Le Pape à l’abri d'une arrestation d’abus enfant en restant dans le Vatican

La décision du pape de rester au Vatican lui fournira avec la sécurité et de l'immunité de cas d'abus de l'enfant qu'il est confronté à des reportages GMA.


La décision du pape de rester au Vatican lui fournira avec la sécurité et de l'immunité de cas d'abus de l'enfant qu'il est confronté à des reportages GMA.




Il y a eu des appels répétés pour l'arrestation de Benoît XVI sur l'abus sexuel dans l'Eglise catholique.

« Il est absolument nécessaire » qu'il reste au Vatican, a déclaré la source, ajoutant que Benoît ait une « existence digne » dans ses dernières années.

En 2010, le pape était un défendeur dans un procès pour protéger un prêtre pédophile qui a abusé des garçons à l'école américaine pour les sourds. Les Avocats ont retiré le procès que le pape ne pouvait être tenu responsable pour les actions des prêtres.

Bien que Benoît n'est donc plus le monarque de la cité du Vatican, il conservera sa citoyenneté du Vatican et la résidence. Pactes du Latran entre le Vatican et l'Italie signifierait qu'il obtiendrait la protection même si il se rend en Italie.


Quand le pape ancien sont allés à la Grande-Bretagne, l'auteur britannique Richard Dawkins appelé pour l'arrestation du pape pour lui poser des questions sur le scandale de l'église enfant abus sexuel. Leurs eforts ont échoués parce que le pape était un chef de l'Etat et jouissent de l'immunité diplomatique.

En 2011, la Cour pénale internationale a demandé d'enquêter sur le pape et trois fonctionnaires du Vatican sur les abus sexuels.

Les groupes de centre pour les droits constitutionnels (CCR) basé à New York et un autre groupe, réseau des survivants de ces Abused de prêtres (SNAP), a déposé une plainte avec la CPI, alléguant qu'officiels du Vatican commis des crimes contre l'humanité car ils toléré et activé les crimes à caractère sexuel

pas très jolie tout ça il va mourir tranquille dans son lit.

Accusé d'avoir couvert des prêtres pédophiles dans le diocèse de Los Angeles aux Etats-Unis, la présence possible du cardinal Mahony au conclave qui doit élire le successeur de Benoît XVI commence à faire polémique.

Le cas de l'ancien archevêque de Los Angeles, retiré depuis mars 2011, commence à faire parler dans le monde. En cause : sa gestion des affaires d'abus sexuels commis par des prêtres dans son ancien diocèse, et les accusations de complicité qui pèsent actuellement contre lui. Il est ainsi soupçonné d'avoir fait obstruction dans les enquêtes concernant pas moins de 122 prêtres pédophiles, allant jusqu'à transférer un certain nombre d'entre eux hors de la Californie pour les soustraire à la juridiction de l'Etat américain. Il doit notamment encore être entendu samedi prochain lors du procès d'un prêtre mexicain qui aurait abusé de 26 enfants.

Le problème, c'est que Roger Mahony est certes retiré de son diocèse et a été relevé de toutes ses fonctions publiques et administratives par son successeur, Jose Gomez, mais il a été créé cardinal par Jean-Paul II en 1991 et il est âgé de 77 ans, ce qui fait de lui un électeur lors du conclave qui doit réunir des cardinaux à Rome pour élire le futur pape. Or, il a bien l'intention de s'y rendre. Ainsi, le jour de la renonciation de Benoît XVI, écrivait-il sur son blog : "Je suis impatient de me rendre bientôt à Rome (...) et de participer au conclave pour élire son successeur".

L'association américaine Catholics United se joint à la voix d'associations de victimes et a lancé une pétition pour réclamer que le cadinal Mahony ne siège pas au Sacré Collège.

Mais l'Eglise catholique peut-elle vraiment l'en exclure ? Pas si simple, selon le cardinal Velasio De Paolis, président émérite de la préfecture pour les affaires économiques et commissaire papal pour les légionnaires du Christ. Le droit canon est en effet du côté du cardinal américain : les cardinaux électeurs ont "le droit-devoir de participer et voter lors du prochain conclave", explique-t-il. C'est la légitimité de l'élection du futur pape qui pourrait être remise en cause.

Il faudrait, pour l'exclure du conclave, que Benoît XVI décide de le déchoir de son titre de cardinal ou que Roger Mahony renonce de lui-même à son titre. Historiquement, seul le cardinal français Louis Billot, en 1927, a renoncé à sa charge et à tous ses insignes, en présence du pape Pie XI, qui accepta sa démission.

Evoquant une "situation déconcertante", Velasio De Paolis, expert en droit canon, souligne : "La pratique commune est de recourir à la persuasion. On ne peut pas faire davantage."

"Il est possible, poursuit-il néanmoins, cité par l'AFP, que l'on conseille à Mahony de ne pas venir mais il ne peut s'agir que d'une intervention privée de la part de quelqu'un doté d'une forte autorité. La pratique commune est de recourir à la persuasion. On ne peut pas faire davantage pour éventuellement le dissuader de venir voter".

En Californie, le scandale des abus protégés par Roger Mahony ravage l'Eglise. 124 enquêtes judiciaires sont en cours, et le diocèse de Los Angeles, le plus grand des États-Unis, a déjà versé 660 millions de dollars de dédommagement aux victimes.

c'est toute la meme gang !. pas un n'est different de l'autre, tous ont soif de pouvoir. et ça va tombé fort le moment venu lorsque l'empire de la fausse religion se fera detruire.