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Un premier cas d'infection par le coronavirus

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Mikael
samuel
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Josué
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Josué

Josué
Administrateur

Un premier cas d'infection par le coronavirus proche du Sras confirmé en France
Le nouveau coronavirus (nCoV) a été détecté en septembre 2012. Il a tué 18 personnes de par le monde, dont sept en Arabie saoudite.
Par Francetv info avec AFP
Mis à jour le 08/05/2013 | 10:50 , publié le 08/05/2013 | 10:25

Un premier cas d'infection respiratoire aiguë par le nouveau virus proche du Sras (Syndrome respiratoire aigu sévère) a été confirmé en France, a annoncé mercredi 8 mai le ministère de la Santé.

"C'est le premier et seul cas confirmé en France à ce jour" par ce nouveau virus de la famille des coronavirus, a indiqué le ministère, en précisant qu'il concernait "une personne de retour d'un séjour aux Emirats arabes unis".

Dix-huit victimes dans le monde
Le nouveau coronavirus (nCoV) a été détecté en septembre 2012. Il a tué 18 personnes de par le monde. Le génome du virus, dont le nom de code est "nCoV/EMC 2012", a été décrypté, mais son origine et son mode de transmission ne sont pas établis.

La plupart des patients atteints sont passés par le Proche-Orient dans les semaines précédant l'infection, ou y vivaient. Sept d'entre eux sont morts en Arabie saoudite, sur onze cas détectés dans le pays.

Josué

Josué
Administrateur

Coronavirus : crainte de deux nouvelles contaminations dans le Nord
Le Point.fr - Publié le 10/05/2013 à 06:51 - Modifié le 10/05/2013 à 06:59
Un ex-voisin de chambre du premier malade français et un médecin ont été hospitalisés. Les résultats de leurs prélèvements seront bientôt conn
Les autorités sanitaires du Nord-Pas-de-Calais craignent depuis jeudi qu'un ancien voisin de chambre du premier malade français atteint du nouveau coronavirus et un médecin aient à leur tour été contaminés. Ces deux personnes ont été hospitalisées, notamment pour subir des prélèvements dont les résultats "seront connus prochainement", a indiqué l'Agence régionale de santé Nord-Pas-de-Calais (ARS) dans un communiqué.

Le voisin de chambre, un homme d'une cinquantaine d'années qui avait côtoyé le malade lors de son séjour au CH de Valenciennes du 27 au 29 avril, "présente depuis mercredi des symptômes nécessitant une consultation spécialisée d'infectiologie, complétée de prélèvements et d'une surveillance en hospitalisation en chambre individuelle", souligne l'ARS. L'un des médecins du CH de Valenciennes, âgé de 35 ans, qui a aussi été en contact avec le patient atteint de l'infection à coronavirus, "a présenté des symptômes nécessitant son hospitalisation au sein du service d'infectiologie du CH de Tourcoing afin d'y effectuer des prélèvements", ajoute l'ARS.

Un patient avait séjourné à Dubai

Ces deux personnes ont été "identifiées" lors de "la recherche des cas contacts", c'est-à-dire les personnes "ayant été en contact avec le malade au cours de son hospitalisation au centre hospitalier de Valenciennes, puis à celui de Douai. Ce dernier établissement, où a également séjourné à partir du 29 avril le patient infecté jusqu'à son transfert dans la nuit de mercredi à jeudi au CHRU de Lille, "indique l'absence de symptômes à ce jour parmi les sujets contacts identifiés au sein de cet établissement", précise l'ARS.

Le patient nordiste atteint du nouveau coronavirus, proche du SRAS, premier cas confirmé en France, était jeudi dans un état stable mais toujours très sérieux, au service de réanimation du CHRU de Lille, où il a été transféré dans la nuit de mercredi à jeudi. Ce patient, âgé de 65 ans, "a été immédiatement placé dans une chambre spécialement conçue pour permettre son isolement", où il a été pris en charge par une équipe dédiée, selon le CHRU de Lille. Il avait été hospitalisé le 23 avril à Valenciennes (Nord), puis transféré à Douai le 29 avril. Il avait séjourné à Dubai (Émirats arabes unis) du 9 au 17 avril.

Avant son hospitalisation, il était suivi à l'hôpital de Valenciennes pour une maladie chronique. Le malade présente une défaillance respiratoire ayant nécessité la mise en place mercredi d'une assistance extra-corporelle pour prendre le relais de ses fonctions pulmonaires, fait l'objet d"'une surveillance attentive", selon le CHRU de Lille. Ce premier cas français est intervenu dix ans après la pandémie de SRAS (syndrome respiratoire aigu sévère), partie de Chine, qui avait causé la mort de plus de 800 personnes et suscité l'inquiétude dans le monde. Des cas d'infection ont déjà été détectés en Arabie saoudite, en Jordanie, au Royaume-Uni et en Allemagne.

18 morts depuis septembre 2012

Au total, 30 cas confirmés dans le monde de ce nouveau coronavirus ont été notifiés à l'OMS depuis septembre 2012 et 18 personnes sont mortes. 22 cas, dont 13 décès, ont été identifiés en Arabie saoudite, deux cas (tous deux décédés) en Jordanie, quatre, dont deux décès, au Royaume-Uni, et deux cas, dont un décès, en Allemagne, avait indiqué mercredi le docteur Françoise Weber, directrice de l'Institut de veille sanitaire. Le docteur Weber avait souligné mercredi qu'à ce stade "la transmission inter-humaine était rare, avec seulement deux cas à ce jour". Les coronavirus sont une vaste famille de virus susceptibles de provoquer un large éventail de maladies chez l'homme, qui vont du rhume banal jusqu'au SRAS.

Le nouveau coronavirus - NCoV dans le jargon médical - a été détecté pour la première fois à la mi-2012. Il s'agit d'une souche particulière qui n'avait encore jamais été identifiée chez l'homme ni chez l'animal. Le ministère de la Santé a mis en place depuis mercredi un numéro vert, le 0800 13 00 00, pour informer la population.

chico.

chico.

Il en est question ici.
http://webmail1m.orange.fr/webmail/fr_FR/read.html?FOLDER=SF_INBOX&IDMSG=176705&check=&SORTBY=1

Josué

Josué
Administrateur

CORONAVIRUS - De la contagion et de l'isolement
Le Point.fr - Publié le 12/05/2013 à 11:20 - Modifié le 12/05/2013 à 15:03
Le professeur Didier Raoult, spécialiste des maladies infectieuses tropicales émergentes, décrypte les moyens d'endiguer ce nouveau virus.
Les infections virales respiratoires sont souvent contagieuses. Pour simplifier, il y a dans les infections virales respiratoires celles qui nous sont transmises par des animaux malades, mais qui ne sont pas transmissibles d'homme à homme (les zoonoses), et celles qui, s'adaptant à l'homme, deviennent transmissibles entre humains. Parmi les coronavirus, il existe un grand nombre de virus affectant toutes sortes d'animaux, des chauves-souris aux porcs, en passant par la volaille. Ce sont des virus qui sont déjà connus chez l'homme et qui déterminent des rhumes, mais, parmi ces virus, celui qui a créé le plus de dégâts chez l'homme est le virus du SRAS.

Le SRAS apparu en Chine a commencé à être épidémique à Hong Kong dans un hôtel où sa diffusion reste encore un mystère. À partir de Hong Kong, le SRAS s'est envolé aux quatre coins de la terre en infectant les patients. Ce virus a présenté un aspect particulièrement mystérieux du fait de sa très grande contagiosité initiale avec une mortalité importante et la disparition de cette contagiosité qui reste très mystérieuse. Les mesures qui ont été prises en réaction au SRAS ont été importantes, mais n'expliquent pas comment ce virus qui avait pu être transmis à autant de personnes n'ayant aucun contact les unes avec les autres dans l'hôtel de Hong Kong a pu se répandre d'une telle manière.

Le nouveau coronavirus diagnostiqué actuellement est apparu dans le Golfe, en particulier en Arabie saoudite. Les cas diagnostiqués l'ont été chez des hommes d'âge moyen et la mortalité rapportée est importante. Le devenir de ce virus qui a touché à l'heure actuelle deux personnes en France et sa capacité à devenir épidémique sont pour l'instant inconnus, mais reposent le problème de la contagion. Nous sommes pour l'instant assez mal équipés pour lutter contre la contagion, y compris pour la comprendre.

Mise en place d'outils électroniques

Pourtant, cette question va se reposer d'une façon régulière : ainsi, pour la tuberculose, deux épidémies récentes ont eu lieu à cause d'un mutant tuberculeux particulièrement contagieux, une en France et l'autre en Italie. Les mesures permettant de contenir les maladies épidémiques au départ sont à mettre en place, car pour l'instant nous sommes assez démunis et nous ne comprenons pas la manière dont les virus se répandent ou pourquoi ils deviennent contagieux.

À Marseille, dans le cadre du grand emprunt, nous sommes en train de construire un hôpital qui devrait permettre toutes les conditions d'observation et de mise en place de lutte contre les maladies extrêmement contagieuses dont on voit bien qu'elles constitueront un des enjeux majeurs de la santé dans le courant du XXIe siècle. La mise en place d'outils électroniques modernes de stratégie dédiés pour éviter la contagion est devenue une nécessité, de même qu'une réflexion sur la contradiction qu'il y a à isoler les patients dangereux tout en respectant les droits individuels de chacun qui, parfois, viennent en contradiction avec la santé de la population.

Josué

Josué
Administrateur

Nouveau coronavirus : ce que l'on sait aujourd'hui
Le Point.fr - Publié le 13/05/2013 à 13:31 - Modifié le 13/05/2013 à 16:10
Pour le moment, les spécialistes ne sont pas très inquiets : la pandémie ne nous guette pas. Mais la vigilance s'impose. État des lieux.
Les malades français

Le premier est un homme de 65 ans qui a voyagé à Dubai et qui était suivi pour une maladie chronique, mais chez qui les troubles respiratoires n'avaient alors pas été détectés. L'homme de 50 ans qui a partagé pendant quatre jours sa chambre à l'hôpital de Valenciennes a été contaminé. Tous deux sont actuellement en réanimation à l'hôpital de Lille. Leurs pronostics vitaux sont engagés.

Les autres cas dans le monde

Selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS), il y aurait à ce jour 34 personnes infectées par ce nouveau coronavirus depuis septembre 2012 (sans compter le second cas français). Il s'agit en majorité d'individus vivant dans la péninsule arabique. Concernant les Européens, en plus du premier Français, on en compte quatre au Royaume-Uni et deux en Allemagne, en général des personnes ayant voyagé au Moyen-Orient.

Au total, 18 en sont mortes, dont 11 en Arabie saoudite.

L'agent en cause

Il s'agit d'un nouveau coronavirus (nCoV). Ces coronavirus forment une famille très diversifiée, connue pour circuler facilement entre les espèces animales. Ils n'ont réellement fait preuve de leur dangerosité pour l'homme que depuis 2003 en provoquant une épidémie de SRAS (syndrome respiratoire aigu sévère) qui a coûté la vie à près de 800 personnes dans le monde, principalement en Asie (Chine et Hong-Kong).

Certains chercheurs estiment que le nCoV aurait pu passer chez l'homme sans provoquer de symptômes notables en 2011 dans la péninsule arabique. Il aurait ensuite contaminé d'autres espèces animales (des chauves-souris, peut-être des civettes - petits mammifères déjà incriminés dans le SRAS - ou d'autres), puis serait revenu au milieu de l'année 2012, doté alors d'un redoutable pouvoir pathogène en raison de sa grande variabilité génétique.

La contagiosité

La transmission d'homme à homme du nouveau coronavirus semble réelle, mais faible. Quelques chiffres suffisent à mesurer les risques : certes, un malade a contaminé son voisin de chambre à Valenciennes, mais aucun cas n'a, pour l'instant, été détecté dans l'entourage de ces deux hommes (plus de 160 personnes).

Par ailleurs, un Britannique tombé malade après avoir séjourné au Pakistan puis en Arabie saoudite, principal foyer suspecté pour le nCoV, avait contaminé à son retour en Grande-Bretagne deux autres personnes sur 103 "contacts proches" identifiés. Il s'agissait de deux proches, dont un a développé une forme très atténuée de la maladie, généralement caractérisée par de la fièvre, de la toux, un essoufflement et une difficulté à respirer.

Les symptômes

Ce sont essentiellement la fièvre, la toux, un essoufflement et d'autres difficultés respiratoires.

Les traitements

Après l'administration d'antibiotiques "de manière assez agressive", selon le professeur Benoît Guéry, du service d'infectiologie de l'hôpital de Lille, où les deux malades français ont été transportés, les patients ont dû être admis en réanimation. Là, ils bénéficient de mesures d'assistance circulatoire et respiratoire très sophistiquées, les moyens classiques étant insuffisants en raison des ravages causés par le nCoV.

Il n'existe pas de traitement préventif ni de vaccin contre le virus.

Les actions

Toutes les personnes ayant été en contact avec les malades sont interrogées quotidiennement sur leur état de santé. Il leur est recommandé de suivre des mesures d'hygiène et de porter un masque en cas de survenue de symptômes grippaux.

La ministre de la Santé, Marisol Touraine, a annoncé la mise en place d'un système d'information dans les aéroports internationaux pour les voyageurs à destination de la péninsule arabique. Elle recommande une "très grande vigilance" - notamment se laver les mains régulièrement et éviter tout contact avec des animaux -, mais prévient contre toute "inquiétude excessive".

L'OMS n'a pas émis de restriction au voyage en raison de la faiblesse des cas, mais recommande aux pays de renforcer la surveillance des infections respiratoires aiguës.

Psalmiste

Psalmiste

Ca me fait penser au verset qui dit que dans les derniers jours il y aura des pestes (de nouvelles maladies).

Josué

Josué
Administrateur

Psalmiste a écrit:Ca me fait penser au verset qui dit que dans les derniers jours il y aura des pestes (de nouvelles maladies).
a force de prendre des antibiotiques les microbes deviennent plus forts.

Josué

Josué
Administrateur

Le coronavirus fait un premier mort en France
Deux personnes ont été infectées par le coronavirus et hospitalisées au CHRU de Lille.

Par Francetv info
Mis à jour le 28/05/2013 | 14:31 , publié le 28/05/2013 | 14:31

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Il s'agit du premier décès en France. Le premier des deux patients hospitalisés à Lille après avoir été infectés par le coronavirus est mort, annonce le ministère de la Santé, mardi 28 mai.

Les deux patients avaient été placés en isolement dans une chambre en dépression, en réanimation. Le premier malade avait été hospitalisé le 23 avril à Valenciennes (Nord) à son retour d'un séjour à Dubaï. Sa contamination par le nouveau coronavirus avait été confirmée le 7 mai. La contamination du deuxième malade, un homme d'une cinquantaine d'années qui avait partagé la chambre du premier à Valenciennes du 27 au 29 avril, avait été confirmée dans la nuit du 11 au 12 mai.

Josué

Josué
Administrateur

RIYAD, Arabie saoudite - Le ministère de la Santé de l'Arabie saoudite, dit une femme est décédée d'un nouveau virus respiratoire liée au SRAS, portant le nombre total de décès dans le royaume à 18.
L'Arabie saoudite reste le centre pour le virus comme les enquêteurs de l'Organisation mondiale de la santé cherchent plus d'indices sur ses origines et comment il se transmet.
semaine dernière, l'OMS ont indiqué des responsables d'au moins 22 personnes sont mortes du virus à travers le monde sur les 44 cas.

L'Arabie Ministère de la Santé a annoncé que le virus de la dernière victime dans un communiqué dimanche. Selon le ministère, un étranger est également mort du virus en Arabie Saoudite mardi dernier après avoir symptômes ressemblant à la pneumonie. Aucun autre détail n'a été libérés.
Le virus a été comparée au SRAS, une infection respiratoire qui est apparue en Chine à la fin

Josué

Josué
Administrateur

Chikungunya, dengue : le risque s'installe en métropole
Mots clés : moustiques, dengue, chikungunya, Infographie
Par figaro iconPauline Fréour - le 28/04/2015
INFOGRAPHIE - Le moustique tigre, vecteur de ces deux maladies, colonise un nombre croissant de départements, augmentant la probabilité de contaminations dans l'Hexagone.
Il va désormais falloir s'habituer à l'idée de pouvoir contracter la dengue ou le chikungunya en métropole, car Aedes albopictus, lemoustique qui transmet ces maladies, n'est pas près de quitter l'Hexagone. C'est, en substance, ce qui ressort du Bulletin épidémiologique hebdomadaire que l'Institut national de veille sanitaire (InVS), consacre cette semaine à ces deux arboviroses.
Aperçu pour la première fois en métropole en 2004 dans les Alpes-Maritimes, le moustique tigre, ainsi surnommé en raison de son abdomen rayé, a depuis posé ses valises dans 18 départements du sud de la France. Il a aussi été repéré récemment dans huit autres dans le Nord et l'Ouest (voir carte ci-dessous), où il s'installera vraisemblablement dans les mois à venir.

«Avec l'intense circulation internationale des personnes et l'implantation croissante d'Aedes albopictus en zone tempérée, le risque [de dengue et de chikungunya] est maintenant globalisé et ne fera que croître avec la progression de l'implantation du moustique tigre», résume Jean-Claude Desenclos, directeur scientifique à l'InVS, dans l'éditorial du BEH.«Il est illusoire de penser que l'on puisse s'en débarrasser, car nous ne disposons pas, à l'heure actuelle, d'outils assez efficaces pour cela, même si diverses recherches sont menées en ce sens», confirme Vincent Robert, entomologiste médical à l'Institut de recherche pour le développement.
De proche en proche
Originaire d'Asie du Sud-Est, le moustique tigre a désormais conquis les cinq continents. «L'hypothèse la plus vraisemblable est qu'il est arrivé en Europe sous forme d'œufs pondus dans des pneus usagés. Une fois exposés à la pluie, les œufs ont éclos», explique le scientifique. L'insecte, qui emprunte volontiers les transports humains (voiture, train) et se reproduit dans les petites réserves d'eau douce près des habitations (coupelles de pots de fleurs, flaques, pneus usagés, citernes), s'est ensuite répandu de proche en proche.
En métropole, 2014 a été marqué par une explosion attendue de cas importés (2 327 cas de chikungunya et 953 cas de dengue), après l'épidémie de chikungunya qui a frappé les Antilles à partir de décembre 2013. Les cas autochtones, qui se distinguent des cas importés en ce qu'ils ont été contaminés par un moustique infecté en métropole, ont aussi été plus nombreux que les années passées, avec quatre cas de dengue en Paca et un foyer de chikungunya de douze personnes dans la région de Montpellier, le plus grand jamais observé dans l'Hexagone.
Recensement et démoustication
Étonnamment toutefois, ce n'est pas une personne en provenance des Antilles qui serait à l'origine de ces douze cas autochtones, mais un voyageur de retour du Cameroun. «Cela nous apprend que le risque est indépendant d'une forte pression de cas importés et que la menace est donc pérenne», analyse Amandine Cochet, épidémiologiste pour l'InVS en Languedoc-Roussillon, coauteur du BEH.
Le plan antidissémination, mis au point en 2006 par les autorités sanitaires et déclenché entre mai et novembre à chaque fois qu'un cas positif est signalé par les professionnels de santé, a permis de limiter l'expansion de l'épidémie. Il consiste à envoyer des épidémiologistes au domicile des malades pour repérer d'éventuelles contaminations, sensibiliser le voisinage et lancer des opérations de démoustication dans un rayon de 150 à 200 mètres.
Si le risque sanitaire reste pour l'instant assez faible, nous ne sommes pas à l'abri d'une épidémie plus importante, dans des conditions plus favorables pour le moustique, ce qui justifie de sensibiliser encore davantage les voyageurs se rendant dans des pays où circulent ces virus, souligne l'InVS. D'autant qu'il n'est pas à exclure qu'à la dengue et au chikungunya s'ajoutent un jour d'autres arboviroses comme la fièvre Zika dont les symptômes sont proches de ceux de la dengue et du chikungunya, préviennent les spécialistes.

samuel

samuel
Administrateur

Coronavirus Mers: l'Arabie saoudite interdit l'abattage des chameaux

AFP12/09/2015

L'Arabie saoudite a interdit vendredi l'abattage de chameaux pendant le pèlerinage annuel de La Mecque, après la forte hausse du nombre de décès dus au coronavirus Mers (syndrome respiratoire du Moyen-Orient).
Les cas d'infection par le Mers se multiplient à l'approche du Haj, le pèlerinage qui verra l'Arabie saoudite accueillir dans une dizaine de jours plus de deux millions de musulmans du monde entier sur les lieux saints de La Mecque et Médine.
L'accès aux sites sera interdit aux chameaux, a déclaré dans un communiqué le Comité permanent pour les fatwas (édit religieux), cité par l'agence officielle saoudienne SPA.
"Le Comité permanent pour les fatwas interdit tout abattage de chameaux à l'intérieur des sites en raison du développement du virus", indique le communiqué. Seuls les moutons et les vaches seront autorisés.
Selon la tradition, les pèlerins tuent des animaux pendant le pèlerinage et distribuent la viande aux plus pauvres.
D'après l'Organisation mondiale de la santé (OMS), les personnes travaillant au contact des chameaux sont les plus exposées au coronavirus Mers, une infection pulmonaire, présent dans une vingtaine de pays et qui frappe surtout l'Arabie saoudite.
Le ministère de la Santé a fait état de trois nouveaux cas vendredi, portant à 1.231 le nombre de personnes infectées par ce virus en Arabie saoudite.
Au total, 521 personnes sont mortes, dont 19 en une semaine fin août, dans le royaume depuis l'apparition du virus en 2012.
Le virus du Mers est plus meurtrier mais moins contagieux que celui du Sras, ou syndrome respiratoire aigu sévère, qui avait fait près de 800 morts dans le monde en 2003.
Le coronavirus Mers a un taux de mortalité d'environ 35%, selon l'OMS.

Josué

Josué
Administrateur

[size=33]VIDEO. Coronavirus: Les Etats-Unis franchissent la barre des 80.000 morts[/size]

PANDEMIE New York compte à elle seule le quart des morts déplorées, avec près de 20.000 décès

20 Minutes avec AFP
Publié le 12/05/20 à 05h01 — Mis à jour le 12/05/20 à 05h01



Un premier cas d'infection par le coronavirus 310x190_un-policier-dans-les-rues-presque-desertes-de-new-york
Un policier dans les rues presque désertes de New York. — Debra L Rothenberg/REX/SIPA
En tant que pays le plus meurtri par le nouveau coronavirus, les Etats-Unis ne cessent de franchir de bien tristes barres symboliques. Les 80.000 décès ont été dépassés lundi, selon le comptage de l’université Johns Hopkins. Surtout, ce bilan dramatique pourrait être sous-estimé de plusieurs milliers, ont averti les Centres américains de prévention et de lutte contre les maladies.





Un bilan quotidien en baisse


L’ensemble du territoire ne doit pas faire face à la pandémie de la même manière. La pire situation a lieu à New York. La ville compte à elle seule le quart des morts déplorées, avec près de 20.000 décès. Au total, les Etats-Unis devraient atteindre 103.000 morts d’ici le 30 mai, selon une moyenne de 20 modèles épidémiologiques réalisée par des chercheurs de l’université du Massachusetts.
Mais, pour la première fois depuis début avril, le bilan journalier enregistré dans le pays est passé dimanche sous la barre des 1.000 morts, avec 776 décès déplorés sur 24h. Il est toutefois trop tôt pour dire si cette baisse dénote une réelle tendance. En effet, si l’épidémie est en recul à New York, de nouveaux foyers sont apparus ailleurs, comme dans la région de la capitale Washington.

Le virus au cœur de la Maison-Blanche


Malgré ces mauvais chiffres, Donald Trump s’est une nouvelle fois lundi félicité de sa gestion de la crise. « Nous avons développé une capacité de tests (de dépistage) inégalée dans le monde », a ainsi estimé le locataire de la Maison-Blanche, soulignant que « 9 millions » de tests avaient été réalisés dans le pays.
En plus de se préoccuper du sort des Américains, la Maison-Blanche tente actuellement de limiter la propagation du coronavirus en son sein. Mais les premiers cas sont là. Et l’épicentre du pouvoir américain est un lieu où la distanciation sociale est difficile à appliquer. Donald Trump a cependant assuré que les chances que des membres de son cercle proche, ou lui-même, soient touchés par le Covid-19 étaient minimes. Mais, dans le même temps, le président américain a évoqué la possibilité de réduire ses contacts avec son vice-président Mike Pence, après un cas de coronavirus dans son entourage.
Surtout, tout le monde à la Maison-Blanche n’est pas aussi optimiste que Donald Trump. Kevin Hassett, conseiller économique du président, a résumé le week-end dernier le sentiment général d’une formule laconique : « Cela fait peur d’aller travailler. »

Josué

Josué
Administrateur

[size=55]«Ça va se terminer un jour ?» : ces malades qui ne guérissent pas du coronavirus[/size]

Alors qu’ils se pensaient remis du Covid-19, ces patients sont rattrapés par la maladie, parfois plusieurs semaines après. Les symptômes persistent, comme des «montagnes russes», les empêchant de retrouver leur vie d’avant. Récit de vies bouleversées par un virus qui s’acharne.



Un premier cas d'infection par le coronavirus IOKEJZBTMFTDEWHMVNRI7H3QMY Yasmine Gateau pour Le Parisien










Par Juliette Pousson
Le 21 mai 2020 à 07h00, modifié le 21 mai 2020 à 09h31


« Le Covid est entré dans votre vie. » Quand son médecin généraliste pose le diagnostic, Emmanuelle, 41 ans, ne s'attend pas à vivre aussi longtemps avec la maladie. Deux petites semaines à tenir, comme pour tous les autres, se dit-elle. L'assistante maternelle a bien vu, dans les médias, comment évoluait généralement l'infection. Elle a entendu des spécialistes parler de cette toux, de cette fièvre… symptômes qu'elle n'a pourtant jamais développés.

http://www.leparisien

Soixante-trois jours après l'annonce de son médecin, la maladie est encore là. Emmanuelle n'a toujours pas repris son travail. Comment le pourrait-elle alors qu'après une marche de 800 m depuis son domicile de Brueil-en-Vexin (Yvelines), elle doit allonger ses jambes tremblantes. Qu'une séance de kiné respiratoire de vingt minutes lui coûte deux à trois heures de repos sur le canapé. Et que cette impression de suffoquer, « comme si l'air venait à manquer », ne la lâche pas.

http://www.leparisien.fr/societe/ca-va-se-terminer-un-jour-ces-malades-qui-ne-guerissent-pas-du-coronavirus-21-05-2020-8320869.php#xtor=RSS-1481423633

Josué

Josué
Administrateur

[size=48]Covid-19 : ces 5 chiffres qui montrent que l'épidémie "continue de s'accélérer" dans le monde
Par LEXPRESS.fr ,publié le 22/06/2020 à 16:22 , mis à jour à 20:53[/size]
Un premier cas d'infection par le coronavirus Des-soignants-transportent-un-patient-atteint-de-symptomes-du-coronavirus-a-santiago-au-chili_6264790
La pandémie de Covid-19 "continue de s'accélérer" dans le monde, a prévenu lundi 22 juin le directeur général de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS), Tedros Adhanom Ghebreyesus.
 
MARTIN BERNETTI / AFP
Article Abonné

L'alerte a été donnée ce lundi par le directeur général de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, alors qu'un million de cas a été signalé en huit jours sur la planète.

Certains pays sont de plus en plus proches de retrouver la situation en vigueur avant mars, notamment en Europe. Un déconfinement avec l'objectif de relancer leurs économies. Mais d'autres, eux, sont toujours confrontés à une vague épidémique. La pandémie de Covid-19 "continue de s'accélérer" dans le monde, a prévenu ce lundi le directeur général de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS), Tedros Adhanom Ghebreyesus.  

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

[size=33]coronavirus et la pluie[/size]


[size=33]Le président, qui n'a cessé de minimiser la pandémie et a critiqué les gouverneurs qui prônaient la distanciation sociale, a annoncé qu'il avait le Covid-19.[/size]


De notre envoyée spéciale à Rio de Janeiro, Claire Meynial
Publié le 07/07/2020 à 19:57 | Le Point.fr 


Un premier cas d'infection par le coronavirus 20531506lpw-20531567-article-jpg_7220207_660x281
Jair Bolsonaro le 7 juillet 2020. :copyright: - / TV BRASIL / AFP


Après quelques fausses alertes, c'est désormais sûr : Jair Bolsonaro, le président du Brésil, rejoint la liste des dirigeants qui ont obtenu un test positif pour le nouveau coronavirus. Ce club très sélect inclut Boris Johnson (Premier ministre britannique), le prince Albert de Monaco et le président du Honduras, Juan Hernandez, tous guéris. « Le résultat positif vient d'arriver », a-t-il déclaré, devant les chaînes de télévision, après avoir eu de la fièvre la veille, qui n'aurait jamais dépassé 38 degrés, ressenti des courbatures et de la fatigue. Mais même comparé à Boris Johnson et Dona...

Amaytois

Amaytois
MODERATEUR
MODERATEUR

Bonjour

Nous pouvons remarquer que c'est l’Amérique et le Brésil, là ou deux énergumènes président qui possèdent le plus grand nombre de mort, mais aussi d'infecté.

Et quoi de plus normal puisque ces deux dictateurs ont minimisés cette maladie. Et dire que Trump veut se retirer de l'OMS. et que Bolsonaro à comme idole le locataire de la maison blanche.

Lechercheur



Amaytois a écrit:Bonjour

Nous pouvons remarquer que c'est l’Amérique et le Brésil, là ou deux énergumènes président qui possèdent le plus grand nombre de mort, mais aussi d'infecté.

Et quoi de plus normal puisque ces deux dictateurs ont minimisés cette maladie. Et dire que Trump veut se retirer de l'OMS. et que Bolsonaro  à comme idole le locataire de la maison blanche.    
Ils récoltent ce qu'ils ont semé, malheureusement c'est le petit qui trinque.

Rene philippe

Rene philippe

Comme d’habitude lechercheur.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Selon le virologue Bruno Lina, la trop faible immunité collective rend possible un regain épidémique à l'automne prochain.

Le scénario d'un rebond de l'épidémie de coronaviruss'installe dans la communauté scientifique. Selon un membre du Conseil scientifique, la trop faible immunité collective rend possible un regain épidémique dans plusieurs mois. "Les vagues épidémiques s'arrêtent lors d'une immunisation collective. Or le taux d'immunisation ne dépasse que 12 à 13% au maximum en France et en Europe. En plus le virus circule de manière planétaire, donc on doit s'attendre à une possible reprise épidémique à la période de l'automne", a estimé Bruno Lina lors d'un point du Conseil scientifique avec la presse.

Josué

Josué
Administrateur

De leur côté, les Etats-Unis semblent encore se débattre avec une première vague qui ne cesse de déferler. En Floride, nouvel épicentre, on joue indéfiniment la carte de l'insouciance : chaque jour en conférence de presse, le gouverneur Ron DeSantis répète la même phrase : "Tout va bien, il n'y a pas lieu de s'inquiéter". Pourtant, l'Etat, aux hôpitaux débordés, recense plus de 10 000 cas par jour. De l'autre côté de la planète, l'OMS envoie samedi une équipe en Chine pour une "mission préparatoire", qui aura pour but de déterminer l'origine du virus.

Josué

Josué
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La France fait état de 25 nouveaux décès, plus de 30.000 morts
Par Challenges.fr le 10.07.2020 à 20h02

La France a recensé vendredi 25 nouveaux décès liés au coronavirus, ce qui porte le bilan à 30.004 morts depuis le 1er mars, a indiqué la Direction générale de la santé (DGS) dans son point quotidien.

masques
Le nombre de patients hospitalisés pour une infection au Covid-19 poursuit sa baisse.

AFP - GEOFFROY VAN DER HASSELT
La France a recensé vendredi 25 nouveaux décès liés au coronavirus, ce qui porte le bilan à 30.004 morts depuis le 1er mars, a indiqué la Direction générale de la santé (DGS) dans son point quotidien.

Le nombre de patients hospitalisés pour une infection au Covid-19 poursuit sa baisse, à 7.062 contre 7.177 jeudi, soit 115 de moins. Le nombre de cas graves en réanimation continue également de refluer, à 496 contre 512 jeudi (-16).

Mikael

Mikael
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Des médecins renommés réclament "le masque obligatoire" dans les lieux publics clos
Par LEXPRESS.fr avec AFP,publié le 11/07/2020 à 19:53
Un premier cas d'infection par le coronavirus La-nouvelle-consigne-aux-entreprises-d-avoir-10-semaines-de-stocks-de-masques-doit-notamment-permettre-de-decentraliser-les-stocks-d-equipements-de-protection-sanitaire-face-a-un-eventuel-rebond-de-l-epidemie-de-coronavirus-estime-olivier-veran_6267522
"Il serait vraiment très regrettable de ne pas utiliser ces moyens efficaces et accessibles" pour freiner l'épidémie, écrivent les signataires.

afp.com/WANG ZHAO

Parmi les signataires figurent les infectiologues Eric Caumes, Karine Lacombe et Anne-Claude Crémieux, l'urgentiste Philippe Juvin et le néphrologue Gilbert Deray.

Quatorze médecins de renom ont réclamé ce samedi "le port du masque obligatoire dans tous les lieux publics clos" pour éviter que l'épidémie de Covid-19 ne reparte, constatant un relâchement dans le respect des gestes barrières.

Patrice1633

Patrice1633
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Moise avais annoncer des plaies en Egypte et elles sont arriver car c'est Jehovah qui l'avais annoncer et dit a Moise de l'annoncer.

La meme chose concernant l'epoque de la fin de ce systeme de chose, Jéhovah a montré a Jesus comment celà se passerais a notre époque aujourdhui, il a annoncet :

Luc 21:11
Il y aura de grands tremblements de terre et, dans un endroit après l’autre, des famines et DES EPIDEMIES. On verra des choses effrayantes, ainsi que de grands signes venant du ciel


Tout le temps de la fin nous assisterons a de tel evenements, on ne sais pas si Coronavirus restera jusqu'à Armagueddon mais chose est sur que ce sois elle ou une autre il y en auras encore ...

A la fin de tout une fois ce monde detruit les choses ancienne auront disparu ...
Nous ne reverrons plus les épidémies nous côtoyé.

https://www.jw.org/fr/

Amaytois

Amaytois
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Bonjour

En Belgique il est obligatoire de porter le masque

Dans les transports en commun ou lors de l’exercice de profession avec contacts rapprochés (coiffure, etc.) par exemple.
Lieux où le port du masque devient obligatoire ce 11 juillet

Mais, à partir du samedi 11 juillet, le port du masque est donc également imposé dans :

les magasins et les centres commerciaux
les cinémas
les salles de spectacle ou de conférence
les auditoires
les lieux de culte
les musées
les bibliothèques
les casinos et les salles de jeux automatiques
les bâtiments de justice (pour les parties accessibles au public).

Le communiqué de presse conjoint indique que "cette liste pourrait être amenée à évoluer dans le temps, en fonction de la situation épidémiologique de notre pays" mais aussi que "le port du masque reste toujours fortement recommandé dans les autres situations".

Josué

Josué
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l aura fallu attendre, mais la patience étant la mère de toutes les vertus... Le président Donald Trump est apparu pour la première fois samedi portant en public un masque de protection contre le coronavirus, le jour où les Etats-Unis ont enregistré un nouveau record de contaminations.

Cette première apparition masquée du président, lors d’une visite à l’hôpital militaire Walter Reed dans la banlieue de Washington, a une forte valeur symbolique aux Etats-Unis au moment où l’épidémie est en pleine expansion en particulier dans des Etats du sud comme la Floride ou le Texas. Le Covid-19 continue aussi de progresser rapidement en Amérique latine, où les bilans viennent de dépasser 71.000 morts au Brésil, 11.000 au Chili et 11.000 également au Pérou.

Le refus initial du masque pour le président
Depuis l’apparition du virus, Donald Trump avait évité de se montrer en public avec un masque, alors même que le port de cette protection est recommandé par les autorités sanitaires américaines. Il avait ainsi contribué à faire de cette question un enjeu de controverse politique, car le refus de porter le masque est vu dans une partie de la société américaine comme une affirmation de la liberté individuelle du citoyen face aux autorités fédérales et internationales.
https://www.20minutes.fr/monde/2820347-20200712-coronavirus-donald-trump-apparait-masque-public-premiere-fois-record-contamination-etats-unis?xtor=EREC-182-[actualite]

Rene philippe

Rene philippe

La liberté américaine vaincra le minuscule virus 😂😂

Mikael

Mikael
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Pas de problème c'est comme si c'était fait.

Josué

Josué
Administrateur

[size=33]Coronavirus : aux États-Unis, la déferlante n'en finit pas[/size]


[size=33]Le nombre de cas de Covid continue à grimper, surtout dans l'Ouest et le Sud, alors que certains gouverneurs rechignent à prendre des mesures drastiques.[/size]


 De notre correspondante à Washington, Hélène Vissière
Publié le 24/07/2020 à 12:06 | Le Point.fr


Un premier cas d'infection par le coronavirus 20573130lpw-20573822-article-jpg_7249066_660x281
File d'attente pour réaliser des tests de dépistage du Covid-19 à Miami Beach, en Floride, où des records de contamination ont été enregistrés au début du mois. :copyright: CHANDAN KHANNA / AFP
Le 15 juillet, les compteurs s'affolent en Géorgie. On compte ce jour-là près de 4 000 nouveaux cas de Covid, quelque 2 800 personnes hospitalisées, et le nombre de malades ne cesse d'augmenter. Le gouverneur républicain Brian Kemp décide alors de frapper un grand coup. Il promulgue un décret qui empêche les municipalités et les comtés d'imposer le port du masque en public ! Il avait précédemment au printemps interdit aux élus locaux de prendre des mesures plus restrictives que celles diligentées par l'État. Mais le décret du 15 juillet est beaucoup plus spécifique. Il annule ainsi les règles édictées dans plusieurs grandes villes comme Atlanta, Savannah, Athens…
Le lendemain, Brian Kemp va encore plus loin. Il lance une action en justice contre la maire démocrate d'Atlanta, l'accusant d'outrepasser ses pouvoirs, car elle continue à imposer le masque. Dans une conférence de presse, il l'accuse de mener « des politiques désastreuses qui menacent la vie de nos citoyens ». « Nous sommes tous d'accord sur le fait que porter un masque est efficace, j'ai confiance dans le fait que les Géorgiens n'ont pas besoin qu'on leur donne des directives pour bien se comporter », annonce-t-il. Sa « grande inquiétude », ajoute-t-il, c'est que les gens attendent trop que l'État leur dise quoi faire.



Lire aussi Covid : cette deuxième vague qui déferle sur le sud des États-Unis
Brian Kemp, trumpiste convaincu, a l'habitude de calquer ses décisions sur les positions du président. Au printemps, comme Trump, il minimise le danger et fait l'autruche, malgré la hausse du nombre de malades du Covid. Il finit, contraint et forcé, par décréter un confinement début avril qui va durer… trois semaines ! La Géorgie est le premier État à redémarrer son économie. Il n'est pas le seul. La majorité des gouverneurs des États conservateurs rechignent à imposer des mesures restrictives. Mais cette approche devient de plus en plus intenable. Ces dernières semaines, la pandémie a ravagé les États-Unis, particulièrement le Sud et l'Ouest. Quelque 4 millions d'Américains ont été testés positifs depuis le début de la pandémie. Plus de 144 000 sont morts et le nombre d'hospitalisés atteint le pic du 15 avril quand la crise était largement concentrée à New York.




Une Amérique coupée en deux


La bonne nouvelle, c'est que le rythme d'infections semble ralentir. Le nombre de nouveaux cas augmentait de 20 % par semaine le mois dernier. Cette semaine, il a augmenté de seulement 7 %. La situation ne s'améliore pas pour autant : le pays a enregistré dans la journée de mercredi près de 70 000 nouveaux cas, deux fois plus qu'il y a un mois. Et pour la première fois depuis le 29 mai, on a dépassé cette semaine le millier de morts quotidien. La Californie est l'État le plus touché, avec près de 13 000 nouveaux cas enregistrés le seul 21 juillet, un nouveau record.
Ces jours-ci, on se retrouve avec une Amérique coupée en deux, entre le Sud et l'Ouest, nouvel épicentre de la pandémie, et le Nord-Est plus épargné. Si les cas de Covid sont moindres du Delaware au Maine, c'est que ses États ont été dévastés en mars et avril et que les leaders politiques ont pris des mesures drastiques de confinement qui ont été largement suivies. Les résidents de l'Ouest et du Sud cependant sont beaucoup plus méfiants à l'égard du gouvernement fédéral à qui ils ne font pas confiance et semblent plus réticents à suivre les consignes sanitaires, notamment le port du masque.
Il faut dire que les messages contradictoires de l'administration n'ont pas aidé. Donald Trump n'a cessé de dire que le virus allait disparaître, que c'était une vulgaire grippe… Il a encouragé à déconfiner au plus vite, une erreur monumentale, et a contredit constamment ses spécialistes de la santé tout en vantant des traitements farfelus. Pas étonnant donc que beaucoup d'Américains soient persuadés que l'ampleur de la pandémie est exagérée ou doutent même de son existence.



Plus grave, il a laissé la responsabilité de la crise sanitaire aux États. La réponse est donc fragmentée et inégale, un patchwork de mesures qui dépend plus des opinions politiques du gouverneur que de la santé publique.

Situation incontrôlée


Signe que la situation s'aggrave, Donald Trump s'est exhibé avec un masque et a appelé les Américains à en porter un. Il a aussi admis lors d'un briefing que la pandémie « allait probablement empirer malheureusement avant de s'améliorer ». Et il vient d'annuler la Convention républicaine qui devait avoir lieu fin août en Floride.
Lire aussi Covid-19 : la volte-face de Donald Trump



Face à une épidémie de plus en plus incontrôlée, les gouverneurs, même les plus trumpistes, sont donc obligés de réagir. Dans l'Alabama, l'Arkansas et l'Indiana, États farouchement conservateurs, les gouverneurs viennent d'ordonner le port du masque obligatoire. Au Texas, Greg Abbott, qui avait empêché les municipalités de l'imposer, a fait machine arrière début juillet. Il a aussi fermé les bars et limité l'occupation des restaurants à 50 %. Mais il refuse d'annoncer des mesures plus restrictives quand bien même les cas explosent dans son État. Au sud du Texas, dans la vallée du Rio Grande, des juges dans des comtés très touchés par le Covid ont décrété le confinement, limitant les déplacements et les rassemblements. Mais sans effet. Ils ne peuvent pas faire respecter ces règles car le gouverneur refuse de leur accorder ce pouvoir. Rétablir un confinement « forcerait les Texans à la pauvreté », a-t-il déclaré. Selon lui, les autorités locales devraient commencer à faire respecter sérieusement le port du masque et la distance sociale, avant d'imposer des mesures plus draconiennes. Pour la seule journée du 23 juillet, on comptait au Texas plus de 9 500 nouveaux cas et 173 morts.

Josué

Josué
Administrateur

Un premier cas d'infection par le coronavirus Cholzo10
1832 Le journal de la France.

Josué

Josué
Administrateur

[size=38]« La Covid-19 ne va pas disparaître, nous allons vivre avec »[/size]

Romulus Breban est chercheur à l’unité d’épidémiologie des maladies émergentes à l’Institut Pasteur. Selon lui, tant que nous n’avons pas une immunité collective importante, nous resterons dans la phase la plus grave de la maladie : la phase pandémique, durant laquelle le virus touche le monde entier.


  • Propos recueillis par Laureline Dubuy, 
  • le 03/08/2020 à 09:27 
  • Modifié le 03/08/2020 à

Josué

Josué
Administrateur

[size=40]Coronavirus: les nouveaux cas au plus haut en France depuis fin mai[/size]
[size=14][size=14]Par Challenges le 06.08.2020 à 11h27
La France a recensé 1.695 nouvelles contaminations au COVID-19 en l'espace de 24 heures, annonce mercredi la direction générale de la santé, qui fait état par ailleurs d'une baisse du nombre d'hospitalisations comme de l'occupation des services de réanimation.[/size][/size]

Josué

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[size=48]Amérique latine-Caraïbes, la région du monde la plus endeuillée par le coronavirus
Par LEXPRESS.fr avec AFP ,publié le 07/08/2020 à 21:03 , mis à jour à 22:03[/size]
Un premier cas d'infection par le coronavirus Les-morts-du-coronavirus-se-multiplient-dans-le-plus-grand-cimetiere-de-sao-paulo-au-bresil-et-d-amerique-latine_6263066
Ces sept derniers jours, 44% des décès dans le monde ont été enregistrés en Amérique latine
 
NELSON ALMEIDA / AFP)

Avec au moins 213 120 décès, cette région dépasse l'Europe, qui comptabilise 212 660 morts.

L'Amérique latine et les Caraïbes sont devenues vendredi la région du monde la plus touchée en nombre de morts par le nouveau coronavirus, selon un comptage de l'AFP à partir de données officielles. 
Avec au moins 213 120 décès, cette région dépasse l'Europe, qui comptabilise 212 660 morts, selon un bilan établi à 17 heures. Les deux régions concentrent 6 décès sur 10 recensés dans le monde. 

44% des décès

Ces sept derniers jours, 44% des décès dans le monde ont été enregistrés en Amérique latine et aux Caraïbes (environ 18 300 pour un total de 41 500).  

Mikael

Mikael
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Ses récents propos à la télévision minimisant les chiffres de mortalité "ridicules" du Covid-19 ont fait polémique. Dans un long entretien accordé à l'Express, Yann Moix développe sa pensée en profondeur. L’écrivain fustige la "panique mondiale" : “Nous n’avons pas seulement combattu ce virus : nous en avons fait un dieu devant lequel s’agenouiller, un dieu à craindre

Josué

Josué
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[size=48]France, Italie, Allemagne... L'Europe s'inquiète du rebond de la pandémie
Par LEXPRESS.fr avec AFP ,publié le 22/08/2020 à 18:30 , mis à jour le 23/08/2020 à 08:58[/size]
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L'Italie a enregistré plus de 1000 cas quotidiens de Covid-19 ce samedi. (Photo by Vincenzo PINTO / AFP)
 
AFP

Plus de 1000 nouveaux cas en Italie, plus de 2000 en Allemagne et plus de 8000 en Espagne... Les contaminations quotidiennes se multiplient chez nos voisins malgré des mesures sanitaires parfois drastiques.

Le Vieux continent est inquiet. Depuis plusieurs semaines, les chiffres des contaminations quotidiennes de coronavirus en Europe sont mauvais, notamment en France, en Italie et en Espagne, trois pays déjà parmi les plus endeuillés au monde, montrant un rebond de la pandémie. 
La France a ainsi annoncé vendredi 4586 nouveaux cas en 24 heures. Depuis plusieurs semaines, cet indicateur est en augmentation régulière (+43% la semaine dernière, +39% la précédente), alors que le taux de dépistage est "stable", observe l'agence Santé publique France, qui fait état dans son dernier bulletin d'un doublement des cas tous les 17 jours. 
LIRE AUSSI >> Des masques gratuits pour tous les collégiens et lycéens, combien cela coûterait vraiment ? 
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Autres marqueurs de la "forte progression de la circulation du virus" : le nombre de nouveaux foyers de cas groupés ("clusters") est "toujours en augmentation" et le taux de reproduction (dit "R") se situe autour de 1,3 depuis fin juillet. Ce chiffre désigne le nombre moyen de personnes infectées par chaque porteur du virus. Lorsqu'il est au-dessus de "1", l'épidémie se développe. Résultat : sept départements sont désormais considérés en "vulnérabilité élevée" face à l'épidémie et 31 en vulnérabilité "modérée". La Polynésie française a, elle, été placée au stade 2 de l'épidémie ce samedi.  

A l'approche de la rentrée scolaire, le gouvernement a décrété le port du masque obligatoire dans les écoles pour les plus de 11 ans. Il l'est déjà dans des quartiers entiers de Paris et d'autres grandes villes, comme Lyon, Toulouse ou Nice. 

Nouveau record en Italie

De l'autre côté des Alpes, l'Italie a enregistré 1071 nouveaux cas de coronavirus au cours des dernières 24 heures, enregistrant ainsi son pire bilan quotidien depuis la fin du confinement en mai, selon un bilan officiel publié ce samedi. Ce dernier bilan confirme la courbe ascensionnelle observée ces derniers jours dans la péninsule: + 947 vendredi, + 845 jeudi, et + 642 mercredi. Les régions enregistrant le plus de nouveaux cas sont le Latium (région de Rome, + 215), la Lombardie (région de Milan, + 185) et la région de Venise (+ 160). 


Le bilan du ministère de la Santé fait également état de trois décès, portant le nombre de morts à 35 430 pour un total de 258 136 cas depuis le début de la pandémie. 
LIRE AUSSI >> Face à une reprise de l'épidémie, l'Europe se replie à nouveau sur elle-même 
La situation dans la région de la capitale est particulièrement préoccupante : les 215 nouveaux cas représentent "un nombre record", a commenté Alessio D'Amato, le responsable Santé du Latium. Il faut en effet remonter jusqu'au 28 mars, en plein confinement, pour trouver le précédent record, qui s'établissait à 208. 

Plus de 8000 nouveaux cas en Espagne en 24 heures



L'Espagne, malgré un confinement parmi les plus stricts au monde, le port du masque généralisé et des millions de tests effectués, est de nouveau parmi les pays les plus touchés, avec plus de 8000 nouveaux cas en 24 heures, selon un bilan communiqué ce samedi. 
Les autorités répètent qu'un des facteurs de la hausse du nombre de cas est l'augmentation des tests réalisés. L'Espagne a réalisé plus de 5,3 millions de tests depuis le début de l'épidémie, soit environ 11,5% de la population mais ce n'est pas plus que l'Allemagne (12,2%), l'Italie (12,8%) ou la Belgique (13,6%) et nettement moins que le Royaume-Uni (22,1%). 

LIRE AUSSI >> Covid-19 : pourquoi une vaccination obligatoire n'est-elle pas envisagée en France? 
Comment donc l'Espagne en est-elle arrivée là ? Plusieurs spécialistes mettent en cause le confinement draconien de la mi-mars au 21 juin. Pendant le confinement les Espagnols ne pouvaient sortir que seuls, et uniquement pour des raisons impératives. Les promenades ou joggings étaient interdits jusqu'à début avril. Les enfants ont été entièrement cloîtrés pendant des semaines. 
"La sévérité du confinement" puis "l'envie de rattraper le temps perdu" ont eu pour effet de "récréer de nouveaux foyers", affirme Salvador Mancip, médecin chercheur à l'université de Leicester et auteur des "Grandes épidémies modernes". 

L'Allemagne inquiète

Souvent citée en exemple pour sa gestion de l'épidémie, l'Allemagne a comptabilisé plus de 2000 nouveaux cas de Covid-19 ces dernières 24 heures, ont annoncé samedi les autorités. Au total, le pays déplore au moins 9267 morts. 
Le nombre de nouveaux cas quotidiens y a fortement progressé ces derniers jours. Les autorités l'expliquent par le retour de nombreux touristes allemands de congés d'été de l'étranger dans des zones à risque. Certains experts mettent aussi en avant un nombre de tests en forte progression dans la population. 
"L'évolution du nombre de cas à laquelle nous assistons à l'heure actuelle est préoccupante", a déclaré vendredi le porte-parole de la chancelière Angela Merkel, Steffen Seibert. "Cette situation doit nous inquiéter". 

Bruxelles classée à risque par Berlin

L'Allemagne a placé la ville de Bruxelles en zone à risque en raison du nombre élevé de cas d'infections au nouveau coronavirus, a annoncé vendredi le ministère des Affaires étrangères. 
Le ministère met en garde contre "les voyages touristiques, non indispensables" à destination de Bruxelles, où le nombre des nouvelles infections au Covid-19 dépasse le plafond de 50 contaminations pour 100 000 habitants sur sept jours, indique sur son site internet le ministère, qui avait déjà placé la province d'Anvers dans la catégorie des régions à risques il y a environ deux semaines. 
Les voyageurs en provenance de ces régions devront désormais se soumettre à un test de dépistage obligatoire à leur retour en Allemagne, et rester en quarantaine dans l'attente du résultat. 
Serrage de vis en Angleterre 
Même serrage de vis en Angleterre où le confinement est durci dans plusieurs zones du Nord-Ouest et où la deuxième ville la plus peuplée du pays, Birmingham, a été placée sous surveillance. [/size]

Josué

Josué
Administrateur

[size=40]Coronavirus: la situation sanitaire continue de se dégrader dans le monde[/size]
[size=14][size=14]Par Challenges.fr le 24.08.2020 à 10h17
La situation sanitaire liée à l'épidémie de coronavirus continue de se dégrader dans le monde, notamment en France et en Italie, alimentant la crainte d'une deuxième vague, au moment où les Etats-Unis font naître l'espoir d'un traitement au plasma.[/size]
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La situation sanitaire liée à l'épidémie de coronavirus continue de se dégrader dans le monde, notamment en France et en Italie

CHRISTIAN HARTMANN


La situation sanitaire liée à l'épidémie de coronavirus continue de se dégrader dans le monde, notamment en France et en Italie, alimentant la crainte d'une deuxième vague, au moment où les Etats-Unis font naître l'espoir d'un traitement au plasma.

Touchée de plein fouet en mars par l'épidémie qui avait mis son système hospitalier à rude épreuve, l'Italie est confrontée depuis plusieurs jours à une nette reprise de la circulation du virus favorisée notamment par les déplacements et les activités estivales des vacanciers.

Selon le dernier bilan officiel publié dimanche, 1.210 nouveaux cas de coronavirus ont ainsi été recensés dans le pays en l'espace de vingt-quatre heures. Un tiers des cas enregistrés dans la région de Rome sont liés à des séjours en Sardaigne.
En dépit de cette brusque hausse de la courbe de contagion, le ministre italien de la Santé, Roberto Speranza, s'est voulu rassurant dimanche, en jugeant que la situation était sous contrôle et en excluant un reconfinement général de son pays.

Au niveau local toutefois, l'inquiétude grandit. Le président de Campanie (autour de Naples) a ainsi suggéré de limiter de nouveau les déplacements entre régions d'ici la rentrée.
Aux États-Unis, le président Donald Trump a donné son feu vert dimanche à la transfusion du plasma sanguin de personnes guéries du coronavirus à des patients hospitalisés - un traitement dont l'efficacité fait toutefois encore débat.
Donald Trump a qualifié l'annonce de "percée historique" pour le traitement du Covid-19, de nature à "sauver un nombre incalculable de vies".
L'agence américaine du médicament (FDA) a néanmoins rappelé qu'il n'existait pas, pour l'heure, de preuve formelle que l'utilisation de plasma était efficace.
"Le plasma de personnes convalescentes marche probablement, même s'il faudrait le confirmer par des essais cliniques, mais pas comme traitement d'urgence pour des patients gravement atteints", prévient le Dr Len Horovitz, interne spécialisé en pneumologie à l'hôpital Lenox Hill de New York.

Eviter que "l'eau se remette à bouillir" 

Du côté de la France, la situation elle aussi se dégrade. Plus de 4.500 nouveaux cas de Covid-19 ont été enregistrés au cours des dernières 24 heures, selon les chiffres publiés dimanche par Santé Publique France.
Au total, 4.897 nouveaux diagnostics positifs ont été enregistrés, contre 3.602 samedi.
Un premier cas d'infection par le coronavirus W453-522186-001-1wo6zc-jpeg
"Nous sommes dans une situation à risques" face au Covid-19, a mis en garde le ministre de la Santé Olivier Véran dans un entretien au Journal du Dimanche. "Le risque", a-t-il insisté, "c'est que, après avoir enlevé doucement le couvercle de la casserole, l'eau se remette à bouillir".
Comme en Italie, un reconfinement général n'est toutefois pas à l'ordre du jour, les autorités privilégiant à ce stade des mesures territorialisées et promettant des contrôles renforcés.
Des contrôles à l'image de ceux effectués par les forces de l'ordre dimanche soir à Paris en marge de la retransmission de la finale de la Ligue des Champions entre le PSG et le Bayern Munich. Selon la préfecture de police, 274 personnes ont été verbalisées pour absence de port du masque, notamment dans un bar évacué à proximité des Champs-Elysées.
Au total, depuis son apparition en décembre dernier en Chine, la pandémie a fait au moins 805.470 morts dans le monde, selon un bilan établi par l'AFP dimanche à partir de sources officielles.
Les Etats-Unis sont le pays le plus endeuillé avec 176.765 morts. Viennent ensuite le Brésil (114.250), le Mexique (60.254), l'Inde (56.706) et le Royaume-Uni (41.423).

Bouchons à la frontière 

Face à un rebond du nombre de cas, les restrictions se multiplient depuis quelques semaines sur tous les continents, de la Corée du Sud à la Finlande - où des mesures strictes aux frontières entrent en vigueur ce lundi - en passant par la capitale du Paraguay.
Depuis dimanche, les quelque deux millions d'habitants d'Asunción et de ses banlieues ne peuvent plus se déplacer librement que de 5H00 (08H00 GMT) à 20H00 (23H00 GMT) dans le cadre d'une "quarantaine sociale" prévue pour durer jusqu'au 6 septembre.
Le rétablissement de certaines mesures ne va pas sans heurts ni crispations. De stricts contrôles sanitaires instaurés au cours du week-end par Vienne à la frontière slovène ont ainsi provoqué d'immenses encombrements et suscité la colère de la police slovène et l'inquiétude de la Croatie.
Plus tragique, l'arrivée de la police venue faire respecter le couvre-feu sanitaire en vigueur à Lima, la capitale du Pérou, a entraîné une bousculade dans une discothèque, qui s'est soldée par la mort de 13 personnes ce week-end, dont onze étaient infectées par le coronavirus.
Parallèlement à ce retour de contrôles et de restrictions, la vie va reprendre son cours normal ce lundi en Irlande du Nord avec la réouverture progressive des écoles, pour la première fois depuis mars.
En Birmanie, le respect de la distanciation sociale tourne quant à lui au casse-tête dans les camps surpeuplés où sont confinés les Rohingyas. Durant la semaine passée, 48 cas de coronavirus ont été recensés à Sittwe, la capitale de l'Etat de Rakhine, soit plus de 10% de la totalité des quelque 400 cas enregistrés jusqu'à présent en Birmanie.
"Si le confinement est imposé pour une longue période, nous aurons (...) besoin d'aide", a expliqué un Rohingya, Kyaw Kyaw.
(avec AFP)

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Mikael

Mikael
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[size=11]CHALLENGES  ENTREPRISE  SANTÉ
Santé
[size=40]Coronavirus: Plus de 3.000 nouveaux cas en 24 heures en France
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[size=14][size=14]Par Challenges.fr le 25.08.2020 à 19h40
Santé publique France a fait état mardi de 3.304 nouvelles contaminations dues au coronavirus en 24 heures, soit 1.349 de plus que la veille. Le nombre de patients hospitalisés s'élève par ailleurs à 4.600, ce qui fait 90 de moins que lundi, tandis que le nombre de personnes en réanimation passe de 399 à 410.[/size][/size]

Mikael

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Les mêmes causes produisant les mêmes effets, tous les ingrédients nécessaires pour voir apparaître une vraie deuxième vague sont là", alerte Mircea Sofonea, épidémiologiste à l'université de Montpellier, dans une interview àL'Express."Nous ne le percevons pas forcément car nous sommes sur un rythme plus lent de progression de l'épidémie. Mais encore une fois, la situation a de quoi inquiéter."

D'autant que pour certains malades du Covid, le calvaire peut s'avérer long. Sans que leurs cas soient étayés scientifiquement à ce stade, des patients racontent souffrir des symptômes persistants. Au quotidien, la douleur se mêle au manque de reconnaissance et à l'impression de ne pas être pris au sérieux. L'Express a recueilli leurs témoignages.

Du côté des traitements, la piste de l'hydroxychlroquine semble définitivement écartée après une nouvelle étude portant sur près de 33 000 patients. Celle-ci confirme l'inefficacité de l'hydroxychloroquine, molécule dont l'usage a été préconisée par le Pr Raoult, et sa dangerosité quand associée avec l'azithromycine.

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[size=33]Coronavirus : près de 9 000 nouveaux cas en France, un record[/size]

[size=33]VIDÉO. 8 975 cas ont été confirmés depuis jeudi, un indicateur en nette hausse par rapport aux jours précédents. 53 nouveaux clusters ont également été détectés.

 Source AFP[/size]

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Avec le confinement, nous avions cru – ou voulu croire – que le pic de la crise était passé. Seulement voilà : l’épidémie est de nouveau active et l’heure est aux mauvaises nouvelles. "Fermeture des bars" ; "interdiction des rassemblements publics" : voilà ce qui se dessine à Marseille et en Guadeloupe si la situation ne s’améliore pas, a prévenu ce jeudi Olivier Véran, tandis que de nouvelles restrictions sont attendues à Lyon et Nice. Le ministre de la Santé a également indiqué que les tests dits "antigéniques" étaient autorisés et que le port du masque devenait obligatoire pour les professionnels dans les crèches. 

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[size=33]Vaccin contre le coronavirus : le décollage raté de Spoutnik V[/size]


[size=33]Fiabilité douteuse, tests inachevés, production limitée… Cinq semaines après l'annonce de Vladimir Poutine, le vaccin russe a du plomb dans l'aile.[/size]


 Par Marc Nexon
Publié le 22/09/2020 à 11:00 | Le Point.fr


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Un Moscovite teste le vaccin russe Spoutnik V contre le coronavirus, le 10 septembre.    :copyright: NATALIA KOLESNIKOVA / 



« Ma fille a eu un peu de fièvre après chacune des deux injections, mais elle va bien… Notre vaccin est tout à fait efficace. » C'était le 11 août. Ce jour-là, Vladimir Poutine célèbre l'homologation de Spoutnik V, présenté comme le premier vaccin au monde disponible contre le coronavirus. Pour convaincre l'opinion, il cite même l'exemple de l'une de ses deux filles. Un détail qui en dit long sur l'enjeu, car le chef du Kremlin n'aborde jamais en public le sujet de ses enfants.
Depuis, de nombreux hauts responsables ont dû imiter la fille du président, parmi lesquels le maire de Moscou, Sergueï Sobianine, et le ministre de la Défense, Sergueï Choïgou.




Imposture


Pourtant, un mois plus tard, une évidence s'impose. Spoutnik V ne tient pas ses promesses. La raison ? Il n'en est qu'au stade expérimental, plus précisément à la phase 3 de ses essais. Autrement dit, au même niveau de développement que les molécules d'AstraZeneca, de Moderna et de Pfizer aux États-Unis. Une imposture qui laisse la communauté scientifique pantoise. Y compris en Russie. « Cette violation des standards internationaux a pour objectif de servir les ambitions géopolitiques du président », souligne Anastasia Vassilieva, à la tête du syndicat Alliance des médecins.
Lire aussi Covid-19 : la course au vaccin s'accélère



De fait, depuis son annonce triomphante, Moscou affirme engranger les commandes. Le Brésil, le Mexique, l'Inde et l'Arabie saoudite auraient déjà signé des accords. Et une dizaine d'autres pays s'apprêteraient à franchir le pas. Le tout pour un total de 1,2 milliard de doses, la plupart produites localement. Une offre désintéressée, insistent les autorités russes. « On le fait en toute transparence, a déclaré l'ambassadeur russe auprès de l'Union européenne Vladimir Chizhov, sans préférence et sans connexion politique ou économique. »
De belles paroles qui cachent néanmoins un dessein : s'assurer le monopole du vaccin dans les pays en développement. « Ça ne garantit pas à la Russie une implantation sur ces marchés, nuance Anastasia Vassilieva. La conclusion de tels contrats lui permettra surtout de disposer de nouveaux volontaires. »

Étude controversée


Car Spoutnik V peine, il est vrai, à décoller. D'abord en raison des doutes entourant les travaux de l'Institut Gamaleya, situé à Moscou et à l'origine de sa découverte. C'est un biologiste italien, Enrico Bucci, qui a sonné l'alarme après la publication des résultats russes dans la prestigieuse revue médicale britannique The Lancet. Un article pourtant destiné à prouver l'efficacité du vaccin. Or l'étude des données fait apparaître une anomalie : le niveau des anticorps se révèle parfaitement identique chez quelques-uns des 76 patients pourtant soumis à des formules moléculaires différentes. « La probabilité pour que cela arrive est extrêmement faible », note l'Italien Enrico Bucci. De quoi alimenter le soupçon d'un « copier-coller ». Et déclencher les protestations d'une partie de la communauté scientifique. Résultat, 38 experts ont adressé au magazine une lettre pointant les irrégularités statistiques de Moscou.



Lire aussi Vaccin russe : « C'est une honte, rien n'a été fait dans les règles ! »
Autre frein à l'expansion du vaccin russe : sa production limitée et désorganisée. Une situation liée aux tests toujours en cours. Exemple ? À Moscou, 700 personnes seulement auraient été vaccinées sur un total de 60 000 volontaires déclarés. En Crimée, une péninsule de 2 millions d'habitants, les doses acheminées permettent de pratiquer des injections sur une vingtaine de personnes. Pas davantage.

Concurrence chinoise


Enfin, dernier obstacle : la Chine. Spoutnik V rencontre sur sa route les vaccins chinois conçus par la compagnie Sinopharm et également destinés à approvisionner les pays en développement. Une concurrence qui se transforme parfois en camouflet pour la Russie. C'est le cas en Égypte, où les autorités affichent leur préférence pour les deux vaccins de Pékin en dépit des promesses de partenariat et de délocalisation faites par Moscou. « Ils sont sous la supervision de l'Organisation mondiale de la santé », a même ajouté Hossam Hosni, le chef du comité scientifique égyptien, dans une critique à peine voilée à la Russie.



Reste une question : face à la défiance suscitée par Spoutnik V, Moscou parviendra-t-il à vacciner sa population ? « Les enseignants sont menacés de perdre leur poste s'ils ne s'y soumettent pas, raconte la responsable de l'association des médecins Anastasia Vassilieva. Mais, pour le corps médical, ce sera plus compliqué. Nous connaissons la valeur des données scientifiques de notre pays et nous savons que nous pourrions avoir de mauvaises surprises avec ce vaccin d'ici deux ou trois ans. »

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[size=33]Covid-19 : près de 27 000 nouveaux cas en France[/size]

[size=33]Le nombre de patients admis en réanimation continue d'augmenter tandis que 54 personnes sont décédées ces dernières 24 heures, selon Santé publique France.

 Source AFP[/size]

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[size=47]146 morts en 24 heures en France, premiers reconfinements en Europe... le point sur le coronavirus[/size]

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Nouveaux bilans, nouvelles mesures et faits marquants: un point sur les dernières évolutions de la pandémie de Covid-19 dans le monde.
Un premier cas d'infection par le coronavirus BB1abYhC© REUTERS/Clodagh Kilcoyne

[size=36]La situation en France[/size]


Le nombre de malades du Covid-19 actuellement en réanimation a dépassé lundi les 2.000 personnes, un seuil qui n'avait pas été atteint depuis mai, selon les chiffres officiels, qui font en outre état de 146 morts en 24 heures. Au cours des dernières 24h, 269 nouveaux malades ont été admis en réanimation (contre 147 dimanche) et sur les sept derniers jours, ce sont 1.441 qui y ont fait leur entrée. Le nombre de patients atteints de la forme la plus grave de la maladie et actuellement hospitalisés dans un service de réanimation est de 2.090, soit 151 de plus que la veille.

La dernière fois que l'on a compté plus de 2.000 personnes en réanimation pour Covid-19 remonte à la mi-mai. Au pic de l'épidémie, en avril, plus de 7.000 malades étaient hospitalisés en réa, un nombre qui a fortement chuté jusqu'à fin juillet, avant de remonter progressivement. Le ministre de la Santé Olivier Véran avait affirmé jeudi dernier que la France disposait d'un total de 5.800 lits de réanimation.

La situation est particulièrement tendue en Ile-de-France : avec 605 patients lundi, en nette hausse par rapport à vendredi (528), le taux d'occupation de lits en réanimation par des patients Covid a dépassé les 50% dans la région (54%), a indiqué l'Agence régionale de santé. Par ailleurs au niveau national, le taux de positivité (proportion des tests positifs par rapport au total des tests effectués) continue de progresser rapidement, à 13,4%, contre 9% il y a seulement 12 jours et environ 4,5% début septembre. Le nombre de nouveaux cas en 24h s'est établi à 13.243.

Le nombre de décès attribuables à la maladie s'élève lundi à 146 (contre 85 dimanche), portant le bilan total des décès depuis le début de l'épidémie à 33.623. Au total, 11.640 malades du Covid-19 sont aujourd'hui hospitalisées, soit 743 de plus que dimanche, tandis que le nombre quotidien de nouveaux malades hospitalisés a atteint 1.424.

https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/146-morts-en-24-heures-en-france-premiers-reconfinements-en-europe-le-point-sur-le-coronavirus/ar-BB1aceUg?ocid=msedgdhp

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Covid-19 : 258 décès enregistrés au cours des 24 dernières heures
Un premier cas d'infection par le coronavirus Px
LePoint.fr (avec AFP)
357 nouveaux cas graves ont également été admis dans les services de réanimation. 17 761 personnes sont actuellement hospitalisées dans le pays.

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[size=47]Coronavirus: Le bilan en Allemagne dépasse les 800.000 infections[/size]

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SANTE-CORONAVIRUS-ALLEMAGNE-BILAN:Coronavirus: Le bilan en Allemagne dépasse les 800.000 infections
Un premier cas d'infection par le coronavirus BB1b2YOs:copyright: Reuters/ANNEGRET HILSE CORONAVIRUS: LE BILAN EN ALLEMAGNE DÉPASSE LES 800.000 INFECTIONS
BERLIN (Reuters) - Le nombre de cas confirmés de contamination au coronavirus en Allemagne a grimpé à 801.327, soit 10.824 cas de plus que la veille, selon les données communiquées lundi par l'Institut Robert Koch (RKI) pour les maladies infectieuses.


Vidéo: Virus: l'Allemagne confrontée à une situation "très grave" (AFP)




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Virus: l'Allemagne confrontée à une situation "très grave"





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L'institut fait par ailleurs état de 62 décès supplémentaires, ce qui porte le bilan à 12.547 morts depuis le début de l'épidémie dans le pays.

(Bureau de Berlin; version française Jean Terzian)

Mikael

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Le bilan le plus lourd de ces six derniers mois. Plus de 2.400 personnes sont décédées du Covid-19 et près de 200.000 nouveaux cas ont été enregistrés ces dernières 24 heures aux Etats-Unis, selon les données de l’université Johns Hopkins publié mercredi.
C’est le deuxième jour consécutif que la barre des 2.000 morts quotidiens est franchie. La dernière fois que le nombre de morts quotidiens avait dépassé les 2.400 morts en une journée remonte à début mai, au plus fort de la crise sanitaire aux Etats-Unis.

Le virus en phase « exponentielle »

Face à cette nouvelle poussée de l’épidémie, qui est en phase « exponentielle » aux Etats-Unis selon les autorités sanitaires, de nombreux Etats ont, les uns après les autres, réimposé des restrictions malgré l’arrivée de la période des fêtes.
Thanksgiving est aux Etats-Unis une grande fête familiale, plus importante que Noël pour beaucoup, où amis et familles se retrouvent autour de la traditionnelle dinde farcie. Sans aller jusqu’à interdire les déplacements, les Centres américains de prévention et de lutte contre les maladies (CDC) avaient appelé pour la première fois les Américains à ne pas voyager pour cette fête.

Des flux de voyageurs pour Thanksgiving

Mais les images de millions d’Américains voyageant dans des aéroports bondés, à Chicago, Washington, New York, ont alimenté les inquiétudes. « Cette année, nous demandons aux Américains de renoncer à de nombreuses traditions qui ont longtemps fait de cette fête un événement si spécial », a déclaré mercredi le président élu Joe Biden dans une allocution depuis sa ville de Wilmington, dans le Delaware.

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[size=38]Covid-19 : les besoins humanitaires atteignent des records, alerte l’ONU[/size]

Les faits 

Les besoins humanitaires sont montés à un record de 35 milliards de dollars en 2021 à cause du Covid-19. Selon les plans de réponse humanitaire coordonnés par l’ONU, avec le choc de la pandémie, le nombre de personnes ayant besoin d’aide humanitaire dans le monde va augmenter de 40 %.



  • La Croix (avec AFP), 
  • le 01/12/2020 à 06:04 
  • Modifié le 01/12/2020 à 11:12



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Des Ethiopiens, qui ont fui les combats dans la région du Tigré, attendent une distribution de nourriture, le 27 novembre 2020 dans un camp de réfugiés à Hamdayti, au Soudan.[size=12]AFP/ARCHIVES
[/size]

L'ONU a lancé mardi 1er décembre un appel humanitaire record de 35 milliards de dollars (29 milliards d’euros) pour 2021, la pandémie ayant plongé des centaines de millions de personnes dans la pauvreté et des famines se profilant.
Avec le choc de la pandémie de Covid-19, le nombre des personnes ayant besoin d’aide humanitaire dans le monde va atteindre un nouveau record de pauvreté.

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[size=33]Covid-19 aux États-Unis : « On va parler de 3 000 morts par jour, c'est-à-dire un 11 Septembre chaque jour »[/size]

[size=33]Le coronavirus a déjà tué plus de 280 000 personnes aux États-Unis et la situation devrait encore s'aggraver après les réunions familiales de Thanksgiving.[/size]

 De notre correspondante à Washington, Hélène Vissière
Modifié le 06/12/2020 à 12:52 - Publié le 06/12/2020 à 10:19 | Le Point.fr


Aux États-Unis, la semaine qui vient de s'achever est l'une des pires sur le front de la pandémie depuis neuf mois. Le pays a enregistré presque tous les jours de nouveaux records d'infections et d'hospitalisations. Plus d'un million de nouveaux cas ont été recensés sur les cinq premiers jours de décembre et, pour la première fois depuis le début de l'épidémie, plus de 101 000 personnes sont hospitalisées. Sur la seule journée de vendredi, 225 000 nouveaux cas et 2 563 décès ont été enregistrés, selon le Covid Tracking Project. La dernière fois que les États-Unis ont dépassé les 2 000 décès par jour, c'était en avril. Le virus a tué jusqu'ici plus de 281 000 personnes, presque cinq fois le nombre d'Américains tués au Vietnam et l'équivalent de la population de la ville de Strasbourg.
Et les experts prévoient une aggravation de la situation dans les jours à venir. En effet, malgré les multiples mises en garde et les appels désespérés du corps médical, beaucoup d'Américains se sont quand même rassemblés pour fêter Thanksgiving en famille fin novembre. Les médecins attendent donc une nouvelle vague de malades alors que les hôpitaux sont déjà au bord de la saturation. « La semaine prochaine, on va parler de 3 000 morts par jour, c'est-à-dire un 11 Septembre chaque jour », a déclaré le docteur Jonathan Reiner, professeur de médecine à l'université George-Washington.



Après avoir ravagé le Midwest, le virus sévit de nouveau sur la côte Est, l'épicentre de la maladie au printemps. Et cette fois, le nombre d'individus contaminés est supérieur à celui d'il y a huit mois, en partie parce que davantage de tests de dépistage sont réalisés. Vendredi, la Pennsylvanie a ainsi enregistré 12 000 nouveaux cas en une journée, plus de six fois son pic d'avril.

Dans l'attente du vaccin


Et l'on s'achemine vers le scénario catastrophe que les autorités redoutaient. Les centres de test ne peuvent pas faire face à la demande. Les hôpitaux sont débordés, le personnel soignant épuisé. Dans le Dakota du Sud, 37 cliniques ont renvoyé chez eux quelque 150 patients avec des ballons d'oxygène pour libérer des lits pour les personnes plus mal en point. Dans l'Idaho, petit État rural du Nord-Ouest, Jim Souza, directeur d'un centre hospitalier, a expliqué que son établissement était déjà plein à plus de 80 % et qu'une centaine de membres du personnel médical étaient absents, en quarantaine parce qu'ils étaient positifs ou avaient été exposés au virus. Il est plus que probable que dans les semaines à venir, on se retrouve à un point où il va nous falloir rationner les soins, a-t-il dit, en d'autres termes faire du triage.

Josué

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Une fatigue intense
Un premier cas d'infection par le coronavirus I93888-
Un malade du coronavirus sur trois est fatigué. La personne atteinte peut être diminuée au point de devoir rester allongée. Les symptômes sont toutefois très variables d’une personne à une autre. La durée moyenne de l’incubation a été estimée à 5,2 jours.

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