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15 avril Lecture de la Bible : Luc 13-17

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Josué

Josué
Administrateur

15 avril Lecture de la Bible : Luc 13-17
JÉSUS vient de parler aux gens qui s’étaient rassemblés devant la maison d’un Pharisien. On lui raconte alors ‘ce qui est arrivé aux Galiléens dont [le gouverneur romain Ponce] Pilate a mêlé le sang à celui de leurs sacrifices’. Ces Galiléens ont peut-être été tués au moment où des milliers de Juifs protestaient contre la construction d’un aqueduc desservant Jérusalem, parce que Pilate finançait l’ouvrage avec le trésor du temple. Les gens qui rapportent ces faits à Jésus laissent peut-être entendre que ces Galiléens ont été frappés en raison de leurs actions méchantes.
Jésus détrompe cependant ses interlocuteurs en leur posant cette question: “Vous imaginez-vous que ces Galiléens, pour avoir subi cela, se soient révélés plus grands pécheurs que tous les autres Galiléens?” “Non”, dit-il, tout en saisissant l’occasion de lancer aux Juifs cet avertissement: “Si vous ne vous repentez pas, vous serez tous détruits de même.”
Jésus évoque ensuite un autre événement dramatique survenu dans la région, peut-être lors de la construction du même aqueduc: “Ou ces dix-huit, sur qui est tombée la tour de Siloam, et qu’elle a tués, vous imaginez-vous qu’ils se soient révélés plus grands débiteurs que tous les autres hommes qui habitent Jérusalem?” Non, ces personnes ne sont pas mortes à cause de leur méchanceté, explique Jésus. Au contraire, ‘temps et événements imprévus’ sont généralement à l’origine de semblables tragédies. Toutefois, Jésus saisit de nouveau l’occasion de faire cette mise en garde: “Mais si vous ne vous repentez pas, vous serez tous détruits pareillement.”
Puis Jésus donne cette illustration pertinente: “Quelqu’un avait un figuier planté dans sa vigne, et il vint y chercher du fruit mais n’en trouva pas. Il dit alors au vigneron: ‘Voilà trois ans que je viens chercher du fruit sur ce figuier, et je n’en trouve pas. Coupe-le! Pourquoi donc continuerait-il à rendre inutile le terrain?’ En réponse, l’autre lui dit: ‘Maître, laisse-le encore cette année, jusqu’à ce que j’aie creusé tout autour et que j’y aie mis du fumier; et s’il vient à produire du fruit à l’avenir, ce sera parfait; sinon, tu le couperas.’”
Pendant plus de trois ans, Jésus a essayé de cultiver la foi au sein de la nation juive. Son travail n’a cependant produit que quelques centaines de disciples. Étant maintenant dans la quatrième année de son ministère, il redouble d’efforts, comme si, figurément, il creusait et mettait du fumier tout autour du “figuier” juif, prêchant et enseignant avec zèle en Judée et en Pérée. Mais il se dépense en pure perte. La nation refuse de se repentir, se rendant ainsi passible de la destruction. Seul un reste de la nation se montre réceptif.

Josué

Josué
Administrateur

6 ¶ Il dit aussi cette parabole : Un homme avait un figuier planté dans sa vigne. Il vint y chercher du fruit et n’en trouva pas.
Le sens littéral de cette parabole est si simple et si clair, qu’il n’exige aucune explication. Quant à la signification religieuse et morale, elle ressort également de chaque trait. Le propriétaire de la vigne, c’est Dieu. Le figuier représente le peuple juif. Cet arbre est très fertile en Orient et produit plusieurs récoltes par an. En outre, le figuier de la parabole est planté dans le terrain le plus favorable à sa fertilité, une vigne. Le maître était donc en droit d’attendre de lui beaucoup de fruits. Telle était la condition d’Israël, que Dieu avait favorisé de toutes manières.

Josué

Josué
Administrateur

L’évangéliste Luc introduit les illustrations du grain de moutarde et du levain d’une manière différente, par ces mots :
“Eh bien, quand il eut dit cela, tous ses adversaires avaient honte ; mais toute la foule se réjouissait de toutes les choses glorieuses qu’il faisait. Il disait donc : ‘À quoi le royaume de Dieu est-il semblable, et à quoi le comparerai-je ? Il est semblable à un grain de moutarde qu’un homme a pris et a mis dans son jardin. Il a poussé et est devenu un arbre, et les oiseaux du ciel se sont abrités dans ses branches.’ Il dit encore : ‘À quoi comparerai-je le royaume de Dieu ? Il est semblable à du levain qu’une femme a pris et caché dans trois grandes mesures de farine, jusqu’à ce que toute la masse ait fermenté.’” — Luc 13:17-21.
Étant donné que “toute la foule se réjouissait de toutes les choses glorieuses qu’il faisait”, on serait enclin à penser que c’est cela qui incita Jésus à donner ensuite ces deux illustrations prophétiques pour montrer par une image que le Royaume de Dieu ne serait pas constitué seulement par le “petit troupeau”, dont il avait parlé précédemment en Luc 12:32, mais que ce Royaume grandirait et que, tels des oiseaux, le monde des hommes viendrait s’abriter dans le refuge qu’il offrirait. On pourrait aussi penser que la grande masse des humains se laisserait imprégner par les enseignements véridiques du christianisme. Par exemple, le Manuel de critique et d’exégèse pour l’Évangile de Matthieu (édition anglaise de 1884) de H. A. W. Meyer, docteur en théologie, dit à la page 259, paragraphe 3 :
La parabole du grain de moutarde a pour but de montrer que la grande communauté composée de ceux qui doivent participer au Royaume messianique, c’est-à-dire le vrai peuple de Dieu qui constitue le corps social du futur Royaume, est destinée à se développer à partir d’un petit commencement pour devenir une multitude, donc à croître en étendue ; (...) “étant un petit troupeau, ils augmentèrent en nombre pour devenir un troupeau innombrable”. Par contre, la parabole du levain a pour but de montrer comment les influences particulières du Royaume du Messie (Éph. 4:4 et suiv.) imprègnent peu à peu l’ensemble de ses futurs sujets jusqu’à ce que, par ce moyen, toute la masse soit amenée intensivement dans la condition spirituelle qui la qualifie pour être admise dans le Royaume.

Josué

Josué
Administrateur

Alors que Jésus poursuit sa route vers Jérusalem, il est invité dans la maison d’un chef des Pharisiens. On l’épie, car c’est un jour de sabbat et il y a là un homme qui souffre d’hydropisie, ou rétention d’eau, dans les bras et les jambes probablement. S’adressant aux Pharisiens et aux légistes présents, Jésus demande: “Est-il permis ou non de faire une guérison pendant le sabbat?”
Tous gardent le silence. Jésus guérit donc l’homme et le renvoie, puis il pose cette question: “Lequel d’entre vous, si son fils ou son taureau tombe dans un puits, ne l’en tirera aussitôt, le jour du sabbat?” Cette fois encore, personne ne lui répond un mot. Luc 13:22 à 14:6; Jean 1:29.

Josué

Josué
Administrateur

“Un certain homme offrait un grand repas du soir, auquel il invita beaucoup de gens. Et (...) il envoya son esclave dire aux invités: ‘Venez, car maintenant c’est prêt.’ Mais tous, unanimement, commencèrent à demander qu’on les dispensât de venir. Le premier lui dit: ‘J’ai acheté un champ et il faut nécessairement que je sorte le voir; je t’en prie, tiens-moi pour excusé.’ Et un autre dit: ‘J’ai acheté cinq paires de bovins et je vais les examiner; je t’en prie, tiens-moi pour excusé.’ Un autre encore dit: ‘Je viens de prendre femme et c’est pourquoi je ne puis venir.’”
Quelles piètres excuses! D’ordinaire, c’est avant l’achat que l’on examine un champ ou une bête. L’acquéreur n’est donc nullement tenu d’aller voir au plus vite ce qu’il a déjà acheté. De même, le mariage n’est pas une raison valable pour décliner cette invitation d’importance. Entendant ces excuses, le maître de maison se courrouce et dit à son esclave:
“‘Sors vite dans les grandes artères et les ruelles de la ville, et amène ici les pauvres, et les estropiés, et les aveugles, et les boiteux.’ Par la suite, l’esclave dit: ‘Maître, ce que tu as commandé est fait, et il y a encore de la place.’ Et le maître dit à l’esclave: ‘Sors sur les routes et dans les lieux entourés d’une clôture, et force les gens à entrer, pour que ma maison soit remplie. (...) Aucun de ces hommes qui étaient invités ne goûtera de mon repas du soir.’”
Que signifie cette illustration? “Le maître”, qui offre le repas, représente Jéhovah Dieu; “l’esclave”, qui transmet l’invitation, Jésus Christ; et le “grand repas du soir” figure la possibilité de devenir membre du Royaume des cieux.
Ce sont tout d’abord les chefs religieux juifs de l’époque de Jésus qui ont été invités à devenir membres du Royaume, invitation qu’ils ont rejetée. Par conséquent, une seconde invitation a, cette fois, été transmise aux éléments méprisés et d’humble condition de la nation juive, plus particulièrement à partir de la Pentecôte de l’an 33. Ceux qui ont répondu à l’invitation n’ont cependant pas été assez nombreux pour occuper les 144 000 sièges prévus pour eux dans le Royaume céleste de Dieu. C’est pourquoi, trois ans et demi plus tard, en l’an 36, une troisième et dernière invitation a été adressée aux non-Juifs incirconcis dont le rassemblement s’est poursuivi jusqu’au XXe siècle. Luc 14:1-24.

Josué

Josué
Administrateur

les hommes imparfaits ont souvent oublié d’imiter Jéhovah Dieu et les saints anges ; ils ne se sont pas réjouis de voir certains de leurs semblables abandonner la voie de l’indépendance pour accomplir la volonté divine. Par exemple, durant les ministères de Jésus-Christ et de Jean-Baptiste, son précurseur, les chefs religieux du judaïsme, qui se croyaient justes, n’ont pas fait preuve de miséricorde. Quand des personnes passant pour être des pécheurs, telles que des percepteurs d’impôts et des prostituées, se sont repenties de leurs transgressions de la loi divine et ont été baptisées par Jean-Baptiste, ces chefs religieux ne se sont pas réjouis et n’ont pas été poussés à croire Jean (Mat. 21:32 ; Luc 3:12 ; 7:29, 30). Plus tard, quand Jésus-Christ apporta une aide spirituelle aux percepteurs d’impôts et aux pécheurs méprisés, les scribes et les Pharisiens exprimèrent leur désapprobation. — Luc 5:27-31.
En une certaine occasion, des percepteurs d’impôts et des pécheurs s’approchèrent de Jésus pour écouter ce qu’il disait. “Et les Pharisiens et les scribes murmuraient, disant : ‘Cet homme accueille les pécheurs et mange avec eux.’” Répondant à leurs critiques, Jésus donna trois comparaisons parlant de choses perdues puis retrouvées et de la joie qui en résulte (Luc 15:1-10). La dernière de ces comparaisons met en scène trois personnages principaux : Un père et ses deux fils. Le père représente Jéhovah Dieu ; le fils aîné, les scribes et les Pharisiens ; et le fils cadet, les pécheurs et les percepteurs d’impôts. Étant tous Juifs, les pécheurs, les percepteurs d’impôts, les Pharisiens et les scribes étaient tous frères et membres d’une nation ayant des relations d’alliance avec Dieu. Toutefois, les Juifs n’ayant pas respecté parfaitement la loi de Dieu, tous, y compris les Pharisiens et les scribes qui se prétendaient justes, devaient se repentir et adopter une bonne attitude envers Dieu en acceptant Jésus-Christ (voir Actes 2:38 ; Romains 3:9-12). La comparaison de Jésus faisait donc allusion à des faits réels et montrait ce qui était exigé pour bénéficier du pardon de Dieu. Ayant cela présent à l’esprit, lisons les paroles de Jésus rapportées dans Luc, chapitre 15, versets 11 à 32 :

Josué

Josué
Administrateur

Les Écritures montrent que seulement 144 000 personnes sont choisies d’entre le genre humain pour être rois et sous-prêtres avec le Christ dans son Royaume (Rév. 14:1, 3-5). Comparées aux milliards d’humains qui habiteront la terre, elles forment un “petit troupeau”. (Luc 12:32.) Ce choix commença à l’époque de la présence du Christ ici-bas, il y a plus de 1 900 ans. Évidemment, il devait être complété par la suite. Il fallait s’attendre à ce qu’à la fin du présent système corrompu, il n’y en ait plus qu’un petit reste sur la terre.
Les faits établis indiquent que cette fin est réellement proche ; en effet, seul un “reste” de ces 144 000 est encore sur la terre. Comment le savons-nous ? Songez aux conditions requises : Ceux qui déclarent être des fils de Dieu, oints et engendrés de son esprit, “participants à l’appel céleste” (l’invitation à aller au ciel), doivent participer dans l’unité à l’accomplissement de l’œuvre ordonnée par le Christ et consistant à ‘faire des disciples de gens de toutes les nations’. (Héb. 3:1 ; Mat. 28:19, 20.) Ils doivent démontrer qu’ils sont admis dans la nouvelle alliance en prêchant et en enseignant avec zèle la bonne nouvelle du Royaume messianique de Dieu, le seul gouvernement capable d’apporter la paix et la justice sur la terre (Mat. 6:10). Ces véritables “fils de Dieu” ne ‘font pas partie du monde’, ne se mêlent pas aux affaires politiques ni ne recherchent de grandes richesses et un rang éminent. — Jean 17:16.
D’autre part, ces frères spirituels de Jésus font une déclaration publique de leur espérance céleste en mangeant du pain sans levain et en buvant du vin lors du Repas du Seigneur en tant que participants avec le Christ, “unis à lui dans la ressemblance de sa mort”, afin d’être aussi “unis à lui dans la ressemblance de sa résurrection” (Rom. 6:5.) Quand on considère les gens religieux dans le monde, on s’aperçoit vraiment que de telles personnes sont peu nombreuses.

Josué

Josué
Administrateur

Jésus lui-même déclara que nous devions nous attendre à recevoir et à donner une discipline empreinte d’amour. Donnant des conseils qui s’appliquaient à des offenses personnelles graves, mais qui, dans le principe, pouvaient s’appliquer à des situations très nombreuses, Jésus déclara: “Si ton frère agit mal, corrige-le; s’il se repent, pardonne-lui.” (Luc 17:3, The New American Bible). L’apôtre Paul écrivit également qu’un “serviteur du Seigneur” doit “corriger avec patience et douceur”. — II Tim. 2:24, 25, NAB.
7 Les bergers ou surveillants établis de la congrégation s’intéressent à chaque chrétien en particulier et désirent aussi protéger le troupeau dans son ensemble (Héb. 13:17; I Pierre 5:2, 3). Quand quelqu’un commet un péché grave, l’affaire doit donc être portée à leur attention. Le pécheur doit lui-même ‘appeler auprès de lui les aînés de la congrégation’. S’il ne le fait pas, tout autre chrétien ayant connaissance du péché doit, dans l’intérêt du coupable et de la pureté de la congrégation, en informer les anciens (Lév. 5:1). Ceux-ci pourront alors aider la personne qui est tombée dans le péché, la ramener et ‘sauver son âme de la mort’. — Jacq. 5:14, 16, 19, 20.

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