7 nov. Lecture de la Bible : Proverbes 27-31
“LA MODESTIE, écrivit William Hazlitt, critique et écrivain britannique du siècle dernier, est la plus vile des vertus et l’aveu des faiblesses qu’elle laisse apparaître. Celui qui se sous-estime est à juste titre sous-estimé par autrui.”
Les rédacteurs qui ont été inspirés pour écrire la Bible partagent-ils cette conception de la modestie? La modestie laisse-t-elle apparaître une lacune personnelle? Constitue-t-elle, “la plus vile des vertus”, un signe de faiblesse? Quelle estime accordez-vous aux personnes modestes?
On emploie souvent le mot “modestie” pour qualifier une tenue ou des vêtements bienséants. C’est dans ce sens que l’apôtre Paul l’utilisa pour déconseiller aux chrétiens de se livrer à des extravagances et de faire parade de leur mise. Il donna ce conseil aux chrétiennes: “Je veux que les femmes, dans une tenue bien arrangée, se parent de modestie et de bon sens, non pas de tresses savamment disposées, ni d’or, ni de perles, ni de vêtements très coûteux, mais qu’elles se parent comme il convient à des femmes qui font profession de révérer Dieu, c’est-à-dire grâce à des œuvres bonnes.” (I Tim. 2:9, 10). Dans ces paroles, qui s’adressent en fait à tout chrétien, aussi bien homme que femme, Paul ne s’en prend pas aux mises soignées, mais souligne le danger que par sa tenue et son vêtement un chrétien tombe dans l’inconvenance, l’indécence, la vanité et l’ostentation. La parure la plus importante provient en effet des “œuvres bonnes” de chacun.
Mais le sens du mot “modestie” ne se limite pas qu’à l’apparence extérieure. Appliqué à des qualités d’esprit et de cœur, il signifie avoir une juste opinion de soi, être conscient de ses limites. La modestie implique l’absence de toute prétention, de présomption, de vanité, de suffisance et de vantardise. Une personne modeste vit donc en accord avec ces paroles: “Qu’un étranger te loue et non ta propre bouche, un exotique, non tes propres lèvres.” (Prov. 27:2). N’aimeriez-vous pas avoir un ami qui présenterait ce trait de personnalité?
“LA MODESTIE, écrivit William Hazlitt, critique et écrivain britannique du siècle dernier, est la plus vile des vertus et l’aveu des faiblesses qu’elle laisse apparaître. Celui qui se sous-estime est à juste titre sous-estimé par autrui.”
Les rédacteurs qui ont été inspirés pour écrire la Bible partagent-ils cette conception de la modestie? La modestie laisse-t-elle apparaître une lacune personnelle? Constitue-t-elle, “la plus vile des vertus”, un signe de faiblesse? Quelle estime accordez-vous aux personnes modestes?
On emploie souvent le mot “modestie” pour qualifier une tenue ou des vêtements bienséants. C’est dans ce sens que l’apôtre Paul l’utilisa pour déconseiller aux chrétiens de se livrer à des extravagances et de faire parade de leur mise. Il donna ce conseil aux chrétiennes: “Je veux que les femmes, dans une tenue bien arrangée, se parent de modestie et de bon sens, non pas de tresses savamment disposées, ni d’or, ni de perles, ni de vêtements très coûteux, mais qu’elles se parent comme il convient à des femmes qui font profession de révérer Dieu, c’est-à-dire grâce à des œuvres bonnes.” (I Tim. 2:9, 10). Dans ces paroles, qui s’adressent en fait à tout chrétien, aussi bien homme que femme, Paul ne s’en prend pas aux mises soignées, mais souligne le danger que par sa tenue et son vêtement un chrétien tombe dans l’inconvenance, l’indécence, la vanité et l’ostentation. La parure la plus importante provient en effet des “œuvres bonnes” de chacun.
Mais le sens du mot “modestie” ne se limite pas qu’à l’apparence extérieure. Appliqué à des qualités d’esprit et de cœur, il signifie avoir une juste opinion de soi, être conscient de ses limites. La modestie implique l’absence de toute prétention, de présomption, de vanité, de suffisance et de vantardise. Une personne modeste vit donc en accord avec ces paroles: “Qu’un étranger te loue et non ta propre bouche, un exotique, non tes propres lèvres.” (Prov. 27:2). N’aimeriez-vous pas avoir un ami qui présenterait ce trait de personnalité?