Les glaciers auront presque disparu dans un siècle

Rappel du premier message :

Les glaciers auront presque disparu dans un siècle

En 2100, les glaciers valaisans auront perdu 90% de leur volume. Ils reculent de 5 à 30 mètres par an.
Les glaciers valaisans auront perdu 90% de leur volume d'ici 2100. Seules subsisteront les masses glaciaires situées au-dessus de 3000 mètres d'altitude. Tout ce qui est en dessous aura probablement disparu.

Le recul des glaciers est un phénomène à analyser en détail. Le canton veut améliorer ses connaissances dans ce domaine pour adopter une politique de gestion de l'eau responsable. Si les conséquences ne sont pas immédiates, l'anticipation est à l'ordre du jour, a déclaré le chef du département de l'environnement Jacques Melly.

5 à 30 mètres par an

En moyenne, les 680 glaciers valaisans, qui couvrent 15% du territoire cantonal, reculent de 5 à 30 mètres chaque année. Des mesures de profondeur ont débuté en 2009 pour évaluer le volume des mers de glace. Les résultats sont attendus pour 2014.

Parallèlement, l'ancien chef de la section des dangers naturels Charly Wuilloud a lancé un cri d'alarme sous la forme d'un livre. Intitulé «Adieu, glaciers sublimes», l'ouvrage veut montrer l'importance des glaciers sous forme d'un voyage entre passé et avenir, entre légendes et histoire, entre croyances et vérités scientifiques.
(ats/Newsnet)

Donc la science confirme ce que dit la bible sur l'avenir de la terre et aussi ce qui si passe?

Josué a écrit:Donc la science confirme ce que dit la bible sur l'avenir de la terre et aussi ce qui si passe?

La Bible ne parle ni de la fonte des glaciers, ni du réchauffement climatique.

La bible parle de catastrophes a venir et d'autres événements surnaturelles.
(Révélation 11:18) 18 Mais les nations se sont mises en colère, et ta colère est venue, ainsi que le temps fixé où les morts vont être jugés, [le temps] de donner [leur] récompense à tes esclaves les prophètes et aux saints et à ceux qui craignent ton nom, les petits et les grands, et de causer la ruine de ceux qui ruinent la terre. ”

papy a écrit:La bible parle de catastrophes a venir et d'autres événements surnaturelles.
(Révélation 11:18) 18 Mais les nations se sont mises en colère, et ta colère est venue, ainsi que le temps fixé où les morts vont être jugés, [le temps] de donner [leur] récompense à tes esclaves les prophètes et aux saints et à ceux qui craignent ton nom, les petits et les grands, et de causer la ruine de ceux qui ruinent la terre. ”

Dans ce cas nous sommes tous concernés puisque nous participons tous au saccage de la terre.

De toutes façons, la fonte des glaciers n'a quand même rien à voir avec des événements surnaturels. Cela s'explique scientifiquement.

Si nous somme tous concerné pourquoi il n'est pas fait des choses concrètes dans notre société de consommation?

"...Près des sources de l’Arve, entre le village du Tour et l’alpage de
Charamillon, une souche de mélèze comptant 650 cernes a été découverte
à 1 500 m d’altitude. Âgée de près de 7 000 ans, elle témoigne d’une époque
où prospérait en ce lieu une forêt. Il en est de même en Valais, sur la
marge proglaciaire du glacier du Mont-Miné (Val d’Hérens), où des troncs
atteignant jusqu’à 1 m de diamètre, vieux de quelque 8 000 ans, ont été
rejetés récemment par le glacier.
L’ensemble des résultats de datation
met en évidence pas moins de dix périodes pendant lesquelles les
glaciers étaient moins étendus que maintenant."
(Sylvain Coutterand Géographe CNRS et François Amelot Géologue CNM)

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https://www.lemonde.fr/planete/article/2023/11/14/climat-les-engagements-des-etats-ne-sont-pas-a-la-hauteur-pour-limiter-le-rechauffement-climatique_6200025_3244.html

Les engagements des Etats ne sont pas à la hauteur pour limiter le réchauffement climatique
A un peu plus de deux semaines de l’ouverture de la COP28, l’ONU alerte sur l’insuffisance des efforts des Etats pour respecter les objectifs de l’accord de Paris.

Par Matthieu Goar
Publié aujourd’hui à 12h00, modifié à 12h06
Temps deLecture 4 min.
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Des excavatrices extrayant du charbon à Kolubara, la plus grande mine de Serbie, près du village de Vreoci, à 60 km au sud de Belgrade, le 27 octobre 2023. ANDREJ ISAKOVIC / AFP
Des efforts qui vont, peut-être, permettre d’infléchir la courbe avant 2030. Mais des efforts très insuffisants pour limiter le réchauffement climatique « au-dessous de 2 °C » et si possible à 1,5 °C, les seuils préconisés par l’accord de Paris scellé à la COP21 en 2015. Mardi 14 novembre, la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC) a rendu public son rapport sur les Nationally Determined Contributions (NDCs), les Contributions déterminées au niveau national (CDN), c’est-à-dire les engagements pris par les Etats pour lutter contre le changement climatique. Dans la meilleure des hypothèses, c’est-à-dire si toutes ces politiques sont réellement appliquées, le niveau des émissions de gaz à effet de serre (GES) serait en 2030 inférieur de 2 % à celui de 2019. Bien loin de l’objectif préconisé par les scientifiques, soit – 43 %.

Ce document constitue un nouveau signal d’alarme à un peu plus de deux semaines de l’ouverture de la 28e conférence des parties sur le climat (COP28), qui se tiendra aux Emirats arabes unis du 30 novembre au 12 décembre. « Le rapport d’aujourd’hui montre que les gouvernements progressent à petits pas pour éviter la crise climatique. Et il montre pourquoi ils doivent faire des pas audacieux à la COP28 à Dubaï, pour être sur la bonne voie, a commenté Simon Stiell, secrétaire exécutif de la CCNUCC. Chaque minute compte, tout comme chaque fraction de degré compte si nous voulons éviter les pires impacts climatiques et limiter le réchauffement mondial à 1,5 °C. »

Ce travail de recension des engagements des Etats est l’une des conséquences directes de l’accord de Paris. Les 196 parties qui s’étaient rassemblées sur ce texte s’étaient aussi engagées à transmettre leur CDN puis à en soumettre de nouvelles tous les cinq ans. Une stratégie qui devait permettre à la diplomatie climatique de faire un inventaire régulier et global des réformes mises en place à travers le monde. Depuis 2020, l’Organisation des Nations unies (ONU) a donc compilé ces plans tout en tenant compte des mises à jour. Vingt pays les ont ainsi actualisées depuis un an.

« Impératif de clarté »
Au total, les experts des Nations unies ont décortiqué les mesures de 195 parties à l’accord de Paris. Signe que la plupart des Etats jouent le jeu, « 94 % ont fourni des objectifs d’atténuation quantifiés, exprimés sous forme d’objectifs numériques clairs » et seulement « 6 % ont inclus des stratégies pour lesquelles il n’existe aucune information quantifiable », précisent les auteurs.  « La grammaire des CDN est en train d’être intégrée par les Etats, souligne Lola Vallejo, directrice climat de l’Institut du développement durable et des relations internationales. Mais quand on entre dans le détail, on s’aperçoit aussi qu’il y aura un impératif de clarté à l’avenir pour bien préciser quelles sont les ambitions réelles des Etats derrière les engagements. Il y a parfois du flou, par exemple sur la réduction car on ne sait pas toujours s’ils parlent du CO2 ou de l’ensemble des gaz à effet de serre, mais aussi sur la part de captage de carbone attendue. La précision sera fondamentale pour arriver à une réelle neutralité carbone en 2050. »