivantes consignées dans Néhémie 8:10: “Allez, mangez ce qui est gras”, doivent être comprises de la même manière. L’expression “ce qui est gras” est une métaphore désignant les parties riches et fines, y compris probablement les morceaux délicats cuits à l’huile végétale. La traduction anglaise de James Moffatt dit “mangez les morceaux délicats”. Certains aliments, comme les gâteaux faits avec de la farine étaient cuits dans l’huile, généralement de l’huile d’olive, et non dans de la graisse animale. — Lév. 2:7.
À la différence de l’interdiction d’absorber le sang qui concerne la race humaine tout entière depuis le déluge de l’époque de Noé, les restrictions de la Loi mosaïque relatives à l’alimentation ne s’appliquent plus aux chrétiens de notre temps (Gen. 9:4). L’apôtre Paul écrivit sous inspiration : “Que personne donc ne vous juge dans le manger et le boire ou à propos d’une fête ou de l’observance de la nouvelle lune ou d’un sabbat, car ces choses sont une ombre des choses à venir, mais la réalité appartient au Christ.” (Col. 2:16, 17). Néanmoins, la loi relative à la graisse devrait rappeler aux chrétiens la nécessité de toujours donner à Jéhovah Dieu ce qu’ils ont de meilleur (Prov. 3:9, 10). Cela devrait se refléter dans tous les aspects de leur vie. Voici le conseil de la Bible : “Quoi que vous fassiez, travaillez-y de toute votre âme, comme pour Jéhovah et non pour les hommes, car vous savez que c’est de Jéhovah que vous recevrez la récompense voulue de l’héritage.” — Col. 3:23, 24.

Josué

Josué
Administrateur

Il est vrai que des astrologues ont fait quelques prédictions qui se sont révélées exactes. Cela signifie-t-il pour autant que l’astrologie est bonne et qu’elle peut procurer des bienfaits ? La Loi que Dieu donna à l’ancien Israël reconnaissait que même un faux prophète pouvait parfois faire des prédictions exactes (Deut. 13:1-3). Comment expliquer ce pouvoir ?
Évidemment, certaines choses peuvent n’être que des coïncidences. Dans d’autres cas, le langage des astrologues est si ambigu qu’on peut pratiquement l’appliquer à n’importe quoi. Mais savez-vous que la Bible n’écarte pas la possibilité que les astrologues puissent recevoir une connaissance surnaturelle ? Comment cela ?
La Bible associe la divination et les arts magiques au spiritisme (Deut. 18:10, 11). Celui qui pratique de telles choses peut se placer sous l’influence des “forces spirituelles mauvaises”. (Éph. 6:12.) Ces forces démoniaques peuvent-elles transmettre la connaissance d’événements futurs à une créature terrestre ?

Josué

Josué
Administrateur

Il n’est pas toujours facile de vouer à Jéhovah Dieu l’attachement exclusif qu’il mérite. Celui qui le sert fidèlement en tant que disciple de Jésus Christ peut s’attirer le mépris, voire de mauvais traitements. Même ses proches parents peuvent se tourner contre lui. Jésus déclara : “Vous imaginez-vous que je sois venu donner la paix sur la terre ? Non, je vous le dis, mais plutôt la division. Car désormais cinq dans une maison seront divisés. trois contre deux et deux contre trois. Ils seront divisés, père contre fils et fils contre père, mère contre fille et fille contre sa mère, belle-mère contre sa belle-fille et belle-fille contre sa belle-mère.” (Luc 12:51-53). Qu’est-ce qui cause pareille division ? La manière dont les membres d’une même famille réagissent à la bonne nouvelle du Royaume de Dieu (Mat. 28:19, 20). Certains acceptent cette “bonne nouvelle”, tandis que d’autres la rejettent ou même s’y opposent brutalement.
Dans un tel contexte, nous pouvons comprendre les paroles suivantes de Jésus Christ : “Si quelqu’un vient à moi et ne hait pas son père, et sa mère, et sa femme, et ses enfants, et ses frères, et ses sœurs, et jusqu’à sa propre âme, il ne peut être mon disciple.” (Luc 14:26). Le fils de Dieu voulait-il’ dire que ceux qui deviennent ses disciples doivent détester leur famille ou eux-mêmes ? Pas du tout. Il montrait plutôt que l’amour de leur famille ou de leur personne devait passer à la deuxième place. Si quelqu’un n’aime pas Jéhovah plus que sa famille, il sera incapable de résister à l’opposition de celle-ci. D’autre part, s’il ne fait pas passer Dieu avant ses désirs personnels, il fera tout ce qui est en son pouvoir pour suivre la voie qu’il jugera la plus avantageuse, même si pour cela il doit transgresser les commandements divins. Il est donc clair que nous ne pouvons devenir disciples de Jésus Christ qu’en étant disposés à accorder à Dieu la première place, une place unique, pour ce qui est de notre attachement, quelles que soient les difficultés que cela peut nous valoir.
Les paroles de Jésus à ce sujet étaient identiques aux principes renfermés dans la Loi de Moïse. Parlant de parents ou d’amis qui tenteraient d’amener un Juif à devenir infidèle à Dieu, la Loi disait : “Si ton frère, fils de ta mère, ou ton fils, ou ta fille, ou ta femme qui t’est chère, ou ton compagnon qui est comme ta propre âme, essaie de t’allécher en secret, en disant : ‘Allons servir d’autres dieux’, (...) tu ne devras pas accéder à son désir ni l’écouter, et ton œil ne devra pas s’apitoyer sur lui, et tu ne devras pas avoir compassion ni le couvrir par ta protection, mais tu devras le tuer sans faute. Ta main devra venir la première sur lui pour le mettre à mort, et ensuite la main de tout le peuple. Et tu devras le lapider avec des pierres et il devra mourir, parce qu’il a cherché à te détourner de Jéhovah, ton Dieu.” — Deut. 13:6-10.

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