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La consommation de médicaments en France .

2 participants

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Josué

Josué
Administrateur

La consommation de médicaments en France


Dans tous les pays développés, la consommation médicale de médicaments progresse structurellement plus vite que le PIB

Les Comptes Nationaux de la Santé mesurent chaque année les différents postes de la consommation médicale totale (valeur totale des biens et services médicaux consommés) et de la dépense courante en santé (somme des dépenses engagées par les financeurs publics et privés pour la fonction santé).

En 2008, la consommation de soins et de biens médicaux a atteint 170,5 milliards d’euros, soit 2 651 euros par habitant. Elle a progressé de 3,8% par rapport à 2007.

Ventilation de la consommation de soins et de biens médicaux en 2008.
http://www.leem.org/medicament/la-consommation-de-medicaments-en-france-445.htm

Josué

Josué
Administrateur

Deux anti-diabétiques seraient à l'origine de plusieurs cas de cancer de la vessie. L'Actos et le Competact font partie de la liste des 77 médicaments sous surveillance par l'agence sanitaire. Mais les deux produits sont toujours sur le marché
http://ma-grande-epee-la-bible.over-blog.com/ext/http://tf1.lci.fr/infos/france/justice/0,,3380377,00-patient-meurt-palu-apres-transfusion-.html

Josué

Josué
Administrateur

La consommation d'antibiotiques toujours excessive
Le Point.fr - Publié le 21/06/2011 à 07:45 - Modifié le 21/06/2011 à 08:54
L'Hexagone reste l'un des plus gros consommateurs, et les premières baisses semblent s'estomper, selon un rapport de l'Afssaps.
La consommation d'antibiotiques a baissé en dix ans de 16 % en France, mais le pays reste un des plus gros consommateurs d'Europe, avec une tendance à la reprise depuis 2005, selon un rapport publié mardi par l'Agence des produits de santé (Afssaps). Le rapport, intitulé "Dix ans d'évolution des consommations d'antibiotiques en France" et qui porte sur la période 1999-2009, est élaboré à partir du recueil des données de ventes dont dispose l'Afssaps et des données de remboursement de l'Assurance maladie (CNAMTS).

En 2009, "157 millions de boîtes ont été vendues pour un chiffre d'affaires de 852 millions d'euros", dont 87 % en médecine de ville, indique l'Afssaps. La consommation progresse avec l'âge, les femmes - du moins jusqu'à l'âge de 64 ans - en prennent plus que les hommes et le niveau de consommation est plus élevé dans le nord de la France. La baisse des ventes d'antibiotiques en ville, entre 1999 et 2009, "est la plus importante observée en Europe", mais la France "reste nettement au-dessus de la moyenne européenne", indique le rapport. Jadis numéro un des pays européens pour la consommation, elle a été doublée par la Grèce depuis 2002.

"Légère tendance à la reprise"

Le mouvement de baisse, de 16 % sur dix ans, a été surtout sensible pendant les cinq premières années sur lesquelles porte le rapport. Une "légère tendance à la reprise" de la consommation est apparue depuis 2005, notamment en 2009, année de la grippe H1N1, bien que la grippe ne se traite pas par des antibiotiques. Cet abus d'antibiotiques s'est traduit par un développement des résistances bactériennes qui a incité nombre de pays européens à conduire des campagnes contre les consommations à mauvais escient.

En France, un plan national a été engagé en 2001 et l'Assurance maladie a lancé en 2002 une campagne qui a eu un grand écho sur le thème "les antibiotiques, c'est pas automatique". Un autre plan a été lancé en 2007, et une nouvelle campagne a été organisée en 2010 sous le slogan "si on les utilise à tort, ils deviendront moins forts". Il s'agissait notamment d'en combattre l'usage contre des maladies virales pour lesquelles ils ne présentent aucun intérêt. Autre sujet d'inquiétude, la réduction de 15 % du nombre des substances antibiotiques disponibles en France : en dix ans, 25 substances ont cessé d'être commercialisées et seulement 10 nouvelles substances ont fait leur apparition, ce que certains scientifiques expliquent par la faible rentabilité des antibiotiques.

Maîtriser l'antibiothérapie

"Cette situation est particulièrement préoccupante, car l'appauvrissement progressif de l'offre restreint l'éventail des solutions de recours, note l'Afssaps. En pratique, les médecins sont déjà confrontés à des infections susceptibles de menacer le pronostic vital des patients par manque d'antibiotiques efficaces." Selon un rapport européen, 25 000 patients seraient morts en 2007 d'infections liées à des bactéries multirésistantes qui n'ont pu être traitées.

L'Afssaps, qui considère la situation française comme "loin d'être satisfaisante", se dit favorable à une "relance d'une politique de maîtrise de l'antibiothérapie, notamment dans le cadre du nouveau plan national antibiotiques qui va être mis en place par le ministère". L'Organisation mondiale de la santé a fait cette année de la lutte contre la résistance aux antimicrobiens le thème de sa journée mondiale de la santé, en avril.

samuel

samuel
Administrateur

la FRANCE toujours championne de consommation de médicaments.

Josué

Josué
Administrateur

Affections de longue durée (ALD)
L’hypertension artérielle moins remboursée
Publié le 29.06.2011
Un décret publié au Journal officiel du dimanche 26 juin 2011 supprime l’hypertension artérielle sévère de la liste des Affections de longue durée (ALD).
Cette suppression ne concerne toutefois pas les exonérations en cours (jusqu’au terme de leur durée de validité). A noter qu’à l’issue de cette durée de validité, ces exonérations peuvent être renouvelées dans les mêmes conditions.
Une ALD exonérante est une maladie dont la gravité et/ou le caractère chronique nécessite un traitement prolongé et une thérapeutique ouvrant droit à la prise en charge à 100 % pour les soins liés à cette pathologie.
Décret supprimant l’hypertension artérielle sévère de la liste des ALD
Légifrance, site public d’accès au droit
Vous souffrez d’une ALD
Assurance maladie
Listes des actes et des prestations pour les ALD
Haute Autorité de santé (HAS)
Loi de financement de la sécurité sociale pour 2011
Vie-publique.fr

Josué

Josué
Administrateur

Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps)
Epitomax® : mise en garde contre un usage à visée amaigrissante
Publié le 30.08.2011
L’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) met en garde contre le détournement de l’usage de l’Epitomax®.
Autorisé depuis 1996, ce médicament est uniquement indiqué pour traiter l’épilepsie (chez l’adulte et l’enfant) et la migraine (chez l’adulte), ce médicament n’ayant fait l’objet d’aucune évaluation en matière d’amaigrissement. En effet, parmi les effets indésirables graves, ce médicament peut engendrer des problèmes au niveau rénal, oculaire ou métabolique.
L’Afssaps rappelle que la démarche de perte de poids doit s’inscrire sur le long terme sous le contrôle d’un médecin.
Mise en garde sur le détournement de l’usage d’Epitomax® à visée amaigrissante, en dehors des indications autorisées - Point d’information
Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps)
Programme national nutrition santé (PNNS)
Ministère du travail, de l’emploi et de la santé
Effet indésirable lié à l’utilisation d’un médicament - Pharmacovigilance
Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps)
Voir aussi

Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps)
Comment déclarer les effets indésirables des médicaments ?

Josué

Josué
Administrateur

[img]La consommation de médicaments en France . H326390441321430107 [/img]

8La consommation de médicaments en France . Empty Méfiez-vous de votre aspirine! Jeu 29 Déc - 10:01

Josué

Josué
Administrateur

Méfiez-vous de votre aspirine!
Le 12/07/2008 à 23:00 - Validé par Dr Maxence Bourdet


L’aspirine® (acide acétylsalicylique) est le médicament le plus prescrit au monde... et l’un des plus consommés en automédication (maux de tête, fièvre). S’il a de vrais bienfaits, il a aussi de très nombreux effets secondaires...
Aspirine: risque d’ulcère gastrique

Certains médicaments protègent de la formation d’acidité gastrique (comme l’oméprazole®...). D’autres, comme l’aspirine® et tous les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) ont l’effet inverse et favorisent les ulcères! Leurs molécules inhibent notamment les COX (cyclo-oxygénases), des enzymes importantes pour la formation du mucus protégeant les cellules du contenu acide de l’estomac.
Conseil: Pas d’aspirine® si vous avez mal au ventre! Au mieux, la molécule ne vous soulagera pas. Au pire, elle fera un trou dans votre estomac... et vous risquez de passer votre soirée aux urgences!
N’avez-vous jamais remarqué que lorsque que vous prenez de l’aspirine®, vous vous faites plus facilement des hématomes? C’est que ce médicament fluidifie le sang et augmente le risque d’ hémorragie.
En clair: jamais d’aspirine® en cas de mal de tête (sauf avis médical contraire)! En cas de problème cérébral, la molécule peut alors favoriser une paralysie. Pas d’aspirine® non plus en cas de plaie: vous vous exposez alors à une hémorragie grave!

Josué

Josué
Administrateur

Le marché de l'automédication en hausse de 1,9% en 2011 en Franceavec
PARIS (AFP) © 2012 AFP

Le marché français des médicaments achetés sans ordonnance - l'automédication - a progressé de 1,9% en valeur en 2011, à 2,1 milliards d'euros, a annoncé jeudi l'association des industriels fabricants qui a salué cette "croissance dans un environnement difficile".

Les ventes de l'automédication ont ainsi progressé alors que le marché des médicaments sous prescription a reculé de 1,3% en 2011 à 26,7 milliards d'euros, selon l'enquête annuelle réalisée par le cabinet Celtipharm pour l'Afipa auprès d'un panel de 3.004 pharmacies.

Dans le même temps, l'activité des pharmacies d'officine s'est réduite de 0,7% en 2011 à 36,3 milliards d'euros.

"Dans ce climat plutôt morose, l'automédication est un des rares marchés significatifs à progresser" dans les pharmacies, a observé Jean-François Derrée, directeur associé de Celtipharm, en présentant l'étude à la presse. L'automédication est en progression d'environ 2% depuis 3 ans, a-t-il indiqué.

"Le marché de l'automédication est en croissance dans un environnement difficile", a résumé Pascal Brossard, président de l'Association française de l'industrie pharmaceutique pour une automédication responsable (Afipa).

Ce marché "a été dynamisé par le libre accès" aux médicaments sans ordonnance dans les pharmacies, autorisé depuis 2008, et par "des prix en baisse", a-t-il expliqué.

Les prix ont augmenté de 3,1% en quatre ans, alors que l'inflation augmentait de 6,7%, soit une baisse de 3,6% en euros constants, selon l'Afipa.

La pratique du "libre accès" est en hausse et concerne aujourd'hui 71% des pharmacies, selon l'étude. Le libre accès génère des ventes supérieures de 5% par rapport aux pharmacies qui n'en disposent pas.

L'automédication est aussi favorisée par de nouvelles présentations de produits et des campagnes publicitaires plus nombreuses et plus dynamiques, selon l'Afipa.

En 2011, le top 3 des laboratoires dans ce secteur place en tête Sanofi, suivi par Johnson & Johnson Santé Beauté et Boiron Dolisos. Les produits les plus vendus en automédication sont Doliprane (Sanofi), Humex (Urgo), Nurofen (Reckitt Benckiser Healthcare), Oscillococcinum (Boiron), Efferalgan (BMS - Upsa).

Quatre segments de marché sont en développement : l'antalgie (+23,2 millions d'euros en 2011), les vitamines et suppléments minéraux (+16,3 millions), après le déremboursement du magnésium en juillet 2010, les voies respiratoires (+7,7 millions) et les substituts nicotiniques (+7,1 millions).

Les préparations pour états grippaux ont reculé de 7,8 millions en 2011 du fait d'une "quasi absence de pathologie de grippe".

Josué

Josué
Administrateur

Du jamais vu pour ces médicaments arrivés en France il y a 12 ans...

C’est une première et ce n’est pas une bonne nouvelle pour les caisses de l’Assurance Maladie. En 2011, les volumes de ventes des médicaments génériques ont diminué de 3% à 614 millions de boîtes contre une hausse de 6% en 2010. En valeur, les ventes ressortent tout de même en hausse de 3% selon le Gemme, le syndicat des fabricants de génériques. On est loin des 13% de 2009 par exemple. Décidément, les Français semblent réfractaires aux copies de médicaments originaux. En effet, les génériques représentent en Europe plus de 50% du volume des médicaments contre seulement 25% dans l’Hexagone.

Le «Non substituable» fait débat

La mauvaise performance de l’an dernier est à priori surprenante alors que le contexte économique morose aurait dû lui bénéficier. Mais, «la croissance du marché des médicaments génériques s'est essoufflée, traduite par le développement de la mention «Non Substituable» trop largement utilisée par les médecins», décrypte le Gemme. En effet, 4% d’entre eux la mettrait systématiquement selon une récente étude. «La hausse des mentions "NS" n'est qu'une hypothèse. Un praticien qui ne pourrait pas justifier d'une raison médicale s'expose à une sanction», relativise aux Echos Claude Le Pen, professeur à l’Université Paris Dauphine. Le Gemme plaide d’ailleurs pour un renforcement de la réglementation.

Le mauvais coup du Mediator

L’affaire du Mediator n’a rien arrangé . «Le générique est une victime collatérale du climat déplorable qui a prévalu en France en 2011. Lorsque le médicament d'origine est sujet à caution, la copie l'est plus encore!» analyse Pascal Brière, président du Gemme, cité par Les Echos. Ce dernier appelle donc à «une large campagne de communication institutionnelle vers les médecins généralistes et le Grand Public.» Combatif, le Gemme veut faire de 2012 une année de conquête pour le médicament générique.

Et sur le plan des ventes, 2011 pourrait n’être qu’une mauvaise parenthèse. En effet, une série de médicaments va tomber cette année dans le domaine public, liste Les Echos. Dans les jours qui viennent, les fabricants de génériques pourront se mettre à copier le premier traitement de la maladie d’Alzheimer, l’Aricept. Suivront ensuite les antimigraineux Zomigoro et Naramig. En avril, ce sera au tour des deux hypertenseurs Hytacand et Atacand d’ici la fin avril avant le gros lot, le 7 mai prochain, avec l’anticholestérol Tahor qui a réalisé pas moins de 417 millions d’euros de ventes en France entre octobre 2010 et octobre 2011.

Josué

Josué
Administrateur

L'Afssaps émet des réserves sur le Desernil, un médicament contre la migraineavec
Le 06/02/2012 à 19:12 - AFP

©AFP / Philippe Huguen



Le rapport bénéfice/risque du Desernil, un médicament prescrit notamment dans le traitement de la migraine est "défavorable", selon l'agence du médicament (Afssaps).

Telle est la conclusion de la réévaluation de ce dérivé d'ergot de seigle (le méthysergide) des laboratoires Amdipharm émise par la commission d'autorisation de mise sur le marché (AMM) de l'agence du médicament, réunie le 2 février dernier (www.afssaps.fr).

Le Desernil, dont l'autorisation de commercialisation date de 1961, est indiqué dans le traitement de fond (par opposition à la crise) de la migraine et de l'algie vasculaire de la face (douleur violente).

Ce dérivé d'ergot de seigle peut induire des lésions (fibroses), notamment au niveau du péritoine, des poumons et de leur enveloppe (plèvres) ainsi que des valves cardiaques.

"Ces effets sont très rares mais graves", l'emploi de ce produit "présente donc un risque potentiel pour le patient", note l'Afssaps.

La réévaluation de son rapport bénéfice/risque s'inscrit dans le cadre de l'enquête sur le risque de fibroses et valvulopathies sous dérivés ergotés et aussi dans une démarche plus large de réévaluation des médicaments indiqués dans le traitement de fond de la migraine.

Le 15 décembre 2011, la commission d’AMM avait ainsi rendu un avis défavorable sur le rapport bénéfice/risque d'une série de ces dérivés également très anciens et d'indications variables, à savoir des médicaments vasodilatateurs indiqués en cardiologie, en neurologie et en ophtalmologie (la dihydroergotamine, la dihydroergotoxine, la dihydroergocornine, la dihydroergocristine, la dihydroergocryptine et la nicergoline).

Par ailleurs, l'anti-dépresseur Stablon (molécule: tianeptine) des laboratoires Servier, commercialisé depuis 1988, a été réévalué favorablement lors de cette réunion "sous réserve de la mise en place d'actions" pour minimiser le risque d'abus et de pharmacodépendance.

Josué

Josué
Administrateur

La vérité sur les médicaments génériques

Le médicament générique n'est JAMAIS la copie conforme de sa spécialité référente. Composition différente, efficacité moindre, réactions allergiques sévères, génériques à éviter… Peut-on continuer d’en prendre sans risque ou faut-il arrêter ? Medisite vous répond avec le Pr Charles-Joël Menkès de l’Académie nationale de médecine.
Quelles sont les vraies différences avec un générique ?



« Le générique n’est pas la copie conforme de la spécialité référente » a déclaré le Pr Charles-Joël Menkès dans son rapport de février 2012. Inquiétante, cette phrase a fait le tour du Web, quelques heures seulement après la publication du fameux rapport.

Qu’est ce qu’un médicament générique ? Le médicament générique est produit à partir d’un médicament de marque (dit aussi « princeps ») dont le brevet est tombé dans le domaine public. « On a alors le droit de le copier mais cette copie n’est pas obligatoirement strictement identique au médicament de marque », explique le Pr Menkes.

Quelles différences ?
- « Un médicament contient une molécule active et des excipients qui sont destinés à la fabrication et à l’obtention d’un comprimé effervescent, d’une gélule, de sachets en poudre… Le générique ne présente pas obligatoirement les mêmes dosages que le médicament de marque, à part pour la substance active », indique notre interlocuteur.
- Le générique ne contient pas obligatoirement les mêmes excipients que son princeps.
- « Pour avoir la possibilité de fabriquer une copie du médicament princeps, l’industriel doit montrer qu’après absorption du médicament, les quantités de la molécule active retrouvée dans le sang et l’organisme est identique à celle retrouvée après la prise du médicament de référence. C’est ce qu’on appelle la biodisponibilité. Une petite marge de 7 à 8% en plus ou de 7 à 8% en moins est autorisée entre les deux médicaments », indique le spécialiste. Dans son rapport, il rappelle que « la FDA (Agence américaine du médicament) a constaté qu’en 12 ans de pratique et après 2070 mesures, la différence de bioéquivalence entre produit princeps et produit générique ne dépassait pas 10% ».

Josué

Josué
Administrateur

Suite à la notification d'ulcérations graves attribuées au nicorandil (molécule utilisée dans le traitement de l'angine de poitrine), l'Afssaps a envoyé une lettre de mise en garde aux professionnels de santé (médecins, pharmaciens).
Les premiers cas d’ulcérations rapportés avec le nicorandil étaient des ulcérations buccales (aphtes) puis des ulcérations anales (indiquées sur les notices). Cependant, depuis, d’autres localisations d’ulcérations ont été rapportées, en particulier : langue, pharynx, intestin grêle, colon, sigmoïde, rectum, anus, vulve, vagin, pénis, prépuce, peau, zone péristomiale, cornée. "Les localisations peuvent être multiples chez un même patient, à la fois cutanées et muqueuses, et peuvent survenir de manière conjointe ou séquentielle. Le délai de survenue peut être long, allant de plusieurs mois à plusieurs années après le début du traitement", prévient l'Afssaps. Les risques augmentent quand les doses thérapeutiques dépassent 20mg par jour. Ces ulcérations peuvent être graves et ont parfois nécessité des hospitalisations à cause d'abcès, de fistules, d'hémorragies, de perforations.

Josué

Josué
Administrateur

Médicaments: restriction d'utilisation pour l'antibiotique minocyclineavec
Le 14/06/2012 à 18:25 - AFP
Réagissez !
©AFP / Stan Honda

PARIS (AFP) © 2012 AFP

L'Agence du médicament (ANSM) a décidé de restreindre l'utilisation d'un antibiotique, la minocycline à la suite de la mort d'une jeune femme en raison d'un "syndrome d'hypersensibilité", a-t-elle annoncé jeudi.

"Désormais, les spécialités à base de minocycline doivent être réservées à l'adulte ou l'enfant de plus de huit ans dans le traitement des infections (...) des souches bactériennes résistantes aux autres cyclines et sensibles à la minocycline et pour lesquelles aucun autre antibiotique par voie orale ne paraît approprié", écrit le professeur Dominique Maraninchi, directeur général de l'ANSM dans une lettre aux professionnels de santé.

La minocycline est un antibiotique de la famille des cyclines qui sont prescrites principalement dans le traitement de l'acné par les dermatologues ou par les généralistes, explique l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM).

Le décès d'une jeune femme traitée par minocycline après la survenue d'un syndrome d'hypersensibilité ("syndrome DRESS") a conduit l'ANSM à engager une réévaluation du rapport bénéfique/risque de toutes les spécialités à base de minocycline.

Une analyse a montré qu'en comparaison des autres cyclines, la minocycline présente un "profil de risque défavorable" avec des risques de survenue d'atteintes auto-immunes et de manifestations d'hypersensibilité.

Le risque de survenue et la sévérité des syndromes d'hypersensibilité "semblent plus élevés" chez les personnes de peau foncée, selon l'ANSM.

"Par conséquent, l'ANSM considère que le rapport bénéfice/risque de la minocycline ne reste favorable que dans un cadre restrictif d'utilisation" et décide de limiter la délivrance de ce médicament aux seuls praticiens hospitaliers.

Josué

Josué
Administrateur

Omeprazole : rappel d'un médicament anti brûlures d'estomac
Le 20/06/2012 - Aurélie Blaize, journaliste santé
Réagissez ! - 6 commentaires
Suite à des signalements mentionnant un gout désagréable de certaines gélules, l'ANSM et le laboratoire Zydus France ont décidé de retirer des lots d'Omeprazole de la vente.
L'Omeprazole (médicament générique du Mopral) peut être prescrit en cas d'ulcères, de reflux gastro-oesophagien, de brûlures et de remontées acides.
Les lots rappelés sont :
- Omeprazole Zydus 20mg, gélule gastro-résistante :
Lot n° L07 (péremption sept 2013) - boîte de 28 - code CIP 3400936484344
Lot n° L04 (péremption sept 2013) - boîte de 14 - code CIP 3400936484283
Lot n° L03 (péremption sept 2013) - boîte de 7 - code CIP 3400936484115
Si vous possédez ces produits, ramenez-les à votre pharmacien.

Josué

Josué
Administrateur

Ces médicaments dangereux pour les yeux
Le 27/02/2012 à 01:00 - Aurélie Blaize, journaliste santé - Validé par Dr Jean-Antoine Bernard, ophtalmologiste et Directeur scientifique de la SFO

Cortisone, tranquilisants, anti-inflammatoires, traitements pour le coeur... De nombreux médicaments peuvent abîmer les yeux et la vue, avec pour certains des effets graves et irréversibles. Lesquels ? Quels sont les dangers ? Les symptômes qui doivent alerter ? Comment se protéger ? Réponses de Medisite avec le Dr Jean-Antoine Bernard, ophtalmologiste.
Cortisone : des risques de cataracte

Prendre des médicaments à base de cortisone par voie orale n’est pas anodin. Parmi les risques encourus : des troubles ophtalmologiques.
Quels risques sur la vue ? « De tels traitements peuvent donner une hyperpression intra-oculaire, même au bout de quelques jours de prise, et une cataracte pour les prises prolongées et chroniques », indique le Dr Jean-Antoine Bernard. Par ailleurs, on retrouve la prise de corticoïdes par voie orale comme cause d’aggravation d’un herpès de la cornée ou de certaines pathologies du fond d’œil.

Que faire ? Si vous observez de tels symptômes, consultez sans attendre votre médecin.

Répétons-le : Jamais d’automédication avec des médicaments à base de cortisone.

Josué

Josué
Administrateur

Médicaments génériques : vous n'avez plus le choix !
Le 03/09/2012 - Aurélie Blaize, journaliste santé

L'info n'a pas fait grand bruit et pourtant elle nous concerne tous ! Depuis cet été, il n'est plus possible de refuser un médicament générique donné par le pharmacien. Ou plutôt si, on peut le refuser, mais il faut alors le payer !
La Sécurité sociale et le gouvernement ont décidé de durcir le ton sur la délivrance des médicaments génériques (le taux de substitution étant retombé à 72% l'année dernière, loin donc d'être suffisant !). Désormais, si le médecin prescripteur ne porte pas les deux lettres "NS" pour "non substituable" sur l'ordonnance du patient, ce dernier se verra automatiquement recevoir un traitement générique. S'il refuse, il n'aura pas droit au tiers payant, et devra faire l'avance immédiate des frais du médicament de marque. Il pourra se faire rembourser dans un deuxième temps, après avoir envoyé une feuille de remboursement. Conclusion : une sortie d'argent et de la paperasse qui devraient décourager un grand nombre de patients, pour la plus grande satisfaction des caisses de la Sécurité sociale. Si le taux de substitution pour un générique remonte à 85 %, la mesure devrait rapporter plus d'un milliard d'euros à la SS (pour un déficit annuel de sa branche maladie de 15 milliards).

En mars dernier, Medisite avait interviewé le Pr Charles-Joel Menkès de l'Académie nationale de médecine, un médecin qui avait rappelé qu'un médicament générique n'est pas une copie conforme de sa spécialité référente. Quelles différences ? Quand éviter les génériques ?

Josué

Josué
Administrateur

Un médicament sur deux est inutile
Publié le 13/09/2012 | 06:22 , mis à jour le 13/09/2012 | 08:17
Dans leur "Guide des 4 000 médicaments utiles, inutiles ou dangereux", publié jeudi 13 septembre 2012, Philippe Even et Bernard Debré dressent un portrait alarmant de l'industrie pharmaceutique.


SANTE - Neuf cents pages, 4 000 médicaments répertoriés et un constat alarmant : 50% d'entre eux sont inutiles. Dans leur livre, publié jeudi 13 septembre, le député UMP de Paris, Bernard Debré et le directeur de l'Institut Necker, Philippe Even, font le tri dans nos armoires à pharmacie. Le Guide des 4 000 médicaments utiles, inutiles ou dangereux est "un livre d'information, pas d'opinion", prévient le Pr Even dans une interview vidéo au Nouvel Observateur.fr.

Quels sont les médicaments concernés ?

Le livre recense "50% de médicaments inutiles, 20% de mal tolérés, 5% de 'potentiellement très dangereux', mais, incroyable paradoxe, 75% sont remboursés", selon le Nouvel Obs. Parmi les médicaments jugés dangereux, on retrouve notamment des anti-inflammatoires (pommade Ketum), des contraceptifs ainsi que des médicaments cardiovasculaires et des antitabacs (Champix, Zyban).

Le Pr Even s'en prend tout particulièrement aux statines, les médicaments contre le cholestérol, "avalés par 3 à 5 millions de Français", qui coûtent "à la France 2 milliards d'euros par an" et qui sont selon lui "complètement inutiles".

Le Nouvel Observateur publie une liste de 58 médicaments dangereux, dont certains sont déjà retirés du marché français. La plupart des molécules incriminées sont déjà connues et placées sous surveillance renforcée par l'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), dont la liste, disponible en ligne, est mise à jour régulièrement.

Qui est responsable ?

L'industrie en prend pour son grade. Dans cet ouvrage à quatre mains, les deux médecins lancent une nouvelle charge contre l'industrie pharmaceutique : "La plus lucrative, la plus cynique, la moins éthique de toutes les industries", écrivent les auteurs. Un lobby qui exerce "une pression majeure sur les autorités de santé et les médecins", affirme Philippe Even au Parisien. Il accuse clairement les industriels de faire du "chantage à l'emploi sur les gouvernements successifs, en menaçant de fermer des sites si les autorisations leur sont retirées".

Quelles solutions ?

Philippe Even prescrit "un grand ménage dans les pharmacies". Ainsi, pour régler le problème du manque d'argent dans le domaine de la santé et du déficit de l'assurance maladie, "il suffit de retirer du marché les médicaments dangereux, inutiles ou inefficaces". Pas si facile, en raison de la pression des laboratoires.

L'autre traitement de choc consisterait en "un plan massif de déremboursement". "Cela permettrait d'économiser 10 milliards d'euros", affirme-t-il.

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