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Diabète: la mortalité moins élevée chez les obèses que chez les autres.

2 participants

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Josué

Josué
Administrateur

Diabète: la mortalité moins élevée chez les obèses que chez les autresavec
Le 08/08/2012 à 00:20 - AFP

©AFP / Sajjad Hussain
WASHINGTON (AFP) © 2012 AFP

Le taux de mortalité des diabétiques de type 2 dont le poids est normal est supérieur à celui des personnes atteintes de la même maladie et qui sont obèses ou en surpoids, révèle une étude parue mardi dans le Journal of the American Medical Association (JAMA).

Selon ces travaux, les diabétiques de poids normal ont un taux de mortalité général, ne résultant pas de causes cardio-vasculaires, nettement plus élevé que les diabétiques obèses ou en surpoids.

Les adultes atteints de diabète de type 2 de poids normal ont été peu étudiés par la médecine car cette maladie touchent surtout les personnes obèses. Dans cette étude, 10% environ des participants diabétiques avaient un poids normal.

L'excès de poids est un facteur de risque important pour développer la maladie mais des facteurs familiaux, l'éthnicité et l'âge peuvent aussi jouer un rôle, soulignent les auteurs de cette recherche.

"Il est possible qu'une prédisposition génétique explique pourquoi ce sous-groupe dans la population connaisse un risque particulièrement élevé de mortalité et de diabète", explique le Dr Mercedes Carnethon, professeur de médecine adjointe à l'Université Northwestern, le principal auteur de ces travaux.

Des adultes plus âgés et qui ne sont pas de race blanche ont un plus grand risque d'être diabétiques avec un poids normal, selon cette étude.

Les chercheurs ont analysé des données provenant de cinq études et identifié 2.625 hommes et femmes, tous américains, âgés de plus de 40 ans, et souffrant de diabète de type 2.

Les personnes ont été considérées comme diabétiques si leur taux de glucose à jeun était au moins 126 milligrammes par décilitre de sang. Les participants d'un poids normal avait un indice de masse corporelle (IMC, poids divisé par la taille au carré) compris entre 18,5 et 24,9 tandis que ceux avec un excès de poids ou obèse avaient un IMC de 25 et davantage.

Avec le vieillissement et la diversification de la population aux Etats-Unis, les cas de diabète de type 2 affectant les personnes d'un poids normal vont probablement augmenter, estime le Dr Carnethon.

Josué

Josué
Administrateur

Des médicaments responsables de diabète !
Le 11/10/2012 - Aurélie Blaize, journaliste santé

La célèbre revue médicale Prescrire alerte sur les dangers liés à la prise de certains médicaments pouvant entraîner une hyperglycémie*, voire un diabète. Parmi les traitements incriminés on retrouve des corticoïdes, des neuroleptiques, des anti-viraux, certains anti-cancéreux, des médicaments diurétiques, des contraceptifs hormonaux (surtout ceux concentrant de fortes doses d'oestrogène ou de progestatif). Généralement, quand on constate une hyperglycémie, la diminution de la dose du médicament voire son arrêt suffit pour qu'elle disparaisse. Dans quelques cas, le diabète apparaît.
Chez les patients déjà diabétiques, ces médicaments sont parfois irremplaçables. "Une surveillance rapprochée de la glycémie permet d'adapter le traitement hypoglycémiant, afin d'éviter d'importants déséquilibres glycémiques" souligne les auteurs de Prescrire.

*Une hyperglycémie est définie par un taux sanguin élevé de sucre (supérieur à 6,1 mmol/l ou 1,10 g/l), dosé à jeun. Quand elle est modérée, elle est le plus souvent asymptomatique. Majeure, elle se traduit par une soif intense, des urines abondantes, des nausées, des vomissements, des douleurs abdominales. L'hyperglycémie peut être grave et avoir une évolution mortelle si elle n'est pas prise en charge rapidement.

Josué

Josué
Administrateur

Les boissons "light" pourraient être associées à un risque accru de diabèteavec

©AFP / Joel Saget
PARIS (AFP) © 2013 AFP

Les boissons sucrées "light" pourraient être associées à un risque accru de développer un diabète, selon une étude rendue publique jeudi à Paris.

Menée par des chercheurs français auprès de 66.188 femmes suivies depuis 1993, l'étude a confirmé l'existence d'une relation entre boissons sucrées et diabète de type 2 (le plus courant).

Mais alors qu'on pensait généralement que les boissons "light" réduisaient le risque de diabète, les chercheurs de l'Inserm ont montré que le risque de diabète était plus élevé pour les boissons "light" que pour les boissons sucrées.

Les résultats publiés dans la revue American Journal of Clinical Nutrition ont notamment montré que les femmes consommant des boissons "light" avaient une consommation plus grande que celles consommant des boissons sucrées normales (2,8 verres/semaine contre 1,6 verre/semaine en moyenne respectivement).

Mais même à quantité consommée égale, les boissons "light" étaient associées à un risque plus élevé de développer un diabète: il était supérieur de 15% pour une consommation de 0,5 litre/semaine et de 59% pour 1,5 litre/semaine.

Pour savoir si le risque était uniquement associé aux boissons "light", Françoise Clavel-Chapelon et Guy Fagherazzi ont comparé leurs effets à ceux de jus de fruits pressés, mais n'ont découvert aucune association avec un risque de diabète.

Des études supplémentaires sur les effets des boissons "light" sont toutefois encore nécessaires pour confirmer ce résultat et établir un lien de cause à effet, précisent les chercheurs.

Parmi les mécanismes pouvant expliquer le phénomène, ils notent que les sucres contenus dans les boissons sucrées entrainent un pic d'insuline et que la répétition peut engendrer une insulino-résistance, une anomalie à l'origine du diabète.

Quant à l'aspartame, l'un des principaux édulcorants utilisés aujourd'hui, il pourrait induire une augmentation de la glycémie et de ce fait une hausse du taux d'insuline comparable à celle engendrée par le sucrose (sucre).

Les 66.188 femmes faisaient partie de l'étude E3N, une étude épidémiologique réalisée auprès de 100.000 femmes de la Mutuelle générale de l'Education nationale dirigée par Mme Clavel Chapelon, directrice de recherche à l'Inserm. Ces femmes nées entre 1925 et 1950 sont interrogées sur leur mode de vie (alimentation, prise de traitements hormonaux) et remplissent des questionnaires tous les 2 à 3 ans.

Le 07/02/2013 - AFP

Josué

Josué
Administrateur

VIDÉO. Diabète : une épidémie silencieuse et galopante
Le Point.fr - Publié le 03/06/2013 à 15:33 - Modifié le 03/06/2013 à 16:29
En France, 700 000 patients seraient atteints sans le savoir. Il y a urgence à accentuer la prévention de cette maladie qui fait 30 000 décès chaque année.
"La prévention est l'arme la plus efficace à opposer à l'épidémie de diabète." Tel est le message que veut faire passer Gérard Raymond, le président de l'Association française des diabétiques (AFD), à l'occasion de la deuxième semaine nationale de prévention de cette maladie qui touche déjà plus de 3 millions de personnes en France. Il y a urgence : 400 nouveaux cas sont diagnostiqués chaque jour et, selon les prévisions, un Français sur dix sera touché d'ici 10 à 15 ans, si rien n'est fait. Plus inquiétant encore, les spécialistes estiment à 700 000 le nombre de personnes atteintes de diabète de type 2 (celui de l'adulte) et qui l'ignorent.

Hérédité, surpoids, vie sédentaire

C'est pourquoi, jusqu'au 9 juin 2013, l'ensemble du réseau AFD est à pied d'oeuvre dans toute la France, notamment pour mobiliser autour d'un site dédié qui permet à tout le monde de tester son risque de diabète. En répondant à un certain nombre de questions - concernant votre âge, les cas de diabète dans votre famille, votre poids, les résultats des dernières analyses de votre glycémie (le taux de sucre dans le sang) et votre activité physique -, il est possible d'obtenir une première indication. Une initiative essentielle, dans le sens où la maladie peut passer inaperçue pendant des années. Il s'écoule d'ailleurs, en moyenne, 5 à 10 ans entre son début et son diagnostic. Et ce dernier est souvent posé lors des premières complications.

S'il n'existe pas de cause précise pour le diabète de type 2, un ensemble de facteurs favorisent son développement. D'abord, l'hérédité : le risque est de 40 % si l'on a un parent touché et de 70 % si les deux souffrent de cette maladie. Ensuite, le surpoids dû à une mauvaise alimentation ou à une vie sédentaire. Il faut savoir que l'activité physique stimule l'entrée du glucose (sucre) dans les cellules musculaires et peut retarder, voire empêcher, l'apparition de certains diabètes de type 2. Par ailleurs, une fois la maladie installée, la pratique d'un exercice régulier permet de diminuer les doses d'insuline à s'injecter. Du côté de l'alimentation, enfin, quelques règles simples de diététique sont indispensables, car un excès de graisse, surtout au niveau abdominal, entraîne une moins bonne action de l'insuline et une augmentation de la glycémie. Le sucre reste donc dans le sang et favorise le diabète.

10 % des dépenses de santé

L'AFD souligne que cette maladie chronique est responsable d'environ 30 000 décès chaque année en France. C'est la première cause de cécité avant 65 ans et d'amputation (hors accidents), la deuxième cause de maladies cardio-vasculaires et une cause fréquente d'insuffisance rénale. Le diabète est également une maladie coûteuse économiquement, humainement et socialement. En France, en 2011, les coûts pour l'Assurance maladie des personnes traitées pour le diabète s'élevaient à 17,7 milliards d'euros (10 % des dépenses de santé) auxquels s'ajoutent 5 milliards d'euros de frais indirects.

Pour faire passer son message, l'AFD a imaginé un petit film d'information mettant en scène les célèbres frères Dalton. Ils courent, non pas pour échapper à Lucky Luke, mais pour fuir le diabète. Rantanplan n'est pas présent. Normal, il a bien flairé que personne n'aurait de sucre à lui donner...

REGARDEZ - Le film promotionnel de l'AFD :
http://www.lepoint.fr/editos-du-point/anne-jeanblanc/video-diabete-une-epidemie-silencieuse-et-galopante-03-06-2013-1675805_57.php#xtor=EPR-6-[Newsletter-Quotidienne]-20130604

Josué

Josué
Administrateur

Diabète: résultats positifs pour la nouvelle insuline de Sanofi
Le groupe pharmaceutique Sanofi a annoncé samedi des "résultats positifs" de l'étude clinique de Phase III évaluant sa nouvelle insuline expérimentale U300 dans le traitement du diabète.

L'étude "Edition I" de Phase III -la dernière étape d'essais avant une mise sur le marché- a montré que U300 présentait "un contrôle équivalent de la glycémie avec moins d'épisodes d'hypoglycémie nocturne comparativement à Lantus", l'insuline actuelle de Sanofi, a indiqué le groupe dans un communiqué.

Les résultats de l'étude "Edition I" ont été présentés devant l'Association américaine du diabète (ADA).

L'insuline U300 est une nouvelle formulation de la molécule de glargine qui est l'entité biologique de l'insuline injectable Lantus, produit phare de Sanofi, mais avec un profil pharmacocinétique et pharmacodynamique unique.

L'étude "Edition I", portant sur 807 patients ayant un diabète de type 2 traité par insuline basale plus insuline prandiale, a comparé la nouvelle insuline U300 à Lantus. L'essai a mesuré la modification du taux de HbA1c (qui mesure le taux de glucose dans le sang) et avait pour principal critère d'évaluation secondaire la survenue d'épisodes d'hypoglycémie pendant la nuit.

Sanofi a également publié les premiers résultats d'une deuxième étude de Phase III ("Edition II"), qui a montré des résultats cohérents avec ceux de l'étude "Edition I".

L'étude "Edition II" portait sur 811 patients atteints de diabète de type 2, traités par insuline basale en association avec un traitement antidiabétique oral, comparant U300 avec l'insuline Lantus.

Ces études font partie de l'ensemble du programme "Edition" d'essais cliniques de Phase III, visant à "évaluer l'efficacité et la tolérance de la nouvelle insuline U300 auprès de différents groupes de patients atteints de diabète".

Le programme Edition comporte plusieurs autres études (Edition III, IV, JPI et JPII), qui concernent également le diabète de type 1. Les résultats de l'ensemble du programme sont attendus dans le courant de l'année 2013.

Les résultats présentés sont "très intéressants et encourageants", a déclaré à l'AFP, Pierre Chancel, senior vice-président Diabète Global de Sanofi, en soulignant que les essais Edition I et II portaient sur des patients "pas faciles" à traiter avec des besoins importants d'insuline.

"Si tout est confirmé, nous serons en mesure d'apporter un nouveau standard de soin", a indiqué M. Chancel. La nouvelle insuline U300 pourrait être proposée comme substitution aux patients utilisant Lantus, a-t-il ajouté.

La mise au point par Sanofi d'une nouvelle génération d'insuline intervient alors que l'insuline Lantus doit perdre son brevet en 2015.

"Les patients diabétiques qui prennent des antidiabétiques oraux ou de l'insuline présentent encore d'importants besoins non satisfaits car ils sont nombreux à ne pas atteindre leur cible glycémique", a observé M. Chancel, cité dans le communiqué.

Josué

Josué
Administrateur

Cholestérol : mangez des oeufs !

Vous avez du cholestérol ? Contrairement aux idées reçues, vous avez droit aux oeufs ! Voici pourquoi il faut en manger, combien de fois par semaine et comment les choisir pour qu’ils soient vraiment bénéfiques à vos artères !



Pourquoi vous avez droit aux oeufs

Vous avez droit aux oeufs... Un, parce que "le cholestérol alimentaire influe peu sur le cholestérol du sang… qui est majoritairement fabriqué par le foie", explique Michel de Lorgeril, cardiologue, nutritionniste et chercheur au CNRS.

Et deux parce que l’œuf "s’il est produit de faon adéquate, est un véritable aliment miracle", poursuit le spécialiste. "Il apporte de très bonnes protéines animales car, il contient, dans la meilleure proportion, tous les acides aminés que notre organisme ne sait pas fabriquer et qui sont indispensables notamment au bon fonctionnement de notre système immunitaire.

Par ailleurs, c’est est une bonne source de phosphore et de lutéine dont on pense qu’elle pourrait aider à prévenir la DMLA (dégénérescence maculaire liée à l’âge).

Josué

Josué
Administrateur

Diabète : les groupes sanguins A, B et AB plus à risque
Pour la première fois, des chercheurs français suggèrent que le risque de diabète de type 2 soit lié aux groupes sanguins.

Après avoir suivi plus de 80 000 femmes pendant 18 ans, des chercheurs français de l'Inserm annoncent pour la première fois que le groupe sanguin peut influencer la probabilité de développer un diabète de type 2. Les groupes A, B et AB auraient un risque plus élevé que le O, le groupe "de 43% de Français aujourd'hui" rappelle Guy Fagherazzi, épidémiologiste à qui a dirigé les recherches. "En détail, les femmes avec d’autres groupes sanguins avaient un risque accru de développer un diabète, allant de 10% pour le groupe A, 17% pour le groupe AB et 21% pour le groupe B, par rapport au groupe O. Lorsque le rhésus de la personne était pris en compte, les chercheurs notent que les femmes ayant un groupe sanguin O- (seuls 6% de la population en France) avaient un risque de diabète plus faible que les autres.

Des résultats à confirmer

Les chercheurs n'expliquent pas avec certitude le lien entre diabète et groupe sanguin. Parmi les hypothèses, la présence en plus grandes quantités de marqueurs endothéliaux et d'inflammation chez les personnes qui ne sont pas du groupe O et qui sont associés à un risque accru de diabète de type 2. Ou encore le lien entre les groupes sanguins qui peuvent moduler la composition du microbiote intestinal et jouer un rôle dans le métabolisme du glucose. Pour Guy Fagherazzi "il est nécessaire de répliquer cette étude dans d’autres grandes populations, en particulier avec d’autres patrimoines génétiques, chez les hommes, même si les mécanismes proposés ne sont pas dépendants du sexe". SI les observations sont confirmées, le groupe sanguin pourra devenir une donnée importante dans la prise en charge mondiale du diabète de type 2.

Source : ABO and Rhesus Blood Groups and Risk of Type 2 Diabetes: Evidence from the 2 Large E3N Cohort Study. Guy Fagherazzi 1,2; Gaëlle Gusto 1,2; Françoise Clavel-Chapelon 1,2 ; Beverley Balkau 4 1,2 ; Fabrice Bonnet 3,4

samuel

samuel
Administrateur

est mauvais pour le cerveau
Mots clés : diabète, glycémie, hypoglycémie, démence, Alzheimer
Par figaro iconAnne Prigent - le 29/09/2015
Un mauvais contrôle de la glycémie augmente le risque de démence chez les diabétiques.
Le diabète, connu pour augmenter le risque d'infarctus, de troubles de la vision, d'accident vasculaire cérébral ou encore d'insuffisance rénale… jouerait également un rôle dans le développement des démences, dont la maladie d'Alzheimer. Et plus particulièrement chez les personnes dont le contrôle de la glycémie n'est pas bon.
Chez ces dernières, le risque de démence est 50% plus élevé que chez les diabétiques dont le contrôle glycémique est bon, comme le montre une étude présentée lors du dernier congrès de diabétologie à Stockholm. Pour parvenir à ce résultat, les chercheurs de l'institut de Göteborg, en Suède, ont suivi pendant huit ans plus de 350.000 diabétiques âgés de plus de 50 ans et non atteints de démence lors de leur inclusion dans l'étude. Ces patients ont été suivis jusqu'à leur décès, leur admission à l'hôpital pour démence, ou la fin de l'étude en 2012. Les auteurs cherchaient à explorer l'association entre un «témoin» de la maladie, le taux hémoglobine glyquée et le risque d'hospitalisation pour démence chez les personnes atteintes de diabète de type 2.
Lien entre hyperglycémie et troubles cognitifs
La concentration d'hémoglobine glyquée, qui évalue la moyenne du taux de sucre sur les trois derniers mois, renseigne sur la qualité de l'équilibre glycémique. Il s'agit d'un index rétrospectif, à l'inverse de la glycémie qui donne un résultat valable pour le jour du prélèvement. Au total, 13.159 événements de démence ont été observés sur un suivi moyen de 4,8 ans. Et les patients avec une hémoglobine glyquée de 10,5% ou plus avaient 50 % plus de risques d'être hospitalisés pour démence que ceux avec un taux d'hémoglobine glyquée de 6,5%. «Le cerveau dépend du glucose pour fonctionner et n'en fabrique pas, il n'est donc pas étonnant qu'il existe un lien entre hyperglycémie et troubles cognitifs », explique la Pr Lyse Bordier, diabétologue à l'hôpital Bégin, à Saint-Mandé.
Avec le temps, l'hyperglycémie va être responsable de micro-angiopathie, c'est-à-dire qu'elle va affaiblir les parois des petits vaisseaux sanguins qui approvisionnent les tissus en oxygène et en éléments nutritifs, entraînant des troubles de la cognition et augmentant le risque de démence.
Cela signifie-t-il que l'on peut prévenir les démences chez les diabétiques en contrôlant strictement la glycémie? Lyse Bordier reste prudente : «Cette étude démontre que lorsque le diabète est mal équilibré, les risques de démence augmentent, mais elle n'aborde pas tous les paramètres complexes impliqués dans l'apparition des troubles cognitifs des diabétiques. Notamment le rôle délétère des hypoglycémies», souligne la spécialiste. Par ailleurs, les personnes les plus à risque de développer une démence dans l'étude suédoise avaient un taux d'hémoglobine glyquée particulièrement élevé.
En France, moins de un diabétique sur dix atteint ce taux de 10 % selon l'étude Entred réalisée par l'Assurance-maladie, et le niveau moyen se situe à 7,1 %. On peut cependant souligner que seuls 30 % des diabétiques atteignent l'équilibre glycémique maximal inférieur à 6,5 %. «Mais cet objectif maximal ne signifie pas grand-chose : il doit être individualisé en fonction du patient. Nous serons bien plus ambitieux avec un quadragénaire qui vient d'être diagnostiqué qu'avec une personne de 85 ans polypathologique », affirme Lyse Bordier.
Le Figaro.

Josué

Josué
Administrateur

Que les becs sucrés se rassurent, un excès de bonbons ou de chocolat n'est jamais à l'origine du diabète. "Le diabète n'est pas le résultat d'une consommation excessive de sucre", confirme le Dr Hansel. Son apparition est en effet toujours liée à la fois à des facteurs génétiques et environnementaux : s'il n'y a pas de prédisposition, une alimentation très riche en confiseries ne suffira pas à déclencher du diabète. En revanche, l'excès de sucres dans l'alimentation peut contribuer au surpoids et à l'obésité abdominale, donc indirectement favoriser l'apparition du diabète chez les personnes prédisposées. Il ne faut donc pas en abuser et savourer ces petits plaisirs de manière ponctuelle.

Josué

Josué
Administrateur

C'est une innovation très attendue par les diabétiques : un pancréas artificiel pour remplacer les piqûres d'insuline. Cet appareil fonctionne avec un capteur placé sous la peau du malade. Il envoie les informations en temps réel au téléphone portable du patient qui déclenche automatiquement la pompe à insuline. Un progrès qui pourrait bénéficier à environ 200 000 diabétiques de type 1, dont le pancréas ne produit plus assez d'insuline.

En vente d'ici deux ans

Actuellement à l'étude dans dix hôpitaux, ce dispositif pourrait être commercialisé d'ici un à deux ans. Si les tests sont concluants, ce pancréas artificiel pourrait même traiter d'autres maladies, comme la mucoviscidose par exemple.

Le diabète frappe de plus en plus de personnes sur la planète. Plus de trois millions de Français seraient touchés par les différents types de diabète. Un chiffre qui devrait augmenter d'ici 20 ans en raison de l'accroissement de la population en surpoids ou souffrant d'obésité.

Le JT
http://www.francetvinfo.fr/sciences/diabete-une-avancee-majeure-pour-les-malades_1359223.html#xtor=EPR-2-[newsletterquotidienne]-20160315-[lesimages/image1]

Josué

Josué
Administrateur

L'OMS alerte sur la hausse du nombre de diabétiques dans le monde
Mots clés : diabète, santé, OMS
Par figaro iconMélanie Faure - le 06/04/2016
Le nombre d'individus atteints de la maladie ne cesse d'augmenter. L'Organisation mondiale de la santé appelle à une action mondiale et à l'amélioration de l'accès aux soins.
À l'occasion de la journée mondiale de la santé jeudi 7 avril, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) lance un appel. Le rapport réalisé par l'institution révèle mercredi que le nombre de diabétiques a fortement augmenté ces 35 dernières années. Le nombre d'adultes souffrant de la maladie chronique est passé de 108 millions en 1980 à 422 millions en 2014, soit 8,5% de la population. Le diabète est étroitement lié au surpoids et à l'obésité, qui progressent également: en 2014, plus d'un adulte sur trois était en surpoids et plus d'un sur dix était obèse.
Le diabète «est un des principaux tueurs dans le monde aujourd'hui», a averti le directeur du département des maladies non transmissibles à l'OMS, le Dr Etienne Krug, lors d'une conférence de presse. Selon le Diabetes Atlas, 1 personne meurt du diabète toutes les 6 secondes dans le monde. En 2012, la maladie a tué 1,5 million de personnes dans le monde, auxquels il faut ajouter 2,2 millions de décès causés par des maladies liées au diabète, ce qui fait un total de 3,7 millions de décès. Sur ces 3,7 millions de décès, 43% surviennent avant l'âge de 70 ans. L'OMS indique que cette progression fulgurante s'explique «par les habitudes alimentaires des gens et leur mode de vie».
«Si nous voulons progresser et mettre un terme à la recrudescence du diabète, nous devons repenser notre vie quotidienne afin d'avoir une alimentation saine, d'être actif et d'éviter la prise de poids excessive», a déclaré le Dr Margaret Chan, directeur général de l'OMS. «Les pouvoirs publics doivent veiller à ce que les populations puissent faire ces choix sains et que les systèmes de santé soient capables de diagnostiquer et de traiter les personnes diabétiques, y compris dans les milieux les plus pauvres», a-t-elle ajouté.
http://sante.lefigaro.fr/actualite/2016/04/06/24829-loms-alerte-sur-hausse-nombre-diabetiques-dans-monde

Josué

Josué
Administrateur

Un jeu vidéo sponsorisé par la Fédération française des diabétiques propose de remonter la piste du diabète avec Lucky Luke.

En si Jolly Jumper, Rantanplan et les frères Dalton pouvaient nous en apprendre plus sur le diabète de type 2? C’est l’ambition de la société Zippyware, spécialiste de l’éducation en santé numérique, qui vient d’annoncer la labellisation du jeu vidéo «Rififi à Daisy Town», crée en collaboration avec l’Association française des diabétiques (AFD). Le jeu, dans lequel on se met dans la peau du cow-boy créé par Morris, marque la première étape d’une large campagne de communication dont le but est de réduire le risque de diabète ou le délai de diagnostic chez les malades qui s’ignorent.
Sensibilisation primaire

Disponible gratuitement sur le site de l’AFD et les stores Apple et Google Play, «Rififi à Daisy Town» est un jeu à destination du grand public. «Parmi les 4 millions de personnes souffrant du diabète, 700,000 sont des malades qui s’ignorent. Ce sont surtout ces personnes que nous essayons de toucher», affirme Hélène Leray, directrice associée de Zippyware. Le diagnostic du diabète de type 2 tombant souvent tardivement, le jeu a pour but de sensibiliser la population générale au risque de développer la maladie, «qu’il soit personnel ou en lien avec les habitudes de vie», précise Zippyware.
Ainsi, on est plongé dans une ville de Rififi Town en proie à une épidémie dont on ignore tout, ou presque. Dans la peau du fameux cowboy, on remonte la piste du diabète à travers des activités divertissantes et instructives. Confectionner des repas équilibrés avec Averell en sélectionnant les éléments qui les composent, s’adonner à une séance de claquettes sportive avec les danseuses du Saloon à l’aide des touches directionnelles du clavier ou attraper des plats que consomment les habitants de la ville avec le lasso... Ces activités servent de cadre ludique pour faire passer le message ‘’vous pouvez agir sur votre santé’’, affirme Laura Phirmis, responsable du service information diabète à l’AFD.
«L’idée, c’est de faire comprendre aux gens quels sont les facteurs de risque non modifiables (âge, antécédents familiaux) et ceux sur lesquels on peut agir (surpoids, sédentarité ou glycémie élevée) , notamment grâce à la pratique d’une activité physique et une alimentation équilibrée», poursuit-elle.
«Apprendre en s’amusant»

En France, 4 millions de personnes sont touchées par le diabète de type 2. Depuis son lancement, en janvier 2016, le jeu rencontre un succès notable: «il compte aujourd’hui plus de 16,000 joueurs. Principalement des utilisateurs uniques», se félicite Hélène Leray. «La moitié d’entre eux ont moins de 20 ans», poursuit-elle. «Nous nous rendons compte que nous touchons des populations auxquelles on ne songerait pas spontanément lorsqu’on parle de diabète de type 2, ce qui est assez encourageant», reconnaît Laura Phirmis.
Au début et à la fin du jeu, l’utilisateur a la possibilité de répondre à un questionnaire qui permet de donner son ressenti sur ce qu’il a appris au cours du jeu et s’il s’estime satisfait. D’après une enquête menée sur 528 participants à partir de ce questionnaire, 82.3% des utilisateurs ayant joué au jeu en savaient plus sur ce qui favorise l’apparition du diabète après la partie. En outre, 88% le trouvent utile et 87.9% amusant. «Cela montre que les gens apprennent en s’amusant», se réjouit Hélène Leray.
https://webmail1m.orange.fr/webmail/fr_FR/read.html?FOLDER=SF_INBOX&IDMSG=281751&check=&SORTBY=1

Josué

Josué
Administrateur

Ils n'ont plus le diabète !!!

Chère amie, cher ami,

Je vous fais suivre cette vidéo des Dossiers de Santé & Nutrition qui présente un régime alimentaire expérimental qui a permis à des personnes qui l'ont suivi de se débarrasser définitivement de leur diabète.
https://webmail1e.orange.fr/webmail/fr_FR/read.html?FOLDER=SF_INBOX&IDMSG=283868&check=&SORTBY=1

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