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Bisphénol A : il s'en prend aux reins et au cœur

3 participants

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Michael

Michael
MODERATEUR
MODERATEUR

Destination Santé – ven. 11 janv. 2013

Le bisphénol A (BPA) n'en finit pas de dévoiler ses méfaits. Selon une étude menée aux Etats-Unis, il pourrait en effet provoquer chez les enfants et les adolescents, des troubles à la fois cardiovasculaires et rénaux. Explications.

Aux Etats-Unis comme en France, les plus jeunes sont exposés très précocement au BPA. Différents travaux menés outre-Atlantique ont d'ailleurs montré que près de 92% des enfants de 6 ans présentaient des traces de cette substance dans leurs urines.

Le Dr Leonardo Trasande et son équipe de l'Université de New York ont analysé les urines de 710 enfants et adolescents de 6 à 19 ans. Chez ceux qui présentaient les niveaux de BPA les plus élevés, les auteurs ont observé un ratio albumine/créatinine plus important. Or ce dernier est un marqueur potentiel de troubles rénaux et de maladie coronarienne. Par ailleurs ils ont également montré que le bisphénol A augmentait le stress oxydatif, au niveau des cellules.

En France, les produits contenant du BPA destinés aux enfants de moins 3 ans ne sont plus commercialisés depuis le 1er janvier 2013. Par ailleurs, l'ensemble des contenants alimentaires dans lesquels ce composé chimique est actuellement utilisé seront interdits à partir du 1er janvier 2015. Rappelons que depuis mars 2011, il est interdit de produire des biberons renfermant du bisphénol A dans l'Union européenne. L'interdiction d'importer et de commercialiser des biberons contenant ce composé chimique est effective depuis juin 2011.

bouboule



Oui j'ai lu ça y a quelques mois deja sur MSN et on en sait pas tout ce que le gouvernement americain ou partout ailleur sur la planète accepte de laisser passer comme dangérosité Mad

Michael

Michael
MODERATEUR
MODERATEUR

Maladie n`a pas d`age

bouboule



imaginamick a écrit:Maladie n`a pas d`age

oui mais on parle pas de maladie la mais d'un bidule qui n'est pas bon pour la santé mick.

mais je sais que la maladie n'a pas d'âge pas pwoblem mick

Michael

Michael
MODERATEUR
MODERATEUR

bouboule a écrit:
imaginamick a écrit:Maladie n`a pas d`age

oui mais on parle pas de maladie la mais d'un bidule qui n'est pas bon pour la santé mick.

mais je sais que la maladie n'a pas d'âge pas pwoblem mick
Fort souvent,Ce qui n`est pas bon pour la santé entraine la maladie...
J`ai pas a m`enfaire dans un futur proche( Is 33:24)

Michael

Michael
MODERATEUR
MODERATEUR

Heureusement c`est pas mentionné que ce dernier entraine l`insuffisance rénal. silent

bouboule



imaginamick a écrit:Heureusement c`est pas mentionné que ce dernier entraine l`insuffisance rénal. silent


(((( Le bisphénol A (BPA) n'en finit pas de dévoiler ses méfaits. Selon une étude menée aux Etats-Unis, il pourrait en effet provoquer chez les enfants et les adolescents, des troubles à la fois cardiovasculaires et rénaux ))))


Et bien ces phrases pourraient faire en sorte que ça arrive

Michael

Michael
MODERATEUR
MODERATEUR

bouboule a écrit:
imaginamick a écrit:Heureusement c`est pas mentionné que ce dernier entraine l`insuffisance rénal. silent


(((( Le bisphénol A (BPA) n'en finit pas de dévoiler ses méfaits. Selon une étude menée aux Etats-Unis, il pourrait en effet provoquer chez les enfants et les adolescents, des troubles à la fois cardiovasculaires et rénaux ))))


Et bien ces phrases pourraient faire en sorte que ça arrive
Non la je craque! tttrist Je vais verifier mes reins si j`ai pas ce truc :boukk

bouboule



imaginamick a écrit:
bouboule a écrit:
imaginamick a écrit:Heureusement c`est pas mentionné que ce dernier entraine l`insuffisance rénal. silent


(((( Le bisphénol A (BPA) n'en finit pas de dévoiler ses méfaits. Selon une étude menée aux Etats-Unis, il pourrait en effet provoquer chez les enfants et les adolescents, des troubles à la fois cardiovasculaires et rénaux ))))


Et bien ces phrases pourraient faire en sorte que ça arrive
Non la je craque! tttrist Je vais verifier mes reins si j`ai pas ce truc :boukk


euh..faut quand meme pas devenir fou hein mick! grsour

Michael

Michael
MODERATEUR
MODERATEUR

bouboule a écrit:
imaginamick a écrit:
bouboule a écrit:


(((( Le bisphénol A (BPA) n'en finit pas de dévoiler ses méfaits. Selon une étude menée aux Etats-Unis, il pourrait en effet provoquer chez les enfants et les adolescents, des troubles à la fois cardiovasculaires et rénaux ))))


Et bien ces phrases pourraient faire en sorte que ça arrive
Non la je craque! tttrist Je vais verifier mes reins si j`ai pas ce truc :boukk


euh..faut quand meme pas devenir fou hein mick! grsour
Ma mere est morte d`insuffisance renal... Sad

bouboule



imaginamick a écrit:
bouboule a écrit:
imaginamick a écrit:
Non la je craque! tttrist Je vais verifier mes reins si j`ai pas ce truc :boukk


euh..faut quand meme pas devenir fou hein mick! grsour
Ma mere est morte d`insuffisance renal... Sad

euh.. pardon dans ce cas de ma rigolade je ne savais pas..désolé Sad

Josué

Josué
Administrateur

Bisphénol A : comment éviter les emballages alimentaires qui en contiennent ?
Le Point.fr - Publié le 10/04/2013 à 18:29 - Modifié le 11/04/2013 à 11:47
En l'absence d'étiquetage obligatoire, reconnaître un contenant comportant du BPA reste une tâche très difficile. Quelques indices méritent toutefois l'attention.
Par CHLOÉ DURAND-PARENTI
L'annonce est tombée mardi. L'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) recommande de limiter l'exposition des femmes enceintes au bisphénol A (BPA) en raison d'un risque "modéré" mais bien réel pour le foetus et préconise une révision à la baisse de la dose journalière admissible pour l'ensemble de la population. D'après le rapport de l'agence, 84 % de l'exposition des futures mères proviendrait de l'alimentation. Une question se pose alors. En attendant que les industriels trouvent un moyen de remplacer cette substance potentiellement cancérigène et que la loi française la proscrive totalement pour le conditionnement des produits alimentaires à compter du 1er janvier 2015, existe-t-il un moyen de limiter, par soi-même, son exposition ? Sachant que plus de 50 % de la contamination par l'alimentation provient des emballages alimentaires, existe-t-il un moyen de les reconnaître afin de les éviter ? En l'absence d'exigence légale d'un étiquetage précis sur ces contenants, il demeure très difficile de déceler la présence de bisphénol A. Pour autant, quelques informations de base peuvent aider à limiter les risques.

Du côté des récipients en plastique au contact des denrées alimentaires, le perturbateur endocrinien n'est autorisé en Europe que pour la synthèse d'un matériau appelé polycarbonate, qu'il est totalement impossible de distinguer à l'oeil nu et qui, au passage, est utilisé pour la fabrication des bidons qui équipent certains distributeurs d'eau mis à disposition dans les collectivités et les entreprises. Alors, comment s'y retrouver ? Certains fabricants, pas tous, loin de là, ont pris l'habitude d'apposer sur leur produit un code de recyclage susceptible de permettre d'y voir un brin plus clair. Il s'agit d'un petit triangle composé de trois flèches avec un numéro à l'intérieur. Pour se garantir du bisphénol A, le chiffre 7 (autres plastiques) est à éviter, surtout s'il porte en dessous le sigle PC qui signifie polycarbonate. Les contenants alimentaires portant les numéros 1 à 6 ne contiennent pas de bisphénol A.

Josué

Josué
Administrateur

Le taux de bisphénol A dans les emballages alimentaires est divisé par 10

L'autorité Européenne de sécurité des aliments recommande une réduction journalière tolérable de Bisphénol A par 10. Utiliser dans de nombreux contenants alimentaire, elles serait plus nocive qu'on ne le pense.

Les dangers du bisphénol A (BPA), se confirmeraient-ils? L'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) a décidé de  diviser le taux d'utilisation du BPA par 10. Présent dans de nombreux emballages du quotidien (canettes, tickets de caisse, emballages plastiques...), le taux de BPA, jusqu'ici autorisé à 0,05 mg/kg est maintenant de 0,005 mg/kg. La décision a été annoncée suite à un rapport du 17 janvier rapportant de nouveaux doutes sur les dangers du Bisphénol A sur notre santé.

Des suspicions de risques cancérigènes

Une forte exposition pourrait endommager le système reproducteur mâle et femelle ou celui de la thyroïde ou encore de de l'intestin. Il existe même un risque de cancer. Pour l'instant aucune de ces suspicions n'a été confirmées mais l'EFSA reste prudent. Concernant les emballages des aliments : "l' EFSA conclut qu'il existe un niveau estimé sans danger d'exposition au BPA (...) mais elle l'a abaissé et décide de l'établir sur une base provisoire en raison des incertitudes qui persistent sur les risques posés par cette substance", explique Iona Pratt présidente de l'EFSA. Si les autorités Européennes restent seulement prudentes, la France n'a pas hésité face au doute a voter en 2012 une loi qui devrait interdire l'utilisation totale du BPA dans les contenants alimentaires. Le temps pour les industriels de trouver de nouveaux procédés de fabrications.

Josué

Josué
Administrateur

Certains substituts du bisphénol A tout aussi dangereux
Mots clés : Bisphénol, BPA, Bisphénols, BPS, BPF
Par figaro iconSoline Roy - le 16/01/2015
Les industriels doivent remplacer le bisphénol A , interdit dans tous les contenants alimentaires en France depuis le 1er janvier 2015. Mais certains substituts seraient tout aussi néfastes pour le développement du fœtus.
Le 1er janvier 2015, la France est devenue le premier pays au monde à bannir le bisphénol A de tous les contenants alimentaires… sans vraiment savoir par quoi le remplacer.
Ce composé chimique, très utilisé pour fabriquer des plastiques souples et transparents, dans les revêtements intérieur des boîtes de conserve, ou comme révélateur sur les tickets de caisse, est classé comme perturbateur endocrinien et accusé de longue date d'effets néfastes sur la reproduction, le développement et le métabolisme. Or certains produits de substitution pourraient être tout aussi dangereux, indique une étude menée par des chercheurs français.
Production de testostérone
René Habert, professeur en toxicologie de la reproduction et ses collaborateurs du Laboratoire de Développement des Gonades (INSERM, CEA, Université Paris Diderot), ont testé les effets des bisphénols S (BPS) et F (BPF) sur des cellules de testicules fœtaux humains cultivés un vitro. Leurs travaux, publiés dans la revue «Fertility & Sterility», montrent que eux aussi «perturbent la production de testostérone. Or celle-ci a une importance capitale pour les fœtus mâles humains, car c'est elle qui masculinise leurs organes génitaux. Sans testostérone, un fœtus génétiquement mâle souffrira de troubles de la masculinité (par exemple, un micro-pénis), et l'on soupçonne un risque de baisse de la fertilité à l'âge adulte» même chez des hommes apparemment bien conformés.
Le Pr Habert avait été le premier à prouver expérimentalement, en janvier 2013, que les dangers du BPA déjà démontrés sur des animaux de laboratoire existaient aussi, et même à plus faible dose, sur le testicule humain. Or les bisphénols traversent la barrière placentaire, qui normalement protège le fœtus des substances toxiques ingérées par sa mère.
«Jamais testé chez l'homme»
«Bien qu'ils aient une structure chimique proche de celle du bisphénol A, la dangerosité des BPS et BPF n'a jamais été testée sur une fonction physiologique chez l'homme et il n'y a aucune réglementation les concernant», indique un communiqué du CEA et de l'Inserm. De fait, un rapport du gouvernement remis fin décembre 2012, relatif aux substituts du bisphénol A, cite le bisphénol S comme composé possible du «polyéthersulfone», utilisable «en remplacement du polycarbonate dans les biberons», «la vaisselle pour enfants», mais aussi «les appareil et accessoires médicaux», «les installations d'eau chaude» ou pour «les tickets de caisse».
«En réalité, regrette le Pr Habert, on a peu d'informations sur les utilisations actuelles ou à venir du BPS et du BPF, car les producteurs n'ont aucune obligation de donner ces informations et protègent leurs secrets industriels.» Une étude effectuée par des chercheurs canadiens et publiée très récemment dans les Actes de l'Académie des sciences américaine (PNAS) va aussi dans le sens d'une nocivité du PBS. Ces auteurs ont observé qu'il altère le développement cérébral et entraîne une hyperactivité chez des poissons zèbres in vivo.
«Il est important de tester scientifiquement les produits avant de les mettre sur le marché, car on peut difficilement prédire simplement à partir de sa formule chimique si une molécule aura ou non un effet négatif», s'insurge René Habert. «Cela serait dépourvu de bon sens d'échanger un danger sanitaire pour un autre», peut-on lire dans l'article qu'il a dirigé. Les auteurs souhaitent que soient étudiés sans délais «les dangers sanitaires pour l'homme des substituts du BPA».

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