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26 octobre – 1er novembre EXODE 37-38

3 participants

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Josué

Josué
Administrateur

26 octobre – 1er novembre

EXODE 37-38



  • Fabrication de l’Arche (1-9)

  • La table (10-16)

  • Le porte-lampes (17-24)

  • L’autel de l’encens (25-29)

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

L'arche, sur laquelle reposeront les chérubins en or, est destinée à abriter les tables avec les dix commencements.
Déposée dans le lieu très saint, elle symbolisera l'alliance de Jéhovah avec son peuple.

samuel

samuel
Administrateur

38:8 les miroirs des femmes étaient en bronze poli.
Des gravures égyptiennes représentent des femmes qui se rendent ensemble au sanctuaire,un instrument  de musique dans une main et dans l'autre un miroir.

Josué

Josué
Administrateur


  • L’autel des holocaustes (1-7)
  • Le bassin en cuivre (Cool
  • La cour (9-20)
  • Inventaire des matériaux du tabernacle (21-31)


Exode 38​:​1

Notes

1 coudée : 44,5 cm. Voir app. B14.

Josué

Josué
Administrateur

*** it-1 p. 229-230 Autel ***
Les autels du tabernacle. Lorsqu’on dressa le tabernacle, on construisit deux autels d’après le modèle fourni par Dieu. L’autel de l’holocauste (appelé également “ l’autel de cuivre ” [Ex 39:39]) était en acacia et avait la forme d’une caisse creuse, probablement sans fond ni couvercle. Il mesurait 2,20 m de côté et 1,30 m de haut et avait quatre “ cornes ” proéminentes aux quatre angles supérieurs. Il était entièrement recouvert de cuivre, et sous son rebord était placé un grillage de cuivre, ouvrage en filet, “ par en bas, à l’intérieur ”, “ vers le milieu ”. Aux quatre extrémités, près du filet, étaient fixés quatre anneaux, ceux apparemment dans lesquels on introduisait les deux barres en acacia recouvertes de cuivre qui servaient à porter l’autel. Cela peut signifier qu’on avait découpé une fente sur deux faces opposées de l’autel, afin d’y glisser un grillage horizontal, les anneaux faisant saillie de chaque côté. Les opinions des biblistes sont très divergentes à ce sujet. Beaucoup sont d’avis qu’il y avait deux séries d’anneaux et que ceux de la deuxième série, dans lesquels on introduisait les barres servant à porter l’autel, étaient directement fixés à l’extérieur de l’autel. On avait aussi fabriqué des ustensiles de cuivre : des récipients et des pelles pour les cendres, des bols pour recueillir le sang des animaux, des fourchettes pour la viande et des récipients à feu. — Ex 27:1-8 ; 38:1-7, 30 ; Nb 4:14.
L’autel de cuivre pour les holocaustes fut placé à l’entrée du tabernacle (Ex 40:6, 29). Bien qu’il fût relativement bas, ce qui n’exigeait donc pas de prévoir un moyen d’accès, il se peut qu’en vue de faciliter la manutention des sacrifices placés à l’intérieur de l’autel, on ait surélevé le sol tout autour ou prévu une rampe d’accès (voir Lv 9:22 où il est dit qu’Aaron “ descendit ” après avoir offert les sacrifices). Étant donné que l’animal offert en sacrifice était tué “ sur le côté de l’autel, au nord ” (Lv 1:11), que “ l’endroit des cendres grasses ” enlevées de l’autel se situait à l’E. (Lv 1:16) et que le bassin de cuivre pour l’ablution était à l’O. (Ex 30:18), le moyen d’accès à l’autel ne pouvait logiquement se trouver qu’au S., le côté dégagé.
L’autel de l’encens. L’autel de l’encens (également appelé “ l’autel d’or ” [Ex 39:38]) était lui aussi en acacia. La partie supérieure, recouverte d’or comme les côtés, était entourée d’une bordure d’or. Cet autel, qui mesurait 44,50 cm de côté et 89 cm de hauteur, comportait également des “ cornes ” faisant saillie aux quatre coins. Quatre anneaux d’or, deux de chaque côté, étaient fixés au-dessous de la bordure. On y introduisait les barres d’acacia recouvertes d’or qui servaient à porter l’autel (Ex 30:1-5 ; 37:25-28). Un encens spécial était brûlé deux fois par jour sur cet autel, le matin et le soir (Ex 30:7-9, 34-38). Comme en d’autres occasions il est question d’un encensoir ou d’un récipient à feu pour brûler de l’encens, on devait probablement utiliser aussi ces instruments dans le cadre du service à l’autel de l’encens (Lv 16:12, 13 ; Hé 9:4 ; Ré 8:5 ; voir aussi 2Ch 26:16, 19). Dans le tabernacle, l’autel de l’encens se trouvait juste devant le rideau du Très-Saint ; aussi est-il dit qu’il était “ devant l’arche du témoignage ”. — Ex 30:1, 6 ; 40:5, 26, 27.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR


  • Quelle différence y a-​t-​il entre les miroirs des temps bibliques et ceux d’aujourd’hui ?

    Contrairement aux miroirs actuels, ceux des temps bibliques étaient en général fabriqués en métal finement poli — bronze, mais aussi parfois cuivre, argent, or ou électrum. La première fois que la Bible parle de miroirs, c’est en rapport avec la construction du tabernacle, premier lieu de culte de la nation d’Israël. Des miroirs ont été offerts par des femmes pour la fabrication d’un bassin sacré en cuivre et de son support (Exode 38:Cool. À cette fin, il a probablement fallu les fondre.


Josué

Josué
Administrateur

*** it-2 p. 144 Lin ***
. Quant aux rideaux et aux vêtements en usage dans le sanctuaire, il semble que le tissu de base était le lin, et que la laine teinte et l’or étaient brodés dessus comme ornement. — Ex 35:35 ; 38:23.
Usage figuré. Babylone la Grande est décrite revêtue de fin lin et de pourpre et d’écarlate, symboles de luxe (Ré 18:16). En revanche, dans le cas de l’épouse de Christ il est dit clairement que le fin lin de ses vêtements représente “ les actes de justice des saints ”. Pareillement, il est dit des armées célestes qu’elles sont vêtues de fin lin, blanc et pur, ce qui indique qu’elles font la guerre avec justice. — Ré 19:8, 11, 14 ; voir aussi Dn 10:5 ; Ré 15:6.

Josué

Josué
Administrateur

Commentaire biblique
de Exode 28.30
Dans le pectoral : dans la poche for­mée par le ren­dou­ble­ment du mor­ceau d’é­toffe dont il était formé (ver­set 16).
Les Urim et les Thummim. Ces deux mots si­gni­fient lumières et intégrités, par ce nom Dieu vou­lait faire en­tendre que les dé­ci­sions ob­te­nues par ce moyen se­raient à la fois sages et droites, comme il est dit dans Apocalypse 16.7 : Tes jugements sont véritables et justes, pa­role qui semble être la pa­ra­phrase du nom Urim et Thum­mim. Le grand sa­cri­fi­ca­teur consul­tait Dieu par ce moyen dans les cas graves et dou­teux qui concer­naient l’en­semble du peuple.
On s’est re­pré­senté de bien des ma­nières le moyen par le­quel le sou­ve­rain sa­cri­fi­ca­teur ob­te­nait la ré­ponse di­vine. On a pensé que, parmi les lettres gra­vées sur les pierres pré­cieuses, quelques-unes pre­naient tout à coup un éclat par­ti­cu­lier et que de leur com­bi­nai­son le sa­cri­fi­ca­teur ti­rait la ré­ponse ; ou bien que de la lu­mière qui se ré­pan­dait sur tout le pec­to­ral, il concluait à la vo­lonté di­vine. Mais il pa­raît res­sor­tir de 1 Samuel 14.19 que l’U­rim et le Thum­mim était non sur mais dans le pec­to­ral. La plu­part des pas­sages font sup­po­ser que c’é­tait une es­pèce de sort que ti­rait le sou­ve­rain sa­cri­fi­ca­teur, évi­dem­ment à la suite d’une cé­ré­mo­nie dans la­quelle le nom de Dieu était so­len­nel­le­ment in­vo­qué. Mais on ne peut pour­tant pas pen­ser, comme on l’a fait, à deux pierres pré­cieuses, dont l’une au­rait si­gni­fié oui, l’autre non. Car il y a des cas où Dieu ne ré­pond pas (1 Samuel 14.37 ; 1 Samuel 28.6), et d’autres où la ré­ponse n’est nul­le­ment af­fir­ma­tive ou né­ga­tive, mais ren­ferme une ré­vé­la­tion in­at­ten­due et par­fois avec des dé­tails as­sez com­pli­qués (1 Samuel 10.22 ; 2 Samuel 2.1 ; 2 Samuel 21.1). Nous de­vons donc re­con­naître notre igno­rance qui était déjà celle de la tra­di­tion juive et des rab­bins.
La pa­role Deutéronome 33.8 montre tout le prix que l’on at­ta­chait à l’em­ploi de ce moyen, et l’­hon­neur qui re­jaillis­sait sur la tribu de Lévi de ce que son em­ploi fût confié à l’un de ses membres. Voici les cas où l’U­rim et le Thum­mim sont expressément dé­si­gnés : Exode 28.30 ; Lévitique 8.8 ; Nombres 27.21 ; Deutéronome 23.8 ; 1 Samuel 28.6 ; Esdras 2.63 ; Néhémie 7.65
Mais il y a beau­coup de cas où l’Éter­nel est consulté par le sort et où il est vrai­sem­blable que l’U­rim fut em­ployé sans être nommé. Après le temps de Da­vid nous n’a­vons plus dans l’An­cien Tes­ta­ment au­cune trace de cet em­ploi ; pro­ba­ble­ment il tomba en désué­tude avec l’ap­pa­ri­tion des pro­phètes. Ce moyen d’ordre in­fé­rieur pour connaître la vo­lonté di­vine avait dé­sor­mais fait place à un mode de ré­vé­la­tion plus spi­ri­tuel. Néan­moins Esdras 2.63 et Néhémie 7.65 (d’a­près la vraie tra­duc­tion) prouvent qu’a­près l’exil on at­ten­dait un sa­cri­fi­ca­teur qui pour­rait de nou­veau consul­ter Dieu par Urim et Thum­mim.
L’o­pi­nion d’a­près la­quelle cette ins­ti­tu­tion au­rait été une imi­ta­tion d’un usage égyp­tien est au­jourd’­hui uni­ver­sel­le­ment re­je­tée. La pierre pré­cieuse por­tant l’i­mage des déesses de la vé­rité et de la jus­tice qui pen­dait sur la poi­trine du grand sa­cri­fi­ca­teur égyp­tien, quand il était oc­cupé à rendre la jus­tice, est quelque chose de tout dif­fé­rent du pec­to­ral is­raé­lite.

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