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Pourquoi il faut manger des fibres

2 participants

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chico.

chico.

[url=http://www.lepoint.fr/editos-du-point/anne-jeanblanc/pourquoi-il-faut-absolument-manger-des-fibres
Le Point.fr - Publié le 14/01/2014 à 11:47
Une équipe franco-suédoise vient de découvrir le rôle exact des fibres dans le maintien de la glycémie et donc dans la prévention du diabète et de l'obésité.
Les légumes secs sont très riches en fibres. © FRILET / SIPA





Cela fait bien longtemps qu'une alimentation riche en fibres est recommandée, car elle protège - entre autres - contre l'obésité et le diabète. Même si, jusqu'ici, on ne connaissait pas exactement les mécanismes expliquant ses effets bénéfiques. C'est désormais chose faite grâce aux travaux d'une équipe franco-suédoise* qui a montré le rôle de la flore intestinale et la capacité de l'intestin à produire du glucose (sucre) entre les repas. Ces résultats, qui viennent d'être publiés dans la revue Cell, précisent également l'implication de l'intestin et de ses micro-organismes associés dans le maintien de la glycémie (taux de sucre dans le sang).

La plupart des fruits sucrés et différents légumes - notamment les salsifis, les choux ou les fèves - sont riches en fibres dites fermentescibles. Elles ne sont pas digérées directement par l'intestin, mais elles sont fermentées par certaines bactéries intestinales (comme le propionate et le butyrate) qui les rendent assimilables par notre organisme. De nombreuses études scientifiques montrent que des animaux recevant une alimentation riche en fibres grossissent moins et sont moins enclins à développer un diabète que ceux qui n'en consomment pas.

Effets protecteurs face au diabète et à l'obésité

Pour tenter de comprendre le mécanisme en jeu, une équipe menée par Gilles Mithieux, de l'unité Nutrition et cerveau à Lyon, s'est demandé s'il était en rapport avec la capacité de l'intestin à produire du glucose. Pour mémoire, l'intestin peut synthétiser ce sucre et le libérer dans le sang entre les repas ainsi qu'au cours de la nuit. Or, ce glucose possède des vertus particulières : il est détecté par le système nerveux présent dans les parois de la veine porte (celle qui collecte le sang provenant de l'intestin), qui à son tour envoie un signal nerveux au cerveau. En réponse, le cerveau déclenche un faisceau d'effets protecteurs face au diabète et à l'obésité : la sensation de faim diminue, la dépense énergétique de repos augmente et le foie produit moins de glucose.

Afin d'établir le lien entre fibres fermentescibles et production de glucose par l'intestin, les chercheurs ont soumis des rats et des souris à des régimes enrichis en fibres fermentescibles, en propionate ou en butyrate. Ils ont alors observé que leur intestin augmentait sa production de glucose en utilisant le propionate comme précurseur. Alimentées avec un régime riche en graisse et en sucres, mais avec des fibres en plus, les souris ont moins grossi que les animaux témoins. Elles ont aussi été protégées du développement du diabète grâce à une sensibilité très augmentée à l'insuline.

Importance de l'intestin

L'équipe a répété l'expérience avec des souris génétiquement modifiées dont l'intestin ne pouvait plus produire de glucose. Aucun effet protecteur n'a alors été observé : ces animaux ont grossi et sont devenus diabétiques, comme les souris alimentées sans apport en fibres. C'est donc bien la production de glucose par l'intestin à partir du propionate et du butyrate qui est à l'origine des effets positifs sur l'organisme des fibres fermentescibles.

Outre ce mécanisme inédit, ces travaux mettent en lumière le rôle de la flore intestinale qui, en fermentant les fibres alimentaires, offre à l'intestin les précurseurs pour produire du glucose. Ils établissent par ailleurs l'importance de l'intestin dans la régulation du glucose dans l'organisme. Enfin, ils devraient permettre de proposer de nouvelles recommandations nutritionnelles afin de se prémunir contre le diabète et l'obésité.




* Elle comprend notamment des chercheurs du CNRS, de l'Inserm et de l'Université Claude Bernard Lyon 1 (Inserm U855 " Nutrition et cerveau ")

Josué

Josué
Administrateur

9 antibiotiques naturels !

Les médecins se tournent de plus en plus vers les antibiotiques naturels, sans risque de résistance, ni effets secondaires. Ils pourraient, comme les antibiotiques classiques, neutraliser les bactéries et faire office d’antiviraux contre la grippe, le rhume, l’otite, l’angine et même les infections urinaires !

Canneberge : contre les infections urinaires

D’où viennent les propriétés de la canneberge ? Une substance contenue dans la baie (proanthocyanidine) empêcherait les bactéries de se fixer dans la muqueuse. En 1994, une étude américaine de l’école médicale de Harvard a montré que la consommation régulière de cette plante réduirait les infections urinaires chez les femmes.
Consommation : 1 gélule/jour le matin avec un verre d’eau pendant le repas en prévention. A vie si nécessaire pour celles qui ont des cystites à répétition. A la place, on peut aussi prendre un verre de jus de canneberge ou 250g de baies (même posologie). Si la répétition des infections persiste, consultez.
Attention : pendant l’infection, la consultation chez un médecin et la prise d’antibiotiques sont fortement conseillées

Josué

Josué
Administrateur

Les médecines douces : pourquoi ça marche
ELISABETH MARSHALL, RÉDACTRICE
Homéopathie, acupuncture, sophrologie... Les méthodes alternatives à la médecine traditionnelle sont aujourd’hui plébiscitées par de nombreux patients et entrent peu à peu à l'hôpital. Tour d'horizon, en partenariat avec La Quotidienne de France 5, alors que s'ouvre à Paris le Salon Bien-être, du 6 au 10 février à Paris Porte de Versailles.



On les dit douces, douces dans leur contact, dans leurs effets secondaires… et dans leur efficacité, disent les sceptiques. Ancrée pour les unes dans une science millénaire (bien antérieure à notre allopathie), formalisées pour d’autres plus récemment, les médecines alternatives doivent d’abord leur plébiscite… aux patients ! Parce qu’elles soignent un malade et non une maladie, une personne dans son histoire et non un organe dans un corps, ces thérapeutiques séduisent et répondent, à l’heure du tout-technique, à un besoin. En complémentarité ou en substitut à des approches classiques, elles remettent le patient au centre de son histoire et de sa guérison, l’aide à y trouver du sens et proposent une vision du soin préventive et holistique : de l’homme « corps et esprit ».



Alors oui, ça marche ! Mais est-ce efficace ? On peut déplorer à ce sujet la frilosité de la France, qui, à l’opposé de nos voisins suisses ou allemands – qui font des approches naturelles un réflexe quotidien –, brandit d’abord le principe de précaution. Mal évaluées, les thérapeutiques alternatives font encore trop peu l’objet de recherches cliniques. Pas de crédits non plus pour explorer une voie « intégrative » qui inscrirait les médecines (douces et moins douces) en complémentarité les unes des autres. En attendant, acupuncture, homéopathie ou sophrologie se frayent un chemin à l’hôpital pour dompter la douleur ou atténuer les effets secondaires de certains traitements allopathiques, quand elles ne pallient pas tout simplement à leur impuissance face à des maladies chroniques.

Reste la question éthique, incontournable. Parce que remettre son corps et son esprit entre les mains d’un thérapeute n’est jamais anodin, les médecines douces, comme les autres, requièrent une vigilance. Bienveillance et respect de l’autonomie du patient sont-ils bien au rendez-vous ? Les conditions financières sont-elles justifiées ? En l’absence d’une vraie reconnaissance, les thérapeutiques non conventionnelles échappent à un vrai cadre. Il appartient donc à chacun de faire un choix éclairé.

Dossier La Vie : Les médecines douces : pourquoi ça marche ?
Homéopathie, phytothérapie, acupuncture, sophrologie... Ces méthodes alternatives à la médecine conventionnelle sont de plus en plebiscitées par les patients en France. Retrouvez notre dossier complet de 15 pages sur le sujet, en partenariat avec La Quotidienne de France 5, dans l'édition papier de La Vie datée du 6 février, disponible en kiosques ou en version numérique en cliquant ici



Pour aller plus loin :
> Conférences, ateliers, cours pratiques pour découvrir et adopter les nouvelles méthodes du bien-être... Rendez-vous au Salon Bien-Être, médecine douce et thalasso, du 6 au 10 février 2014 à Paris (Porte de Versailles).

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