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Radicalisation dans l'État, le rapport qui fait peur

+5
Rene philippe
Mikael
samuel
BenFis
Josué
9 participants

Aller en bas  Message [Page 1 sur 1]

Josué

Josué
Administrateur

[size=33]Radicalisation dans l'État, le rapport qui fait peur[/size]

[size=33]ENQUÊTE. Sport, hôpitaux, transports… Le député Éric Diard a poursuivi ses investigations dans les services publics. Il en tire un livre édifiant.

 Propos recueillis par Clément Pétreault
Modifié le 20/08/2020 à 11:05 - Publié le 19/08/2020 à 10:54 | Le Point[/size]


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[size=74]Éric Diard ne lâche jamais sa proie. Ce député LR des Bouches-du-Rhône - végétarien et militant de la cause animale - s'est fait remarquer l'année dernière en publiant un rapport parlementaire sur les services publics face à la radicalisation, dans lequel il soulignait les résultats pour le moins contrastés de l'action publique sur le sujet. Depuis, l'élu n'a cessé d'enquêter, en compagnie d'Henri Vernet, rédacteur en chef adjoint au Parisien. Les deux hommes ont repris et approfondi les investigations auprès de grands témoins et de spécialistes du renseignement, s'affranchissant du carcan...[/size]
https://www.lepoint.fr/politique/radicalisation-dans-l-etat-le-rapport-qui-fait-peur-19-08-2020-2388218_20.php?M_BT=52544877662#xtor=EPR-6-[Newsletter-Matinale]-20200826

BenFis

BenFis


Peux-tu STP me dire où cliquer sur la page dont tu as communiqué le lien pour avoir l'article du Point au complet ?

samuel

samuel
Administrateur

Je crois que pour lire la suite il faut payer un abonnement.

BenFis

BenFis

samuel a écrit:Je crois que pour lire la suite il faut payer un abonnement.

C'est bien ce que j'ai cru comprendre ! Donc ce sujet tronqué n'a guère d'intérêt ; que celui de perdre son temps...

Amaytois aime ce message

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

En fait si tu veux plus de renseignements tu paies l'abonnement où tu cherches d'autres journaux qui en parlent.

Josué

Josué
Administrateur

[size=38]Islam : vers un CFCM plus proche du terrain ?[/size]

Analyse 

Le premier ministre Jean Castex a rencontré, mercredi 16 septembre, une délégation du Conseil français du culte musulman (CFCM), alors que se prépare une loi contre « les séparatismes ». Il a notamment été question de départementaliser les instances du culte musulman : une idée souvent énoncée, mais pas aisée à mettre en place.



  • Mélinée Le Priol, 
  • le 18/09/2020 à 09:36



Radicalisation dans l'État, le rapport qui fait peur Nouveau-president-CFCM-Mohamed-Moussaoui-22-2019_0_729_486



Le nouveau président du CFCM, Mohamed Moussaoui, le 22 mars 2019.[size=12]KENZO TRIBOUILLARD/AFP
[/size]

« Le premier ministre s’est montré très favorable à la création des Conseils départementaux du culte musulman (CDCM) qui permettront davantage de proximité avec les acteurs du terrain et une meilleure gestion de dossiers de culte avec les préfectures, les mairies et les départements. »


Josué

Josué
Administrateur

[size=38]Attentat à Conflans-Sainte-Honorine : « Imams et théologiens doivent s’engager par des actions concrètes »[/size]

Entretien 

Ancien professeur de religion musulmane au lycée en Belgique, Hicham Abdelgawad prépare actuellement une thèse de doctorat à l’Université de Louvain sur l’enseignement du fait religieux à l’école. Il appelle les responsables musulmans – imams et théologiens – à casser l’argument des terroristes selon lequel « une offense au prophète Mohammed mérite punition ».



  • Propos recueillis par Anne-Bénédicte Hoffner, 
  • le 18/10/2020 à 10:49 
  • Modifié le 18/10/2020 à 15:18



Radicalisation dans l'État, le rapport qui fait peur Hommage-professeur-dhistoire-Conflans-Sainte-Honorine-assassine-jeune-dorigine-tchetchene-vendredi-16-octobre_0



Hommage au professeur d’histoire de Conflans-Sainte-Honorine assassiné par un jeune d’origine tchétchène, vendredi 16 octobre. [size=12]BERTRAND GUAY/AFP
[/size]


La Croix : Sur les réseaux sociaux, certains musulmans refusent de s’exprimer au sujet de l’assassinat d’un professeur d’histoire à Conflans-Sainte-Honorine, estimant soit qu’ils ne sont pas concernés, soit que cela ne sert à rien tant « l’islamophobie » est ancrée en France. Qu’en pensez-vous ?
Hicham Abdelgawad : Je pense qu’il faut distinguer les responsables musulmans des simples croyants. Quand on est responsable, on représente l’islam – le sujet de la représentation de l’islam est complexe – mais on a une fonction liée à l’islam et, à ce titre, une parole qui porte. On est en quelque sort un haut-parleur des islams existants : la parole que l’on porte doit donc être à la hauteur de

Rene philippe

Rene philippe

à la hauteur de ?

Josué

Josué
Administrateur

Rene philippe a écrit:à la hauteur de ?
Pour la suite il faut payer.

Amaytois

Amaytois
MODERATEUR
MODERATEUR

BenFis a écrit:
samuel a écrit:Je crois que pour lire la suite il faut payer un abonnement.

C'est bien ce que j'ai cru comprendre ! Donc ce sujet tronqué n'a guère d'intérêt ; que celui de perdre son temps...

Bonjour

Benfils a entièrement raison, soit on donne l'article complet, soit on oublie.

C'est comme cette histoire. Il était une fois dans la montagne des Calabres, un vieux roi qui dit à ses camarades, je vais vous raconter une histoire. .......... (À vous d'inventer le reste)

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Disons c'est pour sensibiliser et ceux qui veulent lire la suite il paie .

papy

papy

Ce qui ce passe confirme les propos de Salomon.
(Ecclésiaste 8:11) 11 Parce que la punition contre un acte mauvais n’a pas été exécutée rapidement, le cœur des hommes s’enhardit à faire le mal.

Josué

Josué
Administrateur

[size=38]Islam en France, islam de France[/size]

Chronique 

Guillaume de Fonclare s’exprime à la suite du meurtre de Samuel Paty. Selon lui les politiques n’ont pas été à la hauteur de l’enjeu et ont laissé faire depuis trop longtemps, sans régler une fois pour toutes la problématique de l’islam en France.



  • Guillaume de Fonclare, 
  • le 26/10/2020 à 14:41



Radicalisation dans l'État, le rapport qui fait peur Minaret-Grande-Mosquee-Parisancienne-mosquee-France-metropolitaine_0



Minaret de la Grande Mosquée de Paris, plus ancienne mosquée de France métropolitaine. [size=12]CHRISTOPHE PETIT TESSON/MAXPPP
[/size]
Vous le savez, je dois rendre mes chroniques pour le jeudi précédent le lundi de parution. Cela ne me donne qu’une prise relative sur l’actualité ; j’ai donc été bien peiné de ne pouvoir me joindre à tous ceux qui ont exprimé leur sentiment d’horreur après le meurtre abominable de Samuel Paty.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Les dirigeants du Conseil français du culte musulman (CFCM) ont annoncé ce samedi avoir trouvé un accord sur une « charte des principes » de l’islam de France qui réaffirme notamment l’égalité hommes-femmes et la « compatibilité » de la foi musulmane avec la République.

Cette charte, à l’origine d’une crise au sein du CFCM, a été présentée au ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin qui a salué une « avancée très significative ». Elle doit maintenant être approuvée par l’ensemble des fédérations du CFCM avant d’être transmise au président Emmanuel Macron, indique l’instance dans un communiqué.

Une crise en interne
Cette charte avait été demandée aux dirigeants du CFCM mi-novembre par le président de la République dans la foulée de son offensive contre le « séparatisme » et l’islam radical. La pression sur les instances musulmanes s’était renforcée avec l’attentat contre Samuel Paty mi-octobre et dans la basilique de Nice quinze jours plus tard.

Mais cette initiative avait provoqué une grave crise au sein de l’instance représentative des musulmans. Fin décembre, le recteur de la grande Mosquée de Paris, Chems-Eddine Hafiz, avait claqué la porte des discussions sur la charte et le futur CNI en pointant du doigt l’influence d’une « composante islamiste » au sein du CFCM.

Josué

Josué
Administrateur


Le Conseil français du culte musulman adopte une « charte des principes »

Explication 


Le Conseil français du culte musulman (CFCM) a annoncé le 16 janvier un accord sur une « charte des principes de l’islam de France ». Les fédérations qui composent l’instance l’ont approuvée dimanche 17 janvier.





  • Laurent de Boissieu et Mélinée Le Priol, 
  • le 17/01/2021 à 17:47 
  • Modifié le 18/01/2021 à 09:01




Radicalisation dans l'État, le rapport qui fait peur Mohammed-Moussaoui-president-Conseil-francais-culte-musulman-CFCM_0



Mohammed Moussaoui, président du Conseil français du culte musulman (CFCM).ALEXANDRE MARCHI/PHOTOPQR/L'EST REPUBLICAIN/MAXPP



►Quelle est l’importance de cette charte ?


La « charte des principes de l’islam de France », sur laquelle les dirigeants du Conseil français du culte musulman sont parvenus à un accord le 16 janvier, doit servir de fondations au futur conseil national des imams souhaité par Emmanuel Macron afin de certifier la formation des imams qui exercent en France. La Grande mosquée de Paris (GMP) avait déjà signé un texte fin 1994, de même que six grandes fédérations musulmanes en 2000. L’enjeu pour l’État n’est plus seulement d’organiser les rapports entre les pouvoirs publics et le culte musulman mais de ne « labelliser » que les imams qui acceptent les valeurs républicaines.
→ LIRE AUSSI. La difficile rédaction d’une charte des imams de France

Source de nombreux débats, le contenu de la future charte – qui n’a pas encore été rendue publique – sera examiné à la loupe. Le président du Conseil français du culte musulman, Mohammed Moussaoui (Union des mosquées de France), et ses deux vice-présidents, Chems-Eddine Hafiz (Grande mosquée de Paris) et Ibrahim Alci (Comité de coordination des musulmans turcs de France), estiment que l’objectif est atteint « sur la compatibilité de la foi musulmane avec les principes de la République, sur le rejet de l’instrumentalisation de l’islam à des fins politiques, sur la non-ingérence des États dans l’exercice du culte musulman en France, sur le principe de l’égalité homme-femme et sur le rejet de certaines pratiques coutumières prétendument musulmanes ».
Même satisfaction du côté de l’État. « C’est un texte courageux et inédit, applaudit l’entourage de Gérald Darmanin, ministre de l’intérieur et des cultes. L’apostasie et la liberté de conscience y figurent, de même que la dénonciation de l’islam politique et de ses courants : wahhabisme, salafisme, tabligh, Frères musulmans. » Il s’agirait donc d’un texte ferme, au risque de pas être signé par toutes les fédérations du CFCM. « Chacun prendra ses responsabilités », assume le ministère.

►Peut-on parler d’une « composante islamiste » au sein du CFCM ?


Si Chems-Eddine Hafiz est de retour à la table des négociations, son retrait brutal – qu’il disait alors « irrévocable » – fin décembre du projet de conseil national des imams soulève des questions. Le recteur de la GMP dénonçait alors une « composante islamiste au sein du CFCM », visant, sans les nommer, trois des neuf fédérations : Musulmans de France (ex-UOIF), Foi et pratique et Milli Görüs.

Si aucune de ces fédérations n’est une nouvelle venue, la première fut présente au sein du bureau du CFCM dès sa création en 2003. Nicolas Sarkozy assumait alors : « Je les préfère dedans que dehors. » Proche des Frères musulmans, l’ancienne UOIF a été souvent attaquée pour cette raison. En perte d’influence, elle n’a obtenu qu’un siège non-coopté (sur 45) lors du dernier scrutin, fin 2019. Des observateurs évoquent son « rigorisme politisé », mais estiment que ses représentants n’ont pas tenu, ces dernières années, de propos publics contraires à la République ou appelant à la haine.
Foi et pratique, elle, ne disposerait que d’une dizaine de mosquées en France. Cette petite fédération issue du mouvement tabligh, né en Inde, est conservatrice, piétiste et prosélyte, mais désengagée de tout combat explicitement politique.

Milli Görüs, enfin, est l’une des deux fédérations liées à la Turquie, et proche d’Ankara : elles représentent désormais, avec des fédérations de sensibilité marocaine, les structures les plus influentes du CFCM (neuf sièges obtenus en 2019). Fondée en 1969 par Necmettin Erbakan, premier chef de gouvernement islamiste de l’histoire de la Turquie, Milli Görüs mêle conservatisme religieux et nationalisme anti-occidental.
De l’avis de plusieurs observateurs, ce terme d’« islamisme » est souvent instrumentalisé par différents acteurs du culte musulman pour régler leurs querelles internes, au risque d’empêcher un débat serein sur les questions légitimement posées par cette charte.






.

BenFis

BenFis

La France est un pays laïque et de ce fait, une telle charte est superflue voire contraire à la loi de 1905.
Les musulmans sont soumis à cette loi comme n'importe quel autre citoyen.
Il ne reste qu'à la police et à la justice de faire appliquer la loi lorsque c'est nécessaire.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Des fois il est fait des entorses pour la concorde du pays.

BenFis

BenFis

Mikael a écrit:Des fois il est fait des entorses pour la concorde du pays.

C'est sans doute le but poursuivi. Mais trop d'entorses ne mènent-elles pas à la discorde?

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

BenFis a écrit:
Mikael a écrit:Des fois il est fait des entorses pour la concorde du pays.

C'est sans doute le but poursuivi. Mais trop d'entorses ne mènent-elles pas à la discorde?
L'avenir nous le dira.

Josué

Josué
Administrateur

Territoires conquis de l'islamisme" : clientélisme, Raoult et la médecine prophétique... 

L'Express publie en exclusivité des extraits inédits jusqu'ici de l'enquête universitaire choc dirigé par Bernard Rougier, sur le vote communautaire ou l'islamosphère face au Covid.


[size=10]Durée : 9 min Article réservé aux abonnés

[/size]

Radicalisation dans l'État, le rapport qui fait peur Mohamed-khattabi_5468758
[size=10]Selon le prédicateur Mohamed Khattabi (ici en 2015), le Covid-19 relève de la "justice divine". Poursuivi pour agression sexuelle sur une mineure, il a été interdit de prêche.
Youtube / Mosquée Aïcha

[/size]

[size=13][size=13]Par Laureline Dupont et Thomas Mahler
publié le 20/01/2021 à 12:30 , mis à jour à 12:50
Dans l'hebdo du 21 Janvier[/size][/size]
Il y a un an paraissait "Les territoires conquis de l'islamisme" (PUF), enquête universitaire choc dirigée par Bernard Rougier, professeur à Paris-3 et directeur du Centre des études arabes et orientales. De manière rigoureuse, le livre décrit comment des "écosystèmes islamistes" se sont développés dans différents quartiers en France, sous influence d'une idéologie importée du Moyen-Orient et de l'Algérie du GIA. Une "prise de contrôle" par quatre forces principales de l'islamisme - Frères musulmans, tablighis, salafistes et djihadistes -, et qui a bénéficié du clientélisme local. Selon l'universitaire, cet islam conservateur et littéraliste a imposé ses normes sur certains territoires français, comme sur une partie de l'islam. Dans quelques jours paraîtra une édition augmentée de l'ouvrage, avec près d'une centaine de pages inédites dans lesquelles Bernard Rougier et ses étudiants analysent "l'actualité du séparatisme" de 2020 . En voici des extraits exclusifs évoquant le vote communautaire lors des dernières élections municipales, ou les réactions - étonnantes - de l'islamosphère face au Covid-19. 
Le prédicateur Mohamed Khattabi, officiant à la mosquée Aïcha de Montpellier, estime en janvier qu'Allah aurait contaminé la chauve-souris afin de rendre justice aux Ouïgours. Selon lui, tout musulman qui refuserait d'entendre cette vérité adopterait un raisonnement athée et communiste : "Rien dans ce monde ne bouge sans la volonté d'Allah. Et ça, c'est notre foi. [...] Je préfère mille fois croire que ce virus est un secours qu'Allah subhanallah wa taala, une justice divine pour faire justice dans une population qui a maltraité des humains, que de dire "Ah ! la chauve-souris, le serpent, l'humain !" parce que dans ce cas-là je rejette Dieu, et donc Dieu n'a aucune action dans ce monde, et ce monde, il se met lui-même dans l'action, et donc je rejoins les communistes. Ils disent que tout passe par la nature, qu'il n'y a pas de Dieu. Faites attention, car certains musulmans refusent ce discours !" [...] 
https://www.lexpress.fr/actualite/politique/territoires-conquis-de-l-islamisme-clientelisme-raoult-et-la-medecine-prophetique_2142778.html?utm_source=ocari&utm_medium=email&utm_campaign=20210120190002_03_nl_nl_lexpress_coronavirus_600868cd8a44670c3f7b23c6&xtor=EPR-5240-[20210120190002_03_nl_nl_lexpress_coronavirus_600868cd8a44670c3f7b23c6_002OIZ]-20210120-[_005K50R]--20210120060100#EMID=109614767c7d4272963054217c72ff9415096149ba5cafcdfeef212668bd50e6

Josué

Josué
Administrateur

[size=38]Trois fédérations musulmanes refusent de signer la charte validée par l’Élysée[/size]
Les faits 

Trois fédérations du Conseil français du culte musulman (CFCM), dont deux sont liées à la Turquie et une au mouvement piétiste Tabligh, ont expliqué leur refus, mercredi 20 janvier, de signer la « charte des principes de l’islam de France » saluée par l’Élysée deux jours plus tôt. Pour le président du Sénat, Gérard Larcher, elles devront « tirer elles-mêmes les conséquences » de ce refus.



  • Mélinée Le Priol, 
  • le 21/01/2021 à 16:16 
  • Modifié le 21/01/2021 à 16:19

Josué

Josué
Administrateur


Séparatisme : les députés s’offrent un débat sur l’« héritage chrétien »


La commission spéciale qui examine le projet de loi « confortant le respect des principes de la République » a poursuivi ses travaux samedi 23 janvier. Entre un article sur le monde sportif et un autre sur les associations cultuelles, elle s’est offert un débat animé sur les racines « judéo-chrétiennes » de la France.





  • Anne-Bénédicte Hoffner, 
  • le 23/01/2021 à 16:48 
  • Modifié le 24/01/2021 à 10:42




Radicalisation dans l'État, le rapport qui fait peur Eglise-Immaculee-Conception-Rendez-Vous-Paris-24-decembre-2020-messes-minuitle-Noel-2020-deroulent-apres-surveillance-police_0



Eglise de l'Immaculée Conception rue du Rendez-Vous à Paris, le 24 décembre 2020. Les messes de minuit pour le Noël 2020 se déroulent dans l'après-midi et sous la surveillance de la police.JEAN-BAPTISTE QUENTIN/PHOTOPQR/LE PARISIEN/MAXPPP


Après de longs échanges sur le meilleur moyen de protéger les jeunes sportifs du repli communautaire et de l’influence - parfois « plus importante encore que celle des prédicateurs religieux » - des « éducateurs sportifs-recruteurs », le débat, soudain, change de ton. Emmanuelle Ménard (députée non-inscrite de l’Hérault), vient de défendre l’amendement 671 devant la commission spéciale chargée d’examiner le projet de loi « confortant le respect des principes de la République ».

Contrairement à l’engagement du président de la République, elle se propose de réécrire le 1er article de la loi de 1905 comme suit : « L’État français, fort de son héritage chrétien, assure le libre exercice de culte et la liberté de conscience. Ces libertés ne peuvent être contraintes qu’en cas de violation grave et manifeste de l’ordre public ».

Redéfinir le véritable sujet



Depuis le début de l’examen en commission de ce texte phare du quinquennat, la députée est particulièrement assidue. Élue avec le soutien du Front national mais non-inscrite, elle redoute de ne pas avoir voix au chapitre lorsque le projet de loi arrivera dans l’hémicycle. C’est donc ici qu’elle plaide pour redéfinir le véritable sujet du texte à ses yeux : « le radicalisme islamique ».
Associations 1901, confessionnelles, cultuelles, de quoi parle-t-on ?
Cette fois encore, elle espère convaincre les députés de ne pas se tromper de cible. « Cet amendement vise à rappeler d’une part que ce n’est pas la République - simple régime politique - qui garantit la liberté de conscience mais l’État français à travers tous les régimes politiques assumés », fait-elle valoir. « À rappeler également que, par sa présence multiséculaire en France et son lien avec l’histoire de notre nation, l’Église catholique ne peut être simplement traitée tout à fait de la même manière que d’autres cultes arrivés plus récemment dans notre pays ».

Rappels historiques partiels


Les parlementaires présents s’agitent, chacun souhaite répondre. Certains, comme Frédéric Petit (Modem, Français de l’étranger) se font pédagogues : « Je ne suis pas choqué par ce que vous dites lorsque vous rapportez des faits historiques d’ailleurs partiels : car vous auriez pu rappeler aussi que la République ne s’applique pas que dans des territoires marqués par l’Église catholique. Mais cela n’a rien à faire dans la loi ».
Pour le président de séance, François de Rugy (LREM, Loire-Atlantique), certains reproches adressés à l’islam pourraient l’être aussi à l’Église catholique, comme celui de « l’influence étrangère ». « Si je ne me trompe, les évêques sont nommés par le pape et par le nonce, qui n’est généralement pas français », glisse-t-il.
Le remplacement du terme de République par celui d’« État français » - choisi par le maréchal Pétain en 1940 - choque tout autant les députés. « Je remercie Mme Ménard pour sa franchise mais je suis au fond révolté par cet amendement », reconnaît François Cormier-Bouligeon (LREM, Cher), convaincu que la formule signe l’appartenance d’Emmanuelle Ménard à « l’extrême-droite ».

Les grandes orientations politiques du texte


« Penser qu’il peut y avoir d’autres régimes que la République, c’est être contre elle. Vous en avez le droit mais ne faites pas croire qu’il ne s’agit là que d’un détail », complète le ministre de l’intérieur, Gérald Darmanin, visiblement très à l’aise dans ce type d’échange. « Peut-être est-ce aussi un lapsus d’avoir oublié le «judéo» dans la mention de notre héritage judéo-chrétien ? » En matière de racines, François de Rugy en rajouterait d’ailleurs plusieurs : « gréco-romaines, franques, sans oublier les celtes chères à mon cœur ».

Toutes ces digressions agacent le rapporteur du texte, Sacha Houlié, qui appelle ses collègues à revenir à « l’examen des amendements ». Pour d’autres, au contraire, elles ont le mérite de permettre « un débat sur les grandes orientations politiques de ce texte ». Celui-ci « devrait même pouvoir se tenir devant l’hémicycle », avance le député de la France insoumise, Alexis Corbière, qui vient de prendre énergiquement la défense de la laïcité, « cette formule magique qui permet que toutes les religions soient traitées pareil du point de vue de laSéparatisme



.

papy

papy

[size=38]À Grenoble, un calendrier aide à la coexistence des différents cultes[/size]
Les faits 

Le Conseil interreligieux de Grenoble publie, en collaboration avec la mairie, la huitième édition du calendrier interreligieux de la ville. Une initiative en couleurs en faveur de la découverte du fait religieux et de la coexistence des différents cultes dans l’espace public.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

cherchant à contrôler les religions sous couvert d’ordre public et de droit pénal, le texte visant à conforter les principes républicains rompt l’équilibre des relations Église-État, estime Guillaume Drago, professeur de droit public à l’université de Paris II-Panthéon Assas.

Le projet de loi « confortant le respect des principes de la République », luttant contre le séparatisme, est en cours de discussion au Parlement. Comme on pouvait le craindre, la boîte de Pandore est ouverte et les propositions fusent sur les bancs de l’Assemblée nationale : interdiction totale des signes religieux dans l’espace public, création d’un délit de « séparatisme », etc. On ne sait plus à quel saint se vouer pour nourrir le contrôle tatillon des cultes, des croyants, des manifestations publiques du culte.

« Police des cultes »

Le projet de loi, lui-même, institue de nombreuses mesures de « police des cultes » reprenant la vieille expression de la loi du 9 décembre 1905 de Séparation des Églises et de l’État : contrôle de ce qui est dit dans les lieux de culte et « aux abords » de ceux-ci (contrôlera-t-on ainsi ce qui se dit dans les salles de catéchisme et dans les réunions des patronages ?) avec un renforcement des sanctions pénales, peine d’interdiction de paraître dans un lieu de culte après une condamnation pour incitation au terrorisme, possibilité renforcée de fermeture des lieux de culte et des locaux dépendant du culte, contrôle serré des associations cultuelles et nécessité de déclaration tous les cinq ans auprès du préfet du caractère cultuel d’une association loi de 1901 à objet cultuel ou mixte, contrôle des subventions, « contrat d’engagement républicain » pour les associations demandant une subvention. On pourrait en ajouter, sur le contrôle des écoles libres en particulier.

Pour ne pas cibler une religion…

Chacun comprend que ces dispositifs législatifs sont destinés aux agissements des islamistes radicaux, ce dont ne se cache d’ailleurs pas le projet de loi qui parle, dans son exposé des motifs, d’un « entrisme communautariste, insidieux mais puissant, (qui) gangrène les fondements de notre société dans certains territoires. Cet entrisme est pour l’essentiel d’inspiration islamiste ». Et le texte illustre cet « entrisme » : « manifestation d’un projet politique », volonté de « faire prévaloir les normes religieuses sur la loi commune », « déclencher une dynamique séparatiste qui vise à la division », « travail de sape » qui « s’invite dans le débat public en détournant le sens des mots, des choses, des valeurs et de la mesure ».

Radicalisation dans l'État, le rapport qui fait peur POISSON-075_boivin-marchons191006_npMYc

Lire aussi :
J.-F. Poisson : « Le projet de loi contre les séparatismes est inutile et dangereux »


Cette explication officielle de la volonté du gouvernement paraît claire : lutter contre les dérives de l’islam. Pourtant, toutes les mesures prévues concernent l’ensemble des cultes, parce que, comme le dit l’article 2 de la loi de 1905 « la République ne reconnaît aucun culte ». Cibler une religion, c’est, d’une certaine façon, la « reconnaître », la différencier, l’identifier par rapport aux autres. Et la République se l’interdit depuis 1905. La conséquence est gravissime : tous les cultes sont frappés d’un contrôle soupçonneux, dans leur exercice comme dans leurs institutions.

Josué

Josué
Administrateur

[size=38]Faut-il avoir peur de l’islam turc ? [/size]

Débat 

Depuis dix jours, un bras de fer oppose le gouvernement et la municipalité EELV de Strasbourg qui a donné son accord de principe, le 22 mars, à une subvention pour la future « plus grande mosquée d’Europe ». Celle-ci est portée par une organisation proche de la Turquie, Milli Görüs, que le gouvernement accuse de défendre l’islam politique et de ne pas avoir signé la charte des principes pour l’islam de France.



  • Recueilli par Mélinée Le Priol et Anne-Bénédicte Hoffner, 
  • le 30/03/2021 à 18:47 
  • Modifié le 30/03/2021 à 18:49



Radicalisation dans l'État, le rapport qui fait peur Maxnewsworldfive422085_0



Le chantier de la  construction de la mosquée Eyyub Sultan à Strasbourg, Le principe d'une subvention accordée à l'association turque Millî Görüs par la ville de Strasbourg pour la construction de la  mosquée fait débat, 22 mars 2021.
 [size=12]LAURENT REA/PHOTOPQR/DNA/MAXPPP

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►« La Turquie se sert des mosquées pour sa diplomatie en Europe »


Erkan Toguslu, chercheur en anthropologie à l’université catholique de Leuven (Belgique)
Depuis une dizaine d’années, Ditib et Milli Görüs, les deux principales fédérations représentant l’islam turc en France, sont devenues les instruments d’une « diplomatie soft » pour la Turquie en Europe (où vivent cinq à six millions d’habitants turcs ou d’origine turque). Dans les années 1990, on a vu l’Arabie saoudite s’appuyer sur ses mosquées à l’étranger pour sa diplomatie : la Turquie fait de même aujourd’hui. Relais précieux sur le terrain, les mosquées assurent un maillage territorial serré.

Josué

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Administrateur

[size=38]« À quoi sert la Charte des principes de l’islam de France ? »[/size]

Tribune 

Franck Frégosi est directeur de recherche au CNRS. Ce spécialiste de la gouvernance de l’islam en France décrypte la volonté du ministre de l’intérieur Gérald Darmanin de marginaliser les fédérations qui n’ont pas signé la Charte des principes de l’islam de France.



  • La Croix 
  • le 04/04/2021 à 10:24 
  • Modifié le 04/04/2021 à 10:27



Radicalisation dans l'État, le rapport qui fait peur Illustration-priere-vendredi-Grande-mosquee-Mohammed-VI-Saint-Etienne_0



Illustration de la prière du vendredi à la Grande mosquée Mohammed VI de Saint-Etienne.[size=12]RÉMY PERRIN/PHOTOPQR/LE PROGRES/MAXPPP

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En janvier 2021, en réponse à l’injonction de l’Élysée, cinq fédérations membres du Conseil français du culte musulman (Union des mosquées de France, Rassemblement des musulmans de France, Musulmans de France, Grande Mosquée de Paris, Fédération française des associations islamiques d’Afrique, des Comores et des Antilles), ratifiaient, en présence du chef de l’État, la Charte des principes de l’islam de France. Trois autres fédérations, Foi et pratique, le Conseil de coordination des musulmans Turcs de France, puis la communauté islamique Millî

Josué

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[size=62]Mohammad Abdelkrim Alissa : « Les musulmans doivent se conformer aux valeurs de la République »[/size]

[size=30]EXCLUSIF. Le chef de la Ligue islamique mondiale, qui soutient Macron dans sa lutte contre le séparatisme, livre sa vision de l’islam de France.[/size]


Sans tabou. Le secrétaire général de la LIM, Mohammad Abdelkrim Alissa, a accordé une interview au « Point », le 28 juin, à Paris. L’ex-ministre saoudien de la Justice y affirme son engagement dans la lutte contre l’islamisme radical.
Radicalisation dans l'État, le rapport qui fait peur Armin-arefi_50x50Propos recueillis par Armin Arefi
Publié le 09/07/2021 à 09h00 - Modifié le 09/07/2021 à 10h00
[size=55]C'est l'une des voix les plus respectées du monde musulman. Secrétaire général de la Ligue islamique mondiale (LIM), une ONG saoudienne fondée à La Mecque en 1962, Mohammad Abdelkrim Alissa est l'un des principaux leaders sunnites engagés dans la lutte contre l'islamisme radical. Ancien ministre saoudien de la Justice, ce théologien réformateur de 56 ans entend rompre avec des décennies de diffusion par son organisation de l'idéologie rigoriste wahhabite dans le monde. Il est le chantre d'un islam modéré, le nouveau mot d'ordre du prince héritier Mohammed ben Salmane pour redorer le blason...
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philippe83


MODERATEUR
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Va t-il régler la désunion depuis des siècles des sunites et des chiites musulmans ? Voyons voir...

papy

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philippe83 a écrit:Va t-il régler la désunion depuis des siècles des sunites et des chiites musulmans ? Voyons voir...
Bien sur que non et une maison divisée fini par tomber un jour ou l'autre.

Josué

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[size=62]INFO LE POINT. Au Mans, une mosquée fermée pour des soupçons de radicalisation[/size]

[size=30]La mosquée d’Allonnes et l’école coranique qu’elle héberge sont dans le viseur du ministère de l’Intérieur. Huit personnes sont sous le coup d’une décision de gel des avoirs.[/size]


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Plusieurs mosquées soupçonnées de radicalisation ont été fermées ces derniers mois.:copyright: CHRISTOPHE ARCHAMBAULT / AFP
Par Clément Fayol et Marc Leplongeon
Publié le 13/10/2021 à 09h09 - Modifié le 13/10/2021 à 09h27

[size=72]D'après nos informations, la direction générale du Trésor a ordonné, depuis le 8 octobre dernier, le gel des avoirs de plusieurs organisations et personnes soupçonnées de radicalisation islamiste. Parmi celles-ci, deux associations liées à la mosquée d’Allonnes, près du Mans, dans la Sarthe.[/size]
La consigne a été transmise par le ministère de l’Intérieur après qu’une enquête administrative a pointé des discours et pratiques religieuses qui relèveraient de « l’islam salafiste radical », selon une source proche du dossier. Les deux structures ainsi que ceux qui les animent voient tous leurs compte...
https://www.lepoint.fr/societe/info-le-point-au-mans-une-mosquee-fermee-pour-des-soupcons-de-radicalisation-13-10-2021-2447434_23.php?M_BT=52544877662#xtor=EPR-6-[Newsletter-Mi-journee]-20211013-[Article_1]

Josué

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[size=38] Je tombe des nues » : dans la Sarthe, stupéfaction après l’annonce de la fermeture d’une mosquée radicale Abonnés[/size]

Les faits
 

La préfecture de la Sarthe a annoncé mercredi 13 octobre une procédure de fermeture de la mosquée d’Allonnes (Sarthe), accusée de légitimer le djihad auprès des fidèles et d’endoctriner les enfants.



  • Hippolyte Radisson, 
  • le 13/10/2021 à 11:26 
  • Modifié le 14/10/2021 à 16:03




Radicalisation dans l'État, le rapport qui fait peur Mosquee-installeeune-dizaine-dannees-salle-Yvon-Luby-dAllonnes_0



La mosquée est installée depuis une dizaine d’années dans la salle Yvon-Luby d’Allonnes.[size=12]JEAN-FRANCOIS MONIER/AFP

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Il est 8 heures 30 du matin mardi 12 octobre quand la sonnerie du téléphone de Gilles Leproust retentit. « Perquisition administrative à la mosquée, me dit le préfet. Je tombe des nues, je n’avais eu aucune information avant cela », relate le maire PCF d’Allonnes (Sarthe), dont le troisième mandat a débuté l’an dernier.
→ CONTEXTE. Les prêches jugés discriminatoires

Josué

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[size=38]Islam : Gérald Darmanin annonce la fermeture du site Internet salafiste « La voie droite » Abonnés[/size]

Les faits
 

Le ministre de l’intérieur a annoncé, après la diffusion d’un documentaire sur l’islam radical sur M6 dimanche 23 janvier, la fermeture du site Internet « La voie droite » en application de la loi séparatisme.



  • La Croix (avec AFP), 
  • le 24/01/2022 à 11:07



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Le ministre de l’intérieur Gérald Darmanin le 15 décembre 2021 dans la cour de l’Elysée. [size=12]LUDOVIC MARIN/AFP
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Gérald Darmanin a annoncé dimanche 23 janvier dans la soirée la fermeture imminente du site Internet « La voie droite » qui diffuse, selon lui, des « contenus salafistes » appelant « à la haine et au djihad », en vertu de la loi « séparatisme » promulguée l’été dernier.
« C’est une forme de maison d’édition sur Internet » avec « des contenus salafistes qui appellent manifestement à la haine, qui appellent au djihad », a déclaré le ministre de l’intérieur dans l’émission Zone interdite sur M6, après un documentaire consacré au « danger de l’islam radical ».

chico.

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[size=49]Forum de l’islam de France : le gouvernement précise sa feuille de route
Le gouvernement veut faire émerger de nouveaux interlocuteurs représentant le culte musulman. Des réunions de travail ont eu lieu en janvier afin de préparer la première session du Forif.
Par Cécile Chambraud
Publié le 22 janvier 2022 à 02h48 - Mis à jour le 25 janvier 2022 à 09h26 

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Radicalisation dans l'État, le rapport qui fait peur 196658c_681467903-000-97x2vuLe ministre de l’intérieur Gérald Darmanin et le recteur de la Grande Mosquée de Paris, Chems-Eddine Hafiz, en avril 2021. THOMAS SAMSON / AFP
Dans la plus grande discrétion, le gouvernement avance au pas de gymnastique pour faire émerger de nouveaux interlocuteurs représentant le culte musulman.

Les préfets viennent d’adresser à des acteurs de l’islam français une note rédigée mardi 18 janvier par le bureau central des cultes du ministère de l’intérieur, à laquelle Le Monde a eu accès. Elle se présente comme la synthèse de deux visioconférences, les 5 et 6 janvier et les 12 et 13 janvier, par quatre groupes de travail constitués par la Place Beauvau avec des représentants musulmans choisis par l’Etat.

Ces travaux sont destinés à préparer la « première session du Forum de l’islam de France [Forif], nouveau format de dialogue entre l’Etat et le culte musulman », explique ce document de huit pages. Ses destinataires – des participants des anciennes Assises territoriales de l’islam de France – ont jusqu’au 27 janvier pour y apporter leur contribution éventuelle. Le Forif pourrait se réunir début février.
Lire aussi  Article réservé à nos abonnés L’exécutif mise sur le Forum de l’islam de France pour restructurer le culte musulman
Les sujets des quatre groupes de travail sont l’organisation et le fonctionnement des trois aumôneries (pénitentiaire, militaire et hospitalière), la professionnalisation et le recrutement des imams, l’application de la loi confortant le respect des principes de la République d’août 2021 et la sécurité des lieux de culte et la lutte contre les actes antimusulmans.

L’urgente question des aumôneries


La volonté du gouvernement d’institutionnaliser certains de ces groupes de travail ou les nouvelles autorités qui en émaneraient, pour en faire des partenaires opérationnels pour l’Etat, transparaît à la lecture de la note. Il confirme ainsi qu’il a tiré un trait sur le Conseil français du culte musulman (CFCM), créé en 2003 et qui n’a jamais été en mesure d’avancer sur certains dossiers essentiels en raison de ses divisions.

La question des aumôneries est d’autant plus urgente que le CFCM, dont l’une des fonctions était de les organiser, s’efface. Or, si l’aumônerie militaire est relativement en ordre de marche, l’aumônerie pénitentiaire, jugée cruciale pour la prévention de la radicalisation en prison, a une belle marge de progression en matière de recrutement, de formation et de rétribution de ses membres. Or, les aumôniers étant des cadres religieux, leur gestion ne peut relever de l’Etat.
Lire aussi  Le Conseil français du culte musulman pourrait s’autodissoudre le 19 février
Le groupe qui a travaillé à cette question se prononce pour « la constitution d’une nouvelle autorité cultuelle de nomination et d’accompagnement des aumôneries » qui « devra présenter des garanties d’indépendance, de représentativité et d’ouverture pour constituer un interlocuteur des pouvoirs publics ». Cette autorité « proposera aux administrations » des aumôniers nationaux, établira les critères de sélection des aumôniers et mettra à leur disposition de la « documentation théologique ».

Josué

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Le Forum de l’islam de France, une volonté de faire davantage appel à "l'islam des territoires", selon un politologue (msn.com)

Josué

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06.02.2022

Radicalisation dans l'État, le rapport qui fait peur 20220210
Le Dauphiné Libéré.

chico.

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[size=49]Culte musulman : le nouveau pari de l’Etat
Le ministre de l’intérieur assiste, samedi, à la mise en place du Forum de l’islam de France, l’instance qui remplacera le Conseil français du culte musulman.
Par Cécile Chambraud
Publié le 05 février 2022 à 03h39 - Mis à jour le 05 février 2022 à 14h32 

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Radicalisation dans l'État, le rapport qui fait peur E0cfdfd_702023121-000-9933z8Des musulmans prient devant le centre culturel Avicenne de Rennes, en avril 2021. JEAN-FRANCOIS MONIER / AFP
Place à de nouveaux interlocuteurs musulmans. Le Forum de l’islam de France (Forif), composé d’une centaine de personnes, se réunira pour la première fois à Paris, samedi 5 février, dans les locaux du Conseil économique, social et environnemental. Gérald Darmanin sera présent à cet événement dans lequel les pouvoirs publics veulent voir la naissance d’un partenaire disposé à apporter des solutions concrètes aux difficultés que rencontre la deuxième religion pratiquée en France. Ce sera aussi le premier acte de l’après-Conseil français du culte musulman (CFCM), cet organisme créé en 2003 sous la pression de l’Etat qui, ayant laissé de nombreuses questions sans réponse, est en train de succomber à ses divisions.

Comme en 2003, cette nouvelle naissance doit beaucoup à l’Etat. Le panel a été composé par ses agents. Le ministère de l’intérieur a demandé à chaque préfet de lui faire remonter les noms de deux ou trois personnes, distinguées, lors des trois assises territoriales menées ces dernières années, pour leurs compétences et leur capacité à avancer des propositions. Parmi ces deux à trois cents noms, le ministère de l’intérieur en a retenu une soixantaine, auxquels il a adjoint une quarantaine de « personnalités qualifiées ».
Lire aussi  Article réservé à nos abonnés « La nouvelle gouvernance de l’islam en France se présente comme une opération médiatique pour Emmanuel Macron »
Mais à la différence de 2003, les pouvoirs publics ne parlent pas, cette fois, de donner au culte musulman un organisme de représentation unique. Ils estiment que les mésaventures du CFCM pendant vingt ans ont fait la démonstration que la conception dont il procédait, fondée sur le rôle des fédérations de mosquées, était une impasse, tant est grande la diversité musulmane et puissants les antagonismes qui s’y expriment. Cette conclusion a fini par s’imposer à l’exécutif, après l’épisode de la Charte des principes pour l’islam de France, qu’ont dû signer les fédérations musulmanes du CFCM et qui a provoqué son éclatement.

Josué

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[size=48]Ecole : une note confidentielle révèle une offensive islamiste qui "rappelle" l'affaire Paty 
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Une note des services de l'Etat datée du 27 août évoque en détail une mobilisation de la sphère islamiste sur les réseaux sociaux, ciblant la laïcité à l'école.



Radicalisation dans l'État, le rapport qui fait peur Lycee-ecole-college-etudiants_6158784
[size=10]La loi de 2004 interdisant le port de signes religieux ostensibles à l'école fait notamment l'objet d'attaques sur les réseaux sociaux.
afp.com/JEFF PACHOUD


[size=13]Par Amandine Hirou
Publié le 22/09/2022 à 17:38, mis à jour à 18:02
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"Al'approche de la rentrée scolaire, plusieurs messages, sur les réseaux sociaux, de comptes gravitant autour de la mouvance islamiste remettent en cause le principe de laïcité à l'école." Une note du Comité interministériel de prévention de la délinquance et de la radicalisation (CIPDR), datée du 27 août et que L'Express a pu consulter, évoque une offensive menée sur le Web visant à déstabiliser l'institution scolaire. Le document énumère, avec force détails, les différentes stratégies en cours : encouragement à porter des vêtements marquant une appartenance religieuse à l'école, incitation à la prière au sein de l'école, chantage à la photo de jeunes femmes musulmanes dévoilées, conflictualisation entre personnels éducatifs et élèves.... Ces messages sont émis dans leur grande majorité, signale la note, par des comptes anonymes créés sur les plateformes TikTok et Twitter.  

Des captures d'écran de ces comptes et des citations relevées sur les réseaux sociaux viennent appuyer ce constat. "L'école n'est pas une excuse légiféré (sic) pour ôter son voile et retarder la prière", avance ainsi un internaute. Le 23 août 2022, une influenceuse islamiste, suivie par 47 500 abonnés, publiait une vidéo sur TikTok, encourageant, en guise de défi, les jeunes femmes de confession musulmane à "mettre une ceinture sur l'abaya [NDLR : longue robe portée au-dessus
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