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Climat : mauvaises nouvelles pour la planète

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Josué

Josué
Administrateur

Rappel du premier message :

Climat : mauvaises nouvelles pour la planète

Les décisions du Japon et de l’Australie de retarder la baisse de leurs émissions de gaz à effet de serre semble impacter lourdement sur le réchauffement climatique de la planète.

Le monde a de plus en plus de mal à limiter le réchauffement climatique, les mauvaises nouvelles du Japon et d’Australie effaçant les avancées en provenance des Etats-Unis et de Chine, à en croire un bilan publié mercredi par des scientifiques, en pleine Conférence de l’ONU sur le climat à Varsovie .
Selon le « Climate Action Tracker », la Terre se prépare à une hausse de température de 3,7°C au-dessus des moyennes de l’époque pré-industrielle à l’horizon 2100, au lieu d’une hausse de 3,1° si les gouvernements avaient tenu leurs promesses de limiter les émissions de gaz à effet de serre.
Les gouvernements, réunis à Varsovie jusqu’à vendredi pour une grande conférence sur le climat, essaient de trouver le moyen de limiter le réchauffement mondial à moins de 2,0° au-dessus des niveaux d’avant la révolution industrielle pour en limiter les dérèglements induits (sécheresses, pluies torrentielles, hausse du niveau des mers, etc.).
La conférence de Varsovie travaille à la création, pour 2015, d’un nouvel accord mondial sur le climat qui pourrait entrer en vigueur à partir de 2020.
LIRE AUSSI
Climat : le ministre de l’Environnement polonais ecarte du gouvernement
Pas de feuille de route

L’étude parue mercredi, menée conjointement par Climate Analytics, le Postdam Institute for Climate Impact Research et Ecofys, souligne que la décision prise par le Japon la semaine dernière d’assouplir son objectif 2020 en matière d’émissions de gaz à effet de serre rend plus difficile d’atteindre l’objectif des 2°C de réchauffement au niveau mondial.
Le Japon a expliqué que son objectif d’origine d’une baisse de 25% de ses émissions sous les niveaux de 1990 était inatteignable après les dégâts causés à son industrie nucléaire par le séisme et le tsunami de mars 2011. Le Japon s’est fixé désormais une hausse de 3% à ne pas dépasser. L’Australie a également fait marche arrière
« Ces signaux négatifs tendent à l’emporter sur les signaux positifs » constitués par exemple par l’interdiction des centrales au charbon dans certaines zones en Chine, lit-on dans l’étude.
Le problème du réchauffement apparaît d’autant plus difficile à résoudre que les pays présents à Varsovie semblent divisés sur l’aide à apporter aux pays en développement pour les aider à réduire leurs émissions. Les ONG « vertes » se plaignent du flou qui règne en la matière.
« On ne voit pas de feuille de route pour le financement, seulement des sommes anciennes dans un nouvel emballage ou de l’argent réorienté en provenance d’autres budgets », dit Dipti Bhatnagar, de l’ONG Friends of the Earth International.
LIRE AUSSI
Article de Nathalie Kosciusko-Morizet : Climat, encore une conference de transition
Priorité à la relance économique

De nombreux pays riches, qui ont mis la priorité à la relance économique, semblent peu disposés à financer la note du réchauffement.
« On ne peut pas avoir un système avec une compensation automatique chaque fois qu’un événement climatique sévère se produit quelque part sur la planète », a déclaré la commissaire européenne chargée du Climat, Connie Hedegaard.
Les pays industriels ont promis d’augmenter les sommes allouées à l’aide aux pays en développement pour la porter à 100 milliards de dollars par an à l’horizon 2020, contre 10 milliards sur la période 2010-2012.
Les négociateurs ont mis sur pied un Green Climate Fund pour accueillir une partie des 100 milliards de dollars mais ce fonds est vide et ne sera pas alimenté avant le second semestre 2014.
L’Agence internationale de l’énergie (AIE) estime que des investissements supplémentaires de 1.000 milliards de dollars par an seront nécessaires à l’horizon 2020 pour le seul secteur énergétique afin qu’il se réoriente vers des sources d’énergie plus propres. ■
Lutter contre la déforestation
Les gouvernements norvégien, britannique et américain ont fait savoir mercredi qu’ils allaient débloquer 280 millions de dollars en faveur d’un nouveau programme destiné à lutter contre la déforestation dans le monde.La Norvège contribuera à ce programme contre la déforestation à hauteur de 135 millions de dollars, la Grande-Bretagne versera 120 millions et les Etats-Unis 25 millions.


Droit de reproduction et de diffusion réservé © Les Echos.fr 2013


Lechercheur



ELNiño, un phénomène météorologique cyclique et imprévisible, suscite de plus en plus d'inquiétudes au sein de la communauté scientifique. Comme l'a indiqué Météo France lundi 24 avril 2023, un "super" El Niño pourrait même être en préparation.

BenFis

BenFis

Lechercheur a écrit:ELNiño, un phénomène météorologique cyclique et imprévisible, suscite de plus en plus d'inquiétudes au sein de la communauté scientifique. Comme l'a indiqué Météo France lundi 24 avril 2023, un "super" El Niño pourrait même être en préparation.

Dommage que la Bible ne nous ait pas prévenu de devoir réguler les naissances.
Moins d'humains sur terre c'est moins de nuisances et donc in fine, moins de calamités naturelles.

Josué

Josué
Administrateur

La bible a donné des avertissement sur ce qui va se passer dans l'avenir.
Oui, je donnerai des présages dans les cieux et sur la terre, du sang et du feu et des colonnes de fumée. 31 Le soleil se changera en ténèbres et la lune en sang, avant la venue du grand et redoutable jour de Jéhovah

BenFis

BenFis

Josué a écrit:La bible a donné des avertissement sur ce qui va se passer dans l'avenir.
Oui, je donnerai des présages dans les cieux et sur la terre, du sang et du feu et des colonnes de fumée. 31 Le soleil se changera en ténèbres et la lune en sang, avant la venue du grand et redoutable jour de Jéhovah
Oui mais ces prophéties concernent l'avenir et non pas les problèmes actuels relatifs au climat et qui sont eux-mêmes dus à l'emprise de l'homme sur la nature.

Aujourd'hui 5 mai 2022 est d'ailleurs le «jour du dépassement» de la France : https://www.lefigaro.fr/sciences/le-5-mai-2022-jour-du-depassement-de-la-france-20220505

Ce qui n'était pas prévu dans la Bible.

Josué

Josué
Administrateur

Méga incendies au Canada : plus de 24000 habitants de l'Alberta ont été évacués

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IncendiesEnvironnement
Publié le 06/05/2023 à 22:45
C. L. avec Reuters

Écouter cet article
byETX Studio
00:00/00:52
Les autorités ont indiqué que ces incendies étaient "sans précédent".
Des dizaines de milliers d'habitants de l'Alberta ont été contraints d'évacuer leur domicile en raison des incendies de forêt "sans précédent" qui font rage dans la province canadienne, ont annoncé samedi les autorités. Plus de 24 000 personnes ont dû être évacuées.


A lire aussi : VIDEO. Les images impressionnantes des violents inc
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Josué

Josué
Administrateur

[size=42]Le Billet : Manifestation de « mères » pour qu’on protège leurs enfants du réchauffement

16 mai 2023 18 h 40 min



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Climat : mauvaises nouvelles pour la planète - Page 6 Meres-enfants-manifestation-rechauffement-e1684256916217

 
A l’occasion de la fête des mères, un sit-in mondial de « mères » vient d’avoir lieu pour exiger que les pouvoirs publics du monde entier prennent d’urgence les décisions nécessaires à la protection de leurs enfants des conséquences du réchauffement. Cette manifestation est l’une des plus jolies cascades d’escroqueries et de manipulations de l’affect sur le sujet depuis de nombreuses années.
 


Premier mensonge, le réchauffement du climat par l’homme



Premier niveau de la cascade, rappelons que le réchauffement du climat par l’homme est une fable politique : si un réchauffement a été sensible depuis la fin du petit âge glaciaire autour de 1850, il n’est pas sûr qu’il continue, son rythme est inconnu, et il n’a surtout rien à voir avec l’activité humaine. Partant, deuxième escroquerie, il n’a aucun sens de demander aux dirigeants du monde entier de prendre quelque décision que ce soit pour modifier le climat.
 


Une manifestation mondiale bornée à quelques bobos



Troisième mensonge, la manifestation « mondiale » des mères s’est bornée à quelques dizaines de femmes assises dans la rue devant la Tate Gallery à Londres, le musée de Liverpool, à Brighton et quelques autres lieux découvrant à marée basse. Mais là où l’on tombe vraiment dans la manipulation crapuleuse de l’affect à des fins politiques, c’est que ces « mères » appelant à sauver leurs « enfants » étaient en fait des militantes de Mother’s Rébellion, une extension d’Extinction Rebellion, qui a fait naguère tant de bruit avec ses manifestations illégales de désobéissance civile.
 


Des mères militantes qui exploitent leurs enfants



Désormais, ces activistes du gauchisme vert ont choisi une tactique plus douce et plus consensuelle, qui consiste à jouer sur les sentiments du public : quoi de plus émouvant que des mères assises pacifiquement le jour de la fête des mères pour réclamer la protection de leurs enfants ? C’est pourquoi, Marion, médecin et mère, a pris part à la manifestation : « Je n’aurais pas pu vivre avec moi-même si nous ne faisions pas tout ce qui est possible pour amener le si attendu, si nécessaire changement systémique. (…) Les enfants se sentent trahis parce qu’ils voient que les gouvernements ne font pas assez ou retardent activement l’action pour le climat. » Le vocabulaire employé montre que cette « mère » qui participe à la manifestation est une militante qui l’a organisée.
 


Les moutons du tiers-monde souffrent du réchauffement



Et comme la manipulation des sentiments n’a pas de secret pour elle, elle ajoute à la figure de l’enfant celle du tiers-monde : « Pour se protéger, ils tournent le dos aux enfants de notre pays et aux enfants du Sud, qui sont déjà confrontés aux effets du réchauffement, à la destruction de l’environnement et à la surexploitation des ressources. » Une autre participante, mère de deux enfants, Feng, confirme : « Mon cœur saigne quand je pense aux vagues de chaleur extrêmes et aux inondations que mes connaissances ont subies ces derniers mois en Malaisie. Je ne parle pas seulement de ma famille mais des autres, innombrables, qui subissent les terribles conséquences du réchauffement. » Ces autres finiront par la croire. La mythologie du réchauffement est suffisamment établie pour que les moutons demandent eux-mêmes qu’on les tonde. Quand les brebis mamans le recommandent, c’est bien plus émouvant.
 


Pauline Mille

Josué

Josué
Administrateur

[size=42]Feux au Canada : le gouvernement hurle au changement climatique et tait les pyromanes[/size]

14 juin 2023 15 h 51 min


Climat : mauvaises nouvelles pour la planète - Page 6 Feux-climatique-Canada-pyromanes-e1686750491875
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Les feux continuent de ravager le Canada, et les fumées sont parvenues jusqu’à New-York. Son ciel, devenu orange, donne à certains l’impression d’une « ambiance de fin du monde », tandis que les habitants de la petite ville encerclée d’Edson évoquent « un début d’apocalypse »… Tout cela nourrit le discours de Justin Trudeau qui y voit, veut y voir ou veut donner à y voir le symbole criant et menaçant du changement climatique. Seulement, la Gendarmerie royale du Canada a quand même arrêté un certain nombre de pyromanes. Mais les médias canadiens n’en pipent mot.
 

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« Nouvelle normalité » climatique

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Les feux se sont même de nouveau intensifiés dans l’ouest du pays, au point que plusieurs milliers de personnes ont reçu l’ordre d’évacuer leurs villages. Dans l’ensemble du pays, 435 feux étaient recensés, dimanche, par le Centre interservices des feux de forêt du Canada, dont 211 toujours hors de contrôle. Plus de 4,6 millions d’hectares de forêts sont partis en fumée depuis le début de l’année. Alors que la moyenne annuelle, ces trente dernières années, est de 2,5 millions d’hectares brûlés. Et nous ne sommes qu’au début de la saison des feux qui s’étend jusqu’en septembre.
Une triste situation dont s’est emparé Trudeau pour servir ses intérêts climatiques et pointer du doigt l’éternel méchant loup : l’homme.
« Chaque année, à cause des changements climatiques, les feux de forêt gagnent en intensité et commencent à se produire là où ils n’ont normalement pas lieu », a-t-il tweeté. Ces feux ravageurs constituent la « nouvelle normalité », a déclaré le ministre canadien de l’Environnement et du Changement climatique, et « prouvent que nous sommes entrés dans l’ère du changement climatique ». La Maison-Blanche n’a pas été en reste : sa porte-parole Karine Jean-Pierre a déclaré que cet événement est « un autre signe inquiétant de la manière dont la crise climatique affecte nos vies ».
Et tous de parler de « la qualité de l’air » que chacun s’avise de peser et de jauger. Et tous de souffler sur les braises et de semer la peur sur un chaos déjà bien réel.
 

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Des feux aussi allumés par des pyromanes

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Ainsi, le phénomène aurait sa cause, immense, évidente, sacro-sainte. Rien que de chercher à trouver des causes plus tangibles, on passe déjà pour un complotiste. Seulement, comme le notait LifeSiteNews, la gravité des incendies de forêt a réellement amené les Canadiens à se demander pourquoi ils se sont propagés si rapidement, d’autant plus que bon nombre des zones touchées ne sont généralement pas touchées par des incendies de cette ampleur ou à cette période de l’année.
Il peut y avoir plusieurs explications, plusieurs faisceaux d’indices. Le tout est de n’en négliger aucun. Or aucun grand média canadien n’évoque les récents rapports de police. La Gendarmerie royale du Canada (GRC) a pourtant arrêté plusieurs incendiaires, accusés d’avoir allumé des dizaines de feux de forêt dans plusieurs provinces, dont la Nouvelle-Ecosse, le Yukon, la Colombie-Britannique et l’Alberta.
Un Albertain, John Cook, a été arrêté, en avril, et accusé de dix incendies criminels. Il avait été également accusé d’avoir incendié l’église de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours à Cherry Grove, en Alberta. Un homme de Vancouver a été également accusé d’incendies criminels et il demeure actuellement en liberté jusqu’à son procès. D’autres encore. Le motif de l’allumage n’est jamais clair.
Et au Québec, le Toronto Sun a révélé, bien que peu publié, que la police enquêtait aussi sur de possibles incendies criminels comme cause des feux de forêt dans la province : « Il y a une enquête parce que la cause est suspecte », a déclaré le responsable des médias à la Sûreté de Québec. Les images satellites du département de météorologie du Collège DuPage montrent d’ailleurs, de manière fort intéressante, que, le 2 juin, les incendies qui ont éclaté au Québec, ont tous commencé exactement au même moment.
 

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Pour une politique environnementale radicale au Canada ?

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Mais chut… les enjeux climatiques doivent dominer. Absolument tous les grands médias ainsi que « les politiciens menteurs » comme l’a écrit le chef du Parti populaire du Canada, Maxime Bernier, « ne cessent de répéter que le réchauffement climatique en est la cause ».
« Les incendies de forêt au Canada sont la dernière catastrophe climatique coûteuse que les comptes publics ne parviennent pas à saisir », note la Société Radio-Canada. « Le changement climatique augmente les risques d’incendies de forêt dans le pays, disent les experts », atteste Global News.
Et pourtant, les statistiques de la Base de données nationale sur les incendies du Canada le prouvent, les incendies de forêt au Canada n’ont pas arrêté de diminuer ces dernières années, après le pic de l’année 1989. Il faut trouver ailleurs la brusque amplification d’un tel phénomène au demeurant non extraordinaire dans cette région du globe. La foudre aussi déclenche des incendies de forêt, ici, depuis des millénaires… ces derniers font partie du cycle de vie naturel des forêts.
Par ailleurs, il est à noter que tous ces médias aux voix grassement coordonnées portent un lourd collier d’esclave. 1.500 d’entre eux ont reçu près de 61 millions de dollars du gouvernement libéral du premier ministre Justin Trudeau, peu avant les élections fédérales canadiennes de 2021 (en minorité, Trudeau avait dissous la Chambre pour tenter de récupérer une majorité si ce n’est absolue, au moins relative). Sommé de s’expliquer, le ministre du Patrimoine avait alors argué, dans une lettre aux députés, que les subventions visaient à garantir que les lecteurs reçoivent « en temps opportun les informations dont ils ont besoin de leur gouvernement »…
Y aurait-il, à couvert, un ministère de la Propagande ?
 

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Clémentine Jallais

Josué

Josué
Administrateur


Un responsable de l’ONU alerte : le changement climatique rend l’avenir «terrifiant»
Article de LIBERATION, AFP • Hier à 12:54


https://www.msn.com/fr-fr/actualite/monde/un-responsable-de-l-onu-alerte-le-changement-climatique-rend-l-avenir-terrifiant/ar-AA1dmw0B?cvid=e1a2a44e850e4f97806c6017f15617b7&ocid=winp2fptaskbarhover&ei=32




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Climat : mauvaises nouvelles pour la planète - Page 6 AA1dmdpd
[size=12]le Haut-Commissaire de l’ONU aux droits de l’homme, Volker Türk, à Genève le 7 mars.© Salvatore Di Nolfi


Le Haut-Commissaire de l’ONU aux droits de l’homme, Volker Türk, a prononcé un discours très fort ce lundi 3 juillet dans le cadre de la 53e session du Conseil des droits de l’homme de cette instance. Il a accusé les dirigeants mondiaux de mener des politiques court-termistes.
Le changement climatique menace de déboucher sur un avenir de famine et de souffrances «vraiment terrifiant», met en garde lundi le Haut-Commissaire de l’ONU aux droits de l’homme, Volker Türk. Lors d’un débat du Conseil des droits de l’homme de l’ONU sur le droit à l’alimentation (la 53e session du conseil des droits de l’homme se poursuit jusqu’au 14 juillet), il a pris la parole pour accuser les dirigeants mondiaux de se contenter de mots pour combattre la crise climatique et de ne penser qu’au présent. Ces derniers «se livrent à une chorégraphie en décidant d’agir et en promettant d’agir puis restent bloqués sur le court terme».

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Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

INTERNATIONAL
Des pluies torrentielles s'abattent sur la Chine
Des inondations cataclysmiques dues à des pluies torrentielles ont touché la Chine hier, faisant au moins quinze morts et quatre disparus, selon les derniers bilans. 
Le contexte. Les catastrophes naturelles et les sécheresses se multiplient dans l'Empire du Milieu, tandis que le pays connait cet été des records de température. Le mercure est même grimpé le 22 juin dernier à 41,1°C, du jamais vu.

Climat : mauvaises nouvelles pour la planète - Page 6 1x1 L'analyse. "L’écosystème écologique fragile de la Chine ainsi que sa géographie régionale la rendent vulnérable au changement climatique, ce qui se traduira cette année par des vagues de chaleur plus longues, des inondations plus fréquentes et des températures de surface des océans plus élevées", explique Chao Qinchen, du Centre national du climat.

chico.

chico.

[size=48]Climat : dans trente ans, les Planches de Deauville sous les eaux ?
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La promenade mythique de Normandie ne serait plus accessible à certains moments de l’année. Un scénario encore lointain pour les élus.


DANS L'HEBDO DU 6 JUILLET

Climat : mauvaises nouvelles pour la planète - Page 6 YLA7YMT2FVESNI72IFEC7ST3QE
[size=10]En 2050n l'élévation des eaux sur la côte serait comprise entre 20 et 25 centimètres.
L'Express


[size=13]Par Valentin Ehkirch
Publié le 07/07/2023 à 07:1[/size]

[size=14]00:00/03:43
[/size]
Inscrites aux monuments historiques, les cabines de bains de Deauville (Calvados), qui portent les noms des stars du cinéma, auront-elles un jour les pieds dans l’eau ? Il faut s’y préparer, préviennent les experts d’Axa Climate, dont les modèles permettent d’analyser finement l’impact du changement climatique. En considérant le scénario de réchauffement le plus pessimiste, qui donne des résultats très proches du scénario moyen à l’horizon 2050, cette partie de la côte nord de la France pourrait faire face à une élévation du niveau marin comprise entre 20 et 25 centimètres. Un niveau qui, dans des conditions particulières - grandes marées et ondes de tempête -, pourrait atteindre les fameuses Planches et contraindre les promeneurs à remonter leur pantalon.

Sur place, on se refuse encore à y croire. "Pour le moment, nous n’avons pas de risque identifié sur les Planches, la ville à tendance à s’ensabler et la mer à reculer, démine d’emblée Marc Bourhis, directeur général des services de Cœur Côte Fleurie, la communauté de communes comprenant douze localités, dont Deauville et Trouville. Mais on ne reste pas les bras ballants, et on lance des études. On a même fait passer des élus devant un simulateur de hausse du niveau des eaux pour les amener à prendre des mesures !" Croire que Deauville puisse être totalement épargnée est une hérésie : en 2018, la ville a déjà connu une étonnante montée des eaux lors de la tempête Eleanor, la mer arrivant alors jusqu’aux cabines.

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Josué

Josué
Administrateur

[size=55]La Méditerranée a battu son record de température journalière avec 28,7 °C à la surface[/size]
Climat : mauvaises nouvelles pour la planète - Page 6 C4cecbc_1690304331313-corse
La mer Méditerrannée en Corse, en 2021. (ROBERT PALOMBA)


Il s’agit de la température médiane à la surface de la mer, calculée en pleine canicule par les chercheurs de l’Institut des sciences de la mer de Barcelone.

Par L'Obs avec AFP
·Publié le 25 juillet 2023 à 19h13



Les eaux de la mer Méditerranée ont connu lundi 24 juillet leur plus haute température journalière connue, a annoncé mardi à l’AFP le principal centre de recherches maritimes espagnol, en pleine canicule exceptionnelle sur une large partie du bassin méditerranéen, l’un des « points chauds » du réchauffement climatique.
[size=23]Canicules marines : quelles conséquences pour la biodiversité ?

« Un nouveau record sur la période 1982-2023 a été battu pour la température médiane quotidienne de la surface de la mer en Méditerranée avec 28,71ºC », ont indiqué des chercheurs de l’Institut des sciences de la mer (ICM) de Barcelone, analysant les données satellitaires de l’observatoire européen Copernicus. Le précédent record de 28,25°C datait du 23 août 2003.
[/size]

chico.

chico.

[size=62]Dérèglement climatique : « C’est l’ensemble du droit international qu’il faut écologiser »[/size]

[size=30]ENTRETIEN. Pour éviter une future dictature écologique, inscrivons l’enjeu environnemental au cœur de toutes nos actions, publiques et privées, prône la spécialiste Sandrine Maljean-Dubois.[/size]
Par Laurence Neuer


Publié le 31/07/2023 à 06h45






Temps de lecture : 10 min

[size=55]« C'est maintenant ou jamais  », a averti l'Écossais Jim Skea, avant qu'il ne soit élu, le 26 juin, nouveau président du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (Giec). Les événements climatiques extrêmes survenus en juillet ne le contrediront pas. Ils font aussi cruellement écho au constat alarmiste du dernier rapport du Giec publié en mars 2023.
Le droit peut-il sauver le climat ? Cette question est au cœur du Livre blanc sur l'Anthropocène publié par l'Association de droit international (ADI/ILA). Pointant le caractère réductionniste du droit international qui « se concentre sur un environnement unidimensionnel, constitué de parties séparées et non connectées dans des lieux géographiques distincts », ce document d'une centaine de pages propose de bâtir un « droit...


[/size]

Josué

Josué
Administrateur

L’ébullition climatique selon Antonio Guterres, secrétaire général de l’ONU
31 juillet 2023 16 h 40 min
ébullition climatique Guterres ONU


Vous avez appris à détester le « réchauffement climatique » ? Vous n’avez encore rien vu. Sous prétexte qu’il a fait un peu plus chaud que d’habitude dans certaines régions bien circonscrites du globe terrestre, et que des incendiaires ont allumé des feux de forêt, ce qui relève du crime et non de la température extérieure, Antonio Guterres, secrétaire général de l’ONU, a inventé un nouveau concept qui fait peur : « l’ébullition climatique ». C’est un peu tôt, même à l’aune des alarmistes ; il va falloir faire preuve d’une drôle d’inventivité lorsque – si le réchauffement s’installe vraiment, ce qui n’est pas du tout acquis – on produira de nouveau du vin blanc dans des régions plus nordiques. Que dire alors ? Barbecue climatique ? Plus-chaud-que-l’enfer climatique ?

L’ébullition globale, on l’imagine fort bien, mais force est de constater qu’on ne la voit pas. Normal, finalement ; pas plus tard qu’en 2013, des scientifiques relâchaient leurs prédictions quant au moment où la terre, dont l’orbite se rapprocherait du soleil, deviendrait totalement hostile à la vie. Entrant dans une zone plus chaude, elle quitterait l’étroite « bande habitable » où l’eau et l’atmosphère indispensables à la vie peuvent coexister. Plus loin, le froid empêche la vie ; plus près, la chaleur fait évaporer les océans et l’effet de serre lié à l’abondante vapeur d’eau accentuerait encore la chaleur, puis l’évaporation. Ils pensaient précédemment que la limite intérieure de cette zone « Boucle d’Or » – ni trop froide, ni trop chaude – se situait à 99 % de notre distance actuelle du soleil. Les nouvelles estimations ajoutent 4 % : le seuil fatidique pour la subsistance de l’eau à l’état liquide ne sera franchi que lorsque la terre sera à 95 % de sa distance actuelle du soleil.



L’ébullition globale n’est pas pour demain, n’en déplaise à Guterres
Bref, Guterres ne craint pas le ridicule. Portant costume-cravate sans pour autant fondre sous l’effet de la chaleur si décriée, la respiration normale et le poil sec, Guterres a salué l’arrivée de l’« ère de l’ébullition globale », déclarant : « L’air est irrespirable, la chaleur insupportable. »

Il doit y avoir un os : sur cette planète hostile, la population continue de croître, imperturbablement, ce qui peut davantage irriter Guterres, soit dit en passant, qu’un coup de chaud localisé.

Le monde brûle-t-il ? Eh bien, le nombre d’hectares brûlés annuellement a beaucoup baissé ces dernières décennies et l’été 2023 a vu des incendies nettement inférieurs à la moyenne en Europe, même si le printemps en a vu davantage. Au niveau mondial, la tendance reste à la baisse, note Ross Clark dans l’article cité, et il est des lieux où les risques sont moindres alors que l’on y observe une pluviométrie en hausse.



La grande peur climatique entretenue par l’ONU en panne d’hyperboles
Les feux sauvages – déclenchés par la foudre – sont aussitôt combattus et éteints avec une efficacité croissante. Résultat, le nettoyage naturel assuré par les feux de forêt est moins assuré, le bois mort s’accumule au sol, notamment dans les forêts américaines, et si un gros feu finit par se déclencher, l’incendie devient plus difficile à contrôler.

Plutôt que de parler d’« ébullition », il faudrait donc tempérer le propos, de la même manière que la météo a « tempéré » au mois de juillet le mercure en Bretagne, en Normandie et ailleurs en Europe du Nord où pluie et fraîcheur ont quelque peu gâché les journées des vacanciers.

Le même Ross Clark raconte qu’il a écrit il y a trois ans un roman satirique futuriste sous le titre The Denial (« Le Déni ») où un gouvernement ne cesse de modifier le nom de son « ministère du changement climatique » pour mieux affoler le quidam : on y passe de la « crise climatique » à « l’urgence climatique », puis au « cataclysme », à « l’apocalypse » et à « l’Armageddon ». Guterres l’aurait-il lu ?



Anne Dolhein

chico.

chico.

[size=62]Dérèglement climatique : « Le sentiment d’impuissance produit l’anxiété ou le déni »[/size]

[size=30]ENTRETIEN. De la sidération au climatoscepticisme, les chercheurs Catherine et Raphaël Larrère analysent les effets que produisent les événements climatiques extrêmes.[/size]
Propos recueillis par Marion Cocquet

Le 22 juillet 2023 sur l'île de Rhodes, en Grèce, ravagée plusieurs jours durant par de violents incendies. :copyright: Eurokinissi/AFP

Publié le 18/08/2023 à 06h30 - Modifié le 18/08/2023 à 06h36

[size=55]En 2020, ils publiaient Le pire n'est pas certain (Premier Parallèle), un « essai sur l'aveuglement catastrophiste » qui combattait pied à pied la rhétorique et les thèses des collapsologues. Trois ans plus tard, Catherine et Raphaël Larrère, philosophe et sociologue spécialistes de l'environnement, ont vu s'effondrer l'effondrisme… mais croître l'anxiété des populations face à un dérèglement climatique dont les effets ne cessent d'être mesurés.
Le Point : Depuis la publication en 2020 de votre essai Le pire n'est pas certain, les mégafeux, les dômes de chaleur et les inondations historiques se sont multipliés… Ces événements ont-ils donné du grain à moudre aux collapsologues ?


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Josué

Josué
Administrateur

[size=42]Un climatologue admet que le changement climatique doit être l’argument n° 1 pour toute publication scientifique[/size]

7 septembre 2023 18 h 21 min


Climat : mauvaises nouvelles pour la planète - Page 6 Changement-climatique-argument-publication-e1694103571928
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Un climatologue a admis, sur son blog, avoir exagéré l’impact du réchauffement climatique sur les incendies de forêt pour s’assurer que ses travaux soient publiés dans la prestigieuse revue Nature. De la part d’un scientifique qui a pignon sur rue et qu’on ne peut qualifier de climato-sceptique, l’aveu est doublement intéressant. Il va même plus loin, affirmant qu’il y a une « formule » pour pouvoir publier sur ce sujet : « la suivre apporte la réussite professionnelle, mais cela a un coût pour la société ». Et quel coût que celui de taire des données, pour servir une idéologie… Et quelle vision de l’éthique scientifique, pour tromper de manière si caractérisée… L’obsession mondialiste est superbement démontrée.
Le changement climatique est un prince à servir, non une peine à abolir. Et l’élite met tout en œuvre pour le sauvegarder : on ne change pas comme ça d’un bon outil de contrôle.
 

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La condition de la publication

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La publication officielle du Dr Patrick Brown, dans la très prestigieuse revue Nature, avait tout pour plaire : il y défendait l’idée que le réchauffement climatique d’origine humaine avait augmenté de 25 % la fréquence moyenne des incendies de forêt quotidiens extrêmes en Californie. Comme le notait The Telegraph, elle a d’ailleurs été consultée plus de 3.000 fois en ligne et citée par 109 médias à travers le monde.
Sauf que.
On la lit différemment après avoir consulté le blog de son auteur principal, maître de conférences à l’Université Johns Hopkins et codirecteur de l’équipe climat et énergie du Breakthrough Institute de Berkeley. Il donne à voir l’envers de la médaille qui n’est pas joli joli : « La première chose que sait un chercheur avisé sur le climat, c’est que son travail doit soutenir le discours dominant. »
A savoir que plus la revue sera établie, renommée, plus il faudra passer sous les fourches caudines de la soumission scandaleuse aux tabous : le réchauffement climatique, en particulier, doit être considéré comme l’unique responsable de la destruction de l’environnement. Il est difficile, voire interdit d’évoquer d’autres facteurs. Ou, si vous le faites, vous courez le risque de ne pas être publié. Or, dans ces secteurs, il faut « publier ou périr » comme Patrick Brown l’écrit sur son blog, et le faire dans les revues les mieux placées.
« Lorsque j’avais tenté de m’écarter de la formule que j’ai décrite ici, mes articles ont été rapidement rejetés d’emblée par les éditeurs de revues de premier plan, sans même avoir été examinés par des pairs », rapporte -t-il. C’est la raison pour laquelle il s’est soumis. Mais, sans renier pour autant entièrement son article de Nature, Patrick Brown a souhaité évoquer, avec une honnêteté scientifique louable, les données édulcorées, voire biffées, qui auraient dû figurer dans son étude, ainsi que la formule qui permet le déroulement du tapis rouge.
 

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Des impacts de scénarios hypothétiques et effrayants pour argument

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Quatre éléments figurent dans cette formule scientifico-idéologique :
« La première chose à savoir est qu’il suffit généralement de montrer que le changement climatique a un impact sur quelque chose de précieux, et qu’il n’est généralement pas nécessaire de montrer l’influence d’autres facteurs évidemment pertinents. » A savoir, dans ce cas, la prépondérance des incendies d’origine humaine (80 % des incendies de forêt aux Etats-Unis !) ou encore les effets catastrophiques d’une mauvaise gestion forestière. De cela, on ne doit pas parler : ça diluerait trop le message climatiste.
Le deuxième élément de la formule consiste à ignorer ou au moins minimiser les actions pratiques à court terme pouvant annuler l’impact du « changement climatique », comme l’augmentation des rendements agricoles, ou la baisse de la mortalité due aux températures extérieures. « L’étude ou même la mention des succès sont considérés comme sapant la motivation en faveur de la réduction des émissions. »
Le troisième élément consiste « à se concentrer sur des mesures qui ne sont pas nécessairement les plus éclairantes ou les plus pertinentes, mais qui sont plutôt spécifiquement conçues pour générer des chiffres impressionnants. » Ainsi donc, on sacrifie la clarté à l’objectif pour marquer. Le résultat est le même lorsqu’on choisit des périodes moins pertinentes mais qui génèrent les plus grands chiffres pour justifier l’importance de votre recherche.
Enfin, le dernier élément proposé par le climatologue concerne le format clair et concis de la présentation. Peu de place pour le débat contradictoire dans ces articles courts qui font se rehausser un ou deux arguments phares, dans la droite ligne de la doxa officielle.
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Josué

Josué
Administrateur

[size=39]Changement climatique : des régions entières pourraient devenir inhabitables pour les humains[/size]

Charline Vergne 11/10/2023, 7:01 - modified 12/10/2023, 8:03 Environnement



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Les conclusions d’une étude parue dans la revue scientifique PNAS nous alertent sur les conséquences qu’un réchauffement de la planète au-delà de 1,5°C (par rapport aux niveaux préindustriels) aurait sur la santé des êtres humains.


Lorsque les êtres humains ont commencé à brûler des combustibles fossiles, au début de la révolution industrielle, les températures ont augmenté d’environ 1°C à travers le monde. En réaction, 196 pays ont signé l’Accord de Paris en 2015. L’objectif : limiter l’augmentation de la température mondiale à 1,5°C par rapport aux niveaux préindustriels.
Partout, le changement climatique est à l’origine d’un certain nombre de bouleversements, plus ou moins attendus. Parmi les conséquences les plus visibles de ce dérèglement figure la multiplication des incendies et des épisodes de canicule, le fait que les inondations soient de plus en plus nombreuses et violentes ou encore la baisse des rendements agricoles. Une situation peut également accroître le stress hydrique et mettre en péril la sécurité alimentaire.
Récemment, les conclusions d’une étude interdisciplinaire publiée dans la revue scientifique américaine PNAS (et repérée par le site phys.org) nous ont alertés quant au fait que certaines régions du globe pourraient, un jour, devenir inhabitables pour les êtres humains.
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Coup de chaleur, crise cardiaque...

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Les chercheurs ayant participé à ce projet proviennent du Penn State College of Health and Human Development, de la Purdue University College of Sciences, ainsi que du Purdue Institute for a Sustainable Future. Dans les conclusions de leur étude, ils ont estimé qu’un réchauffement de la planète au-delà de 1,5 °C – par rapport aux niveaux préindustriels, donc – entraînerait des dégâts de plus en plus dévastateurs en matière de santé humaine.
Selon cette hypothèse, plusieurs milliards de personnes seraient, chaque année, exposées à une chaleur et à une humidité extrêmes. Une situation qui n’est pas anodine : le corps humain ne peut pas résister longtemps à la combinaison de ces deux facteurs. Les réactions vont du simple coup de chaleur jusqu’à la crise cardiaque, qui peuvent être fatales.
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Dans le détail, cette équipe de chercheurs a modélisé des augmentations de température mondiale comprises entre 1,5 °C et 4 °C. Un seuil qui pourrait être atteint si le réchauffement climatique devait s’accélérer.
Le but de cette entreprise : identifier les zones de la planète où le dérèglement climatique entraînerait des niveaux de chaleur et d’humidité dépassant les limites humaines.
"Je ne suis pas un climatologue et mes coéquipiers ne sont pas des physiologistes. La collaboration est le seul moyen de comprendre les façons complexes dont la vie des gens sera affectée, a déclaré W. Larry Kenney, co-auteur de cette étude. Ensuite, il s’agira de développer des solutions aux problèmes auxquels nous devrons faire face tous ensemble."
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Les limites de la tolérance humaine dépassées

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La limite de température ambiante du "bulbe humide" (cette appellation fait référence à la température de l’air saturé d’humidité) pour les personnes les plus jeunes et en meilleure santé est d’environ 31 °C, d’après des travaux publiés par des chercheurs de Penn State en 2022.
Toutefois, outre la température et l’humidité, le seuil spécifique pour chaque individu à un moment donné dépend également de son niveau d’effort. Des facteurs environnementaux, tels que le rayonnement solaire et la vitesse du vent, ne doivent pas non plus être négligés.
Dans les conclusions de cette récente étude, les chercheurs ont souligné le fait que des températures et une humidité dépassant les limites humaines n’avaient été enregistrées qu’un nombre de fois limité dans l’histoire de l’humanité (et seulement pendant quelques heures) en Asie du Sud-Est et au Moyen-Orient.

Si les températures mondiales devaient croître de 2 °C par rapport aux niveaux préindustriels, les 2,2 milliards d’habitants du Pakistan subiraient, chaque année, un grand nombre d’heures de chaleur dépassant la tolérance humaine. Il en serait de même pour la population de la vallée de l’Indus (Inde), les 800 millions d’habitants de l’Afrique subsaharienne et le milliard d’habitants de l’est de la Chine.[/size][/size]

Josué

Josué
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Selon le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (Giec), le monde est en voie de franchir le seuil critique du réchauffement de 1,5°C par rapport aux niveaux préindustriels, et ce au début des années 2030. Le réchauffement climatique a provoqué une cascade de conséquences météorologiques extrêmes, notamment des vagues de chaleur plus intenses, des sécheresses plus graves et des tempêtes devenues plus violentes avec la montée des eaux.



Les plus durement touchés sont les personnes les plus vulnérables et les pays les plus pauvres du monde, qui ont peu contribué aux émissions de combustibles fossiles qui alimentent le réchauffement climatique. "Nous devons agir maintenant pour protéger les personnes qui sont en première ligne et pour limiter la hausse de la température mondiale à 1,5 degré, afin d'éviter le pire du chaos climatique", a déclaré le chef de l'ONU. "Le monde ne peut pas attendre".



La fonte des glaciers peut déclencher des inondations destructrices de "lacs et de rivières, emportant des communautés entières", a ajouté le Portugais. Mais si rien ne change, les glaciers vont bientôt s'assécher, a-t-il prévenu. "A l'avenir, les grands fleuves" comme "l'Indus, le Gange et le Brahmapoutre" qui prennent leur source dans les hauteurs de l'Himalaya "pourraient avoir des débits considérablement réduits", a-t-il déclaré. "Cela signifierait une catastrophe", a encore souligné le chef des Nations unies.

Josué

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Submersion des Tuvalu : de la Com pour l’Australie !
17 novembre 2023 15 h 34 min
Tuvalu Submersion Australie Com


Le premier ministre de l’Australie, Anthony Albanese, qui vient de se prendre une veste mémorable avec le non massif à son referendum sur les aborigènes, a monté une opération de Com pour se rétablir en offrant l’asile climatique aux citoyens de Tuvalu (280 par an, avec visas particuliers et droit de résidence permanent sur la grande île) censément menacé par la submersion de leur archipel par le réchauffement anthropique. Et il a aussi promis l’aide de l’Australie aux habitants de Tuvalu pour qu’ils puissent « rester chez eux dans la sécurité et la dignité ».



L’Australie craint la submersion par la Chine
On comprend que cela peut aider la politique étrangère de l’Australie, inquiète de l’avancée de la Chine dans la région, et le premier ministre de Tuvalu, Kausea Natano, soigne ses relations diplomatiques avec Taiwan. Mais on peut dire qu’Albanese ne regarde pas aux moyens, car les Tuvalu se portent à merveille et gagnent même en surface. Lorsque Seve Paeniu, le ministre des finances de Tuvalu, a raconté dans un interview que l’archipel était en train de couler face à la montée de la mer provoquée par le réchauffement du climat, et qu’il était menacé de tornades tropicales toujours plus nombreuses et violentes, il a menti effrontément, sans le moindre état d’âme.



La surface des Tuvalu s’accroît
En effet, même le GIEC, dont on connaît pourtant la communication alarmiste, ne mentionne nulle aggravation ni accélération de l’activité cyclonique dans la région. Il a conclu dans son sixième rapport que l’indice de confiance des prévisions à long terme sur la plus grande fréquence et intensité des cyclones tropicaux était « bas ». Et surtout, la superficie des Tuvalu s’accroît. Les recherches menées depuis 2010 le montrent. Sur les 27 îles composant les Tuvalu, Kiribati et les Etats Fédérés de Micronésie, depuis 60 ans, 80 % ont gardé leur taille ou crû, certaines brutalement. Selon National Geographic, « quelques îlots ont crû de 5,6 hectares en dix ans, et l’atoll principal des Tuvalu, Funfuti (33 îlets autour du bord d’un lagon) a gagné 32 hectares en un siècle ».



La submersion des îles : bobard et Com écolo
Une étude de 2018 publié dans le journal scientifique GIScience & Remote Sensing montre que 45 des 28 îles inhabitées de Funafuti ont grandi ces dernières années. Les gens de Tuvalu le savent très bien, et en dépit des simagrées politiques, par exemple du ministre des Affaires étrangères agenouillé dans la mer en train de lire un message à la COP (c’était la COP26 à l’époque), l’archipel connaît non une émigration vers l’Australie forcée par la submersion, mais une forte immigration : il y a 20 % d’habitants en plus que voilà trente ans. Une étude plus vaste menée en 2021 sur 221 îles du Pacifique et de l’océan Indien conclut dans le même sens. Les Maldives, par exemple, ont gagné 37,5 kilomètres carrés entre 2000 et 2017. La submersion des archipels est un folklore d’exportation pour sommets écologistes en occident : sur place, tout va bien.



P.M.

papy

papy

[size=32]Kenya : après la sécheresse, "l'eau a tout détruit"[/size]
[size=14]Par Sciences et Avenir avec AFP le 22.11.2023 à 18h22, mis à jour le 28.11.2023 à 13h04[size=16]Ecouter 5 min.[/size]
La Corne de l'Afrique ne s'était pas encore relevée d'une sécheresse dévastatrice qui a affecté des millions de personnes lorsqu'elle a été balayée par des pluies diluviennes liées au phénomène météorologique El Nino, qui ont provoqué d'importantes inondations, au Kenya, en Somalie et en Ethiopie notamment.
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Les inondations liées au phénomène El Nino ont durement affecté le comté de Garissa, dans l'est du Kenya

AFP - LUIS TATO


[size=15]Plusieurs jours après avoir vu sa maison submergée par les inondations dans l'est du Kenya, Fatuma Hassan Gumo est retournée sur place pour récupérer ce qui pouvait encore l'être dans les eaux boueuses: à peine quelques ustensiles de cuisine.
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chico.

chico.

[size=38]Sable du Sahara : alerte aux particules fines en France et en Suisse[/size]

Un voile de poussières venues du Sahara recouvre la Suisse et le sud-est de la France ce samedi 30 mars. « Le seuil d’alerte » de pollution aux particules fines a été dépassé dans toute la région Paca mais aussi dans l’Hérault et le Gard.


  • La Croix 
  • le 30/03/2024 à 16:20




Lecture en 2 min.

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Nice sous un voile de poussières du Sahara le 30 mars 2024.VALERY HACHE / AFP

Un ciel jaunâtre sur une bonne partie de Suisse et dans le sud-est de la France. Une quantité exceptionnelle de poussières du Sahara voile le ciel suisse depuis vendredi, réduisant dramatiquement la visibilité. Depuis ce samedi 30 mars, le sud-est de la France est également touché par cet épisode de pollution aux particules fines, ont annoncé les préfectures de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur (Paca) et de l’Hérault.

« Le seuil d’alerte » a été dépassé samedi dans toute la région Paca mais aussi dans l’Hérault et le Gard. « Ces particules s’ajoutent aux embruns marins, formés par les conditions météorologiques très venteuses sur le littoral. Ces phénomènes naturels entraînent une hausse importante des concentrations de PM10 », a précisé la préfecture de l’Hérault dans un communiqué.

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