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Un rallongement de l'espérance de vie jusqu à 500 ans ?
En modifiant le métabolisme génétique, des scientifiques américains aurait peut-être trouvé un moyen de rallonger l’espérance de vie humaine.
Vivre jusqu’à l’âge de 500 ans sera peut-être un jour possible en modifiant le métabolisme génétique humains. Une découverte scientifique effectuée par les chercheurs de l’Insitute of Age research en Californie (Etats-Unis). Pour cela, ils ont effectué des tests sur l’espérance de vie d’un ver appelé Caenorhabditis elegans capable de vivre ente 400 et 500 ans . Ils ont essayé de bloquer les molécules affectant l’action de l’insuline et d’une enzyme appelée "cible de rapamycine", responsable de la croissance et de la survie cellulaire. "Ce que nous avons obtenu, c’est une augmentation en synergie de la durée de vie d’environ cinq fois", explique le Docteur Pankaj Kapahi, chef de l’étude. Les scientifiques espèrent maintenant pouvoir tester leur trouvaille sur des souris pour voir si cela fonctionne chez les mammifères puis enfin sur l’homme. Si les résultats se révèlent concluant, ils pourraient permettre de créer des traitements contre le vieillissement et peut-être nous permettre de vivre plus longtemps. Cependant les scientifiques affirment que cela n'arrivera pas avant de très nombreuses années.
Publié par Bénédicte Demmer, rédactrice santé le Vendredi 27 Décembre 2013 à 11h19
En modifiant le métabolisme génétique, des scientifiques américains aurait peut-être trouvé un moyen de rallonger l’espérance de vie humaine.
Vivre jusqu’à l’âge de 500 ans sera peut-être un jour possible en modifiant le métabolisme génétique humains. Une découverte scientifique effectuée par les chercheurs de l’Insitute of Age research en Californie (Etats-Unis). Pour cela, ils ont effectué des tests sur l’espérance de vie d’un ver appelé Caenorhabditis elegans capable de vivre ente 400 et 500 ans . Ils ont essayé de bloquer les molécules affectant l’action de l’insuline et d’une enzyme appelée "cible de rapamycine", responsable de la croissance et de la survie cellulaire. "Ce que nous avons obtenu, c’est une augmentation en synergie de la durée de vie d’environ cinq fois", explique le Docteur Pankaj Kapahi, chef de l’étude. Les scientifiques espèrent maintenant pouvoir tester leur trouvaille sur des souris pour voir si cela fonctionne chez les mammifères puis enfin sur l’homme. Si les résultats se révèlent concluant, ils pourraient permettre de créer des traitements contre le vieillissement et peut-être nous permettre de vivre plus longtemps. Cependant les scientifiques affirment que cela n'arrivera pas avant de très nombreuses années.
Publié par Bénédicte Demmer, rédactrice santé le Vendredi 27 Décembre 2013 à 11h19
