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Crucifix dans les salles de classe des écoles

+2
samuel
Josué
6 participants

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Josué

Josué
Administrateur

Crucifix dans les salles de classe des écoles publiques italiennes: la Cour ne constate pas de violation
Dans son arrêt de Grande Chambre, définitif1, rendu ce jour dans l’affaire Lautsi et autres c. Italie (requête no 30814/06), la Cour européenne des droits de l’homme dit, à la majorité (par quinze voix contre deux), qu’il y a eu :
Non-violation de l’article 2 du Protocole no 1 (droit à l’instruction) de la Convention européenne des droits de l’homme.
L’affaire concernait la présence de crucifix dans les salles de classe des écoles publiques en Italie, laquelle, selon les requérants, était incompatible avec l’obligation de l’Etat de respecter, dans l’exercice des fonctions qu’il assume dans le domaine de l’éducation et de l’enseignement, le droit des parents d’assurer à leurs enfants une éducation et un enseignement conformes à leurs convictions religieuses et philosophiques.
Ce communiqué de presse est également disponible en anglais, italien et allemand.
Principaux faits
Les requérants sont des ressortissants italiens, nés respectivement en 1957, 1988 et 1990. La requérante, Mme Soile Lautsi, et ses deux fils, Dataico et Sami Albertin2, résident en Italie. Ces derniers étaient scolarisés en 2001-2002 dans l’école publique Istituto comprensivo statale Vittorino da Feltre, à Abano Terme. Un crucifix était accroché dans les salles de classe de l’établissement.
Le 22 avril 2002, au cours d’une réunion du conseil d’école, le mari de Mme Lautsi souleva le problème de la présence de symboles religieux dans les salles de classe, du crucifix en particulier, et posa la question de leur retrait. Suite à la décision du conseil d’école de maintenir les symboles religieux dans les salles de classe, Mme Lautsi saisit, le 23 juillet 2002, le tribunal administratif de Vénétie, dénonçant notamment une violation du principe de laïcité.
Le 30 octobre 2003, le ministre de l’Instruction, de l’Université et de la Recherche – qui en octobre 2002 avait pris une directive aux termes de laquelle les responsables scolaires devaient s’assurer de la présence du crucifix dans les salles de classe – se constitua partie dans la procédure initiée par Mme Lautsi, dont la requête était, selon lui, dénuée de fondement puisque la présence de crucifix dans les salles de classe des écoles publiques se fondait sur deux décrets royaux de 1924 et 19283.
1 Les arrêts de Grande Chambre sont définitifs (article 44 de la Convention).
Tous les arrêts définitifs sont transmis au Comité des Ministres du Conseil de l’Europe qui en surveille l’exécution. Pour plus d’informations sur la procédure d’exécution, consulter le site internet : http://www.coe.int/t/dghl/monitoring/execution
2 « les deuxième et troisième requérants » : dans sa requête, la requérante indique agir en son nom ainsi qu’au nom de ses enfants alors mineurs, Dataico et Sami Albertin. Devenus entre-temps majeurs, ces derniers ont confirmé vouloir demeurer requérants.
3 article 118 du décret royal n° 965 du 30 avril 1924 (règlement intérieur des établissements d’instruction moyenne) et article 119 du décret royal n° 1297 du 26 avril 1928 (approbation du règlement général des services d’enseignement primaire)
En

Josué

Josué
Administrateur

En 2004, la Cour constitutionnelle déclara la question de constitutionnalité, dont l’avait
saisi le tribunal administratif, manifestement irrecevable car les textes qu’elle visait – les
articles pertinents des deux décrets royaux – ne pouvaient faire l’objet d’un contrôle de
constitutionnalité, ayant rang réglementaire et non de loi.
Le 17 mars 2005, le tribunal administratif rejeta le recours de Mme Lautsi. Il conclut que
les dispositions des décrets royaux en question étaient encore en vigueur et que la
présence de crucifix dans les salles de classe des écoles publiques ne se heurtait pas au
principe de laïcité de l’Etat, qui faisait « partie du patrimoine juridique européen et des
démocraties occidentales ». Le tribunal estima, notamment, que le crucifix était
davantage un symbole du christianisme en général que du seul catholicisme, de sorte
qu’il renvoyait à d’autres confessions. Il considéra de surcroît qu’il s’agissait d’un
symbole historico-culturel, ayant une « valeur identitaire » pour le peuple italien, ainsi
qu’un symbole du système de valeurs innervant la charte constitutionnelle italienne.
Saisi par Mme Lautsi, le Conseil d’Etat confirma, dans un arrêt du 13 avril 2006, que la
présence de crucifix dans les salles de classe des écoles publiques trouvait son
fondement légal dans les décrets royaux de 1924 et 1928 et que, eu égard à la
signification qu’il fallait lui donner, était compatible avec le principe de laïcité. En tant
qu’il véhiculait des valeurs civiles caractérisant la civilisation italienne – tolérance,
affirmation des droits de la personne, autonomie de la conscience morale face à
l’autorité, solidarité, refus de toute discrimination – le crucifix dans les salles de classes
pouvait, dans une perspective « laïque », avoir une fonction hautement éducative.
Griefs, procédure et composition de la Cour
Invoquant les articles 2 du Protocole n
o
1 (droit à l’instruction) et 9 (liberté de pensée,
de conscience et de religion), les requérants se plaignaient de la présence de crucifix
dans les salles de classe de l’école publique où étaient scolarisés Dataico et Sami
Albertin.
Invoquant l’article 14 (interdiction de la discrimination), ils estimaient qu’ils avaient de
ce fait, dès lors qu’ils n’étaient pas catholiques, subi une différence de traitement
discriminatoire par rapport aux parents catholiques et à leurs enfants.
La requête a été introduite devant la Cour européenne des droits de l’homme le 27 juillet
2006. Dans son arrêt de Chambre du 3 novembre 2009, la Cour a conclu à la violation
de l’article 2 du Protocole n
o
1 (droit à l’instruction) examiné conjointement avec l’article
9 (liberté de pensée, de conscience et de religion). Le 28 janvier 2010, le gouvernement
italien a demandé le renvoi de l’affaire devant la Grande Chambre conformément à
l’article 43 de la Convention (renvoi devant la Grande Chambre) et le 1er mars 2010, le
collège de la Grande Chambre a accepté cette demande. Une audience de Grande
Chambre a eu lieu le 30 juin 2010 à Strasbourg.
Conformément à l’article 36 § 2 de la Convention européenne des droits de l’homme et à
l’article 44 § 2 du règlement de la Cour européenne des droits de l’homme, se sont vus
accorder l’autorisation d’intervenir dans la procédure écrite
4
:
-trente-trois membres du Parlement européen agissant collectivement
-les organisations non gouvernementales suivantes : Greek Helsinki Monitor
5
;
Associazone nazionale del libero Pensiero ; European Centre for Law and Justice ;
Eurojuris ; agissant collectivement : commission internationale de juristes, Interights et

Josué

Josué
Administrateur

Human Rights Watch ; agissant collectivement : Zentralkomitee der deutschen
Katholiken, Semaines sociales de France, Associazioni cristiane lavoratori italiani
-les gouvernements de l’Arménie, de la Bulgarie, de Chypre, de la Fédération de Russie,
de la Grèce, de la Lituanie, de Malte, de Monaco, de la Roumanie et de la République de
Saint-Marin
Les gouvernements de l’Arménie, de la Bulgarie, de Chypre, de la Fédération de Russie,
de la Grèce, de la Lituanie, de Malte et de la République de Saint-Marin ont en outre été
autorisés à intervenir collectivement dans la procédure orale.
L’arrêt a été rendu par la Grande Chambre de 17 juges, composée en l’occurrence de :
Jean-Paul Costa (France), président,
Christos Rozakis (Grèce),
Nicolas Bratza (Royaume-Uni),
Peer Lorenzen (Danemark),
Josep Casadevall (Andorre),
Giovanni Bonello (Malte),
Nina Vajić (Croatie),
Rait Maruste (Estonie),
Anatoly Kovler (Russie),
Sverre Erik Jebens (Norvège),
Päivi Hirvelä (Finlande),
Giorgio Malinverni (Suisse),
George Nicolaou (Chypre),
Ann Power (Irlande),
Zdravka Kalaydjieva (Bulgarie),
Mihai Poalelungi (Moldova),
Guido Raimondi (Italie), juges,
ainsi que de Erik Fribergh, greffier.
Décision de la Cour
Article 2 du Protocole n
o
1
Il ressort de la jurisprudence de la Cour
6
que l’obligation des Etats membres du Conseil
de l’Europe de respecter les convictions religieuses et philosophiques des parents ne
vaut pas seulement pour le contenu de l’instruction et la manière de la dispenser : elle
s’impose à eux « dans l’exercice » de l’ensemble des « fonctions » qu’ils assument en
matière d’éducation et d’enseignement. Cela inclut l’aménagement de l’environnement
scolaire lorsque le droit national prévoit que cette fonction incombe aux autorités
publiques. La décision relative à la présence de crucifix dans les salles de classe des
écoles publiques relevant des fonctions assumées par l’Etat italien, elle tombe sous
l’empire de l’article 2 du Protocole n
o
1. Cette disposition confère à l’Etat l’obligation de
respecter, dans l’exercice des fonctions qu’il assume dans le domaine de l’éducation et
de l’enseignement, le droit des parents d’assurer l’éducation et l’enseignement de leurs
enfants conformément à leurs convictions religieuses et philosophiques.
Selon la Cour, s’il faut voir avant tout un symbole religieux dans le crucifix, il n’y a pas
d’élément attestant de l’éventuelle influence que l’exposition d’un symbole de cette
nature sur des murs de salles de classe pourrait avoir sur les élèves. De plus, s’il est
6
arrêts Kjeldsen, Busk Madsen et Pedersen c. Danemark du 7 décembre 1976 (§ 50), Valsamis c. Grèce du 18
décembre 1996 (§ 27), Hasan et Eylem Zengin c. Turquie du 9 octobre 2007 (§ 49) et Folgerø et autres c.
Norvège, arrêt de Grande Chambre du 29 juin 2007 (§ 84)

samuel

samuel
Administrateur

beaucoup de bruit pour rien.

Josué

Josué
Administrateur

les requérants ne prétendent pas que la présence du crucifix en classe a suscité des
pratiques d’enseignement à connotation prosélyte, ou que Dataico et Sami Albertin ont
été confrontés à un enseignant qui se serait tendancieusement appuyé sur cette
présence. Enfin, la Cour observe que Mme Lautsi, en tant que parent, a conservé entier
son droit d’éclairer et conseiller ses enfants et de les orienter dans une direction
conforme à ses propres convictions philosophiques.
La Cour conclut qu’en décidant de maintenir les crucifix dans les salles de classe de
l’école publique fréquentées par les enfants de la requérante, les autorités ont agi dans
les limites de la latitude dont dispose l’Italie dans le cadre de son obligation de
respecter, dans l’exercice des fonctions qu’elle assume dans le domaine de l’éducation et
de l’enseignement, le droit des parents d’assurer cette instruction conformément à leurs
convictions religieuses et philosophiques ; par conséquent, il n’y pas eu de violation de
l’article 2 du Protocole n
o
1 concernant la requérante. La Cour considère en outre
qu’aucune question distincte ne se pose sur le terrain de l’article 9.
La Cour parvient à la même conclusion s’agissant du cas des deuxième et troisième
requérants.
Article 14
Dans son arrêt de Chambre la Cour a estimé, eu égard à sa conclusion de violation de
l’article 2 du Protocole n
o
1 combiné avec l’article 9, qu’il n’y avait pas lieu d’examiner
l’affaire sous l’angle de l’article 14.
Après avoir rappelé que l’article 14 n’a pas d’existence indépendante puisqu’il vaut
uniquement pour la jouissance des droits et libertés garantis par les autres dispositions
de la Convention et de ses Protocoles, la Grande Chambre juge qu’à supposer que les
requérants entendent dénoncer une discrimination dans la jouissance des droits garantis
par les articles 9 et 2 du Protocole n
o
1, elle ne voit là aucune question distincte de celles
qu’elle a déjà tranchées sur le terrain de l’article 2 du Protocole n
o
1. Il n’y a donc pas
lieu d’examiner cette partie de la requête.
Opinions séparées
Les juges Bonello, Power et Rozakis ont chacun exprimé une opinion concordante. Le
juge Malinverni a exprimé une opinion dissidente, à laquelle s’est ralliée la juge
Kalaydjieva. Le texte de ces opinions se trouve joint à l’arrêt.
L’arrêt existe en anglais et français.
Rédigé par le greffe, le présent communiqué ne lie pas la Cour. Les décisions et arrêts rendus par la Cour, ainsi
que des informations complémentaires au sujet de celle-ci, peuvent être obtenus sur son site Internet. Pour
s’abonner aux communiqués de presse de la Cour, merci de s’inscrire aux fils RSS de la Cour.
Contacts pour la presse
echrpress@echr.coe.int | tel: +33 3 90 21 42 08
Céline Menu-Lange (tel: + 33 3 90 21 58 77)
Emma Hellyer (tel: + 33 3 90 21 42 15)
Tracey Turner-Tretz (tel: + 33 3 88 41 35 30)
Kristina Pencheva-Malinowski (tel: + 33 3 88 41 35 70)
Frédéric Dolt (tel: + 33 3 90 21 53 39)
Nina Salomon (tel: + 33 3 90 21 49 79)
La Cour européenne des droits de l’homme a été créée à Strasbourg par les Etats membres du Conseil de
l’Europe en 1959 pour connaître des allégations de violation de la Convention européenne des droits de
l’homme de 1950

samuel

samuel
Administrateur

cette histoire a fait beaucoup de bruits en Italie.

samuel

samuel
Administrateur

[img]Crucifix dans les salles de classe des écoles  Crucifx001 [/img]
HISTORIA MAI 2011.

Ronny



Admin a écrit:les requérants ne prétendent pas que la présence du crucifix en classe a suscité des
pratiques d’enseignement à connotation prosélyte, ou que Dataico et Sami Albertin ont
été confrontés à un enseignant qui se serait tendancieusement appuyé sur cette
présence. Enfin, la Cour observe que Mme Lautsi, en tant que parent, a conservé entier
son droit d’éclairer et conseiller ses enfants et de les orienter dans une direction
conforme à ses propres convictions philosophiques.
La Cour conclut qu’en décidant de maintenir les crucifix dans les salles de classe de
l’école publique fréquentées par les enfants de la requérante, les autorités ont agi dans
les limites de la latitude dont dispose l’Italie dans le cadre de son obligation de
respecter, dans l’exercice des fonctions qu’elle assume dans le domaine de l’éducation et
de l’enseignement, le droit des parents d’assurer cette instruction conformément à leurs
convictions religieuses et philosophiques ; par conséquent, il n’y pas eu de violation de
l’article 2 du Protocole n
o
1 concernant la requérante. La Cour considère en outre
qu’aucune question distincte ne se pose sur le terrain de l’article 9.
La Cour parvient à la même conclusion s’agissant du cas des deuxième et troisième
requérants.
Article 14
Dans son arrêt de Chambre la Cour a estimé, eu égard à sa conclusion de violation de
l’article 2 du Protocole n
o
1 combiné avec l’article 9, qu’il n’y avait pas lieu d’examiner
l’affaire sous l’angle de l’article 14.
Après avoir rappelé que l’article 14 n’a pas d’existence indépendante puisqu’il vaut
uniquement pour la jouissance des droits et libertés garantis par les autres dispositions
de la Convention et de ses Protocoles, la Grande Chambre juge qu’à supposer que les
requérants entendent dénoncer une discrimination dans la jouissance des droits garantis
par les articles 9 et 2 du Protocole n
o
1, elle ne voit là aucune question distincte de celles
qu’elle a déjà tranchées sur le terrain de l’article 2 du Protocole n
o
1. Il n’y a donc pas
lieu d’examiner cette partie de la requête.
Opinions séparées
Les juges Bonello, Power et Rozakis ont chacun exprimé une opinion concordante. Le
juge Malinverni a exprimé une opinion dissidente, à laquelle s’est ralliée la juge
Kalaydjieva. Le texte de ces opinions se trouve joint à l’arrêt.
L’arrêt existe en anglais et français.
Rédigé par le greffe, le présent communiqué ne lie pas la Cour. Les décisions et arrêts rendus par la Cour, ainsi
que des informations complémentaires au sujet de celle-ci, peuvent être obtenus sur son site Internet. Pour
s’abonner aux communiqués de presse de la Cour, merci de s’inscrire aux fils RSS de la Cour.
Contacts pour la presse
echrpress@echr.coe.int | tel: +33 3 90 21 42 08
Céline Menu-Lange (tel: + 33 3 90 21 58 77)
Emma Hellyer (tel: + 33 3 90 21 42 15)
Tracey Turner-Tretz (tel: + 33 3 88 41 35 30)
Kristina Pencheva-Malinowski (tel: + 33 3 88 41 35 70)
Frédéric Dolt (tel: + 33 3 90 21 53 39)
Nina Salomon (tel: + 33 3 90 21 49 79)
La Cour européenne des droits de l’homme a été créée à Strasbourg par les Etats membres du Conseil de
l’Europe en 1959 pour connaître des allégations de violation de la Convention européenne des droits de
l’homme de 1950

Seuls les témoins de jehovah auraient le droit de faire du prosélytisme ? Laughing

Josué

Josué
Administrateur

n'importe quoi cette remarque.
et je ne fait que rapporté un cas qui se passe en Italie.

Ronny



Admin a écrit:n'importe quoi cette remarque.
et je ne fait que rapporté un cas qui se passe en Italie.

C'est vrai, c'est dingue que des écoles catholiques affichent un crucifix dans leurs classes... C'est un véritable scandale qu'ils ne tiennent pas compte des croyances des témoins de jéhovah !

Josué

Josué
Administrateur

mais les tj n'ont rien a voir avec cette querelle de clocher.relis bien le message c'est qui qui se plaint concernant le crucifix dans les écoles ?
Tu te trompe de cible.

samuel

samuel
Administrateur

ronny ce n'est pas la peine de prendre la mouche car les témoins n'on rien demmander concernant les croix qui se trouvent dans les écoles ou dans d'autres lieux.

Ronny



Admin a écrit:mais les tj n'ont rien a voir avec cette querelle de clocher.relis bien le message c'est qui qui se plaint concernant le crucifix dans les écoles ?
Tu te trompe de cible.

Je m'interroge simplement sur l'opportunité de relater cette histoire. Pourquoi jouez-vous le jeu des athées qui voudraient voir enlever les crucifix ? Je peux comprendre que vous n'adoptiez pas ce signe, je peux comprendre que vous ne placiez pas ce symbole dans vos bâtiments. Mais qu'est-ce que ça peut bien vous faire que, dans des écoles catholiques ou des écoles de la République d'un pays profondément catholique, on affiche des crucifix dans les classes ?

Vous donnez la mains aux athées. Bravo. Et après vous essayerez de me faire croire que vous êtes la vraie religion !

Aude

Aude

De Ronny:
Je m'interroge simplement sur l'opportunité de relater cette histoire. Pourquoi jouez-vous le jeu des athées qui voudraient voir enlever les crucifix ? Je peux comprendre que vous n'adoptiez pas ce signe, je peux comprendre que vous ne placiez pas ce symbole dans vos bâtiments. Mais qu'est-ce que ça peut bien vous faire que, dans des écoles catholiques ou des écoles de la République d'un pays profondément catholique, on affiche des crucifix dans les classes ?

Vous donnez la mains aux athées. Bravo. Et après vous essayerez de me faire croire que vous êtes la vraie religion !

Avant de poursuivre inlassablement vos petites piques de caniveaux sur tous les topic il serait judicieux de nous expliquer votre blocage face aux faits d'actualité.

En quoi cela vous dérange que des faits d'actualité figure ici ?
Ronny pouvez vous nous expliquer cela calmement?

Ronny



Odessa a écrit:
De Ronny:
Je m'interroge simplement sur l'opportunité de relater cette histoire. Pourquoi jouez-vous le jeu des athées qui voudraient voir enlever les crucifix ? Je peux comprendre que vous n'adoptiez pas ce signe, je peux comprendre que vous ne placiez pas ce symbole dans vos bâtiments. Mais qu'est-ce que ça peut bien vous faire que, dans des écoles catholiques ou des écoles de la République d'un pays profondément catholique, on affiche des crucifix dans les classes ?

Vous donnez la mains aux athées. Bravo. Et après vous essayerez de me faire croire que vous êtes la vraie religion !

Avant de poursuivre inlassablement vos petites piques de caniveaux sur tous les topic il serait judicieux de nous expliquer votre blocage face aux faits d'actualité.

En quoi cela vous dérange que des faits d'actualité figure ici ?
Ronny pouvez vous nous expliquer cela calmement?

Nous sommes sur un forum consacrés à la religion des témoins de jehovah. Ce forum est maintenu par des témoins de jehovah.

Je fréquente un forum sur le cyclisme. Savez-vous qu'on n'y parle jamais de football ? Dingue, hein ? Eh bien, figurez-vous que c'est normal, puisque ce forum est consacré au...cyclisme.

Alors, voir des sujets qui, comme vous le dites, flirtent avec le caniveau, sur la plus sainte religion du monde, alors que nous sommes sur un forum consacré à une religion différente, c'est paradoxal.

Aude

Aude

Nous sommes sur un forum consacrés à la religion des témoins de jehovah. Ce forum est maintenu par des témoins de jehovah.

Je fréquente un forum sur le cyclisme. Savez-vous qu'on n'y parle jamais de football ? Dingue, hein ? Eh bien, figurez-vous que c'est normal, puisque ce forum est consacré au...cyclisme.

Alors, voir des sujets qui, comme vous le dites, flirtent avec le caniveau, sur la plus sainte religion du monde, alors que nous sommes sur un forum consacré à une religion différente, c'est paradoxal.

Ok selon votre raisonnement restrictif sur un fofo de Cyclisme parler d'autre chose que de cycles est prohibé. Sur un forum TJ parler d'une autre religion est prohibé.

Donc que faîtes vous ici Ronny à parler d'autres choses que des croyances des TJ ?
A partir de maintenant s'il vous plait laissez vos petites morales mesquines et concentrez vous sur nos croyances afin de ne pas nous obliger à supprimer vos messages sans préavis.

Merci de votre compréhension, et surtout de votre aimable coopération.

Josué

Josué
Administrateur

le plus drôle concernant cette histoire ce n'est pas que les athées qui sont contre le crucifix mais il y a les musulmans.

Ronny



Admin a écrit:le plus drôle concernant cette histoire ce n'est pas que les athées qui sont contre le crucifix mais il y a les musulmans.

Les athées et les musulmans ne me concernent pas. Les témoins de jehovah, en revanche, en ce qu'ils se considèrent comme chrétiens, sont une énigme en quelque sorte.

Quand un athée critique les témoins de jéhovah, j'ai une tendance naturelle à prendre parti pour eux. Un peu comme si je ne m'entendais pas avec mon frère mais que je ne supportais pas qu'un "étranger" en dise du mal. C'est l'esprit de famille. Même si je ne suis pas d'accord avec vous sur beaucoup de points, j'ai l'intime conviction de partager plus avec vous qu'avec les musulmans ou les athées, parce que vous prétendez être des chrétiens. Alors, je vous laisse le bénéfice du doute.

Les athées et les musulmans, eux, s'opposent au christianisme. Je ne peux pas les considérer comme appartenant à ma famille car ils me disent : "Nous n'avons rien à voir avec toi" d'entrée de jeu. Et vous, vous vous liez à eux pour attaquer l'Église catholique à la moindre opportunité, comme si les athées et les musulmans étaient pour vous des alliés de circonstance...

Vous êtes décevants, en vérité. Est-ce que Jésus a vomi les pharisiens auprès des autorités romaines ? Jamais. Comprenne qui pourra !

Josué

Josué
Administrateur

mais la revendication ne provient pas des témoins de Jéhovah.
il faut te défouler sur les athées et les musulmans.mais pas sur nous.
le fort c'est que tu entretiens la polémique qui ne vient pas de nous.

Ronny



Admin a écrit:mais la revendication ne provient pas des témoins de Jéhovah.
il faut te défouler sur les athées et les musulmans.mais pas sur nous.
le fort c'est que tu entretiens la polémique qui ne vient pas de nous.

La polémique ne vient pas de "vous". Mais c'est vous qui l'entretenez en la répercutant ici, n'est-ce pas ! Moi, je ne l'entretiens pas puisque je ne parle pas du fond de cette affaire mais bien du fait que vous la rapportiez en vos murs.

Alors, le fait que vous rapportiez cet article et que vous rejetiez toute implication quant à sa publicité, ça dépasse tout entendement.

samuel

samuel
Administrateur

Si quelqu'un l'entretien ce n'est pas un témoin mais un certain ronny.donc au lieu qu'il tombe dans les oubliettes il ressort par la faute de qui ?

Ronny



samuel a écrit:Si quelqu'un l'entretien ce n'est pas un témoin mais un certain ronny.donc au lieu qu'il tombe dans les oubliettes il ressort par la faute de qui ?

Et voilà, on va commencer à tourner en rond... Vous avez bien compris où je voulais en venir, et votre apparentement avec la cause athée et la cause islamiste vous pose un problème.

Car là est le danger : l'alliance de certains individus qui se prétendent chrétiens et qui font le jeu des anti-chrétiens. Dès lors, les pseudo chrétiens sont en fait des anti-chrétiens. Qui dirige les anti-chrétiens ? L'antichrist, évidemment.

samuel

samuel
Administrateur

Si nous tournons en rond c'est que c'est toi qui le veux bien.espérons que ce ne soit pas la valse a mille temps de J Brel. hum

Aude

Aude

La polémique ne vient pas de "vous". Mais c'est vous qui l'entretenez en la répercutant ici, n'est-ce pas ! Moi, je ne l'entretiens pas puisque je ne parle pas du fond de cette affaire mais bien du fait que vous la rapportiez en vos murs.

Alors, le fait que vous rapportiez cet article et que vous rejetiez toute implication quant à sa publicité, ça dépasse tout entendement.

Si cet article vous dérange, lisez autre chose et laisser les membres de ce forum en paix.
Truster le droit de réglementer la liberté d'expression sur ce forum ne vous appartient pas.
Vous faîtes de tout un problème personnel alors que ce n'est pas le cas.
La modestie n'est pas une de vos qualités semble-t-il..

A présent on revient au sujet qui est: Crucifix dans les salles de classe...
Merci de revenir au sujet

samuel

samuel
Administrateur

moi les crucifix dans les écoles ne me dérange pas et cela ne m'empêche surtout pas de dormir.
le plus fort que se ne sont pas nous qui entretenons le sujet.

Aude

Aude

samuel a écrit:moi les crucifix dans les écoles ne me dérange pas et cela ne m'empêche surtout pas de dormir.
le plus fort que se ne sont pas nous qui entretenons le sujet.

Moi aussi j'en ai rien à cirer quand bien même il y aurait 50 crucifix par salle de classe ou un sur chaque bureau d'éleve Very Happy

Absent



samuel a écrit:moi les crucifix dans les écoles ne me dérange pas et cela ne m'empêche surtout pas de dormir.

odessa a écrit:Moi aussi j'en ai rien à cirer quand bien même il y aurait 50 crucifix par salle de classe ou un sur chaque bureau d'éleve

Idem pour moi

samuel

samuel
Administrateur

la polémique est alimenté par un catholique.
car personne ne parlais plus de se sujet depuis bien longtemps.
bon il faut prendre le bon coté des choses ça remplie des pages.

Aude

Aude

samuel a écrit:la polémique est alimenté par un catholique.
car personne ne parlais plus de se sujet depuis bien longtemps.
bon il faut prendre le bon coté des choses ça remplie des pages.

Et ça fait grimper l'audimat Very Happy

On devient de + en + populaires pp

samuel

samuel
Administrateur

Odessa a écrit:
samuel a écrit:la polémique est alimenté par un catholique.
car personne ne parlais plus de se sujet depuis bien longtemps.
bon il faut prendre le bon coté des choses ça remplie des pages.

Et ça fait grimper l'audimat Very Happy

On devient de + en + populaires pp
ptdr

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

beaucoup de bruits pour rien en définitive.

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