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6 oct. Lecture de la Bible : Deutéronome 1-3

2 participants

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Josué

Josué
Administrateur

Sujet: 6 oct. Lecture de la Bible : Deutéronome 1-3   6 oct.  Lecture de la Bible :  Deutéronome 1-3 EmptyAujourd'hui à 8:026 oct.  Lecture de la Bible :  Deutéronome 1-3 Icon_post_quote_fr 6 oct.  Lecture de la Bible :  Deutéronome 1-3 Icon_post_edit_fr 6 oct.  Lecture de la Bible :  Deutéronome 1-3 Topic_delete2 6 oct.  Lecture de la Bible :  Deutéronome 1-3 Icon_ip


6 oct. Lecture de la Bible : Deutéronome 1-3
*** si p. 36-37 Livre de la Bible numéro 5 — Deutéronome ***
Écrivain : Moïse
Lieu de composition : plaines de Moab
Fin du travail de composition : 1473 av. n. è.
Période qu’embrasse le texte : 2 mois (1473 av. n. è.)
LE LIVRE du Deutéronome renferme un message énergique pour le peuple de Jéhovah. Après avoir erré dans le désert pendant 40 ans, les fils d’Israël sont maintenant au seuil de la Terre promise. Qu’est-ce qui les attend ? Quelles difficultés particulières vont-ils devoir affronter de l’autre côté du Jourdain ? Quel message Moïse va-t-il finalement adresser à la nation ? Nous pouvons aussi nous demander : De quelle utilité sera pour nous la réponse à ces questions ?
2 Les paroles de Moïse, qu’il consigna lui-même dans le Deutéronome, cinquième livre de la Bible, répondent à ces questions. Bien que le Deutéronome se fasse en grande partie l’écho des livres précédents, il revêt néanmoins une importance toute particulière. Pourquoi cela ? Parce qu’il renforce le message divin, ayant été rédigé à une époque de l’Histoire où le peuple de Jéhovah avait réellement besoin d’une direction sûre et énergique. Il était sur le point d’entrer en Terre promise sous l’autorité d’un nouveau guide. Il avait besoin d’encouragements pour aller de l’avant, mais aussi des avertissements divins qui lui permettent de suivre la bonne voie pour être béni par Jéhovah.
3 Conformément à ce besoin, l’esprit de Jéhovah poussa puissamment Moïse à exhorter Israël à l’obéissance et à la fidélité. D’un bout à l’autre du livre, Moïse souligne que Jéhovah est le Dieu Très-Haut, qu’il exige un attachement exclusif et qu’il désire que son peuple ‘ l’aime de tout son cœur, et de toute son âme, et de toute sa force vitale ’. Il est “ le Dieu des dieux et le Seigneur des seigneurs, le Dieu grand, fort et redoutable, qui ne se montre partial envers personne et qui n’accepte pas de pot-de-vin ”. Il ne tolère aucune rivalité. Lui obéir signifie la vie, et lui désobéir entraîne la mort. L’instruction de Jéhovah donnée dans le Deutéronome était exactement la préparation et le conseil dont Israël avait besoin pour assumer la tâche importante qui l’attendait. C’est également le genre d’avertissement dont nous avons besoin aujourd’hui pour continuer de marcher dans la crainte de Jéhovah et sanctifier son nom au sein d’un monde corrompu. — Deut. 5:9, 10 ; 6:4-6 ; 10:12-22.
4 Le nom Deutéronome vient du titre grec Deutéronomion, dans la Septante, lequel est formé de deutéros, “ deuxième ”, et de nomos, “ loi ”. Ce nom signifie donc “ Deuxième Loi, Répétition de la Loi ”. Il dérive de la traduction grecque de l’expression hébraïque mishnéh hattôrah (Deut. 17:18), correctement rendue par ‘ copie de la loi ’. En dépit de la signification du nom Deutéronome, ce livre biblique n’est ni une deuxième loi ni une simple répétition de la Loi. C’est au contraire une explication de la Loi, exhortant Israël à aimer Jéhovah et à lui obéir dans la Terre promise où il n’allait pas tarder à entrer. — 1:5.
5 Le Deutéronome étant le cinquième rouleau ou volume du Pentateuque, son rédacteur doit forcément être le même que celui qui a écrit les quatre livres précédents, savoir Moïse. La phrase d’introduction présente le Deutéronome comme “ les paroles que Moïse dit à tout Israël ”, et par la suite les expressions “ Moïse écrivit cette loi ” et “ Moïse écrivit donc ce chant ” attestent clairement que Moïse est bien le rédacteur du Deutéronome. Son nom apparaît une quarantaine de fois dans le livre, généralement pour authentifier les déclarations faites. La première personne, c’est-à-dire Moïse, est en grande partie utilisée dans le Deutéronome. Les versets de la fin ont été ajoutés après la mort de Moïse, très probablement par Josué ou par Éléazar, le grand prêtre. — 1:1 ; 31:9, 22, 24-26.

Josué

Josué
Administrateur

6 oct.  Lecture de la Bible :  Deutéronome 1-3 Deutyr10
Nouvelle bible Segond

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Préambule de la bible du Semeur.

6 oct.  Lecture de la Bible :  Deutéronome 1-3 Nombre15

Josué

Josué
Administrateur

Un des lieux mentionnés pour indiquer l’endroit où Moïse s’adressa aux Israélites dans la 40e année de leurs pérégrinations dans le désert (Dt 1:1, note). Au lieu de “ Souph ”, la Septante (Bagster) et la Vulgate mettent “ la mer Rouge ”, peut-être à cause de la supposition que le mot yam (qui signifie “ mer ”) avait été omis pour ne mettre que Souph comme abréviation de yam-souph (mer Rouge). Dans ce cas, il serait question ici de la partie de la mer Rouge connue sous le nom de golfe d’Aqaba. Toutefois, dans le texte massorétique tel qu’il se présente, on lit que Moïse parla à Israël “ dans les plaines désertiques en face de Souph ”. Le verset 5 ajoute que cela se passait “ dans la région du Jourdain, au pays de Moab ”. Bien que son emplacement exact ne soit pas connu, Souph était donc apparemment un lieu à l’E. du Jourdain. On a proposé de l’identifier à Khirbet Soufa, situé à environ 6 km au S.-S.-E. de Madaba.

Josué

Josué
Administrateur

. Bien que Dieu n’ait prévu à l’origine que la monogamie, il toléra, chez les descendants d’Abraham, la polygamie et le concubinage; cette mesure permit un accroissement rapide de la population. Les Israélites étaient appelés à devenir “un peuple aussi nombreux que les particules de poussière de la terre”. (2 Chroniques 1:9; Genèse 13:14-16.) Cette nation devait produire la “postérité” promise par laquelle “toutes les nations de la terre” pourraient se bénir. — Genèse 22:17, 18; 28:14; Deutéronome 1:10, 11.

Josué

Josué
Administrateur

Chez les serviteurs de Dieu, un procès avait pour but premier de satisfaire aux exigences divines et, pour but second, de faire justice à la ou aux personnes concernées et d’imposer une compensation quand elle était due. Comme cela ressort des paroles de Moïse aux juges israélites en Deutéronome 1:16, 17, Dieu s’estimait concerné dans les différends entre humains, même ceux d’ordre personnel.

Josué

Josué
Administrateur

La main utilise la force du bras et la dirige ; aussi, à de nombreux endroits où on trouve le mot “ main ” dans un sens figuré, on peut souvent superposer l’idée de “ force en action ”. (Ex 7:4 ; 13:3 ; Dt 2:15 ; Lc 1:66.) Puisque la main humaine est très habile, très polyvalente, et constitue une partie du corps avec laquelle on travaille, elle sert au sens symbolique dans de nombreux textes de la Bible à exprimer une grande diversité d’actions.
Le mot hébreu courant signifiant “ main ” est yadh ; le mot kaph est quelquefois traduit par “ main ”, mais littéralement il signifie “ paume ”. (Jb 22:30, note.) En grec, le mot usuel correspondant à “ main ” est khéïr.

Josué

Josué
Administrateur

Toute la contrée d’Argob. Il est très-difficile de déterminer ce qu’était cette contrée d’Argob ainsi que son rapport à la contrée de Basan et au royaume d’Og. Le sens du mot Argob, monceau de pierre, parait opposer ce pays à celui de Basan, nom qui signifie terrain mou et sablonneux. Argob semble être identifié avec Basan : v. 14. Il en paraît positivement distingué : #1Ro 4:13.19. Il faut sans doute l’envisager comme un district avoisinant l’immense contrée qui portait le nom de Basan. Celle-ci s’étendait depuis la partie du pays de Galaad située au nord du Jabbok, jusqu’au pied méridional de l’Hermon. Les voyageurs parlent d’une multitude de villes, les unes encore debout, quoique inhabitées, les autres en ruine, dont ce pays est aujourd’hui couvert entre le Djébel-Adjlun et le Hauran. Quant à l’Argob, plusieurs en font un district situé dans cette même vaste contrée. Mais le v. 14, où l’Argob est présenté comme adjacent au pays des Guessuriens et des Maacathiens, qui habitaient tout au nord, sur les confins de la Syrie, au pied oriental de l’Hermon : (#1Ch 2:23), nous engagent à le placer au nord-est du Basan. Il y a là une contrée d’un caractère tout particulier que les Grecs ont plus tard appelée Trachonitis (pays raboteux) et que les Arabes appellent aujourd’hui Ledscha. Les voyageurs nous donnent de cette contrée les descriptions les plus curieuses. Ainsi Porter : « Le Ledscha est composé tout entier d’un basalte noir qui, après être sorti de terre à l’état liquide, s’est durci et recouvre entièrement la plaine. Ce plateau volcanique est déchiré par une multitude de crevasses larges et profondes et de rocs dentelés. » Tout ce district a environ 7 lieues de long (du nord au sud) et 4 à 5 lieues de large. Un voyageur y a compté cinquante sept villes à peu près inhabitées. Les maisons ont des murs, des portes et des barres de pierre basaltique (comme aussi dans les villes du Basan). « Les rues, dit un voyageur, sont intactes et les murs aussi. Les portes de pierre sont encore là, fixées sur leurs gonds. » C’est là, selon nous, l’Argob. 

* * * bible annotée.

Josué

Josué
Administrateur

Ancien nom sidonien du mont Hermôn, appelé Senir par les Amorites (Dt 3:9). Le nom Siriôn figure dans les textes ougaritiques trouvés à Ras Shamra, sur la côte nord de la Syrie, ce qui confirme l’exactitude de la Bible. Comme Senir, Siriôn désigne peut-être aussi un endroit particulier du mont Hermôn (voir 1Ch 5:23). En Psaume 29:6, le Siriôn et le Liban sont mentionnés ensemble. Aussi a-t-on émis l’idée que Siriôn désigne la chaîne de l’Anti-Liban.

Josué

Josué
Administrateur

Dieu pardonna-t-il à Lot de s’être enivré et d’avoir engendré des fils par ses propres filles ?
Pour trouver la réponse à cette question, il faut tenir compte des événements qui ont précédé cet incident, en rapport avec d’autres passages des Écritures.
Lot et ses deux filles furent les seuls survivants de la destruction de Sodome et de Gomorrhe. Après ce désastre, ils résidèrent d’abord à Tsoar, mais, pour une certaine raison, Lot n’osa pas demeurer dans cette ville, aussi alla-t-il habiter dans une caverne avec ses deux filles (Gen. 19:30). Par la suite, l’aînée dit à la plus jeune : “Notre père est vieux ; et il n’y a point d’homme dans la contrée, pour venir vers nous, selon l’usage de tous les pays. Viens, faisons boire du vin à notre père, et couchons avec lui, afin que nous conservions la race de notre père.” — Gen. 19:31, 32.
Le fait qu’elles cherchèrent à enivrer leur père laisse supposer qu’elles se rendaient compte qu’il n’aurait jamais accepté d’avoir des relations sexuelles avec elles, s’il n’avait pas été ivre. Mais étant donné les circonstances, elles jugèrent que c’était le seul moyen d’empêcher l’extinction de la famille de Lot. Elles étaient étrangères dans le pays et il n’y avait aucun homme de leur parenté avec qui elles auraient pu se marier et perpétuer la lignée familiale. Il ne faut pas non plus oublier qu’elles avaient résidé parmi les habitants moralement dépravés de Sodome. Compte tenu de ces différents facteurs, il leur aurait été facile de justifier leur conduite en leur for intérieur. En conséquence, pourquoi les Écritures relatent-elles cet incident ?
Ce récit n’a pas été consigné dans la Bible pour stimuler les pensées érotiques, mais pour faire connaître les liens de parenté unissant les Moabites et les Ammonites aux descendants d’Abraham, connus plus tard sous le nom d’Israélites. Les Moabites et les Ammonites étaient apparentés aux Israélites parce qu’ils descendaient des deux fils que Lot, neveu d’Abraham, avait eus de ses deux filles (Gen. 11:27). Par la suite, ces liens de parenté influencèrent Israël dans ses rapports avec Moab et Ammon. Par exemple, lorsque les Israélites traversèrent le pays à l’est du Jourdain, ils s’en tinrent strictement aux ordres divins, en ne passant pas sur les terres appartenant aux Ammonites et aux Moabites. — Deut. 2:9, 18, 19, 37.
Le lecteur sincère de la Bible est-il laissé dans le doute quant à la conclusion à tirer de l’histoire de Lot et de ses filles ? Peut-il en déduire que Dieu a peut-être approuvé une telle conduite ?

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