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4 mars Lecture de la Bible : Marc 9-12

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Josué

Josué
Administrateur

4 mars Lecture de la Bible : Marc 9-12
En chemin vers la “haute montagne”, Jésus demanda à ses disciples: “Qui suis-je, au dire des hommes?” Ils lui répondirent: “Jean le Baptiste; et d’autres: Élie; d’autres encore: L’un des prophètes.” Puis il leur posa cette question: “Et vous, qui dites-vous que je suis?” Pierre lui dit: “Tu es le Christ.” Et Jésus “leur enjoignit sévèrement de ne parler de lui à personne. D’autre part, il commença à leur enseigner que le Fils de l’homme devait endurer bien des souffrances, être rejeté par les anciens, les prêtres en chef et les scribes, être tué et, trois jours après, ressusciter”. — Marc 8:27-31.
Jésus poursuivit en faisant cette promesse: “Parmi ceux qui se tiennent ici, il y en a quelques-uns qui ne goûteront pas la mort avant d’avoir vu tout d’abord le royaume de Dieu déjà venu avec puissance.” (Marc 9:1; Matthieu 16:28). Jésus a tenu sa promesse quand, “six jours après”, il a prié et a été transfiguré devant Pierre, Jacques et Jean. Luc dit que cela s’est produit “huit jours” après, sans doute parce qu’il incluait le jour où Jésus a fait sa promesse et le jour de sa transfiguration. — Matthieu 17:1, 2; Marc 9:2; Luc 9:28.
Ni un rêve, ni une imagination
La transfiguration de Jésus n’était pas un rêve. Les trois apôtres n’auraient pas pu rêver la même chose; en fait, Jésus en a parlé comme d’une “vision”. Elle ne relevait pas non plus de l’imagination, car le mot grec utilisé en Matthieu 17:9 est rendu à un autre endroit par “spectacle”. (Actes 7:31.) Ainsi, les observateurs étaient complètement éveillés: ils ont vu de leurs propres yeux et entendu de leurs propres oreilles ce qui se passait. — Luc 9:32.
Pleinement conscient, mais ne sachant que dire, Pierre a suggéré de dresser trois tentes, une pour Jésus, une pour Moïse et une pour Élie (Luc 9:33). La nuée qui s’est formée au moment où Pierre parlait était manifestement une preuve de la présence de Dieu sur la montagne, tout comme elle l’avait été pour la tente de réunion des Israélites dans le désert (Exode 40:34-38; Luc 9:34). Et les apôtres ne devaient certainement pas dormir lorsque “Dieu le Père” a déclaré: “Celui-ci est mon Fils, l’élu. Écoutez-le.” — 2 Pierre 1:17, 18; Luc 9:35.

Josué

Josué
Administrateur

Jésus explique là que ses disciples devraient ôter de leur vie toute chose susceptible de les faire trébucher, fût-elle aussi précieuse pour eux qu’une main, un pied ou un œil. Mieux vaut se passer d’une chose à laquelle on tient et entrer dans le Royaume de Dieu que de s’y accrocher et d’être lancé dans la Géhenne (décharge où l’on entretenait un feu près de Jérusalem), qui symbolise la destruction éternelle.
Jésus donne encore cet avertissement: “Ayez donc soin de ne mépriser aucun de ces petits, car, je vous le dis, leurs anges au ciel voient continuellement la face de mon Père qui est au ciel.” Puis il illustre la valeur des “petits” par l’histoire d’un homme, propriétaire de cent brebis, qui en perdit une. Cet homme, explique Jésus, laissera les quatre-vingt-dix-neuf brebis pour rechercher celle qui s’est perdue, et quand il l’aura retrouvée il se réjouira plus à son sujet que pour les quatre-vingt-dix-neuf autres. “Pareillement, on ne désire pas, chez mon Père qui est au ciel, qu’un seul de ces petits périsse.”

Josué

Josué
Administrateur

JÉSUS et ses disciples se rendent à Jérusalem pour assister à la Pâque de l’an 33. Ils franchissent le Jourdain et suivent la route qui traverse le district de Pérée. Jésus est déjà venu dans cette région quelques semaines plus tôt, mais on l’a prié, à ce moment-là, de venir en Judée, car son ami Lazare était gravement malade. Alors qu’il était en Pérée, Jésus s’est entretenu avec les Pharisiens à propos du divorce. À présent, ils reviennent sur ce sujet.
Parmi les Pharisiens, il y a différentes écoles de pensées concernant le divorce. Moïse a déclaré qu’un homme pouvait divorcer avec sa femme s’il trouvait “chez elle quelque chose de choquant”. Certains pensent que c’est seulement dans le cas où elle n’est pas chaste. D’autres, par contre, estiment que ce “quelque chose de choquant” comprend des fautes vraiment bénignes. C’est pourquoi, dans l’intention de mettre Jésus à l’épreuve, les Pharisiens lui demandent: “Est-il permis à un homme de divorcer avec sa femme pour n’importe quel motif?” Ils sont persuadés que, quoi que réponde Jésus, il aura bien des difficultés avec ceux d’entre eux qui ont un avis différent.
Jésus répond à la question, de façon magistrale, non pas en flattant une quelconque opinion humaine, mais en se référant au but originel du mariage. “N’avez-vous pas lu, demande-t-il, que celui qui les créa, dès le commencement les fit mâle et femelle, et qu’il a dit: ‘C’est pourquoi l’homme quittera son père et sa mère et s’attachera à sa femme, et les deux seront une seule chair’? Si bien qu’ils ne sont plus deux, mais une seule chair. En conséquence, ce que Dieu a mis sous le même joug, que l’homme ne le sépare pas!”
Le dessein originel de Dieu, explique Jésus, est que les deux conjoints s’attachent l’un à l’autre, non pas qu’ils divorcent. S’il en est ainsi, rétorquent les Pharisiens, “pourquoi donc Moïse prescrivit-il de donner un acte de renvoi, et de divorcer avec elle?”
Jésus répond: “Moïse, en raison de votre dureté de cœur, vous a fait une concession en vous permettant de divorcer avec vos femmes, mais dès le commencement il n’en était pas ainsi.” Effectivement, lorsque Dieu a fixé le modèle du mariage dans le jardin d’Éden, il n’a pas prévu le divorce.
S’adressant aux Pharisiens, Jésus poursuit: “Je vous dis que quiconque divorce avec sa femme, sauf pour motif de fornication [grec, pornéïa], et se marie avec une autre, commet un adultère.” Il montre de cette façon que la pornéïa, terme qui désigne une conduite sexuelle honteuse, est le seul motif de divorce que Dieu accepte.
En prenant conscience que, du fait de cet unique motif de divorce, le mariage doit être une union durable, les disciples sont poussés à dire: “Si telle est la condition de l’homme avec sa femme, il n’est pas expédient de se marier.” Incontestablement, toute personne qui envisage de se marier doit réfléchir sérieusement à la permanence des liens conjugaux!

Josué

Josué
Administrateur

APRÈS avoir guéri le garçon possédé d’un démon dans la région de Césarée de Philippe, Jésus désire rentrer chez lui à Capernaüm. Cependant, il veut faire le voyage seul avec ses disciples afin de mieux les préparer à sa mort et aux responsabilités qu’ils assumeront ensuite. “Le Fils de l’homme, explique-t-il, doit être livré aux mains des hommes, et ils le tueront, mais, quand il aura été tué, il ressuscitera trois jours après.”
Jésus a déjà abordé cette question, et trois apôtres ont été témoins oculaires de sa transfiguration pendant laquelle son “départ” a fait l’objet d’une conversation; pourtant, ses disciples ne l’ont toujours pas bien comprise. Bien qu’aucun d’entre eux ne refuse d’admettre, comme Pierre précédemment, qu’il va être tué, ils craignent de l’interroger davantage à ce sujet.
Les voici finalement à Capernaüm, ville qui a été en quelque sorte un port d’attache pour Jésus au cours de son ministère; c’est également de là que Pierre est originaire, comme plusieurs des autres apôtres. À ce moment, des hommes chargés de percevoir l’impôt du temple s’avancent vers Pierre et, peut-être pour prendre Jésus en défaut sur un usage admis, ils demandent: “Est-ce que votre enseignant ne paie pas l’impôt des deux drachmes [pour le temple]?”
“Si”, répond Pierre.
Entrant dans la maison, probablement peu après, Jésus sait que cet incident vient d’avoir lieu. C’est pourquoi Pierre n’a même pas eu le temps d’en parler que Jésus l’interroge: “Qu’en penses-tu, Simon? De qui les rois de la terre reçoivent-ils les taxes ou l’impôt de capitation? De leurs fils ou des étrangers?”
“Des étrangers”, déclare Pierre.
“Vraiment donc, les fils sont exempts d’impôts”, observe Jésus. Puisque le Père de Jésus est le Roi de l’univers, Celui qui est adoré dans le temple, le Fils de Dieu n’est pas vraiment tenu par la loi de payer l’impôt du temple. “Cependant, dit Jésus, pour que nous ne les fassions pas trébucher, va à la mer, jette l’hameçon, et prends le premier poisson qui montera; et quand tu lui ouvriras la bouche, tu y trouveras un statère [quatre drachmes]. Prends-le et donne-le-leur, pour moi et pour toi.”

Josué

Josué
Administrateur

Les disciples placent ensuite leurs vêtements de dessus sur la mère et sur l’ânon, mais c’est l’ânon que montera Jésus.
À mesure que Jésus s’approche de Jérusalem, la foule grossit. La plupart des gens étendent sur la route leurs vêtements de dessus, tandis que d’autres coupent des branches d’arbres qu’ils étendent également. “Béni est Celui qui vient, le Roi, au nom de Jéhovah! s’exclament-ils. Paix dans le ciel, et gloire dans les lieux très hauts!”
Dans la foule, des Pharisiens s’offusquent de ces acclamations et s’en plaignent à Jésus. “Enseignant, tance tes disciples”, lui disent-ils. Mais Jésus leur répond: “Je vous le dis, si ceux-ci se taisaient, les pierres crieraient.”
S’approchant de Jérusalem, Jésus aperçoit la ville et se met à pleurer sur elle, disant: “Si toi, oui toi, tu avais discerné en ce jour les choses qui concernent la paix — mais maintenant, elles ont été cachées à tes yeux.” Comme Jésus l’annonce à présent, Jérusalem doit payer le prix de sa désobéissance volontaire:
“Tes ennemis [les Romains commandés par le général Titus] construiront autour de toi une fortification avec des pieux taillés en pointe, et t’encercleront, et te presseront de toutes parts, et ils te fracasseront sur le sol, toi et tes enfants au-dedans de toi; et ils ne laisseront pas en toi pierre sur pierre.” La destruction de Jérusalem prophétisée par Jésus surviendra 37 ans plus tard, en l’an 70.
Il y a quelques semaines à peine, beaucoup dans cette foule ont vu Jésus ressusciter Lazare. Ils en font maintenant part aux autres. C’est pourquoi, lorsque Jésus entre dans Jérusalem, la ville entière est en émoi. “Qui est-ce?” demandent les gens. Et les foules ne cessent de dire: “C’est le prophète Jésus, qui est de Nazareth de Galilée!” Voyant cela, les Pharisiens se lamentent, car ils n’arrivent absolument à rien; comme ils le disent eux-mêmes, “le monde s’en est allé derrière lui”.
Ainsi qu’il le fait d’habitude lorsqu’il se trouve à Jérusalem, Jésus va enseigner au temple. Là, les aveugles et les boiteux viennent à lui, et il les guérit! Les prêtres en chef et les scribes, voyant les choses merveilleuses qu’accomplit Jésus et entendant les garçons qui crient dans le temple: “Sauve, nous te prions, le Fils de David!” se mettent en colère et s’exclament: “Tu entends ce qu’ils disent?”
“Oui, répond Jésus. N’avez-vous jamais lu ceci: ‘De la bouche des tout-petits et des nourrissons, tu as fourni la louange’?”
Jésus continue d’enseigner, et il promène son regard sur tout ce qui se trouve dans le temple. Puis, comme il se fait tard, il s’en va, suivi des douze, et retourne à Béthanie, distante d’environ 3 kilomètres. C’est là qu’il passe la nuit de dimanche, probablement chez son ami Lazare. Matthieu 21:1-11, 14-17; Marc 11:1-11; Luc 19:29-44; Jean 12:12-19; Zacharie 9:9.

Josué

Josué
Administrateur

DANS le temple, Jésus vient tout juste de confondre les chefs religieux qui voulaient savoir par quelle autorité il faisait les choses. Ils ne sont pas remis de leur trouble que Jésus leur demande: “Que pensez-vous de ceci?” Et, au moyen d’une illustration, il leur montre quel genre de personnes ils sont vraiment.
Jésus raconte: “Un homme avait deux enfants. S’approchant du premier, il dit: ‘Mon enfant, va-t’en aujourd’hui travailler à la vigne.’ En réponse, celui-ci dit: ‘J’y vais, seigneur’, mais il ne sortit pas. S’approchant du second, il lui dit la même chose. En réponse, celui-ci dit: ‘Je ne veux pas.’ Par la suite, il eut du regret et sortit. Lequel des deux a fait la volonté de son père?”
“Le dernier”, répondent ses adversaires.
Alors Jésus leur donne cette explication: “En vérité je vous le dis, les collecteurs d’impôts et les prostituées vous devancent dans le royaume de Dieu.” En effet, les collecteurs d’impôts et les prostituées sont des gens qui, au début, refusaient de servir Dieu. Et puis, comme le deuxième fils, ils se sont repentis et se sont mis à le servir. Par contre, les chefs religieux, comme le premier fils, déclaraient servir Dieu; et cependant Jésus dit: “Jean [le baptiseur] est venu à vous dans une voie de justice, mais vous ne l’avez pas cru. Or les collecteurs d’impôts et les prostituées l’ont cru, et vous, bien que voyant cela, vous n’avez pas eu de regret par la suite, pour le croire.”
Ensuite, Jésus montre que le tort de ces chefs religieux n’est pas seulement de ne pas servir Dieu, mais, pire, d’être foncièrement méchants. Il enchaîne: “Il y avait un homme, un maître de maison, qui planta une vigne, l’entoura d’une clôture, y creusa un pressoir et érigea une tour; puis il la loua à des cultivateurs et partit pour l’étranger. Quand arriva la saison des fruits, il envoya ses esclaves aux cultivateurs pour recevoir ses fruits. Mais les cultivateurs prirent ses esclaves, et ils battirent l’un, tuèrent l’autre, en lapidèrent un troisième. Il envoya encore d’autres esclaves, plus nombreux que les premiers, mais ils leur firent de même.”
Les “esclaves” sont les prophètes que le “maître de maison”, Jéhovah Dieu, a envoyés aux “cultivateurs” de sa “vigne”. Ces cultivateurs sont les représentants en chef de la nation d’Israël, la “vigne” de Dieu dans la Bible.
Jésus explique que, puisque “les cultivateurs” ont maltraité et tué les “esclaves”, le propriétaire de la vigne fait encore quelque chose: “Finalement, il leur envoya son fils, en disant: ‘Ils respecteront mon fils.’ Mais, en voyant le fils, les cultivateurs se dirent entre eux: ‘Voici l’héritier! Venez, tuons-le, et que nous ayons son héritage!’ Ils le prirent donc, le jetèrent hors de la vigne et le tuèrent.”
À présent, s’adressant aux chefs religieux, Jésus leur demande: “Quand le propriétaire de la vigne viendra, que fera-t-il donc à ces cultivateurs?”
Et ils répondent: “Parce qu’ils sont mauvais, il fera venir sur eux une destruction mauvaise et louera la vigne à d’autres cultivateurs qui lui en rendront les fruits en temps voulu.”
Sans le savoir, ces chefs religieux viennent de prononcer la sentence contre eux-mêmes, étant donné qu’ils sont du nombre des “cultivateurs” israélites de la “vigne” de Jéhovah, la nation d’Israël. Le fruit que Jéhovah attend de ces cultivateurs est la foi en son Fils, le vrai Messie. Parce qu’ils n’ont pas produit ce fruit, Jésus les prévient en ces termes: “N’avez-vous jamais lu dans les Écritures [en Psaume 118:22, 23]: ‘La pierre qu’avaient rejetée les bâtisseurs, c’est elle qui est devenue la maîtresse pierre de l’angle. Cela s’est fait de par Jéhovah, et c’est chose prodigieuse à nos yeux’? C’est pourquoi je vous le dis: Le royaume de Dieu vous sera enlevé et sera donné à une nation qui en produira les fruits. D’autre part, celui qui tombera sur cette pierre sera fracassé. Quant à celui sur qui elle tombera, elle le pulvérisera.”

Josué

Josué
Administrateur

Le levain d’Hérode ”. C’est sous le règne d’Hérode Antipas que Jésus donna à ses disciples cet avertissement : “ Ouvrez l’œil, prenez garde au levain des Pharisiens et au levain d’Hérode. ” (Mc 8:15). Ces deux sectes, les Pharisiens et les Hérodiens, ou gens du parti d’Hérode, s’opposaient à Jésus Christ et à ses enseignements. Bien qu’ennemies, elles considéraient le Christ comme un adversaire commun et étaient unies contre lui. Les Hérodiens formaient un parti plus politique que religieux ; ils prétendaient, dit-on, suivre la Loi, mais considéraient qu’il était permis aux Juifs de se soumettre à un prince étranger (puisque les Hérodes n’étaient pas de vrais Juifs, mais des Iduméens). Les Hérodiens étaient très nationalistes et ne supportaient ni l’idée d’un gouvernement théocratique dirigé par des rois juifs ni la domination romaine. Ils souhaitaient le rétablissement du royaume national dirigé par n’importe lequel des fils d’Hérode.
La question captieuse qu’avec les Pharisiens ils posèrent à Jésus pour tenter de le prendre au piège est un exemple révélateur de ce qu’était leur “ levain ” nationaliste. Ils demandèrent : “ Est-il permis ou non de payer à César l’impôt par tête ? Devons-nous payer ou ne devons-nous pas payer ? ” (Mc 12:13-15). Jésus les traita d’“ hypocrites ” et montra qu’il veillait à prendre garde à leur “ levain ”, car sa réponse les désarma, contrecarrant leur intention soit de l’accuser de sédition, soit de soulever le peuple contre lui. — Mt 22:15-22.

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