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2-8 août DEUTÉRONOME 22-23

4 participants

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12-8 août DEUTÉRONOME 22-23 Empty 2-8 août DEUTÉRONOME 22-23 Lun 2 Aoû - 8:16

Josué

Josué
Administrateur

2-8 août

Josué

Josué
Administrateur


  • Respect envers les animaux des autres (1-4)

  • Ne pas porter de vêtements de l’autre sexe (5)

  • Considération envers les animaux (6, 7)

  • Un parapet pour le toit (8)

  • Mélanges interdits (9-11)

  • Glands aux vêtements (12)

  • Lois sur les fautes sexuelles (13-30)

papy

papy

QUELLE est votre réaction quand vous trouvez un objet perdu ayant une certaine valeur ?
Éprouvez-vous aussitôt un sentiment de possession qui vous fait écarter toute intention de le rendre à son propriétaire ?
Peut-être n’avez-vous pas une réaction aussi dure. Mais vous mettez-vous à argumenter et à avoir des pensées comme celles-ci : “Cette personne n’aurait pas dû être aussi négligente ; elle ne l’aurait pas perdu”, ou : “Je ne connais pas le propriétaire. Ce n’est pas à moi de le retrouver. C’est bien trop compliqué.”
Il est facile de penser ainsi. Mais lorsqu’il s’agit de rendre un objet perdu à son propriétaire, quel est le point de vue de Dieu ?
Nous pouvons le savoir en considérant ce que disait la Loi de Moïse sur cette question. Nous lisons : “Tu ne dois pas voir errer le taureau de ton frère ou son mouton et te dérober à eux de propos délibéré. Tu devras les ramener à ton frère, sans faute. Et si ton frère n’est pas à proximité de toi et que tu ne le connaisses pas, alors tu devras mener la bête chez toi, au milieu de ta maison, et elle devra rester chez toi jusqu’à ce que ton frère l’ait recherchée. Et tu devras la lui rendre. Et c’est ainsi que tu feras pour son âne, et c’est ainsi que tu feras pour son manteau, et c’est ainsi que tu feras pour tout ce que ton frère a perdu, tout ce qui a été perdu par lui et que tu as trouvé. Il ne te sera pas permis de te dérober.” — Deut. 22:1-3.
Dans le cas d’animaux perdus, celui qui les trouvait allait dépenser de l’argent pour les nourrir jusqu’à ce que se présente leur propriétaire. Mais ce n’était pas une excuse pour abandonner un animal, pour le laisser errer, comme s’il était perdu, car il risquait d’être volé ou attaqué par des chiens ou des bêtes sauvages.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Le peuple et appelé à prendre soins des animaux ou des bien trouvés et à les rendre à leurs propriétaires.

Josué

Josué
Administrateur

La Loi que Dieu a donnée aux Israélites contenait des règles qui les protégeaient du mode de vie ouvertement immoral des nations alentour. Elle montrait que Dieu désapprouve fortement les vêtements qui ne différencient pas clairement un homme d’une femme — ce qu’on appelle aujourd’hui la mode unisexe (lire Deutéronome 22:5). Il ressort nettement des instructions divines en matière d’habillement que Dieu n’aime pas les styles vestimentaires qui féminisent les hommes, masculinisent les femmes ou rendent difficile la distinction entre homme et femme.

Josué

Josué
Administrateur

Dans l’ancien Israël, on contractait des dettes principalement à la suite de revers financiers. Devenir débiteur était un malheur pour un Israélite, l’emprunteur devenant, en effet, le serviteur du prêteur (). Voilà pourquoi recommandation était faite aux Israélites de se montrer généreux et désintéressés lorsqu’ils faisaient un prêt à leurs compagnons nécessiteux en ne cherchant pas à profiter de leur infortune pour leur imposer un intérêt (). Mais aux étrangers, ils pouvaient réclamer un intérêt (). D’après les commentateurs juifs, cette disposition s’appliquait aux prêts commerciaux et non aux cas de détresse. D’ordinaire, les étrangers ne séjournaient en Israël que temporairement; c’étaient souvent des marchands dont on pouvait raisonnablement s’attendre à ce qu’ils paient un intérêt, d’autant plus qu’ils accordaient eux-​même des prêts avec intérêt.
Il arrivait qu’une troisième personne se porte garante d’un débiteur. Maintes et maintes fois le livre des Proverbes met en garde contre cette pratique () qui peut être dommageable pour le garant, si le débiteur manque à ses engagements.
La façon dont les chrétiens du premier siècle considéraient les dettes est très bien décrite en : “Ne devez rien à personne, sinon de vous aimer les uns les autres.”

samuel

samuel
Administrateur

222:5 ce verset montre et invite hommes et femmes de ne pas inverser leurs rôles,et il y a une résonance particulière de nos jours ,oû des hommes veulent devenir des femmes et des femmes devenir hommes.
Ce qui offense Dieu .

Josué

Josué
Administrateur


  • Ceux qui n’ont pas le droit d’entrer dans l’assemblée de Dieu (1-8)
  • Pureté du camp (9-14)
  • Esclaves fugitifs (15, 16)
  • Interdiction de la prostitution (17, 18)
  • Intérêts et vœux (19-23)
  • Ce qu’on peut manger dans la plantation de son semblable (24, 25)


Deutéronome 23​:​1

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

La première partie de ce chapitre parle des cas d'exclusion de l'assemblée.

102-8 août DEUTÉRONOME 22-23 Empty Re: 2-8 août DEUTÉRONOME 22-23 Jeu 5 Aoû - 22:06

Josué

Josué
Administrateur

DES CONDAMNATIONS JUSTES
Même si la loi était claire et qu’elle soit appliquée à tous, encore faudrait-il que les condamnations soient justes.
Le New York Post du 5 mai 1976 relatait ce qui suit :
“Maître Lévi, procureur général, a critiqué la façon dont les délinquants sont condamnés dans notre pays. Il trouve la procédure lente, injuste et pleine d’aléas. Il a dit que cela ‘ressemblait trop à une loterie’. (...) Dans un district juridictionnel, il est apparu que 71 pour cent des accusés reconnus coupables vont en prison, alors que dans un autre district, et pour les mêmes chefs d’accusation, seulement 16 pour cent des condamnés font de la prison.”
Il est bien difficile de mettre un terme une telle inégalité. Vous avez peut-être entendu quelqu’un suggérer qu’il faudrait une condamnation automatique pour chaque type de délit. Par exemple, quiconque vole une voiture se verrait infliger une certaine amende ou une certaine peine de prison ; un incendiaire volontaire serait condamné à un certain nombre d’années de réclusion ; etc. À priori, ce système semble simple et juste ; mais l’est-il vraiment ? Est-il normal qu’un délinquant primaire qui est sincèrement repentant se voie infliger la même condamnation qu’un repris de justice endurci ?
À l’occasion d’un congrès de juges et de criminologues qui se tenait à Berlin, Richard Sturm, au nom du ministère de la Justice d’Allemagne fédérale, a proposé une réforme qui tiendrait compte de ces données. Il proposait qu’on prenne en considération le passé et le milieu social de l’accusé pour déterminer la sentence. Mais W. Buikhuisen, représentant des Pays-Bas, s’est demandé si cela ne revendrait pas à “pénaliser certains délinquants deux fois”. Son raisonnement était le suivant : ‘S’ils ont déjà souffert de circonstances qui leur étaient défavorables, il est plus que probable qu’on les jugera dangereux et qu’ils seront condamnés à des peines plus longues.’
La complexité du problème souligne la nécessité d’avoir des juges équitables et sages si nous voulons qu’une même justice s’applique à tous. Le code de lois qui fut donné aux Israélites et qui est consigné dans la Bible met l’accent sur cette pensée. Dieu avait donné cet ordre : “Tu ne devras pas faire dévier la décision judiciaire de ton pauvre dans sa controverse. Tu devras te tenir éloigné de la parole mensongère. (...) Tu ne devras pas accepter de présent, car le présent aveugle les clairvoyants.” (Ex. 23:6-Cool. Plus tard, Dieu déclara ceci : “Vous ne devrez pas commettre d’injustice dans le jugement. Tu ne devras pas traiter le petit avec partialité, et tu ne devras pas donner la préférence à la personne du grand. Avec justice tu devras juger ton compagnon.” — Lév. 19:15 ; Deut. 1:15-17.

papy

papy

Édom n’est qu’un autre nom d’Ésaü, le frère jumeau de Jacob duquel descendaient les Israélites. Ceux-ci étaient donc pour les Édomites les plus proches parents qu’un peuple puisse avoir. Aussi l’Auteur de la famille, Jéhovah Dieu, ordonna-t-il aux Israélites de respecter leur lien de parenté avec les Édomites. Ils reçurent cette recommandation : “Tu ne devras pas détester l’Édomite, car il est ton frère.” — Deut. 23:7.
Cependant, dès le début de leurs relations avec la nation israélite, les Édomites, qui résidaient “au pays de Séir”, ne montrèrent aucun respect pour ce lien de parenté (Gen. 32:3-Cool. Ils traitèrent ce peuple frère comme un véritable ennemi. Ce fut d’ailleurs une tribu édomite, les Amalécites, qui lança la première attaque injustifiée contre les Israélites qui venaient de quitter l’Égypte sous la direction de Moïse. — Ex. 17:8-16 ; Gen. 36:12.

samuel

samuel
Administrateur

23:17: la prostitution travestit l'intention originelle de Dieu en rapport avec la sexualité ,puisqu'elle la relation sexuelle à un acte purement physique au lieu de la considérer comme un acte d'engagement envers le conjoint.

Josué

Josué
Administrateur

Si, dans le passé, quelqu’un a fait un vœu à Dieu et qu’il se rende compte maintenant qu’il était insensé, est-il alors tenu de continuer à l’accomplir ?
Cela dépend de la nature du vœu et de la situation de la personne au moment où elle l’a fait. Cependant, il est bien de considérer en premier lieu ce qu’est un “vœu” au sens biblique.
Dans les Écritures, les vœux étaient des promesses solennelles faites à Dieu et non à un homme ou à un groupe d’hommes. Dans tous les cas rapportés, les vœux étaient également particuliers en ce sens qu’ils étaient toujours conditionnels. Autrement dit, celui qui faisait un vœu disait en réalité à Dieu : “Si tu fais ceci ou cela (par exemple, sauver quelqu’un d’un grand danger ou lui assurer le succès ou la victoire), je ferai ceci ou cela.” Si Dieu intervenait en faveur de celui qui avait fait le vœu, celui-ci était alors dans l’obligation d’accomplir sa promesse. Souvent, le vœu consistait à faire l’offrande d’un animal ou à consacrer quelque chose au service de Dieu (Lév. 7:16 ; 22:21). Dans d’autres cas, l’idée de condition était présente en ce sens que celui qui faisait le vœu s’engageait à s’abstenir d’une certaine chose jusqu’au moment où il serait capable d’atteindre un certain objectif, avec l’aide de Dieu. — Voir Genèse 28:20-22 ; Nombres 21:2, 3 ; 30:2-4 ; Juges 11:30-39 ; I Samuel 1:11 ; Psaume 132:1-5.
Il faut également noter que les vœux étaient volontaires et non pas exigés ou sollicités. Ce n’était pas une exigence générale requise de tous ceux qui désiraient recevoir un privilège particulier ou entrer dans certaines relations. Par conséquent, le fait de devenir disciple de Jésus Christ et de remplir les conditions requises de chacun, y compris se repentir, se convertir et faire la déclaration publique de sa foi puis être baptisé, n’est pas un “vœu” au sens biblique.
Les vœux dont parlent les Écritures ne doivent pas non plus être comparés aux prétendus “vœux monastiques” qu’il fallait prononcer au cours des siècles passés pour être admis dans certains ordres religieux. Ces vœux de “chasteté, pauvreté et obéissance” assujettissaient ceux qui les prononçaient à ces ordres religieux et permettaient à ceux-ci de les dominer. Les hauts dignitaires de l’Église pouvaient relever quelqu’un de certains genres de vœux, mais pour d’autres, cela ne pouvait être obtenu que par le chef de l’Église, le pape, par exemple. Ce ne sont pas des vœux au sens biblique du terme, car ces derniers étaient tout à fait volontaires et personnels, et concernaient la personne et Dieu. En outre, sous la Loi, si les vœux prononcés par une femme pouvaient être désapprouvés par son mari ou par son père (dans un certain délai), dans d’autres cas, personne ne pouvait annuler un vœu. — Nomb. 30:3-15.
De ce qui précède, il ressort clairement que de nombreux prétendus “vœux” prononcés à notre époque n’en sont pas au sens biblique. Il est également clair qu’un vœu ne peut être valable s’il exige de quelqu’un qu’il agisse contrairement à la volonté de Dieu. Ce serait le cas d’un vœu qui impliquerait un mauvais usage du sang ou qui introduirait d’une manière ou d’une autre l’impureté dans le vrai culte. — Voir Deutéronome 23:18 ; Actes 15:19, 20.
Mais qu’en est-il des vœux qui sont conformes à la définition des Écritures et qui ne sont pas contraires à la volonté de Dieu ? Exprimant le point de vue de Dieu concernant les vœux faits en Israël, la Loi déclarait : “Quand tu auras fait un vœu à Jéhovah, ton Dieu, tu ne tarderas point à l’accomplir ; sinon, Jéhovah, ton Dieu, t’en demanderait certainement compte, et tu serais chargé d’un péché. Si tu t’abstiens de faire des vœux, il n’y aura pas en toi de péché.” (Deut. 23:21, 22, AC). Dans Ecclésiaste 5:3-5, nous trouvons encore cet avertissement : “Lorsque tu as fais un vœu à Dieu, ne tarde pas à l’accomplir, car il n’aime pas les insensés : accomplis le vœu que tu as fait. Mieux vaut pour toi ne point faire de vœu, que d’en faire un et de ne pas l’accomplir. Ne permets pas à ta bouche de faire pécher ta chair.” (Voir Proverbes 20:25). Les principes de Jéhovah ne changent pas, ceux-ci s’appliquent toujours à notre époque.
Puisque (mis à part les vœux prononcés par une femme que son père ou son mari peut annuler) aucun homme ne peut relever quelqu’un d’un vœu, nous comprenons la nécessité de bien réfléchir quand nous en faisons un. Un chrétien devrait avoir d’excellentes raisons d’en prononcer un et être convaincu de pouvoir l’accomplir quelles que soient les promesses qu’il implique. Autrement, il serait préférable qu’il ne fasse pas de vœu.
Qu’en est-il si quelqu’un se rend compte plus tard que son vœu a été fait d’une manière hâtive et irréfléchie ? Il ne doit pas considérer cela à la légère, mais plutôt chercher à accomplir son vœu. Le fait que celui-ci soit difficile à accomplir n’est en aucun cas une excuse. Il n’était sans doute pas facile pour Jephté d’accomplir le vœu qu’il avait fait à Dieu. Mais il le fit consciencieusement (Juges 11:30-39). Sous la Loi, celui qui n’accomplissait pas un serment était coupable de péché, même s’il n’agissait pas délibérément. Il n’encourrait pas la mort, mais devait offrir à Dieu un sacrifice de culpabilité (Lév. 5:4-6 ; voir Matthieu 5:33). Dieu avait prévenu que si, après avoir obtenu satisfaction, quelqu’un n’accomplissait pas son vœu, il “s’irriterait” et “détruirait” ce que cet individu avait fait (Eccl. 5:5). Cela pouvait donc provoquer, du moins dans une certaine mesure, la perte de la faveur divine.

142-8 août DEUTÉRONOME 22-23 Empty Re: 2-8 août DEUTÉRONOME 22-23 Sam 7 Aoû - 11:55

samuel

samuel
Administrateur

23:25-26 Ce commandement empêche un attachement égocentrique que des juifs à leurs biens et garantit que personne ne souffrira de la faim.

152-8 août DEUTÉRONOME 22-23 Empty Re: 2-8 août DEUTÉRONOME 22-23 Dim 8 Aoû - 11:53

Josué

Josué
Administrateur

Plantation et entretien. Les vignobles étaient souvent plantés sur des coteaux. Il était courant de les entourer d’une clôture ou d’un mur (Nb 22:24 ; Pr 24:30, 31) et d’y construire des huttes ou des tours de garde (Is 1:8 ; 5:2), afin de les protéger des voleurs ou de l’intrusion d’animaux comme les renards et les sangliers (Ps 80:8, 13 ; Ct 2:15). La Loi mosaïque permettait au passant de manger son content de raisin, mais pas d’en emporter dans un récipient, car cela aurait été du vol. — Dt 23:24.
Dans un souci d’ordre pratique, on creusait un pressoir et une cuve à proximité de la vigne, car d’ordinaire le plus gros de la récolte était foulé pour faire du vin (Is 5:2 ; Mc 12:1 ; voir VIN ET BOISSON FORTE). Évidemment, on faisait une grande consommation de fruits frais et on en faisait aussi sécher une certaine quantité au soleil. — 1S 25:18 ; 30:12 ; 2S 16:1 ; 1Ch 12:40.

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