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22 juillet Lecture de la Bible : Actes 22-25

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Josué

Josué
Administrateur

22 juillet Lecture de la Bible : Actes 22-25
Selon ce que dit Paul dans I Timothée 4:14, l’ensemble des surveillants de la congrégation formait le “groupe des aînés”, ou le “collège presbytéral” ou “des presbytres” (Liénart ; Jérusalem), ou encore le “corps des anciens”. (Darby.) (Voir Luc 22:66 et Actes 22:5 pour “l’assemblée des aînés”.) Les membres d’un tel “groupe [ou assemblée] des aînés” étaient tous égaux et occupaient la même position officielle ; aucun d’eux n’était prééminent ou le membre le plus important et le plus puissant de la congrégation. Chacun partageait joyeusement la responsabilité de surveiller et de paître la congrégation tout entière.
Eu égard à cela, que voulait dire l’apôtre Paul dans I Timothée 3:1 ? Dans ce texte, il déclare à Timothée : “Si quelqu’un recherche la charge de surveillant [épiskopê en grec], il désire une œuvre excellente.” Il ne parlait pas de chrétiens ambitieux qui s’efforceraient de devenir en tant que seul surveillant et responsable, le membre le plus important, le plus éminent et le plus puissant de la congrégation, un peu comme un “évêque” de la chrétienté qui règne sur une région (un diocèse) incluant un certain nombre de congrégations (I Tim. 3:1, Segond ; Synodale). Non, mais un tel homme désire seulement partager avec d’autres surveillants les devoirs consistant à veiller sur la condition spirituelle de la congrégation, à la nourrir spirituellement et à la diriger dans l’adoration de Jéhovah. Un tel homme s’efforce de remplir les conditions requises pour être surveillant, telles qu’elles sont énumérées par Paul dans les versets suivants (I Timothée 3:2-7) et qui correspondent à celles qui sont consignées dans Tite 1:6-9. Ces conditions requises prouvent qu’un tel homme “désire une œuvre excellente”.

Josué

Josué
Administrateur

Par exemple, beaucoup connaissent aujourd’hui des moments de découragement quand des ennemis parlent avec dédain du peuple de Dieu ou s’opposent à eux avec violence parce qu’ils défendent la vérité en tant que témoins chrétiens de Jéhovah. Un grand nombre de ceux qui pratiquent le vrai christianisme depuis cinquante ou soixante ans se souviennent des remarques et des actions malveillantes faites par leurs voisins ou d’autres personnes durant la Première Guerre mondiale et après à l’encontre des témoins de Jéhovah. Combien de fois ils ont été appelés par dérision Russellistes ou Auroristes ! Certains ont été battus, couverts de goudron et de plumes, emprisonnés, injuriés ou fouettés, quand on ne leur crachait pas dessus. Malgré tout cela, les témoins chrétiens de Jéhovah ont continué à effectuer l’œuvre ordonnée par Jéhovah, leur Dieu. Qu’est-ce qui leur a permis de l’accomplir ? C’est, en partie, l’intelligence, l’encouragement et la force que leur donnait la Parole de Dieu et les imprimés publiés par l’“esclave fidèle et avisé” en cette période de méchanceté.
En fait, le but de la Parole de Dieu est précisément de fortifier les serviteurs de Jéhovah. C’est pourquoi, quand on lit les différents livres de la Bible, on doit garder présents à l’esprit les renseignements relatifs au livre et à son rédacteur qui en constituent le cadre. En relisant les saintes Écritures, il est bien de se demander : “Pourquoi ont-elles été écrites ainsi ?”
Prenons un livre de la Bible et passons un peu de temps à déterminer les raisons de son style et de ses arguments caractéristiques. Nous parlerons particulièrement de la lettre que l’apôtre Paul adressa aux chrétiens de Jérusalem. Dans les Écritures grecques chrétiennes, elle porte généralement le titre de “Lettre aux Hébreux”. (Héb. 13:22.) En considérant les conditions qui existaient il y a dix-neuf siècles, quand Paul écrivit sa lettre, il nous sera plus facile de comprendre pourquoi il l’écrivit ainsi, afin de fortifier et d’encourager le peuple de Dieu.

Josué

Josué
Administrateur

(Actes 22:3) «Je suis Juif, né à Tarse en Ci • li'cia, mais éduqués dans cette ville aux pieds de Ga • • ma'li el , instruit selon la rigueur de la loi ancestrale, étant zélé pour Dieu, comme vous êtes tous aujourd'hui.

recherche partagée par Sœur Eleanor

Gamaliel était un pharisien bien connu. Il était le petit-fils de Hillel l'Ancien, qui avait fondé l'une des deux grandes écoles de pensée au sein judaïsme pharisien. Gamaliel était si estimé qu'il était le premier à être appelé Rabban, un titre supérieur à celui du rabbin. L'apôtre Paul a dit à la foule à Jérusalem qu'il a été «instruit aux pieds de Gamaliel. En ce qui concerne ce type de formation, le professeur Dov re du Jewish Theological Seminary of America écrit: «La précision de la loi orale, donc sa fiabilité, dépend presque entièrement de la relation maître-disciple: le soin apporté par le maître dans l'enseignement du droit et de la intentness du disciple à l'apprendre. Disciples ont été invités à s'asseoir aux pieds des savants "Paul avait été formé et éduqué par un des plus grands maîtres rabbiniques du premier siècle de notre ère» et boire leurs paroles avec soif. "

La question dans mon esprit en lisant ce fut: Pourquoi Paul serait le mentionner à la foule indisciplinée à Jérusalem?

Sans doute la référence de l'apôtre Gamliel a causé la foule à Jérusalem à accorder une attention particulière à son discours. Gamaliel était bien connu et son nom appelé au respect. Cependant, Paul désormais leur a parlé d'un enseignant de loin supérieure à Gamaliel, Jésus, le Messie. Il était comme un disciple de Jésus, pas de Gamaliel, que Paul s'est adressé à la foule. Quelle intelligence!
~ w96 7/15 pp 26-28

Josué

Josué
Administrateur

Caïphe, farouche adversaire du vrai culte
“CAR ce sont les lèvres du prêtre qui doivent garder la connaissance, et c’est de sa bouche qu’on doit rechercher la loi ; car il est le messager de Jéhovah des armées.” (Mal. 2:7). Ces paroles divinement inspirées indiquent qu’en Israël les prêtres, et notamment les grands prêtres, auraient dû être les champions du vrai culte. Cependant Caïphe, un grand prêtre du premier siècle, n’a pas vécu en conséquence. Il fut un des ennemis les plus acharnés de la voie de la vérité.
Valerius Gratus, prédécesseur de Ponce Pilate, gouverneur romain, le nomma grand prêtre vers l’an 18 (peut-être en 26 seulement). Son désir de garder à tout prix sa position fut une des raisons principales pour lesquelles il s’opposa de manière féroce aux fidèles serviteurs de Jéhovah Dieu.
Lorsque la nouvelle de la résurrection de Lazare fut de notoriété publique, Caïphe et la plupart des membres du Sanhédrin résolurent de mettre à mort Jésus Christ (Jean 11:43-53). Ce miracle porta un coup terrible à la secte des Sadducéens à laquelle Caïphe et sa famille appartenaient manifestement (Actes 5:17). Pourquoi ? Parce que les Sadducéens ne croyaient pas à la résurrection. — Actes 23:8.
Cependant, quand le miracle de la résurrection de Lazare fut examiné par le Sanhédrin, la croyance des Sadducéens ne fut pas discutée. Les uns et les autres craignaient pour leur position. Voici ce que rapporte le récit biblique : “Alors les prêtres en chef et les Pharisiens réunirent le Sanhédrin et dirent : ‘Que devons-nous faire, car cet homme opère beaucoup de signes ? Si nous le laissons continuer ainsi, ils auront tous foi en lui, et les Romains viendront enlever et notre lieu et notre nation.’ Mais l’un d’eux, Caïphe, qui était grand prêtre cette année-là, leur dit : ‘Vous n’y connaissez rien, et vous ne réfléchissez pas qu’il est de votre intérêt qu’un seul homme meure pour le peuple et que la nation ne soit pas détruite tout entière.’ Or, il ne dit pas cela de son propre chef ; mais, comme il était grand prêtre cette année-là, il prophétisa que Jésus était destiné à mourir pour la nation, et non seulement pour la nation, mais aussi pour rassembler dans l’unité les enfants de Dieu qui sont dispersés. Dès ce jour-là donc, ils tinrent conseil pour le tuer.” — Jean 11:47-53.
Caïphe, comme la majorité des membres du Sanhédrin, était d’avis de tuer Jésus Christ. Néanmoins, comme il était grand prêtre, il fut utilisé par Jéhovah pour prophétiser sur Jésus. Jéhovah avait fait une chose un peu semblable lorsque le devin Balaam voulut maudire Israël pour une récompense. Il l’obligea à bénir les Israélites et à prophétiser en leur faveur. — Nomb. 23:1 à 24:24 ; II Pierre 2:15 ; Jude 11.
Les prêtres en chef qui tinrent conseil pour tuer Lazare étaient sans doute Caïphe et Anne, son beau-père. Ils voulaient annuler l’impact puissant de la résurrection de Lazare, car elle incitait beaucoup de gens à avoir foi en Jésus. — Jean 12:10, 11.

Josué

Josué
Administrateur

Hardi devant des dirigeants
 Peu après, l’apôtre se défendit contre les fausses accusations de ses adversaires et donna le témoignage avec hardiesse à Félix (24:1-27). Devant les Juifs qui l’accusaient, Paul montra qu’il n’avait pas ameuté la foule. Il affirma croire à la Loi et aux Prophètes, et espérer en “une résurrection tant des justes que des injustes”. Il était venu à Jérusalem avec “des dons de miséricorde” (des contributions destinées aux disciples de Jésus dont la pauvreté résultait peut-être de la persécution) et s’était purifié selon les rites. Bien que Félix reportât le jugement, Paul lui prêcha par la suite, à lui et à Drusille, sa femme (fille d’Hérode Agrippa Ier), au sujet du Christ, de la justice, de la maîtrise de soi et du jugement à venir. En entendant ces paroles, Félix prit peur et congédia Paul. Cependant, par la suite, il l’envoya chercher fréquemment, espérant vainement recevoir un pot-de-vin. Félix savait que Paul était innocent, mais il le garda prisonnier dans l’espoir d’obtenir faveur auprès des Juifs. Deux ans plus tard, Porcius Festus lui succéda.
Devant Festus aussi, Paul présenta sa défense avec hardiesse (25:1-12). Si l’apôtre avait mérité la mort, il n’aurait pas demandé qu’on l’y soustraie, mais personne ne pouvait le livrer aux Juifs pour leur faire plaisir. “J’en appelle à César!” dit Paul, recourant au droit qu’avait un citoyen romain d’être jugé à Rome (à l’époque devant Néron). Son appel fut accepté. Paul irait donc ‘rendre témoignage à Rome’, comme prédit (Actes 23:11). Les Témoins de Jéhovah usent également des dispositions susceptibles de servir “la défense et l’affermissement légal de la bonne nouvelle”. — Philippiens 1:7.
Hérode Agrippa II, roi de la Judée septentrionale, et sa sœur Bérénice (avec laquelle il avait des relations incestueuses) entendirent Paul durant une visite qu’ils rendirent à Festus, à Césarée (25:13 à 26:23). En donnant le témoignage à Agrippa et à César, Paul accomplirait la prophétie annonçant qu’il porterait le nom du Seigneur à des rois (Actes 9:15). Rapportant à Agrippa ce qui s’était passé sur la route de Damas, Paul cita ces paroles que Jésus lui avait dites: “Il est dur pour toi de continuer à ruer contre les aiguillons.” Tout comme un taureau obstiné se blesse en résistant à des coups d’aiguillon, Saul s’était blessé en luttant contre les disciples de Jésus, qui avaient le soutien de Dieu.
Quelle fut la réaction de Festus et d’Agrippa (26:24-32)? Incapable de comprendre la résurrection et impressionné par la conviction de Paul, Festus lui dit: “Le grand savoir te mène à la folie!” De même, à notre époque, certains traitent les Témoins de Jéhovah de fous, quoiqu’en réalité, comme Paul, ceux-ci ‘prononcent des paroles de vérité et de bon sens’. “Tu me persuaderais bientôt de devenir chrétien”, dit Agrippa, qui mit fin à la séance, mais reconnut que Paul aurait pu être relâché s’il n’en avait pas appelé à César.

Josué

Josué
Administrateur

VOIE (LA)
Cette expression peut désigner une route, une rue, une piste ou un sentier ; une façon d’agir ou de se comporter ; la ligne de conduite, la manière ou la méthode normales. Dans les Écritures, elle est souvent employée à propos d’une ligne de conduite et d’action qui est soit approuvée, soit désapprouvée par Jéhovah Dieu (Jg 2:22 ; 2R 21:22 ; Ps 27:11 ; 32:8 ; 86:11 ; Is 30:21 ; Jr 7:23 ; 10:23 ; 21:Cool. Avec la venue de Jésus Christ, l’homme ne pouvait être en bonnes relations avec Dieu et l’approcher par la prière de la manière agréée qu’à condition d’accepter Jésus Christ. Selon les termes mêmes du Fils de Dieu : “ Je suis le chemin, et la vérité, et la vie. Personne ne vient vers le Père sinon par moi. ” (Jn 14:6 ; Hé 10:19-22). On disait de ceux qui étaient devenus disciples de Jésus Christ qu’ils étaient membres de “ La Voie ”, c’est-à-dire qu’ils adhéraient à une voie, ou manière de vivre, axée sur la foi en Jésus Christ, en suivant son exemple. — Ac 9:2 ; 19:9, 23 ; 22:4 ; 24:22.

Josué

Josué
Administrateur

“ Devant le tribunal de César ” (Actes 25:1-12)
3 Trois jours après son entrée en fonction, Festus, le nouveau gouverneur romain de Judée, s’est rendu à Jérusalem. Il y a entendu les prêtres en chef et les principaux personnages d’entre les Juifs accuser Paul de crimes graves. Ces hommes savaient que le nouveau gouverneur était tenu de maintenir la paix entre eux et tous les Juifs. Aussi lui ont-ils demandé une faveur : qu’il fasse venir Paul à Jérusalem et le juge ici. Seulement, cette demande masquait une sombre machination. Ils prévoyaient en effet de tuer l’apôtre sur la route de Césarée à Jérusalem. Mais Festus a refusé, disant : “ Que ceux donc d’entre vous qui sont au pouvoir [...] descendent avec moi [à Césarée] et l’accusent, s’il y a quelque chose de déplacé chez cet homme. ” (Actes 25:5). Ainsi, Paul a encore une fois échappé à la mort.
Jéhovah, par le Seigneur Jésus Christ, a soutenu Paul durant tous ses procès. On se souvient que Jésus avait dit : “ Bon courage ! ” à l’apôtre dans une vision (Actes 23:11). Aujourd’hui aussi, les serviteurs de Dieu rencontrent des obstacles et des menaces. Jéhovah ne nous soustrait pas à toutes les difficultés, mais il nous donne la sagesse et la force qu’il faut pour endurer. Nous pouvons toujours compter sur la “ puissance qui passe la normale ” que fournit notre Dieu d’amour. — 2 Cor. 4:7.
Quelques jours après, Festus “ s’assit au tribunal [“ sur le tribunal ”, Bible annotée] ” à Césarée. Devant lui : Paul et ses accusateurs. Pour réfuter les charges infondées, Paul a expliqué : “ Ni contre la Loi des Juifs, ni contre le temple, ni contre César, je n’ai commis de péché. ” Il était innocent et méritait qu’on le libère. Qu’allait décider Festus ? Voulant se concilier la faveur des Juifs, il a demandé à Paul : “ Veux-tu monter à Jérusalem pour y être jugé sur ces choses devant moi ? ” (Actes 25:6-9). Quelle proposition absurde ! Si Paul était renvoyé à Jérusalem, ses accusateurs deviendraient ses juges et il allait vers une mort certaine. En la circonstance, Festus a opté pour l’opportunisme politique plutôt que pour la vraie justice. Un autre gouverneur avant lui, Ponce Pilate, avait agi de même avec un prisonnier encore plus important (Jean 19:12-16). Aujourd’hui aussi, des juges cèdent à la pression politique. Ne nous étonnons donc pas que des tribunaux rendent des décisions arbitraires dans des procès touchant des Témoins de Jéhovah.

Josué

Josué
Administrateur

Hérode Agrippa II, roi de la Judée septentrionale, et sa sœur Bérénice (avec laquelle il avait des relations incestueuses) entendirent Paul durant une visite qu’ils rendirent à Festus, à Césarée (25:13 à 26:23). En donnant le témoignage à Agrippa et à César, Paul accomplirait la prophétie annonçant qu’il porterait le nom du Seigneur à des rois (Actes 9:15). Rapportant à Agrippa ce qui s’était passé sur la route de Damas, Paul cita ces paroles que Jésus lui avait dites: “Il est dur pour toi de continuer à ruer contre les aiguillons.” Tout comme un taureau obstiné se blesse en résistant à des coups d’aiguillon, Saul s’était blessé en luttant contre les disciples de Jésus, qui avaient le soutien de Dieu.
Quelle fut la réaction de Festus et d’Agrippa (26:24-32)? Incapable de comprendre la résurrection et impressionné par la conviction de Paul, Festus lui dit: “Le grand savoir te mène à la folie!” De même, à notre époque, certains traitent les Témoins de Jéhovah de fous, quoiqu’en réalité, comme Paul, ceux-ci ‘prononcent des paroles de vérité et de bon sens’. “Tu me persuaderais bientôt de devenir chrétien”, dit Agrippa, qui mit fin à la séance, mais reconnut que Paul aurait pu être relâché s’il n’en avait pas appelé à César.

Josué

Josué
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Hérode Agrippa II, roi de la Judée septentrionale, et sa sœur Bérénice (avec laquelle il avait des relations incestueuses) entendirent Paul durant une visite qu’ils rendirent à Festus, à Césarée (25:13 à 26:23). En donnant le témoignage à Agrippa et à César, Paul accomplirait la prophétie annonçant qu’il porterait le nom du Seigneur à des rois (Actes 9:15). Rapportant à Agrippa ce qui s’était passé sur la route de Damas, Paul cita ces paroles que Jésus lui avait dites: “Il est dur pour toi de continuer à ruer contre les aiguillons.” Tout comme un taureau obstiné se blesse en résistant à des coups d’aiguillon, Saul s’était blessé en luttant contre les disciples de Jésus, qui avaient le soutien de Dieu.
Quelle fut la réaction de Festus et d’Agrippa (26:24-32)? Incapable de comprendre la résurrection et impressionné par la conviction de Paul, Festus lui dit: “Le grand savoir te mène à la folie!” De même, à notre époque, certains traitent les Témoins de Jéhovah de fous, quoiqu’en réalité, comme Paul, ceux-ci ‘prononcent des paroles de vérité et de bon sens’. “Tu me persuaderais bientôt de devenir chrétien”, dit Agrippa, qui mit fin à la séance, mais reconnut que Paul aurait pu être relâché s’il n’en avait pas appelé à César.

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