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Le bon côté du coronavirus

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samuel
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1Le bon côté du coronavirus Empty Le bon côté du coronavirus Dim 22 Mar - 16:55

Mikael

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Environnement
L'air plus pur dans les pays confinés pour cause de coronavirus

Par AFP - Publié le 22/03/2020 à 9h24



Le bon côté du coronavirus Lair-plus-pur-dans-les-pays-confines-pour-cause-de-coronavirusFlorence sous confinement et sous un ciel dégagé, le 21 mars 2020© AFP/Carlo BRESSAN



Paris (AFP)
Moins de transports, moins de production... Dans des pays à l'arrêt ou au ralenti pour cause de coronavirus, la population respire mieux grâce à une réduction de la pollution atmosphérique, même s'il est trop tôt pour en mesurer les effets à plus long terme.
Les images satellite de la Nasa sont éloquentes: en février, la concentration de dioxyde d'azote (NO2), produit principalement par les véhicules et les centrales thermiques, a baissé drastiquement à Wuhan, l'épicentre de l'épidémie du Covid-19. De rouge/orange, la carte est devenue bleue.
Le même phénomène a été observé début mars par l'Agence spatiale européenne dans le nord de l'Italie, zone confinée depuis plusieurs semaines pour lutter contre la propagation de la maladie. Il se produirait également à Madrid et Barcelone, où un confinement strict est de mise depuis mi-mars, selon l'Agence européenne de l'Environnement.

Le bon côté du coronavirus 05051716-b55b-4f2e-b522-c3dd0b798fb4-jpegAFP/Miguel MEDINA
Le NO2, gaz entraînant une inflammation importante des voies respiratoires, est un polluant avec une durée de vie courte.
Il reste "environ un jour dans l'atmosphère" et stationne à proximité des sources d'émissions, ce qui en fait un bon indicateur de l'intensité des activités humaines, explique à l'AFP Vincent-Henri Peuch, du programme européen de surveillance de la Terre, Copernicus.
Ces baisses radicales sont inédites. "C'est la première fois que je vois un changement aussi significatif sur une région aussi étendue et lié à un événement", expliquait Fei Liu, chercheuse de l'Agence spatiale américaine, dans le cas de la Chine.
Même lors de la crise économique en 2008/2009, la diminution "avait été plus continue dans le temps", complète Alberto González Ortiz, spécialiste en qualité de l'air à l'Agence européenne de l'environnement.


Dans le nord de l'Italie, "les niveaux de concentration moyen en NO2 ont été presque divisés par deux", relève Vincent-Henri Peuch.
- Et à long terme? -
Pour d'autres pays ou régions ayant pris des mesures de confinement - France, Belgique, Argentine, Californie, Tunisie, Bavière, Colombie -, il faudra attendre un peu pour voir l'évolution.
Pour autant, cela ne veut pas dire que l'air est pur: en Chine, Pékin a connu des épisodes de pollution aux particules fines en février, rapporte Nasa Earth Observatory. Idem à Paris, qui a enregistré un indice de pollution moyen en dépit du confinement, à cause de la présence de particules fines et d'ozone.
La concentration des polluants peut en effet varier selon la météo, explique Vincent-Henri Peuch. "Certaines sources d'émissions, comme la production d'énergie et celles liées au logement ne diminuent pas visiblement quand plus de personnes restent chez elles", ajoute-t-il.

Le bon côté du coronavirus 07cfba4d-6ba4-4185-bb56-b6f5e16ef60d-jpeg
Pour autant, les particules PM2.5 et PM10 et le monoxyde de carbone "devraient aussi diminuer au fil du temps" du fait notamment de la réduction des transports et de l'industrie, selon lui.
Quel impact sur la santé peut avoir cette parenthèse, quand la pollution atmosphérique provoque 8,8 millions de décès prématurés par an dans le monde, selon une étude récente?
"Toute baisse de pollution est bonne à prendre", souligne le pneumologue français Bruno Housset, président de la Fondation du souffle contre les maladies respiratoires.
A court terme, la pollution aux particules fines provoque une irritation des yeux, de la gorge, des gênes respiratoires. Chez les personnes âgées ou asthmatiques, un recours aux soins peut être nécessaire pour des pathologies respiratoires ou cardiovasculaires dans les jours ou les semaines qui suivent l'exposition. Dans les cas les plus graves, des décès peuvent intervenir.

A plus long terme, elle peut induire des maladies chroniques, respiratoires ou cardiovasculaires ou des cancers du poumon.
Le confinement peut donc permettre de "diminuer les effets inflammatoires", explique-t-il, d'autant que la qualité de l'air à l'intérieur des habitations dépend beaucoup de l'air extérieur.
"Les mesures de confinement font coup double à la fois en limitant le risque de transmission entre les individus mais également en diminuant la pollution notamment aux particules fines du trafic routier", abonde le collectif de médecins français Air-Santé-climat.
Difficile toutefois de mesurer les bénéfices plus lointains car "ce qui a le plus d'impact est l'exposition sur le long terme", rappelle Alberto González Ortiz.

 
Le bon côté du coronavirus 9

Josué

Josué
Administrateur

Le mauvais coté.

Ce que les Français ont acheté avant le confinement

Les ventes de gants de ménage, de farine et de pâtes ont explosé la semaine dernière, selon une étude du cabinet Nielsen.

Par Clémentine Maligorne et AFP agence

Publié hier à 12:28, mis à jour hier à 14:09


Dans un supermarché de Paris le 14 mars dernier. Benoit Tessier / REUTERS


Le bon côté du coronavirus Bab73110

Mikael

Mikael
MODERATEUR
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23 mars
À la Une aujourd'hui : l’inéluctable prolongation du confinement (mais pas "total"), la mort dans l’Oise d’un médecin contaminé, les conséquences de l’état d’urgence sanitaire sur les travailleurs, le scénario envisagé par le ministère de l’Éducation nationale et le quotidien d’une jeune interne à suivre chaque jour dans L’Express.
 

Mikael

Mikael
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6 ème jour de confinement..
Ma femme me dit d'aller faire un tour, et qu'elle paiera l'amende.

samuel

samuel
Administrateur

Bonne nouvelle, le prix de l'essence baise.
Mauvaise nouvelle impossible de circuler en voiture.

papy

papy

samuel a écrit:Bonne nouvelle, le prix de l'essence baise.
Mauvaise nouvelle impossible de circuler en voiture.
Bonne nouvelle car il y aura moins d'accidents de voitures.

Mikael

Mikael
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24 mars
À la Une aujourd'hui : les règles du confinement se durcissent en France, la Chine va lever les siennes dans le berceau de l'épidémie, la vente de chloroquine encadrée, notre enquête sur le risque de pénurie alimentaire et la peur du jour d'après. 

Josué

Josué
Administrateur


[size=55]Confinement : la qualité de l’air s’améliore enfin à Paris


Après l’annonce des mesures de confinement, un pic de pollution aux particules fines s’était fait ressentir, contre toute attente. Le phénomène semble s’atténuer grâce aux vents qui ont balayé l’Ile-de-France ce week-end.

[/size]

Le bon côté du coronavirus LIIGOJUKMDBZAFGKAOQSL5TQTYParis vide suite aux restrictions prises pour endiguer le Coronavirus. LP/Philippe Lavieille










Par Stanislas de Livonnière
Le 23 mars 2020 à 20h01


C'était une des surprises de la première semaine de confinement dans la capitale : un pic de pollution aux particules fines semblait faire fi de la quasi-disparition des engins motorisés dans les rues. Explication invoquée par Airparif en fin de semaine : un épisode de « pollution printanière », étranger à l'activité humaine.

Si la météo semblait en grande partie responsable du problème, elle semble aussi avoir apporté la solution. Comme annoncé par l'organisme qui surveille la qualité de l'air francilien, le vent s'est levé ce week-end et, avec lui, le pic de pollution s'en est allé.

Il n'y avait certes pas de quoi déclencher les seuils d'alerte : partie de 26 microgrammes par m3 le 15 mars, la concentration de particules fines (PM10) avait triplé au vendredi 20 mars.

Les particules fines légèrement sous la moyenne


Après avoir mis en cause le manque de vent, Véronique Ghersis, ingénieure prévisionniste chez Airparif, avait annoncé que le week-end allait inverser la tendance. Elle ne s'est pas trompée.

Des 68 microgrammes par m3 d'air enregistrés le 20 mars, on est tombé à 16 le lendemain. Le gros épisode venteux qui a traversé le bassin parisien a divisé la pollution en particules fines par quatre en moins de vingt-quatre heures.

A titre de comparaison, le rapport annuel d'Airparif signale que le niveau moyen dans la capitale pour les années 2016, 2017 et 2018 était de 21 microgrammes par m3 d'air. Le dernier bilan du 22 mars montrait donc que le niveau était inférieur de trois points à la moyenne annuelle.

Mikael

Mikael
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25 mars
À la Une aujourd'hui : une nouvelle attestation dérogatoire à remplir pour vos déplacements, le lourd bilan meurtrier dans les Ehpad, les recommandations du Conseil scientifique pour le confinement, les médecins divisés sur la chloroquine et les répercussions du report historique des JO de Tokyo

10Le bon côté du coronavirus Empty Re: Le bon côté du coronavirus Mer 25 Mar - 17:31

Josué

Josué
Administrateur

C’est la crise.

Les problèmes des boulangers sont croissants…
Alors que les bouchers veulent défendre leur beefsteak,
Les éleveurs de volailles se font plumer,
Les éleveurs de chiens sont aux abois,
Les pêcheurs haussent le ton !
Et bien sûr, les éleveurs de porcs sont dans le caca ,
Tandis que les céréaliers sont sur la paille.
Par ailleurs, alors que les brasseurs sont sous pression,
Les viticulteurs trinquent.
Heureusement les électriciens résistent.
Mais pour les couvreurs, c’est la tuile
Et certains plombiers prennent carrément la fuite.
Dans l’industrie automobile, les salariés débrayent,
Dans l’espoir que la direction fasse marche arrière.
Chez EDF, les syndicats sont sous tension,
Mais la direction ne semble pas au courant.
Les cheminots voudraient garder leur train de vie,
Mais la crise est arrivée sans crier gare,
Alors… les veilleurs de nuits, eux, vivent au jour le jour.
Pendant que les pédicures travaillent d’arrache-pied.
Les croupiers jouent le tout pour le tout,
Les dessinateurs font grise mine,
Les militaires partent en retraite,
Les imprimeurs dépriment
Et les météorologistes sont en dépression.


Amis, c’est vraiment une mauvaise passe.
Mais rarement les banquiers perdent au change.

Patrice1633

Patrice1633
MODERATEUR
MODERATEUR

Je mangeais que aux restaurants.depuis plusieurs décennies, a chaques jours, depuis que on dois rester a la maison, haha, j'apprend a cuisiner ...

Hihi, je me rejouiiiiiiii!

https://www.jw.org/fr/

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Patrice1633 a écrit:Je mangeais que aux restaurants.depuis plusieurs décennies, a chaques jours, depuis que on dois rester a la maison, haha, j'apprend a cuisiner ...

Hihi, je me rejouiiiiiiii!
Comme quoi il n'est jamais trop tard pour apprendre. clap

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

26 mars
À la Une aujourd'hui : l’armée en renfort face à l'arrivée de "jours difficiles", les coulisses du plan de sauvetage économique, le rapport annonciateur du Professeur Didier Raoult en 2003, l’inquiétude des médecins généralistes quant aux autres pathologies et les manoeuvres du Rassemblement national face à la crise. 

Josué

Josué
Administrateur

[size=33]Coronavirus : la vérité sur le nombre de morts[/size]

[size=33]VIDÉO. Où l'on apprend que les chiffres quotidiens de la direction générale de la Santé ne comprennent ni les décès à domicile ni ceux dans les Ehpad…

 Par François Malye[/size]
https://www.lepoint.fr/sante/coronavirus-la-verite-sur-le-nombre-de-morts-25-03-2020-2368669_40.php?M_BT=52544877662#xtor=EPR-6-[Newsletter-Matinale]-20200326

15Le bon côté du coronavirus Empty Re: Le bon côté du coronavirus Jeu 26 Mar - 15:02

Rene philippe

Rene philippe
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Tout est bidon, rien n'est fiable; personne ne sait rien, c'est du bricolage

16Le bon côté du coronavirus Empty Re: Le bon côté du coronavirus Jeu 26 Mar - 16:28

Josué

Josué
Administrateur

[size=38]Avec le coronavirus, la visioconférence devient l’ultime lien des relations internationales[/size]

Une géopolitique à distance s’installe progressivement alors que le président Macron doit participer ce lundi 16 mars à deux rencontres multilatérales en visioconférence, l’une sur la probable fermeture de l’espace Schengen, l’autre sur le règlement des différends avec la Turquie.



  • Jean-Baptiste François, 
  • le 16/03/2020 à 17:58


Le bon côté du coronavirus Emmanuel-Macron-assiste-teleconference-lElysee-10-2020-Paris_0_730_489



Emmanuel Macron assiste à une téléconférence à l’Élysée, le 10 mars 2020 à Paris.[size=12]MICHEL EULER/AP

[/size]
Durant les semaines qui suivent, ce sera sans doute la dernière façon de maintenir les relations multilatérales et ne pas céder à la tentation de décisions unilatérales : la visioconférence, ou le télé-sommet. L’agenda de ce lundi 16 mars illustre bien ce nouveau standard des relations internationales en mode Covid-19 pour les prochaines semaines.
Le président turc Recep Tayyip Erdogan doit s’entretenir à distance avec Emmanuel Macron et la chancelière allemande Angela Merkel, en raison du coronavirus, a annoncé vendredi 13 l’agence officielle Anadolu. Cet échange important a pour but de trouver un compromis sur la gestion de la frontière gréco-turque, ainsi que sur la situation en Syrie.

Suivant la même logique, le président français doit s’entretenir aujourd’hui avec la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, et le président du Conseil européen, Charles Michel, sur la question de la fermeture des frontières extérieures de l’espace Schengen, face au coronavirus. Idem pour le conseil des ministres des finances de l’Union européenne sur l’impact économique de la pandémie, qui aura lui aussi lieu par vidéoconférence consacrée au coronavirus.


La perte d’une vraie plus-value


Pascal Boniface, géopolitologue, directeur de l’Institut de relations internationales et stratégiques (Iris), souligne l’aspect inédit de cette situation. « Normalement, le gel des rencontres internationales, c’est le propre des situations de guerre. C’est la première fois dans l’ère moderne que les rencontres bilatérales sont ainsi suspendues en temps de paix », explique-t-il.
L’absence de rencontre physique est selon lui dommageable. « Sans contact direct, ce qu’il manque, ce sont les discussions informelles, les échanges de couloir, ou dans un bureau fermé, tous ces apartés qui font qu’une opposition dans une discussion publique peut trouver une issue positive. »
Mais Pascal Boniface relativise le préjudice que cela pourrait entraîner, alors que les chefs d’État européens mis en liaison se connaissent déjà très bien. « À ce stade, les téléconférences ne vont servir qu’à donner l’onction à des compromis qui ont été trouvés lors de contacts en amont. Si une signature est nécessaire, rien n’empêche un dirigeant d’envoyer son paraphe à distance. L’important, c’est d’avoir la volonté de trouver des compromis ».

Complication post-brexit


Autre conséquence de la pandémie : l’annulation du 2e round de négociation qui devait avoir lieu à Londres sur la relation post-Brexit entre l’Union européenne et le Royaume-Uni. Là encore les échanges entre les deux équipes de négociation se font à distance.
Ce contretemps dans les discussions face à face intervient alors que les tractations entre les 27 et le gouvernement britannique sont prévues dans un délai très serré. Le premier ministre Boris Johnson a toujours refusé de prolonger les discussions au-delà du 31 décembre 2020, chose qui ne sera plus possible après la fin du mois de juin.

« Boris Johnson pourra toujours tirer parti de cette situation pour jouer sur le délai de négociation, mais les 27 ne sont pas dupes, s’il s’agit d’une simple manœuvre dépourvue de sincérité, cela se verra tout de suite », estime Pascal Boniface.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
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Le bon côté du coronavirus Picto_date27 mars
À la Une aujourd'hui : une adolescente de 16 ans plus jeune victime du Covid-19 en France, l’espoir des tests sérologiques, les hôpitaux d’Île-de-France face à la "vague", trois otages français libérés en Irak et la mort d’une légende du football. 

18Le bon côté du coronavirus Empty Re: Le bon côté du coronavirus Ven 27 Mar - 19:58

samuel

samuel
Administrateur

Edouard Philippe annonce le renouvellement du confinement "jusqu'au 15 avril au moins"

19Le bon côté du coronavirus Empty Re: Le bon côté du coronavirus Dim 29 Mar - 11:17

Josué

Josué
Administrateur

[size=42]Vallée du Mont-Blanc : en 1918 déjà, la grippe confinait la population[/size]
En 1918, alors que la Grande Guerre sévissait toujours, un nouveau mal s’abattait : la grippe espagnole. Et la Haute-Savoie était touchée jusque dans ses patelins les plus reculés.
Par Amélie DAVIET - 06:10 | mis à jour à 07:20 - Temps de lecture : 2 min
 | Vu 11976 fois
Le bon côté du coronavirus Title-1585414801
Le 16 octobre 1918, le préfet de la Haute-Savoie prenait un arrêté pour fermer les établissements scolaires et les salles de spectacle, afin de protéger les citoyens des ravages de la grippe espagnole.  Photo Yves BORREL/Archives départementales de la Haute-Savoie




Les écoles de Chamonix, Combloux, Sallanches, Saint-Gervais et Passy sont fermées, tout comme les salles de spectacle d’ailleurs. Le tout afin d’éviter la contagion et d’enrayer la contamination. Des mesures dont tout le monde est au courant. Sauf qu’en fait, celles-ci datent d’octobre 1918.
La Première Guerre mondiale fait encore rage mais un mal mystérieux envahit peu à peu le continent. Les armées le taisent, d’ailleurs, pour ne pas paraître faibles devant l’ennemi et ce sont donc les Espagnols qui en font mention officielle les premiers. Il faut dire qu’ils ne sont pas engagés dans le conflit ; la censure y est donc moins forte.
« Les pharmacies sont assiégées », signale le docteur Bonnefoy, qui exerce à Sallanches. Il est d’ailleurs lui-même tombé malade. “Grippe sévit avec intensité plusieurs centaines de personnes alitées”, prévient le sous-préfet de Bonneville dans un télégramme adressé au préfet.

Mêmes maux, mêmes remèdes


La situation paraît grave. “Depuis fin septembre jusqu’à ce jour l’épidémie se propage rapidement”, constate Bonnefoy, avant de raconter certains des méandres de cette propagation. Pierre-Joseph Million, un Poilu de retour au pays pour une permission de quelques jours, est atteint de symptômes grippaux. Il ne compte pas s’empêcher de voir famille et amis pour si peu. Le voilà donc parcourant les hameaux de Bonneville, sur la commune de Combloux. Ravi. Oui mais deux jours après, le soldat succombe, non sans avoir partagé ses miasmes alentour. Et voilà donc onze personnes au lit, dont certaines succomberont également. Entre-temps, certains auront changé de village, propageant le mal. La mondialisation était loin mais les virus voyageaient déjà.
“Dans la montagne, l’habitant va causer volontiers avec des voisins. Pendant les longs après-dîners, surtout par temps pluvieux et pendant leur convalescence, ils se contaminent mutuellement. C’est le cas pour plusieurs familles d’employés aux Usines de l’Arve que j’ai soignés à Chamonix”, note le docteur De Bève, des Usines de l’Arve. Force est alors de constater que “si les malades étaient soigneusement isolés dans les maisons, le mal s’éteindrait rapidement.”
Plus d’un siècle plus tard, aux mêmes maux, les mêmes remèdes sont appliqués… avec, semble-t-il les mêmes difficultés pour les Français à se soumettre au confinement.
Les informations nous ont été fournies par l’association Dans l’temps, via son article paru dans la revue Dans l’temps N°1, en 2015 - La Grande Guerre vue des Houches.

Josué

Josué
Administrateur


[size=55]Confinement : chant des oiseaux, moins de bruit… la nature reprend ses droits


La crise du Covid-19, terrible pour l’être humain, a au moins des effets positifs sur la faune, la flore et l’environnement, et ce dans le monde entier.

[/size]

Le bon côté du coronavirus UIEQ24BPRAYG4CRCOI7BUYU27QL’organisme Bruitparif, qui dispose de 150 stations de mesures en Ile-de-France, estime qu’un « silence inhabituel a envahi » la région.  AFP/Ludovic Marin










Par Frédéric Mouchon
Le 30 mars 2020 à 07h43, modifié le 30 mars 2020 à 07h59


Oublié le brouhaha des klaxons. Profitant du silence qui s'est installé dans nos rues, la grive musicienne et le rouge-gorge nous délectent chaque matin de leurs vocalises. Inspirer un grand bol d'air sur le balcon est redevenu un plaisir depuis que l'odeur âcre de la pollution s'est évaporée. Et depuis combien de temps n'avait-on pas admiré de couchers de soleil sur un ciel aussi limpide!

21Le bon côté du coronavirus Empty Re: Le bon côté du coronavirus Lun 30 Mar - 15:27

Lechercheur



Le problème c'est quand cette pandémie cessera les usines tournerons a plein régime pour rétablir la consommation.Mais pour le moment la nature respire.

22Le bon côté du coronavirus Empty Re: Le bon côté du coronavirus Lun 30 Mar - 15:42

Josué

Josué
Administrateur

[size=38]Covid-19, le Brésil décrète les cultes religieux « essentiels »[/size]

À rebours de nombreux pays les ayant déjà suspendues, le président d’extrême droite Jair Bolsonaro a inclus par décret, jeudi 26 mars, les activités religieuses dans la liste des services « essentiels », devant rester ouverts même en période de confinement. Sa politique « corona-sceptique » a fortement été critiquée par l’épiscopat local.



  • Malo Tresca, 
  • le 27/03/2020 à 16:45



Le bon côté du coronavirus Certains-Etats-municipalites-adopte-certaines-mesures-pronant-notamment-suspension-celebrations-religieuses-imposant-fermeture-ecoles-commerces-consideres-comme-essentiels_0_729_486



Dans le pays, certains États et municipalités ont déjà adopté certaines mesures, prônant notamment la suspension des célébrations religieuses et imposant la fermeture des écoles et des commerces considérés comme « non essentiels ».[size=12]HEDESON ALVES/EFE/MAXPPP
[/size]
La décision a suscité l’ire de plusieurs de ses détracteurs politiques. Au même titre que celles des enseignes alimentaires et des pharmacies, le président Jair Bolsonaro a intégré, jeudi 26 dans un décret publié au journal officiel, les activités religieuses « quelle qu’en soit leur nature » dans la liste des services considérés comme « essentiels » à la nation brésilienne, durant la période de confinement liée à la propagation mondiale du coronavirus.
À lire aussi

Brésil : Bolsonaro ouvre une crise institutionnelle avec son discours contre le confinement

Toutefois, ces activités « devront être conformes aux instructions du ministère de la santé », a-t-il précisé dans le texte : à ce titre, le ministère de la santé pourrait choisir d’imposer in fine des restrictions aux lieux de culte. Dans le pays, certains États et municipalités ont déjà adopté certaines mesures, prônant notamment la suspension des célébrations religieuses et imposant la fermeture des écoles et des commerces considérés comme « non essentiels ».

Politique de « terre brûlée »



Ces décisions locales ont vertement été critiquées par Jair Bolsonaro, qui a accusé plusieurs gouverneurs de mettre en place une politique de « la terre brûlée ». Élu en octobre 2018 avec pour slogan de campagne « Le Brésil au-dessus de tout, Dieu au-dessus de tous », le chef de l’État – né catholique, avant d’être baptisé en 2016 dans le fleuve du Jourdain par le pasteur Everaldo Dias Preira, une figure influente au sein de l’Assemblée de Dieu brésilienne – avait, à l’époque du scrutin, bénéficié du très large soutien des églises évangéliques du pays.
Même si certaines de ces dernières se sont organisées, au cours des semaines passées, pour organiser des célébrations à distance, virtuellement retransmises sur les réseaux sociaux afin de limiter au maximum la tenue de rassemblements, d’autres ont élevé la voix contre la fermeture des lieux de culte. À l’instar du très influent pasteur Silas Malafaia – ayant déjà reçu, à plusieurs reprises, Jair Bolsonaro dans son temple à Rio – qui avait assimilé, mi-mars, les mesures de confinement à une stratégie du diable.

« Tactique de Satan »


« Mes amis, ne vous inquiétez pas à cause du coronavirus. C’est une tactique de Satan, il s’alimente de la peur », avait-il alors martelé. Contraint, en raison notamment des restrictions des pouvoirs publics sur les transports, de se raviser vendredi 20 mars, il avait finalement annoncé la suspension de toutes ses célébrations publiques jusqu’à nouvel ordre – une demande déjà réclamée, mais rejetée, par un juge du parquet de Rio. Le pasteur Malafaia a toutefois assuré que les temples resteraient ouverts aux fidèles.


De son côté, la Conférence nationale des Évêques du Brésil (CNBB) – pays considéré comme le plus catholique au monde, avec près de 128 millions de fidèles – a assuré jeudi 26 mars à la chaîne TV Globo que les paroisses devaient privilégier les messes à distance. L’épiscopat local avait déjà fortement critiqué, mercredi 25 mars, l’allocution nationale prononcée la veille par le président Bolsonaro, remettant en cause les mesures de confinement prises par certains États.
« Restez à la maison. C’est l’indication des autorités sanitaires compétentes et sensées. Faisons tout notre possible pour contribuer à la construction d’une société juste et fraternelle. Le travail doit être maintenu dans les conditions nécessaires, en protégeant et en prenant soin de la vie de chacun d’entre nous », avait exhorté Mgr Walmor Oliveira de Azevedo, archevêque de Belo Horizonte et président de la CNBB, accusant encore l’exécutif de « minimiser » sa responsabilité dans la crise actuelle. Le plus grand pays d’Amérique Latine compte 2 433 cas de Covid-19 recensés, dont 57 décès, selon le dernier bilan du ministère de la Santé.

23Le bon côté du coronavirus Empty Re: Le bon côté du coronavirus Mar 31 Mar - 13:53

Josué

Josué
Administrateur

Le bon côté du coronavirus Opera_52

Josué

Josué
Administrateur

[size=52]Confinement Et Pollution : Le Bilan Paradoxal[/size]

[size=11]Le bon côté du coronavirus 2d08fc66836e836c727d16af09267e5b?s=36&d=mm&r=g

Gaëlle Ménage - Journaliste Forbes France

31 mars 2020









Le bon côté du coronavirus Gettyimages-1215580003-740x370

| L'absence de trafic routier en France permet un sursis à l'environnement (Photo : Getty Images)


[/size]
Deux semaines après le début du confinement, des baisses notables des concentrations de dioxyde d’azote ont été constatées dans quasiment toutes les régions de France. Si l’arrêt ponctuel de nombreuses activités humaines est bénéfique pour l’environnement, le fléau de la pollution parvient tout de même à se frayer un chemin dans certaines régions.
C’est une information qui a de quoi surprendre : les cinq départements des Hauts-de-France ont connu ce samedi un épisode de pollution aux poussières en suspension. Et ce, malgré les mesures de confinement qui, depuis maintenant deux semaines, ont réduit le trafic routier et l’activité économique de l’hexagone.

Un bilan pollution mitigé
La concentration moyenne dans l’air des particules PM10 atteint dans les Hauts-de-France les 50 µg/m3, niveau de pollution qui correspond au “niveau d’information et de recommandation“. L’indice de qualité de l’air est de 8 sur une échelle de 10 dans les principales agglomérations de la région. Comment expliquer ce phénomène alors que le trafic routier est au plus bas ?


Les conditions anticycloniques amenées par le beau temps rendent plus difficile l’évacuation des polluants. Selon l’agence ATMO Hauts-de-France, en charge de la surveillance de la qualité de l’air, « cet épisode de pollution s’explique vraisemblablement par une production importante de particules dans l’atmosphère à partir de polluants provenant de sources multiples (agriculture, activités économiques, chauffage, etc.), combinée à un import de particules provenant d’une partie de l’Europe ». Outre les conditions météo, c’est donc aux conséquences du chauffage au bois et des épandages agricoles, émettant du nitrate d’ammonium et de l’ammoniac, qu’est du ce pic de pollution. Il reste cependant clair que sans le confinement, la pollution aux particules fines dans ces régions aurait été bien au-dessus de ce seuil. 
Si les mesures de confinement n’ont pas empêché ce pic de pollution de survenir, les relevés effectués depuis le 17 mars indiquent une tendance à l’amélioration de la qualité de l’air dans les Hauts-de-France. En effet, tandis que les poussières en suspension persistent, d’autres concentrations de polluants sont en diminution. « On constate une baisse de l’oxyde d’azote, polluant lié au trafic routier. En comparant avec les mois de mars des trois dernières années, on constate que cette baisse est essentiellement liée à la diminution des activités et notamment du trafic routier », indiquait la semaine dernière Céline Derosiaux, porte-parole de l’agence ATMO Hauts-de-France. 
 
Le confinement : une aubaine pour l’environnement
Le 27 mars, ATMO France a publié un rapport détaillé, région par région, des effets du confinement sur la qualité de l’air. Il en ressort que les concentrations en NO2 diminuent drastiquement au niveau des axes routiers principaux, entraînant une amélioration globale de la qualité de l’air en milieu urbain comme en milieu rural. Les baisses les plus importantes ont été mesurées dans les Pays de la Loire et en Occitanie, avec une baisse de 70% des concentrations en NO2 à proximité d’axes routiers. À noter également moins 45% en Auvergne-Rhône-Alpes, moins 50% sur les axes routiers bretons et sur ceux de la région Centre-Val de Loire, et moins 40% sur les axes routiers des Hauts-de-France. En Ile-de-France, on respire beaucoup mieux. La qualité de l’air est meilleure de l’ordre de 20 à 30% selon ATMO France. La raison ? Il n’y a plus personne ou presque sur le périphérique, la circulation y a baissé de 90%. 
La qualité de l’air n’est pas sans conséquences en pleine épidémie de COVID-19. En 2003, lors d’une autre épidémie de coronavirus en Chine, des études ont montré que les patients contaminés dans les zones polluées mouraient beaucoup plus que ceux qui contractaient la maladie dans une région où la qualité de l’air était bonne.
Alors que les français sont confinés depuis maintenant deux semaines, la baisse de l’activité humaine améliore la qualité de l’air et ravit la faune sauvage. Plus de dauphins dans les calanques de Marseille, un air moins pollué, le confinement engendre quelques effets positifs pour l’environnement. Avec la baisse du trafic routier, une baisse des polluants dans l’air a été observée en Bourgogne-Franche-Comté, dans la Loire ou encore en Drôme et Ardèche. En région parisienne, Airparif a enregistré une diminution des émissions « de plus de 60% pour les oxydes d’azote », soit une amélioration de la qualité de l’air de « de 20 à 30% »
Si la baisse ponctuelle de la pollution est la bienvenue, nous ne sommes pas à l’abri d’un effet boomerang à l’image de la fin de la crise financière de 2008 où les émissions de CO2 étaient reparties à la hausse avec les différents plans de relance des gouvernements. Ces bénéfices, encore difficilement mesurables, pourraient n’être que ponctuels si des mesures ne sont pas prises à la fin du confinement.
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<<< À lire également : Confinement : La Réduction De Pollution Pourrait Sauver Plus De Vies Que Le Virus N’En Menace >>>[/size]

Josué

Josué
Administrateur

[size=38]Le confinement perturbe les trafics de drogue[/size]

Si le milieu du trafic de drogues est connu pour sa capacité d’adaptation rapide, confinement et présence policière compliquent les échanges entre acheteurs et vendeurs. Cependant, l’impact des mesures actuelles, sur cette économie secrète et en partie insaisissable, ne doit pas être surévalué.



  • Ludovic Séré, 
  • le 01/04/2020 à 10:44




Le bon côté du coronavirus On-estime-France-aurait-900-000-consommateurs-quotidiens-cannabis-million-consommateurs-reguliers_0_729_410



On estime en France qu’il y aurait 900 000 consommateurs quotidiens de cannabis, un million et demi de consommateurs réguliers.[size=12]MOTORTION - STOCK.ADOBE.COM

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« Bien sûr que le trafic continue pour beaucoup mais, personnellement, je préfère respecter les mesures de confinement. Je n’ai pas envie de choper le virus et de le refiler à d’autres. » Léa* a une trentaine d’années et vit en région parisienne. En temps normal, elle fait ses livraisons en transports en commun, « chez les bobos de la capitale », pour arrondir ses fins de mois. Son truc, c’est l’ecstasy. Les mesures gouvernementales ont mis un coup d’arrêt à son affaire.
→ EN DIRECT. Coronavirus : 359 000 contraventions depuis le début du confinement en France

« C’est sûr que ça fait un petit trou dans le portefeuille », regrette-t-elle. Elle calcule rapidement ses bénéfices habituels puis estime son manque à gagner à plusieurs centaines d’euros. « Je ne suis pas une grosse joueuse », juge la jeune femme qui craint de perdre son réseau d’acheteurs. « Car si, moi, j’ai arrêté pendant le confinement, ce n’est vraiment pas le cas de tout le monde », lance-t-elle sèchement.

Les consommateurs ont fait des réserves


Du côté des consommateurs, on dit subir le confinement. « Je ne me sens pas de croiser les condés et d’être incapable de justifier mon déplacement, avoue une étudiante iséroise. Il n’y a pas de case pour la fumette sur l’attestation du ministère ! » Une autre regrette que son dealer l’oblige désormais à monter dans sa voiture pour être plus discret. « C’est un peu anxiogène, puis il oblige à prendre de grosses quantités, entre 100 et 150 €, pour limiter les déplacements », explique Julie*.

Cette dernière dit avoir fait des réserves dès les premières annonces gouvernementales, une remarque qui revient beaucoup. « La veille de la mise en place du confinement, des clients m’ont fait une importante commande, se souvient Léa. Mais je ne voulais pas prendre le métro et risquer de m’exposer au Covid-19. » Ses clients ont insisté pour lui payer le taxi, en plus du prix de la commande. « Une première », lâche la dealeuse.

« Le moindre déplacement nocturne est suspect »


Les difficultés des trafiquants, les forces de l’ordre s’en réjouissent. « Nos efforts sont surtout tournés vers le respect des mesures sanitaires et la surveillance d’entrepôts, établissements de santé ou pharmacie, indique une source policière. Mais notre présence gêne les dealeurs, et nous n’avons pas prévu d’arrêter ! »
Pour preuve, plusieurs contrôles de circulation dans le cadre de la lutte contre la propagation du virus ont permis, parfois par hasard, des prises « intéressantes ». « Le moindre déplacement nocturne est désormais suspect », résume un policier. Comme dans ce quartier des Hauts-de-Seine, quand un scooter a fait demi-tour à la vue des CRS et que son conducteur a été interpellé. Avec une quantité non négligeable de cannabis et de cocaïne sur lui, ainsi qu’une importante somme d’argent.
Autre conséquence de la crise sanitaire et le durcissement aux frontières qu’elle provoque : l’approvisionnement de certaines drogues, non produites en France, se complique. La cocaïne venant généralement d’Amérique du Sud et la résine de cannabis du nord de l’Afrique. On peut imaginer que le renforcement des contrôles aux frontières va avoir des conséquences non négligeables sur leurs importations.

Un impact incertain


Reste que la capacité d’adaptation des dealeurs ne fait aucun doute, comme le rappelle Renaud Colson, spécialiste de la politique des drogues en France et en Europe. « Il ne faut pas trop croire en ce discours selon lequel, après quarante années d’échec du répressif, le confinement suffirait à lutter contre le trafic », prévient le chercheur.
Prudent, il doute de la possibilité à évaluer l’impact économique de cette crise sur le trafic de drogues en France. « C’est déjà extrêmement compliqué en temps normal, avec des statistiques fondées sur les prises effectuées par les autorités et tout un pan de l’économie parallèle auquel nous n’avons jamais accès. »
Surtout, Renaud Colson tient à rappeler les chiffres de la consommation de cannabis en France : 900 000 consommateurs quotidiens, un million et demi de consommateurs réguliers. « Parmi eux, ceux qui limitent leur consommation, par choix ou obligation, ne vont pas pour autant devenir abstinents, assure le chercheur. Le gars qui fume ses joints tous les soirs risque d’augmenter sa consommation de cigarettes ou d’alcool, voire les deux. »

Josué

Josué
Administrateur

Voilà un autre bon coté.
https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/confinement-les-accidents-de-la-route-chutent-la-maif-va-rembourser-les-assurances-auto_3896595.html#xtor=RSS-3-[economie/auto

Josué

Josué
Administrateur

[size=40]Coronavirus : Ces bons côtés de la crise et du confinement[/size]
[size=14]Par Sophie De Menthon le 02.04.2020 à 07h30
Arrêtons-là le déversoir de commentaires haineux. Au cœur de la crise, la mondialisation n'est pas que diabolique et fait jaillir une solidarité inédite.
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LE CONFINEMENT A MODIFIÉ NOTRE CONSOMMATION, NOTRE MODE DE VIE ET NOTRE RAPPORT AU TRAVAIL

BASTIEN LOUVET/SIPA


Comme en économie de guerre, il y a ceux auxquels la crise profite, au bon sens du terme ! Je ne parle pas bien sûr des « profiteurs » qui abuseraient ou exploiteraient les circonstances, mais de tous ceux qui se démènent pour tirer leur épingle du jeu, tous ceux qui se retroussent les manches, qui débordent d’imagination pour trouver de nouvelles opportunités ou soutenir l’effort collectif aussi bien les particuliers que les indépendants ou les PME et grands groupes. "J’aime ma boîte", slogan de la fête annuelle des entreprises, prend tout son sens pour chacun d'entre nous. On le prouve…

Le confinement impose des sacrifices et une paralysie dangereuse, combien d'entreprises en pâtissent : transports (-90% sur l’aérien ou les TGV voyageurs), BTP (-84%), l’intérim (-75%) ou encore des secteurs quasi à l’arrêt : restauration-hôtellerie, évènementiel, formation professionnelle, spectacles vivants, commerces non-alimentaires... Mais il y a toutes ces entreprises qui saisissent comme elles peuvent "l'opportunité" de cette pandémie pour redonner vie à leur activité, pour en créer d'autres, pour se diversifier : plateformes de streaming, d'achats en ligne, vendeurs de matériel de sport à la maison, plateformes de télétravail ou de téléconférence... Réjouissons-nous que le secteur « Service » enregistre le taux record d’accroissement d'activité de 72%.  Oublions pudiquement la vente en ligne de sex-toys (+ 50% pour Womanizer)…

Une banque américaine a regroupé les « 33 gagnants » de la conjoncture économique au sein du « Stay at home » un Index (NetflixFacebookYelpAmazon, eBay, Slack, Match, etc.) qui mesure cet aspect positif. D'autres secteurs très variés voient une recrudescence de la demande. Les laboratoires, les centres de recherche mettent les bouchées triples. La grande distribution et le commerce sont sollicités (et parfois au-delà de 100%) ainsi que les entreprises de livraison (Uber Eat, …) On découvre la force et l'avenir de la télémédecine.
Chacun a le sentiment sans même lire les prévisions des économistes et des sociologues, que nous avons déjà, en 2 semaines de confinement, modifié notre consommation, notre mode de vie et notre rapport au travail. Le télétravail ne sera plus jamais comme avant, les salariés ont su dans leur grande majorité démontrer qu'ils travaillaient avec une conscience professionnelle que l'on ne soupçonnait pas forcément et que l'efficacité était au rendez-vous, que réunir 6 ou 9 personnes en téléconférence était une économie de temps avec en bonus une plus grande concentration et une plus grande discipline d'écoute des participants. Les « patrons profiteurs », au bon sens du terme, ce sont aussi ceux qui réussissent des reconversions pour produire des biens utiles à la crise que nous traversons et qui persisteront...

[size=20]Entrepreneurs acharnés et solidaires

Et cessons inlassablement de ratiociner : Pourquoi il n’y a pas de masques ? De tests ? Où se cachent-ils ? Dont acte : on verra après ! Réfléchissons plutôt à modifier à l'avenir nos choix structurels, ancrés depuis trop longtemps comme la désindustrialisation de la France et la délocalisation à outrance, contrairement à l’Allemagne. Oui : et c’est pour ça qu’ils ont 10 fois plus de tests que nous et d'équipement médical...
On peut même, une fois n'est pas coutume, tirer notre chapeau aux politiques des collectivités locales qui se battent nuit et jour dans leurs régions car ils souffrent souvent plus de la pénurie. Nous avons des chefs de guerre économique, agiles et déterminés dans toutes les catégories de la population, entrepreneurs acharnés et solidaires.
D'accord "on est en démocratie et on a le droit de critiquer" notre imprévoyance et le gouvernement, et même d'envier la Chine (!). Mais « Allez en dictature, vous verrez ! », s’esclaffait Emmanuel Macron. On ne va pas indéfiniment gloser sur le lait renversé, remontons-nous plutôt le moral avec nos forces : le système de soins français est peut-être déficient mais la facture de dépistage des symptômes du coronavirus aux États-Unis en ferait trembler plus d’un !
Les mesures de soutien économique en France sont sans équivalents (aucune indemnité pour un dominicain mis au chômage partiel dont le revenu mensuel moyen est de 533 $). Prenons-en conscience ainsi que de la rapidité des mesures prises pour soutenir notre économie.
Alors stop ! A quoi sert ce déversoir de commentaires haineux qui ne fait rien avancer... La mondialisation n'est pas que diabolique ! C’est aussi elle qui permet une solidarité jamais vue.
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Josué

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Plus besoin d’imprimer une attestation ou de l’écrire vous-même sur papier libre. A partir de ce lundi, le gouvernement met à disposition une attestation numérique dans le cadre des mesures de confinement pour lutter contre l'épidémie de coronavirus. Disponible au format PDF sur les sites du gouvernement et du ministère de l’Intérieur, vous pouvez la télécharger et la remplir sur votre smartphone, afin de vous déplacer dans les règles. Europe 1 vous explique son fonctionnement.
Disponible sur le site du gouvernement et du ministère de l’Intérieur
Pour télécharger l’attestation, il faut vous rendre sur le site du gouvernement ou sur celui du ministère de l’Intérieur. Vous pouvez effectuer la démarche sur votre smartphone, que vous présenterez ensuite aux forces de l’ordre. Plusieurs sites internet, dont Netxinpact, ont eu accès à une version bêta (une version test) mise en ligne samedi, et effacée depuis.
Concrètement, vous devez remplir vos informations personnelles comme sur les attestations papier, à savoir votre nom, prénom, adresse, date de naissance. Autre précision : il est possible de sélectionner plusieurs motifs de sorties (pour faire vos course et porter assistance à une personne, par exemple), ceci afin de regrouper en une fois vos déplacements.

Josué

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Le service est accessible en ligne, sur le site du ministère de l'Intérieur et du gouvernement, a précisé le ministre.

Josué

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Éteignez les imprimantes, rangez les stylos, désormais, votre smartphone suffit. L'attestation de déplacement numérique est maintenant disponible sur le site de ministère de l'Intérieur et du gouvernement, en complément du dispositif papier déjà en place pour justifier les sorties en dépit des mesures de confinement. « Les Français se sont approprié les règles du confinement, il convient donc de leur donner un peu de souplesse avec cet outil », a commenté le ministre de l'Intérieur, dans un entretien accordé au Parisien.fr.
Le formulaire est disponible à cette adresse :https://media.interieur.gouv.fr/deplacement-covid-19/. Il s'agit alors simplement d'entrer les informations demandées (nom, date et lieu de naissance, adresse…) et de cocher la case correspondant au motif de votre sortie. Il convient ensuite de renseigner la date du déplacement et l'heure à laquelle vous comptez sortir.



Un contrôle sans contact avec les forces de l'ordre

En cliquant sur le bouton « Générer mon attestation », un fichier PDF est automatiquement téléchargé sur votre ordinateur ou votre téléphone. Un code QR (un carré noir et blanc) apparaît à la fin de l'attestation. Il s'agit d'un code généré automatiquement qui, une fois scanné, sans aucun contact, par les forces de l'ordre de l'ordre, leur permettra d'accéder directement à toutes les informations du formulaire. « Il n'y aura pas de fichier. Personne ne pourra collecter les données des usagers », a souligné Christophe Castaner.
Celui-ci précise également que ce nouveau dispositif saura se prémunir contre les risques de fraude : « Il faudra préciser votre heure de sortie, mais l'heure à laquelle vous avez édité le document sera accessible aux policiers. Cela évitera que des personnes ne remplissent l'attestation uniquement à la vue d'un contrôle de police. Et grâce au QR code, les policiers et les gendarmes n'auront pas besoin de prendre le téléphone en main, il leur suffira de scanner l'écran. »

Mikael

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Le bon côté c'est qu'il n'y a plus de pub dans les boîtes aux lettres.

Rene philippe

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Mikael a écrit:Le bon côté c'est qu'il n'y a plus de pub dans les boîtes aux lettres.

Il te suffit aussi de mettre une étiquette sur ta boîte aux lettres « pas de publicités »

Josué

Josué
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Rene philippe a écrit:
Mikael a écrit:Le bon côté c'est qu'il n'y a plus de pub dans les boîtes aux lettres.

Il te suffit aussi de mettre une étiquette sur ta boîte aux lettres « pas de publicités »
Ce n'est pas toujours respecter.

Josué

Josué
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[size=33]Le confinement, une « parenthèse enchantée » pour les animaux[/size]


[size=33]VIDÉO. L'absence des humains, confinés face à la pandémie de coronavirus, offre un répit aux animaux qui réinvestissent les villes et s'approchent des côtes.[/size]


 Par Thibaut Déléaz
Modifié le 12/04/2020 à 12:21 - Publié le 12/04/2020 à 11:00 | Le Point.fr


Quels sont les symptômes du Covid-19 ?Des canards dans les rues de Paris, des sangliers dans celles de Barcelone, des chèvres en ville au pays de Galles… Depuis le début du confinement, qui concerne plus de la moitié de l'humanité, les animaux reprennent leurs droits dans des villes désertées par les humains.
En Sardaigne, l'arrêt du trafic maritime a permis d'observer des dauphins venus s'aventurer jusque dans les ports. À Paris, la chute drastique de la pollution sonore permet d'entendre les oiseaux chanter. Et dans le parc national des Calanques, les agents ont pu observer depuis un mois des dauphins, des puffins ou encore des hérons à une fréquence et une densité « inédites ». Début avril, ce sont même deux rorquals – deuxième plus gros animal du monde – qui se sont invités près des côtes.




Le bon côté du coronavirus BAS_InqE_normal

Parc des Calanques@ParcCalanques





[ltr]2 rorquals ont été observés dans le @ParcCalanqueLe bon côté du coronavirus 1f433
Des images rares capturées par la patrouille ULAM13. Cette observation du 2ème plus grand animal au monde est un indice de + sur un potentiel effet du confinement sur le comportement de la faune sauvage. https://cutt.ly/3tKySST [/ltr]







Le bon côté du coronavirus UxFvyji-zytl3NiD?format=jpg&name=small


Un répit pour la nature

« C'est une parenthèse enchantée dans la relation entre l'Homme et la nature », souligne Pierre Dubreuil, directeur général de l'Office français de la biodiversité (OFB). Le ralentissement sans précédent des activités humaines profite à la biodiversité. Dans la capitale, la chute des pollutions de l'air, sonore et lumineuse « permet par exemple aux oiseaux de mieux réguler leur rythme journalier, d'avoir moins de stress », explique Pénélope Komitès, adjointe à la maire de Paris en charge de la biodiversité et des espaces verts. « Avant, ils devaient décaler leur chant à cause du bruit des activités humaines dès 6 heures du matin. »


Certaines espèces profitent de ce calme soudain pour s'aventurer dans de nouveaux espaces. « On voit plus de renards venir sur la petite ceinture [une ancienne voie de chemin de fer qui fait le tour de Paris, NDLR], car ils sont moins dérangés dans leurs déplacements. » La baisse du trafic automobile profite aussi aux hérissons et aux crapauds, souvent victimes en cette saison d'accidents de la route, qu'ils traversent pour rejoindre des zones humides où se reproduire.
https://www.lepoint.fr/environnement/le-confinement-une-parenthese-enchantee-pour-les-animaux-12-04-2020-2371084_1927.php#xtor=RSS-221

papy

papy

[size=33]Deux daims se promènent tranquillement dans une rue déserte du Val -de-Marne[/size]

BALADE Deux daims ont été filmés ce dimanche matin en train de se promener dans une rue déserte de Boissy-Saint-Léger (Val -de-Marne), en banlieue parisienne

20 Minutes avec AFP
Publié le 13/04/20 à 15h06 — Mis à jour le 13/04/20 à 15h06




Le bon côté du coronavirus 310x190_daim-londres-4-avril-2020
Un daim à Londres le 4 avril 2020 — Javier Garcia/REX/SIPA
Le confinement nous réserve décidément des belles surprises. Deux daims se sont promenés dans une rue déserte de Boissy-Saint-Léger, en banlieue parisienne. Ils ont été immortalisés dans une vidéo diffusée dimanche sur les réseaux sociaux.
« Ces deux cervidés appartiennent au domaine du château du Piple qui en compte une centaine », a précisé le maire de la commune, Régis Charbonnier.



 La nature reprend ses droits.

Josué

Josué
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[size=46]Pollution : les effets bénéfiques du confinement[/size]
L’épidémie de coronavirus Covid-19 provoque une crise inédite, mais entraîne un répit pour la planète, avec une réduction drastique des gaz à effet de serre. Une accalmie bien réelle, mais qui ne devrait être que temporaire.
https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/pollution-les-effets-benefiques-du-confinement_3922263.html#xtor=RSS-3-[economie/industrie]

37Le bon côté du coronavirus Empty Re: Le bon côté du coronavirus Lun 20 Avr - 16:28

Josué

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Le bon côté du coronavirus Corona10

38Le bon côté du coronavirus Empty Re: Le bon côté du coronavirus Lun 20 Avr - 21:53

Patrice1633

Patrice1633
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Hahahaa, je comprend ce que tu veux dire ...
Comme au temps du deluge quand les animaux on entrer et traverser dans les villes pour se rendre juqu'a l'arche ... juste AVANT les évènements

https://www.jw.org/fr/

Josué

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Patrice1633 a écrit:Hahahaa, je comprend ce que tu veux dire ...
Comme au temps  du deluge quand les animaux on entrer et traverser dans les villes  pour se rendre juqu'a l'arche  ... juste AVANT les évènements
Bonjour.
 non c'est pas tout a fait ça, l'humour et que les humains sont confiné et que les animaux peuvent se promener en ville car il n'y plus de voiture.

40Le bon côté du coronavirus Empty Re: Le bon côté du coronavirus Mar 21 Avr - 16:11

Josué

Josué
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[size=48]En Ile-de-France, l'amélioration de la qualité de l'air se confirme avec le confinement
Par LEXPRESS.fr avec AFP ,publié le 21/04/2020 à 14:15 , mis à jour à 16:07[/size]
Le bon côté du coronavirus Un-homme-portant-un-masque-a-paris-le-7-avril-2020-illustration_6258132
Un homme portant un masque à Paris le 7 avril 2020 (illustration)
 
AFP

Si le taux de dioxyde d'azote a diminué jusqu'à 50% près des axes routiers, l'impact du confinement est en revanche moins visible sur les particules fines.

C'est du "jamais vu en 40 ans". Le confinement a entraîné une forte réduction de la pollution de l'air en Ile-de-France, du dioxyde d'azote et du CO2, mais moindre pour les particules fines, a fait savoir mardi Airparif, alors que la pollution de l'air est soupçonnée d'aggraver l'épidémie de coronavirus. 
Entre le 17 mars et le 6 avril, le dioxyde d'azote, polluant local essentiellement émis par le trafic routier, a diminué de 20 à 35% selon les semaines. "En bordure d'axe routier, cette diminution peut atteindre jusqu'à 50% avec des niveaux qui rejoignent les niveaux observés habituellement dans les parcs", selon un communiqué. 
LIRE AUSSI >> Coronavirus : pourquoi l'exposition à la pollution de l'air est un facteur aggravant 

"Du jamais vu en 40 ans de mesure pour Airparif, avec une telle ampleur et autant de stations", souligne l'association de surveillance de la qualité de l'air en Ile-de-France. 

Des particules toujours présentes


Les émissions de CO2, responsables du changement climatique, reculent aussi, d'environ 30%, selon le communiqué. "L'impact du confinement est resté moins visible sur les particules (PM10 et PM2,5), avec des niveaux toujours soutenus certains jours", relève Airparif

41Le bon côté du coronavirus Empty Re: Le bon côté du coronavirus Mer 22 Avr - 18:34

papy

papy

*** g93 22/6 p. 23 La solution aux problèmes du XXIe siècle ***
Une bonne nouvelle au milieu des mauvaises
  Malgré les progrès scientifiques, on continue à voir des multitudes d’enfants affamés et d’adultes émaciés. Mais bientôt, sous la domination du Royaume messianique de Dieu, “il y aura abondance de grain sur la terre; sur le sommet des montagnes il y aura une profusion”. — Psaume 72:16.
  Malgré les progrès scientifiques, l’oppression et la violence sont encore le lot de millions de personnes. Mais bientôt, le Roi du Royaume messianique de Dieu “délivrera le pauvre qui crie au secours, et aussi l’affligé et quiconque n’a personne qui lui vienne en aide. (...) De l’oppression et de la violence il rachètera leur âme”. — Psaume 72:12-14.
  Malgré les progrès scientifiques, le nombre des sans-abri, à la rue et le ventre souvent vide, est en constante augmentation dans le monde. Mais bientôt, sous la domination du Royaume messianique de Dieu, les humains “bâtiront des maisons et les occuperont (...). Ils ne bâtiront pas pour que quelqu’un d’autre occupe; et ils ne planteront pas pour que quelqu’un d’autre mange”. — Ésaïe 65:21, 22.
  Malgré les progrès de la médecine, des maladies que l’on pourrait prévenir continuent à faucher des millions de vies. Mais bientôt, sous la domination du Royaume messianique de Dieu, “aucun résident ne dira: ‘Je suis malade.’” — Ésaïe 33:24.

42Le bon côté du coronavirus Empty Re: Le bon côté du coronavirus Dim 26 Avr - 14:08

Josué

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Un kangourou surpris par les caméras de surveillance de la police de Adélaïde en Australie, des manchots en goguettes près du Cap en Afrique du Sud, des canards qui inspectent le programme de la Comédie-Française à Paris.... Les animaux sauvages profitent de l'absence de l'homme dans les centres urbains pour découvrir la ville en toute tranquillité. Retrouver tous les articles, interviews et décryptages de "l'Obs" sur le coronavirus : https://www.nouvelobs.com/coronavirus-de-wuhan/ Retrouver toute l’actualité, les reportages, les enquêtes, les opinions et les débats de "L’Obs" sur notre site : https://www.nouvelobs.com/

43Le bon côté du coronavirus Empty Re: Le bon côté du coronavirus Dim 26 Avr - 19:37

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Dans la capitale indienne, la pollution a fortement diminué et chacun peut à nouveau respirer. Un changement que beaucoup souhaitent durable.

Parul Kumar habite un quartier huppé de New Delhi, Chanakyapuri, à deux pas des longues pelouses au cordeau des ambassades. Chaque matin depuis l'instauration du confinement, le 25 mars, pour cause de coronavirus, cette dirigeante de la Prabhaav Foundation, une ONG qui distribue des repas aux sans-abri, s'accorde une promenade le long du jardin public qui fait face à son domicile. Le plaisir de cette sortie rapide tolérée par la police est toujours renouvelé. "L'air est d'une clarté absolue, le parfum des fleurs est enivrant, et les arbres n'ont jamais été aussi verts", s'enthousiasme cette sexagénaire. L'absence de voitures libère, selon elle, "une sorte d'euphorie, car on découvre qu'un autre monde est possible". 
Comme beaucoup, Parul a été surprise par la rapidité de ce changement radical d'atmosphère dans Delhi, une agglomération de 25 millions d'habitants, championne du monde des villes les plus irrespirables de la planète. L'indice de la qualité de l'air est tombé à 45, ce qui signifie qu'il est "satisfaisant". Il mesure notamment les particules fines, le dioxyde d'azote, l'ammoniac et le dioxyde de soufre. D'habitude, le chiffre tourne autour de 300 ou 400. Et, à l'automne, il fait des pointes à plus de 500. 


ARTICLE RÉS

44Le bon côté du coronavirus Empty Re: Le bon côté du coronavirus Mer 29 Avr - 11:10

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[size=59]100 kilomètres maximum : comment calculer votre zone de déplacement ?[/size]

A partir du 11 mai, il sera possible de circuler librement mais seulement dans un rayon de 100 kilomètres autour du domicile. Le site Géoportail, notamment, permet de situer cette zone autorisée.


Par B.L.
Publié le 29 avril 2020 à 09h10 Mis à jour le 29 avril 2020 à 10h03


Temps de lecture 1 min

Le bon côté du coronavirus PlaceholderCapture d’écran de Maps & Directions.
Nous n’en avons pas tout à fait fini avec les attestations de déplacement. A compter du 11 mai, date du début du déconfinement, « il sera à nouveau possible de circuler librement » mais seulement dans un rayon de 100 kilomètres autour du domicile, a annoncé le Premier ministre Edouard Philippe mardi devant les députés. Des attestations seront toujours nécessaires pour les voyages dépassant ce périmètre pour un motif impérieux, familial, ou professionnel.
La visite à des proches est ainsi conditionnée à une double condition de distance et de nombre – il restera interdit de se rassembler, en public comme en privé à plus de dix personnes.

Comment savoir à quoi correspond ce rayon de 100 kilomètres ? Parmi les outils, citons Maps & Directions, assez simple d’utilisation. Il suffit de renseigner son adresse pour centrer un cercle sur votre domicile, puis d’ajuster le diamètre du cercle. On constate ainsi qu’un Nantais habitant le centre-ville peut rendre visite à son cousin breton habitant au sud de Rennes, mais pas à sa tante de La Rochelle (voir la carte présentée en début d’article).
Autre possibilité, le site gouvernemental Géoportail. Son chargement est parfois un peu long, et son usage, moins évident. Une fois sur l’application, sélectionner l’onglet « outils » (la clé à molette), puis « mesures », puis « calculer un isochrone », puis sélectionner « isodistance » et renseigner une distance de 100 kilomètres. Le rendu n’est pas un cercle parfait, il tient compte des kilomètres parcourus sur les routes. Un habitant d’Irigny, dans l’agglomération lyonnaise, peut ainsi pousser jusqu’aux portes du Vercors ou de la Chartreuse, côté Alpes, ou jusqu’au parc naturel du Pilat, côté Massif central.

Josué

Josué
Administrateur

[size=55]Pollution de l’air : visualisez l’impact du confinement dans les grandes villes de France[/size]

Un réseau européen d’ONG a exploité les données du satellite Copernicus Sentinel-5P pour montrer l’impact des mesures anti-coronavirus sur la qualité de l’air à l’échelle d’une agglomération. Un aperçu saisissant et inédit.

http://www.leparisien.fr/environnement/pollution-de-l-air-visualisez-l-impact-du-confinement-dans-les-grandes-villes-de-france-18-04-2020-8301771.php#xtor=RSS-1481423633

46Le bon côté du coronavirus Empty Re: Le bon côté du coronavirus Dim 10 Mai - 11:21

Josué

Josué
Administrateur

Le bon côté du coronavirus Asteri10

47Le bon côté du coronavirus Empty Re: Le bon côté du coronavirus Jeu 14 Mai - 15:00

Josué

Josué
Administrateur

Le bon coté les infos ne parlent plus de guerres en Syrie,Iraq et Yémen, et j'en oublie.

48Le bon côté du coronavirus Empty Re: Le bon côté du coronavirus Jeu 14 Mai - 16:18

Lechercheur



Josué a écrit:Le bon coté les infos ne parlent plus de guerres en Syrie,Iraq et Yémen, et j'en oublie.
Et pourtant ses guerres ont fait plus de morts que cette pandémie.
Mais il vrais que la vente d'armes fait vivre pas mal de monde.

49Le bon côté du coronavirus Empty Re: Le bon côté du coronavirus Jeu 14 Mai - 18:52

samuel

samuel
Administrateur

Il va y avoir une guerre entre les grands trusts pharmaceutiques ,ça c'est sur et les gagnants ne seront pas forcément les malades.

50Le bon côté du coronavirus Empty Re: Le bon côté du coronavirus Jeu 14 Mai - 22:53

Rene philippe

Rene philippe
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Le bon côté du coronavirus 44a61310

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