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Les assurances cachées de la carte bleue.

5 participants

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Josué

Josué
Administrateur

Les assurances cachées de la carte bleue

Retard d'avion, assurance annulation, perte ou vol de bagages... Les cartes bancaires protègent de
nombreux désagréments lors de vos voyages. Peu connaissent ces garanties et pourtant la carte bleue recèle des trésors de services. Découvrez-les !


1- L'assistance médicale

Quelles cartes : CB Visa, Visa Premier et Infinite, CB Mastercard, Mastercard Gold et Platinum.

La prise en charge : En cas d'accident ou de maladie à l'étranger, elle est liée à la possession de la carte. Pas besoin de payer le voyage avec, elle vous couvre vous et votre famille proche où que vous soyez et offre une aide en cas d'hospitalisation, de soins médicaux, de frais de séjour, de rapatriement....
Toutes ces cartes proposent presque les mêmes services. Seuls les plafonds de prise en charge varient fortement, notamment pour les remboursements de frais médicaux* : de 11000€ pour la CB Mastercard, à 155000€ pour la version Gold, idem pour les Visa.
En plus : Les cartes CB Visa, Visa Premier, Infinite et Platinum Mastercard offrent des services comme le rapatriement des animaux domestiques ou l'envoi d'un interprète.
Sachez-le : avant d'engager des frais, contactez votre assistance. Vérifiez aussi la validité de la carte. Les garanties restent limitées à 90 jours en voyage et prennent fin à son expiration.
* en complément des organismes de sécurité sociale et de mutuelle
la suite ici.
http://www.planet.fr/assurances-les-cachees-de-la-carte-bleue.30070.1554.html?xtor=ES-1-82333[Planet-a-la-Une]-20110726

Aude

Aude

Whaow!!!

Depuis des dizaines d'années que j'utilise ma CB je ne savais même pas!

Merci pour ces précieuses info, sait-on jamais..

Josué

Josué
Administrateur

Odessa a écrit:Whaow!!!

Depuis des dizaines d'années que j'utilise ma CB je ne savais même pas!

Merci pour ces précieuses info, sait-on jamais..
il se garde bien de le dire.

Josué

Josué
Administrateur

Du simple vol de portefeuille au distributeur piégé, en passant par les tromperies sur le Net, les escrocs ne reculent devant rien pour voler ou se procurer les 16 chiffres de votre carte bancaire. Voici 10 parades pour se protéger.


1. Le distributeur avale votre carte

La technique des escrocs : le "collet marseillais". Le distributeur automatique refuse de libérer votre carte. Vous la croyez avalée ? Erreur. Des fraudeurs ont installé une bande plastifiée dans la fente du distributeur, qui bloque la carte à l'intérieur. Ils viendront la récupérer dès votre départ.
Comment se protéger : Si le distributeur conserve votre carte sans que vous ayez composé trois codes faux, c'est louche. N'attendez pas le début de la semaine (ce genre d'arnaque s'organise le week-end) et réagissez en faisant opposition. Méfiez-vous également des personnes qui voudraient vous aider. Ce sont souvent des complices qui cherchent à connaître votre code.

Josué

Josué
Administrateur

Carte bancaire ou chèque volés, quelles sont vos garanties ?
Le 10/11/2011 - Florence MassinRéagissez !
En cas de perte ou de vol de votre carte ou chèquier, la loi en général vous protège. Encore faut-il bien réagir pour être remboursé(e) ? Revue de détails de vos droits.
Réagir vite

Vous venez de vous faire voler votre sac ou constatez que votre chéquier ou CB manquent ? Ne tardez pas à faire opposition.
Comment :
- en avertissant votre agence bancaire : soit en l'appelant aux heures d'ouvertures, soit en ligne si votre banque vous le propose, soit auprès du serveur vocal interbancaire pour les CB au 0 892 705 705 (0,34 euros/min) qui oriente chaque appel vers le centre d'opposition compétent.
Pour les chèques, vous pouvez vous adresser au centre national d'appel des chèques perdus ou volés au 08 92 68 32 08 (0,37 euros/min).
- en déclarant ensuite le vol (s'il y a) au commissariat ou gendarmerie le plus proche.
- en confirmant l'opposition par lettre recommandée avec AR sous 48h auprès de votre agence en joignant le récépissé de déclaration de vol.

Un conseil : conservez dans un endroit sûr votre numéro et date d'expiration de votre CB ainsi que les numéros de chèques. Cela permet de gagner du temps.

Josué

Josué
Administrateur

Carte bancaire ou chèque volés, quelles sont vos garanties ?

En cas de perte ou de vol de votre carte ou chèquier, la loi en général vous protège. Encore faut-il bien réagir pour être remboursé(e) ? Revue de détails de vos droits.
Réagir vite

Vous venez de vous faire voler votre sac ou constatez que votre chéquier ou CB manquent ? Ne tardez pas à faire opposition.
Comment :
- en avertissant votre agence bancaire : soit en l'appelant aux heures d'ouvertures, soit en ligne si votre banque vous le propose, soit auprès du serveur vocal interbancaire pour les CB au 0 892 705 705 (0,34 euros/min) qui oriente chaque appel vers le centre d'opposition compétent.
Pour les chèques, vous pouvez vous adresser au centre national d'appel des chèques perdus ou volés au 08 92 68 32 08 (0,37 euros/min).
- en déclarant ensuite le vol (s'il y a) au commissariat ou gendarmerie le plus proche.
- en confirmant l'opposition par lettre recommandée avec AR sous 48h auprès de votre agence en joignant le récépissé de déclaration de vol.

Un conseil : conservez dans un endroit sûr votre numéro et date d'expiration de votre CB ainsi que les numéros de chèques. Cela permet de gagner du temps.

Josué

Josué
Administrateur

Les escrocs trouvent toujours de nouvelles astuces pour pirater les cartes bancaires ! La dernière consiste à remplacer votre puce par une puce ne nécessitant pas votre code secret... Et aucune parade n'existe encore ! Les explications avec Planet.fr.


Le Parisien révèle au grand jour une nouvelle escroquerie à la carte bleue, utilisée depuis quelques années à l'étranger et qui vient de faire son apparition en France. Le plus effrayant ? Aucun système ne permet encore de s'en prémunir.

Ross Anderson, un universitaire anglais, a parlé de cette arnaque dès 2010. Des escrocs s'emparent de votre carte bancaire discrètement, puis échangent la puce de votre carte avec une autre puce programmée pour bloquer le système de sécurité intégré à la carte. Reste plus aux escrocs qu'à effectuer des paiements avec votre carte, en utilisant n'importe quel code confidentiel.

Achats de 100 euros maximum à chaque fois
Les malfrats doivent cependant se limiter à des achats de 100 euros maximum à chaque fois, plafond au-delà duquel la carte demande une autorisation à la banque, ce qui alerterait immédiatement l'établissement bancaire.

Un réseau employant cette technique a été récemment arrêté, mais la police redoute une multiplication de ce type d'escroquerie. Un agent explique au Parisien : "Pour l'heure, même si la personne qui s'est fait voler ou qui a perdu sa carte fait opposition sur cette dernière, les escrocs peuvent, malgré tout, continuer à s'en servir. C'est tout le problème de cette arnaque. Les voleurs rajoutent sur la carte dérobée une deuxième puce qui trompe le terminal de paiement chez le commerçant, en lui faisant croire que le code confidentiel composé est bien le bon."

La Direction centrale de la police judiciaire (DCPJ) a été sensibilisée à cette arnaque en 2011, lorsque l'organisme chargé de la sécurité des transactions l'a alertée au sujet de plusieurs cartes volées en France, qui étaient toujours utilisées dans des commerces en Belgique.

"C'est la banque qui subit le préjudice"
Une source proche de l'enquête raconte au Parisien qu'en règle générale, les cartes maquillées permettent "d'alimenter une filière clandestine de cigarettes".

De son côté, la Banque de France tient tout de même à rassurer : "L'escroquerie n'a que peu d'impact sur les utilisateurs de cartes bancaires. Dès que la victime signale le vol ou la perte de sa carte, c'est la banque qui subit le préjudice. Ce type de fraude demeure marginal, et nous ne croyons pas à son développement."

Certains banques essayent tout de même de trouver un moyen d'empêcher ces escroqueries. "Des mesures à court terme ont été prises par les banques. Mais l'utilisation de ce type de fraude ne peut se faire que chez des commerçants. Une carte modifiée ne peut être utilisée dans un distributeur d'argent, ni sur Internet".

© MaxPPP

clokty



si jamais vous vous retrouvez dans une situation dans laquelle un voleur
vous forcerait a allez au guichet et vous faire retirer votre argent
sur votre compte pour lui donner sachez ceci si vous rentrez votre code a
l'envers ( exemple 1234 vous rentrez 4321)
la machine reconnait que vous avez entré le code en l'envers et vous donne l'argent que vous demandez quand même mais en même temps AVISE LA POLICE QUE VOUS VOUS FAITE VOLER donc la police peut venir vite (en principe), cette info a été diffuser a la télévision beaucoup de gens ne le savent pas FAITE TOURNER
a vérifier pas eu l'occassion

Josué

Josué
Administrateur

Arnaques à la carte bleue : 22 personnes arrêtées pour piratage
Le 05/02/2013 à 14:03 - Antoine BruxeilleRéagissez !
Un vaste réseau de piratage de cartes bancaires a été démantelé ce mardi par le service de cybercriminalité. Les gendarmes ont interpellés 22 personnes dans le cadre de l’enquête

Deux ans d’enquête, 133 gendarmes, dont 35 d’une brigade spécialisée, ont été nécessaires pour mettre fin aux activités du réseau. Tôt ce mardi matin, a eu lieu un important coup de filet contre une association de malfaiteurs spécialisés dans le cyber piratage de carte bleue à travers tout l’Hexagone. Apparemment, la pêche a été fructueuse puisque le grappin a été mis sur 22 personnes, toutes soupçonnées de s’être procuré illégalement des numéros de cartes bancaires. Via des pages internet dédiées, les cybercriminels se seraient servis de ces numéros pour effectuer des achats aux dépens de leurs victimes.

Autre technique frauduleuse, la fabrication de cartes bleues de contrefaçon à partir de pistes numériques piratées. Aussi appelée « dump », cette technique d’encodage aurait rapporté plus de 6 millions d’euros, principalement grâce à des retraits au distributeur automatique. Les cartes ainsi falsifiées étaient revendues ou directement utilisées par les pirates. Les perquisitions des gendarmes ont ainsi permis de mettre à jour un nombre important d’outils informatiques qui ont servi aux criminels pour réaliser leurs forfaits.

Josué

Josué
Administrateur

Arnaques à la carte bancaire : un nouveau réseau sévit sur internet
Le 03/06/2013 à 07:26 - Clémence Pouletty
Plus de 600 personnes seraient concernées. Un réseau international constitué d’une dizaine d’escrocs aurait réussi à pirater les codes de cartes et comptes bancaires sur des sites de vente en ligne, pourtant protégés.


Le système est bien rôdé : les clients sur internet pensent faire confiance à un site d’achat en ligne spécialisé et sécurisé, et y laissent sans prendre garde leurs codes de carte et compte bancaires. Pourtant, un réseau international constitué d’une dizaine d’escroc a réussi à récupérer ces codes et à les utiliser à des fins malveillantes. Depuis quelques jours, les débits frauduleux se multiplient. Un réseau dont la tête est située au Maroc sévit sur Internet. Pour l’instant, plus de 600 personnes auraient été victimes de ces cyber-braquages.

Un réseau bien organisé
Les malfaiteurs du web en ont profité pour dépenser des centaines d’euros dans l’achat de matériel électronique. Ils ont acheté du matériel par le biais de sites d’achat en ligne et sont visiblement bien organisés. Si le réseau n’a toujours pas été démantelé, c’est en effet parce qu’il n’a jamais fait livrer les articles commandés au même endroit. Les cybers-braqueurs les ont fait déposer dans des points relais, ou bien ont donné de fausses adresses. Ils seraient une dizaine à piéger ces sites et pirater les codes de cartes bleues, mais auraient de nombreux complices sur le terrain. Des complices qui servent à aller chercher les colis, en toute discrétion, et à les réexpédier à leur destinataire.

Des braqueurs pour l'heure intouchables
Bobigny, en charge de l’affaire n’a, pour l’instant, pas communiqué plus d’informations. Aucune information judiciaire n’a pu, pour l’heure, être ouverte en raison du caractère international du réseau. Si plusieurs suspects ont été interpelés et interrogés, ils ont dû être relâchés.

Josué

Josué
Administrateur

Boîtiers de cartes bancaires : attention aux arnaques !
Le 01/07/2013 à 16:05 - Eliott MonodRéagissez !
A l'aide de terminaux de paiement trafiqués, un groupe de cybercriminels a débité les comptes bancaires de dizaines de milliers de victimes. Explications.
Révélés lundi 1er juillet dans Le Parisien, les arnaques aux boîtiers de cartes bancaires sont de plus en plus nombreuses. En effet, le terminal de paiement électronique (TPE), ce petit boîtier dans lequel on glisse sa carte bancaire pour régler un achat, a "inspiré" un gang d'escrocs.

Apparue il y a un peu plus d'un an du côté de Reims selon le quotidien national, cette arnaque s'est depuis étendue à de nombreuses villes de France comme Nice, Bordeaux, Toulouse ou encore Marseille.

Et bien que ce soit la banque du client escroqué qui supporte le préjudice, cela alourdi la facture déjà importante des fraudes à la carte bancaire. En effet, elle s'est élevée à plus de 413 millions d'euros en 2011.

Une escroquerie qui perdure
Même si quelques suspects ont déjà été interpellés, cette arnaque existe toujours. "Pour l'heure, aucun service d'enquête n'a été chargé de centraliser l'ensemble des faits constatés. Cela permet à ces escrocs de poursuivre leurs activités frauduleuses", a expliqué un enquêteur spécialisé au journal Le Parisien.

Personne ne dispose donc vraiment des moyens d'action suffisants pour stopper ces cybercriminels. Il faudrait remplacer les terminaux vulnérables, mais cela ne peut pas être imposé aux commerçants. De la même manière, des mises à jour ont été faites par la société Ingenico, afin de pouvoir détecter tout remplacement non autorisé d'un TPE.

© Ghirigori Baumann/Flickr

Josué

Josué
Administrateur

Arnaque : les délits frauduleux à la carte bancaire explosent
Publié par Maëlle Boudet le Mardi 29 Avril 2014 à 14h37
L'Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales vient de publier son dernier rapport concernant les fraudes aux cartes bancaires... Verdict : en deux ans, celles-ci ont véritablement explosé en France. Tous les détails avec Planet.f
Selon les données du rapport de l'Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP), au cours de l'année 2012, plus 700 000 ménages ont déclaré avoir subi au moins un débit frauduleux à la carte bancaire. Cela représente près de 44% d'augmentation par rapport à 2010.



L'ONDRP explique que "la proportion des ménages s'étant déclarés victimes de débits frauduleux sur leur compte bancaire augmente très significativement entre 2010 et 2012". Ils n'étaient en effet que 500 000 en 2010, et 718 000 en 2012. Pour environ 50% des débits frauduleux dénoncés, le vol ne dépasse pas 300 euros, mais 20% des victimes se voient dérober plus de 1 000 euros.



Une victime sur trois apprend le débit frauduleux sur son compte par sa banque
Le rapport de l'ONDRP montre également que la plupart des victimes (65%) s'est rendue compte de la fraude en consultant ses comptes bancaires, mais que environ une personne sur trois l'a appris par l'intervention de sa banque. Quoi qu'il en soit, 60% des victimes n'ont aucune de la manière dont leurs informations bancaires personnelles se sont retrouvées entre les mains du voleur.



Enfin, les données du rapport démontrent que plus la somme volée est importante, plus les ménages ont tendance à porter plainte. En 2012, ils étaient 54% de victimes à avoir porté plainte auprès de la police ou de la gendarmerie, en légère hausse par rapport aux années précédentes. La majorité d'entre eux (80%) avoue d'ailleurs que c'est dans le but d'obtenir un remboursement par leur banque qu'ils contactent les autorités.

samuel

samuel
Administrateur




L’European ATM Security Team (EAST) a dévoilé ce vendredi dans son rapport annuel une nouvelle technique de vols de coordonnées bancaires. En effet cette combine se fait directement à partir des distributeurs automatiques de billets (DAB) et consiste à placer une caméra au-dessus de ce dernier afin de récupérer le code secret et le code de la carte. Il ne reste plus qu’à créer une copie pour le faussaire, et le tour est joué.

Lire aussi : Arnaques à la carte bancaire : un nouveau réseau sévit sur internet

Une pratique en explosion

Depuis plusieurs années, l’utilisation des nouvelles technologies par les délinquants a provoqué une généralisation rapide de ce mode opératoire. Si les plaintes se sont multipliées ces derniers mois, quelques astuces simples d’application peuvent vous permettre d’éviter une mésaventure. Pour cela, il vous suffit de vérifier que la fente dans laquelle vous insérez votre carte bancaire ne soit pas altérée. Cette dernière est généralement abîmée à cause de la pose du boîtier qui contient la caméra espionne. Pour éviter que vos coordonnées soient définitivement acquises par l’arnaqueur, n’oubliez pas de cacher le clavier lors vous composerez votre code secret.


Publié par Jérémy Pastor le Vendredi 11 Juillet 2014

samuel

samuel
Administrateur

Selon l'étude de l'éditeur de logiciels financiers Fico concernant les risques de piratage de carte bancaire dans les différents pays d'Europe, c'est en France que vous avez le plus de chance d'être victime de fraude sur votre compte.
En savoir plus sur http://www.planet.fr/conso-carte-bancaire-quels-sont-les-pays-ou-vous-risquez-le-plus-de-vous-faire-pirater.672264.1404.html?xtor=ES-14-816878%5BPlanet-Mi-journee%5D-20150406#FOtmkeQxCCyLYfhl.99

Josué

Josué
Administrateur

Développée depuis plusieurs mois, une carte bancaire permettant de freiner les fraudes aux achats sur Internet va être testée dès septembre par le groupe Banque Populaire-Caisse d’Epargne.
Le groupe Banque Populaire-Caisse d’Epargne (BPCE) a annoncé l’expérimentation à partir de septembre 2015 d’une carte bancaire visant à réduire au maximum les possibilités de fraudes aux achats en ligne.

Concrètement, le pictogramme de trois chiffres au dos de la carte changera régulièrement pour plus de sécurité. "Grâce à cette première mondiale, le code de sécurité à trois chiffres imprimé au dos de la carte bancaire est remplacé par un "mini" écran affichant un code, automatiquement modifié périodiquement", précise le groupe dans un communiqué. Dès la fin de l’été, un millier de clients recevront une carte test pour une durée de six mois.

50% des fraudes constatées sur l’e-commerce

Cette nouvelle technologie devrait permettre d’enrayer le fléau des piratages de cartes bancaires. "Cette technologie permet d'intervenir sur les fraudes lors des achats en ligne reposant sur des piratages de numéros de cartes bancaire associés à des cryptogrammes. Elles représentent environ 50% des fraudes constatées aux achats sur l'e-commerce", explique Catherine Fournier, directrice générale de Natixis Payment Solutions, interrogée par BFM Business.
A noter également que pour les e-commerçants et sites en ligne, la solution ne requiert pas d’évolution de leur système d’acceptation de paiement en ligne.

En vidéo sur le même thème : Bientôt une carte bancaire anti-fraude

Rene philippe

Rene philippe
MODERATEUR
MODERATEUR

Intéressant ton sujet Josué. Je vous donne 2 combines; la première, (ça dépend peut-être de votre banque), la mienne (banque populaire) propose gratuitement un petit logiciel nommé "e-cartebleue", pour générer, lors d'un achat sur internet, une "vraie-fausse" carte bleue, avec son numéro, la date de validité et le cryptogramme à 3 chiffres. Vous faites votre achat normalement sur votre site (attention, tous les sites d'achat n'acceptent pas cette "vraie-fausse" carte bleue; au moment d'entrer vos coordonnées bancaires, vous retournez sur la fenêtre de la "e-cartebleue", dans laquelle, après avoir rentré un mot de passe, vous donnez le montant de votre transaction. Le logiciel calcule une nouvelle carte avec tous les renseignements normaux. Vous n'avez plus qu'à mettre les infos dans la fenêtre d'achat. Ce qui est super, c'est que ces infos ne peuvent servir qu'une fois, celles-ci sont générées de nouveau à chaque achat. Si quelqu'un intercepte et décode les infos d'un achat et essaye de les réutiliser, ça ne marche pas. Pratique hein ? Very Happy

Autre combine : les escrocs peuvent maintenant lire les infos de votre carte à travers votre sac, votre poche, à l'aide d'un appareil électronique. Pour déjouer cela, rien de plus simple, et... gratuit. Si vous avez un porte cartes, il suffit de le tapisser d'une ou deux épaisseurs de feuille d'aluminium (de cuisine) pour que votre carte ait son petit "manteau". Ces feuilles d'alu sont imperméables au rayonnement que votre carte peut faire, de ce fait, tout "lecteur" placé à proximité ne pourra rien lire.

Là encore, simple, efficace et gratuit. Dernière combine : lorsque vous tapez votre code secret sur le petit terminal, dans les magasins, vous placez vos doigts sur le clavier, vous repérez bien les touches nécessaires avant, puis vous couvrez votre main "codeuse" avec l'autre main; vous n'avez plus qu'à taper votre code secret à l'abri des regards. Là encore, simple, efficace et gratuit.

Vous en voulez d'autres ? Cool

Josué

Josué
Administrateur

Plus de 800000 ménages victimes d'arnaques .
Selon ONDRP avec un préjudice inférieur à 240 euros.

Josué

Josué
Administrateur

Fraude à la carte bancaire : les réseaux de paiement européens s’allient à PCI
NINON RENAUD / CHEF DE SERVICE FINANCE | LE 23/03 À 15:16
L’ECPA noue un partenariat avec l’organisation internationale qui définit les standards de sécurité. L’association européenne des réseaux domestiques de paiement apportera son expertise en matière de carte à puce.
A menace globale, réponse globale. Face à la montée en puissance de la cybercriminalité qui va de pair avec une multiplication des cas de vols à grande échelle de données de cartes bancaires, il y avait urgence pour les acteurs de l’industrie des paiements à parler d’une seule voix. C’est cette logique qui a motivé le partenariat stratégique annoncé mercredi entre PCI, l’organisation internationale à l’origine de la définition des standards de sécurisation des paiements par carte, et l’ECPA, association regroupant la grande majorité des réseaux de paiement domestique en Europe, dont le GIE Cartes Bancaires CB.
Faire valoir les spécificités du marché européen
Dans le détail, les membres de l’ECPA vont obtenir deux sièges permanents au comité consultatif de PCI, dont le conseil d’administration rassemble les cinq grands réseaux internationaux de paiements (Visa, Mastercard, American Express, Discover et le japonais JCB). Ils participeront également aux groupes de travail techniques qui planchent sur la définition des standards de sécurité, le plus emblématique étant PCI DSS.

En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/finance-marches/banque-assurances/021790829145-fraude-a-la-carte-bancaire-les-reseaux-de-paiement-europeens-sallient-a-pci-1209218.php?H0Yi6ZImUj6kzumv.99#xtor=RSS-39

En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/finance-marches/banque-assurances/021790829145-fraude-a-la-carte-bancaire-les-reseaux-de-paiement-europeens-sallient-a-pci-1209218.php?H0Yi6ZImUj6kzumv.99#xtor=RSS-39

samuel

samuel
Administrateur

comme des millions de Français, vous allez peut-être utiliser votre carte bancaire à l’étranger. Attention, danger !
Il faut d’abord savoir que les retraits de cash hors zone euro fournissent systématiquement au système bancaire l’occasion de vous ponctionner de l’argent. Ces frais sont de deux ordres : forfaitaires (+ ou – 4 euros) quelque soit le montant du retrait, puis, pour compléter l’équarrissage, proportionnels au montant retiré (2 à 3 % en moyenne).

Certaines enseignes prévoient même un minimum de frais (par exemple 1 euro). Généralement, les paiements par carte sont généralement moins taxés que les retraits, surtout si la banque n’applique pas de montant fixe.

Un malheur n’arrive jamais seul : le calcul des frais de change n’est pas unifié. Si vous achetez un souvenir pour l’équivalent de 50 dollars, ce n’est pas forcément le taux de change du jour qui sera appliqué. Pour savoir à quelle sauce vous a avez été mangé, il faudra attendre de consulter votre relevé bancaire. Les parités y seront spécifiées.

Retirer de l'argent avant de partir

Pour éviter ces frais, la meilleure parade consiste à retirer le montant d’espèces dont vous aurez besoin à l’étranger avant de quitter le pays. Puis d’éviter de le placer dans un objet trop repérable par les voleurs à la tire : poche arrière du sac à dos, etc. Bon à savoir : certaines ceintures sont équipées de partie cache billets (à partir d’une quinzaine d’euros) ou des pochettes destinées à être portées sous le pantalon (+ ou – 20 euros).

Autre solution : acheter des "travellers cheques" (chèques de voyage). Payables d’avance (au moment de leur acquisition), ils sont émis dans une monnaie déterminée (par exemple le dollar) et pour un montant fixe. Une fois sur place, vous échangez le traveller cheque contre la devise locale. Evidemment, rien n’est gratuit et la délivrance de ces chèques occasionne des frais de 1 à 2%. Cette formule vous coûtera toujours moins cher que des retraits de faible montant effectués avec votre carte de paiement. Cerise sur le gâteau, ces chèques sont remboursés en cas de vol ou de perte.

Un euro par retrait à l'étranger

En zone euro, tous les paiements par carte sont exonérés de frais. Mais, une bonne nouvelle peut en cacher une autre : au-delà d’un certain nombre d’opérations dans le réseau partenaire de votre banque, un malus vous sera appliqué. Comptez environ 1 euro par retrait. Pour limiter la casse, mieux vaut savoir quels sont les guichets "partenaires" de votre banque ainsi que le nombre d’opérations autorisées avant que ces ponctions démarrent. Des applications disponibles sur portable peuvent vous guider durant vos déplacements.

Les conditions de sécurité appliquées aux transactions sont moins strictes dans les pays étrangers qui n’ont pas adopté la carte à puce. Au lieu de saisir votre code confidentiel, il suffit de signer une facturette et la transaction est bouclée. Pour limiter les risques de fraude, demandez à votre banquier de renforcer la surveillance de votre compte avant de partir. Assurez-vous que votre banque a bien mis en place un système d’alerte "intelligent" qui envoie un SMS si des retraits suspects sont effectués avec votre carte à Singapour alors que vous séjournez aux Canaries. Faites une copie des 16 chiffres figurant sur votre carte de manière à pouvoir les communiquer au centre d’opposition Visa ou Mastercard de votre lieu de villégiature. Enfin de retour au bercail, consultez régulièrement votre compte bancaire afin de repérer d’éventuelles opérations suspectes.
En vidéo sur le même thème - Fraudes à la carte bancaire : bientôt un cryptogramme qui change toutes les heures

samuel

samuel
Administrateur

multiplient les escroqueries au faux RIB sur Internet. Ce qui peut coûter très cher aux victimes. Explications.
Et une arnaque de plus. Une nouvelle escroquerie au faux RIB se développe depuis quelques semaines sur la Toile, rapporte plusieurs médias.

Concrètement, un individu malveillant se fait passer pour votre patron ou autre responsable de votre entreprise et vous demande par mail, pour peu que vous soyez comptable ou secrétaire, de transférer rapidement une grosse somme d’argent sur un compte en banque sous prétexte, notamment, d’un contrôle fiscal dont il aurait eu connaissance.

Les conséquences d’une telle arnaque peuvent d’ailleurs être très graves. "Récemment en Normandie, une société a dû déposer le bilan à cause de virements frauduleux", précise BFMTV.com.

Des versements directs aux pirates

Et l’arnaque va même encore plus loin. Les pirates envoient également des mails aux fournisseurs et clients de l’entreprise pour les inviter à utiliser un nouveau RIB, ce qui permet aux malfaiteurs de percevoir directement les versements.
Face aux risques, il faut une nouvelle fois rappeler qu’il ne faut jamais communiquer par mail ou par téléphone vos données personnelles, et surtout lorsque ce que l’on vous demande vous semble douteux. Vous pouvez également dénoncer ces mails frauduleux sur la plateforme du gouvernement consacrée à ces arnaques en tout genre.

Josué

Josué
Administrateur

Les escrocs trouvent toujours de nouvelles astuces pour pirater les cartes bancaires ! La dernière consiste à remplacer votre puce par une puce ne nécessitant pas votre code secret... Et aucune parade n'existe encore ! Les explications avec Planet.fr.

Le Parisien révèle au grand jour une nouvelle escroquerie à la carte bleue, utilisée depuis quelques années à l'étranger et qui vient de faire son apparition en France. Le plus effrayant ? Aucun système ne permet encore de s'en prémunir.

Ross Anderson, un universitaire anglais, a parlé de cette arnaque dès 2010. Des escrocs s'emparent de votre carte bancaire discrètement, puis échangent la puce de votre carte avec une autre puce programmée pour bloquer le système de sécurité intégré à la carte. Reste plus aux escrocs qu'à effectuer des paiements avec votre carte, en utilisant n'importe quel code confidentiel.

Achats de 100 euros maximum à chaque fois
Les malfrats doivent cependant se limiter à des achats de 100 euros maximum à chaque fois, plafond au-delà duquel la carte demande une autorisation à la banque, ce qui alerterait immédiatement l'établissement bancaire.

Un réseau employant cette technique a été récemment arrêté, mais la police redoute une multiplication de ce type d'escroquerie. Un agent explique au Parisien : "Pour l'heure, même si la personne qui s'est fait voler ou qui a perdu sa carte fait opposition sur cette dernière, les escrocs peuvent, malgré tout, continuer à s'en servir. C'est tout le problème de cette arnaque. Les voleurs rajoutent sur la carte dérobée une deuxième puce qui trompe le terminal de paiement chez le commerçant, en lui faisant croire que le code confidentiel composé est bien le bon."

La Direction centrale de la police judiciaire (DCPJ) a été sensibilisée à cette arnaque en 2011, lorsque l'organisme chargé de la sécurité des transactions l'a alertée au sujet de plusieurs cartes volées en France, qui étaient toujours utilisées dans des commerces en Belgique.

"C'est la banque qui subit le préjudice"
Une source proche de l'enquête raconte au Parisien qu'en règle générale, les cartes maquillées permettent "d'alimenter une filière clandestine de cigarettes".

De son côté, la Banque de France tient tout de même à rassurer : "L'escroquerie n'a que peu d'impact sur les utilisateurs de cartes bancaires. Dès que la victime signale le vol ou la perte de sa carte, c'est la banque qui subit le préjudice. Ce type de fraude demeure marginal, et nous ne croyons pas à son développement."

Certains banques essayent tout de même de trouver un moyen d'empêcher ces escroqueries. "Des mesures à court terme ont été prises par les banques. Mais l'utilisation de ce type de fraude ne peut se faire que chez des commerçants. Une carte modifiée ne peut être utilisée dans un distributeur d'argent, ni sur Internet".

Josué

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La fraude aux paiements par carte recule en France
Clément Lesaffre, le 06/07/2016 à 9h07 Envoyer par email
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Malgré un coût global de la fraude en augmentation, la carte bancaire reste un moyen de paiement très sécurisé.

Un rapport annuel de la Banque de France pointe néanmoins des difficultés dans les transactions à distance et les opérations transfrontalières.

La fraude à la carte bancaire est en recul. ZOOM
La fraude à la carte bancaire est en recul. / Kenishirotie / Fotolia

En plus d’être attachés aux pièces et billets, les Français aiment la carte bancaire. Impliquée dans 51 % des paiements scripturaux, elle devance largement les prélèvements, les virements et les chèques. Et d’après le rapport annuel de l’Observatoire de la sécurité des cartes de paiement (organisme affilié à la Banque de France), les consommateurs n’ont pas vraiment à s’inquiéter de la fraude. En 2015, le montant des opérations domestiques frauduleuses s’est élevé à 225 millions d’euros, en baisse de 4,1 % par rapport à 2014. Soit, 0,04 % des paiements par carte.

Dans le détail, ce sont les transactions au point de vente (boulangerie, centre commercial, magasins), les plus nombreuses, qui sont le mieux sécurisées. À peine 0,009 % de paiements frauduleux, « moins d’un euro sur 10 000 dépensés », s’est félicité François Villeroy de Galhau, président de l’Observatoire et gouverneur de la Banque de France, lors de la présentation du rapport. Les distributeurs automatiques de billets (DAB) sont également très sûrs, avec 0,033 % de retraits frauduleux.

Le paiement sans contact est sécurisé

C’était l’une des interrogations du rapport 2015 : le paiement sans contact par carte bancaire est-il fiable ? La réponse est oui. Deux ans et demi après son déploiement à grande échelle en France, cette technologie a fait ses preuves : seulement 0,019 % de transactions frauduleuses, grâce notamment à des équipements performants. « Les cas de fraude recensés sur le canal de la technologie sans contact ont pour origine le vol ou la perte de la carte, ce qui confirme l’absence de vulnérabilité technologique spécifique », note l’Observatoire.

> À lire aussi : De nouvelles cartes bancaires pour 2016

Un bon point au moment où les paiements sans contact séduisent de plus en plus de Français. Sur les 84 millions de cartes bancaires en circulation, 40 millions sont équipées de la technologie sans contact et 12 millions sont « actives » (au moins une transaction de ce type par mois). Résultat, 1,4 million de paiements sans contact sont relevés aujourd’hui chaque mois, soit près d’un tiers des paiement « éligibles », en général au-dessous de 20 €.

Les paiements en ligne plus vulnérables

Les transactions à distance (Internet et téléphone) sont les plus sujettes aux escroqueries. En 2015, le taux de fraude s’élevait à 0,228 %, toujours supérieur à tous les autres types de transaction. Ces opérations représentent 11,6 % des paiements par carte mais 66,5 % de la fraude à la carte.

Néanmoins, cette année marque une première baisse de la fraude dans ce domaine, notamment grâce aux efforts des e-commerçants qui utilisent de plus en plus des protocoles de sécurisation des paiements (par exemple l’envoi d’un SMS de confirmation). En France, 66 % en sont équipés.

> À lire aussi : L’innovation continue des moyens de paiement

Depuis le 1er juillet 2016, l’Observatoire a par ailleurs mis en place un dispositif d’alerte à destination des e-commerçants, en cas d’incident lié à l’authentification du porteur. Il prévoit aussi d’accentuer sa « veille technologique » sur le développement des technologies de paiement sans contact par téléphone « en vue de garantir un niveau de sécurité équivalent à celui des paiements sans contact par carte ».

Les transactions transfrontalières en hausse

Le deuxième point noir a trait aux paiements par carte internationaux, qu’ils concernent les porteurs français à l’étranger ou les porteurs étrangers en France. Le montant de la fraude sur ces opérations se monte à 298 millions d’euros sur l’année 2015 (+ 12 % par rapport à 2014). Ces chiffres reflètent la difficulté à repérer les fraudes dans ces transactions, surtout quand il s’agit de Français escroqués alors qu’ils se trouvent à l’étranger (1,151 % de ces paiements sont frauduleux).

Résultat, en additionnant les transactions domestiques et internationales, la fraude à la carte bancaire a coûté 523 millions d’euros en 2015, en augmentation de 4,4 % par rapport à 2014. Cela représente 0,082 % des 636 milliards échangés lors de transactions par carte bancaire (0,080 % en 2014).

> À lire aussi : En 2013, la fraude bancaire a touché 840 000 ménages

Clément Lesaffre

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