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Le lien entre pesticides et cancer du sang chez les agriculteurs

2 participants

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Aude

Aude

Une étude du Centre d’immunologie de Marseille Luminy (CIML) révélée par la Ligue contre le cancer lors de la journée mondiale contre le cancer du 4 février montre un lien de causalité entre l’exposition des agriculteurs aux pesticides et certains cancers du sang.
L’étude « Empreintes Moléculaires de précurseurs tumoraux chez les agriculteurs exposés aux pesticides » a concerné 144 agriculteurs. Elle sera présenté aujourd’hui lors d’un colloque de la Ligue contre le cancer à Marseille.
Ces travaux ont été menés dans le cadre de l’étude Agrican (agriculture et pesticide) soutenue par la Ligue contre le cancer.
Ce lien était déjà fortement suspecté mais n’avait pas encore été prouvé. Selon la Ligue « lorsque des agriculteurs sont exposés aux pesticides, ils développent des anomalies de leur génome pouvant être à l’origine du cancer. En d’autres termes, les agriculteurs exposés aux pesticides présentent des empreintes moléculaires de précurseurs tumoraux »
Les agriculteurs exposés aux pesticides développent de « 100 à 1 000 fois plus de cellules anormales, qui peuvent ensuite éventuellement se transformer » en lymphome folliculaire (un type de cancer du sang).
Le nombre de cas de ce type de cancer du sang a augmenté de 3 % à 4 % par an au cours des dernières décennies et touche plus particulièrement les agriculteurs de plus de 50 ans.
http://www.viva.presse.fr/Le-lien-entre-pesticides-et-cancer_13351.html

Josué

Josué
Administrateur

Des taux de radioactivité dix fois supérieurs à la normale ont été relevés sur des thons rouges. Pêchés en Californie, les poissons ont été contaminés dans les eaux japonaises proches de Fukushima.
Les chercheurs américains à l'origine de la découverte ont examiné les tissus musculaires de quinze thons rouges pêchés en août 2011, quelques mois après l'accident de la centrale nucléaire. Puis les ont comparé à ceux de quinze autre thons rouges pêchés avant la catastrophe. Résultat : les taux de césium-134 et césium-137, éléments chimiques radioactifs, étaient dix fois supérieurs dans le premier groupe de poissons.
Selon les scientifiques, ce taux de radioactivité ne serait pas dangereux pour la santé des consommateurs puisqu'il reste inférieur aux limites de sécurité alimentaire fixées par les autorités américaines et japonaises. Ils devraient mener d'autres analyses durant les prochains mois. Pour l'heure, même si les recherches ont été effectuées aux Etats-Unis, on peut être inquiet que du poisson consommé en France n'ait pas échappé à cette pollution nucléaire sous-marine.
Source : Proceedings of the National Academy of Sciences

Josué

Josué
Administrateur

La préfecture de Gironde a publié un texte encadrant l’utilisation des produits phytosanitaires. Des précautions devront être prise aux alentours des écoles maisons de retraites et jardins. La viticulture générant une bonne partie de la richessse du département le débat est très vif.
Le site Internet de la préfecture de la Gironde va-t-il tenir le coup ? Le projet d’arrêté publié par le préfet précisant les conditions d’utilisation des produits phytosanitaires, était en effet très attendu. Le sujet est sensible dans le plus grand département viticole de France où plusieurs affaires liées au pesticides ont secoué l’actualité. Et ce d’autant que l’enquête réalisée par l’émission de télévision Cash Investigation faisant apparaître la Gironde sur le podium des départements utilisateurs de produits phytosanitaires avait marqué les esprits. Une émission à la « mise en scène alarmiste » et « des chiffres présentés de façon tronquée », dénonce Bernard Farges, le président du Conseil interprofessionnel des vins de Bordeaux (CIVB) et provoquant un « affolement dans une partie de la population », reconnaît Gilles Savary député de la région de Sauternes. Elle a aussi apporté de l’eau au moulin des partisans d’une viticulture sans pesticide et plus largement de ceux qui s’inquiètent des effets sur l’environnement, les riverains et les ouvriers agricoles.
Marche blanche et pétition
A Bordeaux une marche blanche avait réuni 600 personnes protestant contre les pesticides un dimanche pluvieux de février. Et c’est suite à une pétition signée par plus de 80.000 personnes que la préfecture s’est résolue à publier un nouvel arrêté. La pétition demandait que les traitements se fassent uniquement avec « des produits homologués pour l’agriculture biologique ». « L’homologation des produits ne relève pas de la préfecture mais de l’Etat et de l’Europe », répond Pierre Dartout le préfet de la Gironde dont l’arrêté précise un précédent texte qui limite déjà l’utilisation des « phytopharmaceutiques » à 50 mètres des écoles. Des restrictions qui devront aussi s’appliquer aux « établissement accueillant des personnes vulnérables » : crèches, haltes garderie, maisons de retraites jusqu’aux parcs et jardins. Le texte encourage également la mise en place de dispositifs de protection physique adaptés comme « des haies et, pour la viticulture, le recours à des matériels de pulvérisation limitant la dérive. ».  L’article 4 stipule qu’il appartient au maire de la commune de faire connaître par tous moyens aux exploitants agricoles concernés les horaires et jours de fonctionnement des établissements près desquels ils devront prendre des précautions lors de l’épandage. Le public peut faire ses observations jusqu’au 8 avril prochain.
Un emploi sur dix en Gironde
Au delà de ces mesures qui vont être discutées, le véritable enjeu c’est aussi celui du modèle économique d’une filière viticole qui pèse 1 emploi sur 10 dans le département. Certains veulent un changement drastique et rapide. A l’image de Dominique Techer, de la confédération paysanne et vigneron bio à Pomerol et interpellant la filière : « Vous ne pouvez continuer à observer le silence ou à temporiser. » Du temps, c’est en revanche ce que réclament une bonne partie des viticulteurs pour continuer à s’adapter et s’équiper en nouveaux matériels à confinement « plus coûteux et pas tout à fait au point », explique Patrick Vasseur vice président de la Chambre d’agriculture très engagé dans la réduction des intrants. Il affirme avoir mis dix ans pour faire baisser les traitements de moitié sur ses vignobles.
La création d’une commission d’enquête parlementaire sur le sujet a été demandée et une de ses mission serait d’évaluer les conditions de mutation de la filière « vers un autre modèle économique ». L’accès aux données de santé de la Mutualité sociale agricole est également demandé afin d’évaluer l’importance des cas de cancer parmi les ouvriers agricoles. Du côté du CIVB on affirme vouloir respecter la réglementation et tout faire pour  améliorer le bien vivre ensemble. Pas suffisant pour Xavier Planty, très respecté co-propriétaire du grand cru de Sauternes Château Guiraud passé en bio il y a quelques années : « Je pense qu’il faut être pro-actif et prendre conscience du caractère délétère des produits pour les gens qui travaille, pour l’environnement et pour nos vins. »

En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/pme-regions/actualite-pme/021784118907-vignes-et-pesticides-letat-serre-la-vis-dans-le-bordelais-1208620.php?Pkqa63crxk1CKedR.99#xtor=RSS-147

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